La Table En Sapin...

J’avais accompagné Cathy jusqu’à l’hôpital suite à un accrochage de circulation. Après examen il se trouvait heureusement, qu’elle n’avait rien de grave. Mais pour plus de sécurité, le docteur avait préféré la garder en observation. J’ai attendu qu’elle soit bien installée dans la chambre pour prendre congé.
Je suis arrivé chez la belle-mère, là-même où nous avions pris congé depuis une quinzaine de jours. Colette était seule. Une femme assez grande, bien en chair mais ne manquant pas de féminité.
Claude son mari avait pris son service comme gardien de nuit et son fils faisaient 3/8, et il se trouvait qu'il était de nuit. La cuisine sentait la friture. Colette semblait toute guette devant son verre de porto. Elle n’avait pas attendu pour attaquer l’apéro. La table était dressée. Trois couverts y étaient installés. Elle était dans un tel état qu’elle ne s'était même pas aperçus de l’absence de sa fille. Quand je le lui appris, elle a tout de suite tourné de l’œil. J’ai mis ça sur le compte de l’alcool.
Je l’ai conduit jusqu’à sa chambre où je l’ai étendu sur son lit. Comme elle me l‘avait précisé, je me suis abstenu d’avertir son époux. Me certifiant qu’après une bonne nuit tout reviendra en ordre.
Je l’ai alors laissé se reposer, émettant de lui proposer de l’aider à se dévêtir.
Après avoir grignoté quelques frites froides, et fais la vaisselle, je me suis intéresser à la santé de Colette. Allant lui rendre une visite dans sa chambre. Elle dormait profondément. Mais en sortant, je me suis trouvé soudain projeté dans un rêve. Celui d’être séduit par le galbe de ses pieds gainés de nylon couleur chair. Je n’ai pas m’empêché de les effleurer du bout des doigts. Ce toucher me fit l’effet d’un électrochoc, auquel ma virilité réagit instantanément en s’érigeant à toute vitesse.
À regret, je me suis réfugié dans ma chambre, dont nous avions pris nos quartiers. La rue comme toujours, était calme. Fenêtres ouvertes et volets clos.

J’appréciais pleinement ces rares moments de tranquillité où débarrassé des ennuis de la vie, je retrouvais un sentiment bien agréable de liberté.
Je profitais vraiment de cette nuit où j’étais seul, pour écrire mes nouvelles histoires. Mais avant, j’allais récupérer dans la poche de mon blouson la dernière parution d’une revue ( je ne citerais pas le nom) à qui j’envoyais fréquemment des histoire. Je me suis posé devant le bureau. J’ai sorti mon bloc note à souvenir et me mis à rédiger l’aventure de la semaine précédente. Celle qui a eu lieu à quelques pas de cette chambre.

« Nous étions rentré avec Cathy avec la ferme intention de baiser. Nous savions que nous ne serions pas dérangés. La maison était déserte. Claude partit à sa partie de boules. Le frère chez la copine et Colette, la mère courait la bite. Mais cela, personne ne le savais, hormis moi…
Avec Cathy nous avions décidé de faire notre petite affaire dans la cuisine. Sur la table. Depuis le premier jour de notre rencontre, cette fille me rendait dingue. J’avais toujours envie d’elle dans toutes les situations, toutes les positions. Et cerise sur le gâteau, Cathy ne rechignait devant rien.
Fourrant ma main dans son pantalon. Mes doigts s’enfoncèrent dans une grotte humide, s’y agitèrent, provoquant ses gémissements. Pour ne pas rester en reste, elle posa sa main sur ma braguette gonflée par mon érection. Et caressa mon sexe par-dessus le drap du pantalon. Ne tenant plus, je la plaçais sur la table. J’ôtais pantalon et culotte. Puis m’agenouillant, je posais les jambes de la jeune femme en appuie sur chacune de mes épaules. Écartant largement les cuisses que je maintenais ouvertes au maximum.
Assise sur le bord de la table en sapin, Cathy m’exhiba toute son intimité. Je me penchais et engloutis ma bouche sur son sexe. Faisant frétiller deux ou trois fois ma langue sur un clitoris bien dardé. Elle se tortilla sous ma caresse buccale. Puis je bougeais ma langue sentant sa chair s’ouvrir.
Je me mis à lécher à tout-va. Elle perdit toute pudeur. Gémissant sans retenue. Je l’empoignais par le cul pour l’offrir à ma bouche. J’aspirais toute sa viande. Son plaisir montait.
J’enfonçais ma langue dans son vagin. La vissant aussi loin que je le pouvais. La fis frétiller. L’enfonçant et la ressortant, à grands coups. Lui léchant l’intérieur de ses entrailles alors que mes doigts agaçaient son anus qui répondait à ma câlinerie en s’ouvrant de lui-même. C’est alors que mon regard, je ne sais pourquoi, se porta sur le grand miroir fixait au mur. Son reflet me renvoya Colette, la mère de Cathy. Aucun doute n’était permis de ce qu’elle regardait… nous.
Elle avait trouvé un poste d’observation derrière la vitre de la porte vitrée, qui sépare le hall d’entrée à la cuisine.
En d’autre temps, je m’aurais affolé. Essayant tant bien que mal, de mettre au plus vite de l’ordre sur notre tenue. Mais ce temps était loin… très loin. Aujourd’hui, je prenais plaisir de m’exhibé. De montrer mes attributs à la mère de ma copine. Pour ça, je me suis levé. Lui permettant de faire connaissance avec ma superbe érection. Une belle queue raide que je glissais entre les lèvres de sa fille. J’éprouvais un bonheur indicible. Jamais un sexe d’une femme ne m’avait semblé aussi doux. Elle m’aspirait comme une ventouse, jusqu’à la racine. Elle serrait très fort. Son con se relâchait par saccades. J’étais bien. Mais ce n’est pas le cas pour Cathy, qui jugeait qu’il était temps de changer de trou.
- Mets ta queue dans mon cul ! Implora-t-elle.
Cela me donnait une idée.
- Dis-moi le plus fort.
J’avais un grand besoin, que maman Colette entende le souhait de sa petite progéniture. Laquelle hurlait :
- Oui… Fourre-la-moi ! Encule-moi, maintenant…
J’ai piloté mon gland la-même où Cathy le demander. Il y eut une brève résistance des muscles de ses reins, mais finirent par céder, et de m’engloutirent d’un coup, jusqu’à la racine.

Elle se mit à rouler des hanches tandis que je la martelais à grands coups de reins, jetant de temps à autre un coup d‘œil sur le miroir pour m‘assurer que Colette était toujours là. Elle était fidèle au poste. Ses intimes parois palpitèrent autour de mon membre. Je soupirais d’aise. Elle me pompait délicatement. Comme une femelle qui avait une grande expérience de la chose. Il m’en fallait pas plus pour me tirer lentement vers l’apogée d’une grande jouissance. C’était pour moi une grande délectation de pouvoir jouir devant Colette.
Je poussais, donnais des coups, appuyais, enfonçais, conférant ainsi à mon membre une envergure décuplée. Je ne m’étais jamais senti aussi gros, aussi puissant. J’ai joui comme jamais. Hurlant ma jouissance jusqu’à en déchirer mes cordes vocales.
Quand j’ai ouvert les yeux, Colette avait quitté son poste… »

Je levais mes yeux du bloc note, et songeais à cet instant que j’avais affaire à une race de vicieuses. Que c’était pour moi l’occasion ou jamais de connaitre toutes les formes de débauche. De réaliser tout ce que je lisais dans mes revues en ce domaine.
Je me rendis alors compte que je bandais dur. Pour assouvir ma soif sexuelle, je me suis masturbé. La jouissance est venue très vite. Et par la même occasion ma libido est tombée. Il était temps pour moi d’aller de nouveau rendre une petite visite à Colette.
Elle était toujours allongée dans son lit, une couette sur elle. La différence par rapport à ma première visite, c’est qu’elle c’était déshabiller. Ses fringues étaient éparpillées sur le parquet. Alors que j’allais retourner à ma piaule, mon regard se porta sur la boule de tissu que faisait le collant enrobant sa culotte de coton blanc. Il m’en fallait pas plus pour me pencher et m’en saisir.
Bien confortablement allongé sur mon lit, j’ai cherché dans les plis de la culotte, l’endroit qui avait servi d’envelopper la vulve de Colette. Puis je le portais à mes narines.
Le respirais bruyamment. Une violente émotion me saisit en découvrant les senteurs marines et musquées qui imprégnait le tissu.
Tout en me soûlant de son parfum, je fixais la porte de ma chambre. M’attendant d’une minute à l’autre qu’elle s’ouvre sur Colette. Toute contente de me prendre en flagrant délit à humer son sous-vêtement. Mais les minutes passèrent et rien. Je fus même déçu de m’être trempé.
Une heure du matin. Une nuit qui se fait insomnie. Et puis peu à peu, au creux de l’ambiance de cette nuit, mon cerveau se mit à délirer.
Ma libido était remontée. Mon sexe n’avait pas cessé d’être dur. J’eus la chair de poule en saisissant mon membre. Je commençais à m’honorer d’un léger va-et-vient. Mais très vite, l’excitation oblige, mes pensées vagabondaient. À me pousser à faire une drôle de chose. Une idée choquante, tabou. Et plus elle se précisait, moins je pensais à dormir. Soudain, cette idée me commanda une action !
Je me levais de mon lit. Je me rajustais mon slip. Tel le feu vert à une intersection, je ne réfléchis plus, et fonçais. Je commençais alors à avancer un pas après l’autre, dans la direction de la chambre de belle maman.
Comme à chacune de mes visites, elle était plongée dans l’obscurité. Seule la lumière du couloir permettait d’y voir quelque chose. Je l’entendais respirer calmement. Elle devait être profondément assoupie. J’avançais de deux pas, le cœur battant à tout rompre.
Jusqu’à maintenant, je n’étais pas tout à fait conscient des retombées de mon geste. Mais à présent, je savais. J’ai compris que je ne pourrais pas m’empêcher d‘aller jusqu‘au bout. Je regardais la forme blanche qui dormait paisiblement dans son lit. Le silence bourdonnait dans mes oreilles.
Je pris conscience de ce que j’allais accomplir dorénavant. Je savais que rien ne serait plus jamais pareil après cela. Ça me faisait peur, mais aussi, et surtout me faisait bander à fond.
Je dégageais la couette d’un revers de main. Qui échoua au sol.
La vision de la tache sombre sur le haut des cuisses, bouscula un peu plus mes fondations. Cette fois, c’était sûr, je n’avais aucune défense contre l’épouvante qui me submergeait.
Je me penchais au dessus de son sexe. Tout cela semblait se passer au ralenti. Comme dans un film, sauf que c’était bien réel. Comme je ne voyais pas très bien. J’ai allumé la lampe de chevet. Le corps de belle-maman semblait dorée et brillait. L’odeur de son entre-fesses en nage me soûlait.
À ce moment, elle s’est légèrement tournée de mon côté, en décollant son bassin, comme pour mieux m’offrir son cul. Dans une touffe de poils frisée sombre, j’ai aperçu son anus charnu, strié de fronces mauves qui rayonnaient. .
J’observais son anus. Ma gorge s’est nouée. Puis, Colette a poussé, comme pour chier. Au centre de son cratère gonflé, le trou de son cul béait. Au point que j’aurais pu y enfiler deux doigts joints. Mon cœur s‘emballa.
Pour tâter le terrain, j’ai commencé par poser ma main retournée, aussi molle que je le pouvais. Avant de la retourner. Épousant la rondeur de son imposant postérieur. Sous mes doigts, je sentais sa peau tiède. De nouveau, une odeur intime, âcre, atteignait mes narines.
Je n’ai pu résisté, d’approcher de son anus mes doigts qui tremblaient. Sa corolle dilatée avait de temps à autre un spasme nerveux. Comme le ferait la bouche d’un mollusque marin en chasse.
Puis j’ai séparé du bout des doigts les bords fripés de la grosse vulve. Elle s’est cambrée. J’ai constatais que de fines traînées d’écumes blanchâtres s’étaient accumulées dans les replis des muqueuses.
Quand j’ai poussé mon doigt dedans, il est entré comme dans du beurre. C’était tiède, soyeux, jamais, je n’avais éprouvé de sensation pareille. J’étais comme ivre. J’avais oublié toute notion de danger. Mais avait-il danger ?
L’idée scandaleuse d’y fourrer ma verge dans ce trou accueillant m’a traversé. En tremblant d’excitation, j’ai enfoncé un autre doigt dans son cul. Les chairs de son rectum s’écartaient, comme pour m’inviter à une pénétration plus complète. Sa respiration, profonde comme celle d’une personne qui dort à poings fermés, s’est accélérée en sifflant.
Son anus s’est rétracté, moulant étroitement mon index comme pour le prendre au piège. J’ai malgré tout entamé de lents allers et retours. J’ai posé ma bouche dans le mouillé des muqueuses et fis frétiller ma langue. D’imperceptibles tremblements agitaient son corps. Une giclée de mouille m’emplit la bouche. Le tout accompagné de discrets gémissements de gorge qui de temps à autre, interrompaient ses renflements. Je fis remonter ma langue dans le gluant tiède jusqu’au clitoris. L’aspirais, avant de le titiller avec ma langue. Elle me donna de petits coups de cul pour bien me livrer sa chair à ma bouche. Son goût, un mélange de sueur et de mouille emplissait ma bouche. Quelques soubresauts ainsi que de petits cris de souris, elle se frotta avec frénésie sur mes lèvres.
J’ai attendu que son corps s’amollit pour retirer mes doigts de ses orifices. Puis ma bouche. Son anus a alors émis un bruit gras sans pour autant se refermer.
J’ai éteins la lampe à chevet. Puis, Je suis sortis de la pièce et j’ai rejoint ma chambre. Dans mon lit, j’ai mis mon index souillé dans ma bouche. C’était amer…

À SUIVRE…

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