Ma Vie De Libertin - Amours De Jeunesse - 1Ère Partie.
Amours de jeunesse.1.
Depuis quelques années, les récits ponctuels de mes aventures de libertin ont été publiés en ordre dispersé sur divers sites dédiés. Je remercie celles et ceux qui mont accueilli dans leurs blogs ou sur leurs pages.
Cétait sans tenir compte de la chronologie des faits
Jai tenté de tout replacer dans lordre en modifiant les textes pour les rendre plus attractifs. !
Voici donc les principales aventures vécues avec diverses compagnes ou amies qui ont partagé ma vie pour un soir ou plus ! Enfin, du moins celles qui mont laissé le plus de souvenirs
Jai parfois retrouvé leur prénom mais chaque fois, je me suis souvenu des péripéties et de leur anatomie
comme si je les avais à nouveau dans mes bras !
Ma première fois.
Lors de mon adolescence, à priori rien ne laissait penser que je vivrais une vie de libertin. Il a fallu pourtant que jarrive à plus de 40 ans pour découvrir les joies du libertinage avec celle que je qualifierai de ma première maîtresse.
Je dois préciser que je suis désormais un vieux barbon, libertin convaincu dont lâge a calmé les ardeurs mais qui, de temps à autre, aime bien contempler les corps plus ou moins dénudés des femmes plus ou moins jeunes.
Japprécie la belle lingerie qui met en valeur les atouts de ces jolies demoiselles ou femmes un peu matures dont jaime les rondeurs. Je lapprécie parce que la belle lingerie est pour moi, lécrin qui met en valeurs les atouts féminins.
Ma première fois remonte à lété 1960. Je nen souviens comme si cétait hier ! Dailleurs chaque fois que je croise encore cette femme, je suis ému à la pensée des moments que nous avons vécus dans les bras lun de lautre.
A 18 ans (il faut se replacer dans le contexte de lépoque), je navais connu que des flirts avec des camarades du lycée dont une métisse indochinoise dont jétais raide dingue mais qui était très farouche.
Ce jour-là, nous faisions partie des convives dune grande fête de famille comme il y en avait pour les mariages où le ban et larrière ban de la parentèle était convié. A part un petit groupe dadolescents, nous étions une demi douzaine de jeunes entre 18 et 25 ans, filles et garçons qui samusaient comme des fous, faisant des farces aux autres convives au cours de ce repas de fête.
La journée était déjà bien avancée quand cette parente éloignée ma demandé si je voulais bien laccompagner jusquà chez elle car elle voulait troquer sa robe longue de demoiselle dhonneur pour une tenue plus adaptée pour finir la soirée. Elle se sentait fatiguée (un peu pompette, à vrai dire
) et voulait quelquun avec elle pour faire les quelques kilomètres de trajet en voiture jusquà son studio.
A 25 ans, elle était indépendante et plus tard, jai appris quelle avait la réputation de ne pas être très farouche, multipliant les aventures dun soir ou plus.
Bref, lorsque nous sommes arrivés dans ce studio que je ne connaissais pas, elle ne sest pas gênée pour se déshabiller entièrement devant moi, ne conservant sur elle que son soutien gorge et sa culotte de dentelle blanche. Bien sûr, javais déjà vu des filles en maillot à la piscine ou sur la plage
Jen avais même vu plus après une intervention chirurgicale où il était prescrit aux opérés de fraiche date de prendre des bains de soleil en sexposant au maximum aux rayons pour favoriser la cicatrisation (nous étions en Allemagne où le naturisme sest développé).
Elle ma chambré gentiment :
Coquin, tu veux en voir plus ? Approche !
Caroline était à lépoque une jeune femme assez grande, avec des belles rondeurs, une poitrine assez opulente et des fesses bien galbées. Est-ce cela qui a fait que jai toujours préféré des femmes aux formes prononcées aux filles maigrelettes dont les seins sont à peine marqués.
En disant cela, elle a fait sauter lagrafe de son soutif et laissé glisser sa culotte jusquà ses pieds. Puis voyant que je ne bougeais pas, elle sest avancée et, prenant ma main droite, elle la posée sur son sein gauche :
Sens comme ils sont doux et chauds !
Je nen pouvais plus. Mon sexe était dressé, douloureusement bandé dans mon slip et je devinais une belle bosse sur le devant de mon pantalon. Je pensais en moi-même que cette nuit jallais me masturber dans mon lit en repensant au spectacle que moffrait Caroline. Elle a lâché ma main et descendant à ma taille elle a caressé mon membre par-dessus le tissu en disant :
Dis donc, elle est de belle taille !
Puis elle a dégrafé ma ceinture et fait descendre dun même mouvement pantalon et slip. Ma bite sest détendue comme un ressort, dressée entre nous deux (mais je dois lavouer, jai toujours quelque peu complexé à ce sujet
En effet, mon membre nest pas très long mais assez trapu).
Caroline ma guidé jusquà son lit sur lequel nous nous sommes affalés plus quallongés. Quelques caresses plus tard pour bien mexciter, elle ma enfilé une capote et ma guidé en elle ! Je nétais plus puceau ! Elle a guidé mes mouvements dans sa chatte, me faisant ralentir lorsque je mexcitais trop, si bien que nous avons joui presque en même temps
Quelques années plus tard, je me suis marié avec une jeune fille que javais remarquée depuis longtemps mais lun et lautre, nous nosions pas prendre contact.
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