La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 585)
Pauline au Château - (suite de l'épisode N°582)-
Toujours à genoux, face au Maitre, ce dernier ne me quitte pas des yeux, suite à ces dernières paroles, il mobserve, attend une réaction de ma part, une parole, un geste quel quil soit. Jai envie de lui répondre, mais je me retrouve hébétée. Mon cerveau bouillonne, jignore quoi faire, quoi répliquer. Pour la première fois de ma vie, je me retrouve face à un homme, dans lincapacité totale, figée, perdue, déroutée. Je dois me ressaisir, je dois lui faire comprendre, que je ne suis pas une soumise quon obtient en claquant des doigts. Sil me veut, il va falloir quil me prouve quil mérite mon attention. Oui, je suis ainsi, depuis toujours jai appris à rester maître de mon corps, à garder la maîtrise de mes pensées, quelle que soit la situation. Je conserve le contact visuel qui est établi entre nous deux, ses yeux bleus, me foudroient, je me sens petite, démunie
Cet homme a une emprise sur mon corps, que je nexplique pas. Cela reste un mystère, et par-dessus tout : je le crains. Cette crainte liée à la curiosité perverse qui mhabite, sont la source même de ma présence, à cet instant, à Ses pieds. Je sais, quIl a raison, Il a toujours eu raison sur moi. A ce moment même, je repense à notre première rencontre Skype, elle fût courte, mais intense, ses yeux bleus posés sur moi, mavaient littéralement retournée. Pourtant, jamais, je me serais retournée sur un homme de son âge
Il mintrigue, jai envie de le connaitre davantage, de mimposer à Lui, de me plier
Pourtant, cela ne se fera pas comme Il lespère
Enfin, cest ce que je crois car même si ma forte personnalité, ma fierté peuvent Lui démontrer que je ne serai pas si facile à me courber à Ses exigences. Mais, il n'est pas impossible aussi que mon orgueil puisse sécrouler en quelques secondes tel un château de cartes face à Son intransigeance, Sa Maîtrise parfaite me faisant comprendre que pour Lui, je ne suis quune soumise parmi les autres.
- Très bien, je peux à présent, considérer que tu mas compris, chienne. Voilà, mes instructions, elles sont simples à réaliser pour une soumise prête à tout pour entrer dans Ma demeure. Jespère que tu es bien concentrée, car, je ne vais pas le répéter à deux reprises, et je connais parfaitement chaque étape qui tattend, sans omettre aucun détail. Alors ouvre, grand tes oreilles, de petite chienne de ton espèce. Monsieur Walter qui a fait une partie du trajet avec toi, dans ce train, ma indiqué à quel point, tu lui as été désagréable, durant le trajet. Ce que jespérais de ta part, je dois lavouer, il a donc pour consigne de te traiter comme il le voudra sans limite aucune, vu le manque de respect que tu lui as assigné.
Prête à répliquer, il ne me prête pas attention, et continue, son discours, me coupant la parole, mimposant le silence rien que par son regard Dominant et sévère. Je rage au fond de moi, comment aurais-je pu savoir que ce malpoli, était à la botte du Maitre.
- Tu devras donc le suivre, dans la tenue quil timposera. Il va te mener dans un lieu qui mest cher, tu devras pour moi, faire quelques achats. Walter a la bourse, et la liste. Bien sûr, avant toute acquisition, il faudra faire un essayage.
Je peine à comprendre, les yeux du Maitre scintillent, comme si cette épreuve le faisait rire intérieurement.
- Une fois mes achats réalisés, jordonne que tu mapportes ces derniers dans Ma Demeure. La liste, je vais te la lire, je sais que ton travail de serveuse, a magnifié ta mémoire, et donc, tu nomettras aucuns ustensiles. Tu pourras toujours supplier Walter pour quil te donne des informations, mais je ne pense pas que ce dernier taccordera son aide vu ton comportement dans le train.
Plug vibrant ; bâillon à anneau ; pinces à seins ; boules de geisha ; 1kg de carottes et 1kg de concombres. Je ne cesse de me répéter la liste en boucle dans la tête pour ne pas oublier quelque chose. Cette liste est courte, et ne meffraie pas.
- Je te remets entre les mains de mon fidèle Majordome, et mes deux hommes de main qui tont amené jusquici
Ah ! Joubliais, chose quen temps normal, je naurais pas besoin de préciser, mais je vais te le dire malgré tout, chienne, car cela est le point essentiel de toutes les épreuves qui tattendent aujourdhui : Il test strictement interdit de jouir, quoiquil arrive. Je ne suis pas dupe, et jai tout à fait conscience que tu ne respectais pas cet ordre lors de nos échanges à distance. Dailleurs, une punition concernant cela, te sera administrée dès ton arrivée au Château. Pour linstant, je te place entre les mains de mes hommes, ils ont tous pouvoirs sur toi, tu leur dois obéissance et respect. Ils me feront une description détaillée de ta journée, chienne. Si tu jouis, tu prendras le premier train qui te ramènera chez toi, et je naurai aucun regret concernant cette sanction exemplaire.
Ce dernier ordre, ne fait quun tour dans ma tête, mon corps est tendu depuis quelques jours.
- Et avant que je parte, tu vas nettoyer ta mouille qui a coulé entre tes cuisses, chienne. Ce lieu était propre, et je ne voudrais pas le rendre à son propriétaire, dans un sale état, parce quune chienne de ton espèce, ne sait pas retenir son excitation.
Surprise, je rouvre les yeux, et baisse la tête. Je constate honteuse, une flaque de cyprine au sol, denviron 5 cm de diamètre, située entre mes jambes. Je recule dun mètre en arrière, et toujours sur mes genoux, je me penche en douceur, gardant léquilibre, puis, je sors ma langue, et vient laper ma mouille. Le sol est froid, granuleux, mais ma mouille est agréable en bouche, légèrement visqueuse, tiède. Je nettoie le tout avec soin, puis, satisfaite de mon travail, je reprends ma position, un sourire aux lèvres, fière davoir obéit, je relève les yeux et cherche le Maitre. Dans un silence parfait, ce dernier a profité de cet instant pour séclipser. Je rage, Il est parti, sans mavertir (normal, il na aucun compte à me rendre), me laissant dans cette position, ne massignant aucun geste, aucune autre parole.
- Je refuse catégoriquement de porter cette horreur.
- Très bien, Monsieur le Marquis mavait prévenu que tu naccepterais pas. Dans ce cas, à quatre pattes chienne.
Il me faut un temps de réflexion, cherchant à comprendre ce que cela signifie. Sans prévenir, un claquement sourd résonne dans la pièce, je regarde lhomme au centre de la pièce, ce fameux Walter, qui tient à présent un long fouet, sorti de nulle part, entre ses doigts prêts à labattre sur moi. Un rictus sur ses lèvres, il me fait comprendre, que si je mobstine, je risque de passer un mauvais quart dheure. Je repose donc le vêtement avec délicatesse, le repliant comme il métait présenté, puis, je me positionne en quadrupédie, tête baissée, la laisse pendant à mon cou. Lhomme sapproche, saccroupit devant moi, prend la laisse, se penche à mon oreille, puis il me chuchote dans un murmure à peine perceptible :
- Je crois que je vais passer une après-midi des plus agréables, chienne.
Je frissonne à ses mots, le feu présent dans mon bas-ventre me brûle de mille sensations excitantes, mes lèvres sont humides. Le Majordome se lève, et commence à avancer sans prêter attention à moi. Contrainte à le suivre, je me retrouve nue, portant un unique collier serti des Initiales MDE, à avancer à quatre pattes telle une chienne derrière un homme tenant ma laisse. A ma grande surprise, il se dirige vers une porte dissimulée par un rideau, lactionne, des marches se présentent à mes yeux. Elles mènent visiblement vers un sous-sol. Nayant jamais descendue des marches en quadrupédie, je me stoppe, par peur de trébucher. Walter ignorant mon arrêt, continue sa course. Un pied vient de sécraser avec force contre mes fesses, je me retourne, les deux acolytes attendent visiblement que javance. Jassène un regard noir à celui qui a osé me frapper le fessier, puis je me décide, lentement, je commence à descendre les premières marches. Je comprends très vite que le Majordome a ralenti sa course, me laissant le temps de le suivre avec prudence. Arrivés à la fin des marches, jai envie de le remercier, mais il ne me laisse pas le temps dagir, et me tire vers lunique voiture présente dans ce sous-sol. Ignorante dans le monde de lautomobile, il mest impossible de reconnaitre le modèle de ce gros véhicule noir brillant, bien à limage du Maitre. Alors que je me place devant la porte arrière. Walter tire sur la laisse, et me fait faire le tour de la voiture, puis il sarrête au niveau du coffre ouvert. Il donne un coup sec sur la laisse, me faisant comprendre quici, dans ce coffre, est la place des chiennes lors des trajets
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!