Retrouvailles

Elle m'a fait mettre légèrement de coté, à moitié allongée. Je me tiens sur mon bras doit appuyée au lit, la fesse droite et à cuisse sur le lit, sa jambe gauche passe entre les miennes. Son mollet contre la partie haute de ma cuisse. Ma jambe gauche est posée sur le haut de sa cuisse droite. Ses jambes ouvertes lui permettent de toucher mon clitoris avec le sien. Elle bouge sans arrêt: je sens comme une décharge électrique quand elle me masturbe ainsi.
C'est bien la première fois, et j'espère pas la dernière qu'une autre fille se donne à moi avec tant de vice. Je savais que parfois les vrais disciples de Sapho se font jouir ainsi.
Revenons au départ. J'ai 30 ans, mariée, plutôt bien, j'aime baiser mon mari qui aime autant que moi l'amour. Je suis ce qu'on appelle une bourgeoise parce que mon mari gagne très bien notre vie et que je n'ai pas besoin de travailler, que j'ai une aide-ménagère. Il m'arrive parfois de m'ennuyer, rarement, un peu. Dans ces cas là où je sors voir des amies soit, c'est la cas le plus fréquent, je me mets nue dans mon lit, sort un godemiché, me masturbe longtemps pour bien jouir, en attendant mon époux à qui je raconte les fantasmes que j'ai imaginé pendant que je me branlais.
Aujourd'hui je vais chez une amie perdue de vue depuis longtemps. Elle est divorcée avec une belle pension alimentaire. Nous bavardons en nous rappelant nos communs souvenirs. Entre autre celui où un jour, nous étions très jeunes, nous nous sommes amusées comme des folles que nous étions à 17 ans à faire semblant de nous aimer. Ce jeu dégénérait en véritable baise. Nous nous embrassions longuement nous nous pelotions, nous nous sommes branlées. Nous en avions gardé un excellent souvenir. Notre passade devait durer ce que durent les passades: pas longtemps. Nous préférions et de loin les garçons de notre âge, même si nous ne baisions pas encore trop.
Le temps passe vite: nous nous sommes mariées et perdues de vue, jusqu'à ces derniers jours.

Ce devait être le déclanchement d'un autre jeu plus subtil. Elle ne me demandait rien, elle évoquait simplement les plaisirs qu'elle avait eu avec moi, qu'elle regrettait souvent, étant plutôt mal mariée, et donc mal baisée. Je la regarde sur son fauteuil s'agiter dans tous les sens, en me doutant un peu de ce qu'elle désire. J'avoue que je suis tentée de sa prochaine proposition. Je sais que j'en parlerais mon mari qui serait satisfait de savoir que j'ai fait l'amour avec une fille, la même qu'avant. Pour le moment je reste sur mes gardes.
Enfin elle se décide.
- J'ai envie de baiser.
- Ah, c'est bien ça.
- Oui, j'ai envie……….;
Elle ne se décide pas à franchir le pas.
- Oui, j'ai envie de baiser avec toi.
- Avec moi, et pourquoi ?
- En souvenir du bon vieux temps, tu te souviens quand nous jouions ensemble à faire semblant, alors que c'était vrai.
- Oui je m'en souviens très bien même. Tu pourrai te trouver un amant facilement: tu es attirante.
- Non, je ne veux plus d'homme dans ma vie, celui que j'avais ne m'a jamais faite jouir En tout cas les derniers orgasmes que j'ai eu c'était avec toi. Je te veux.
- Et si je ne veux pas ?
- Tant pis, tu auras fait une malheureuse.
- Tant que ça.
- Oui, je ne connais que toi et je n'ai pas envie de clamer partout que je veux une femme.
Elle me fait pitié et en même temps me donne envie d'elle. Je sens ma culotte toute mouillée. Je ne sais si elle en a antant envie que moi maintenant, en tout cas je la désire. Je ne trouve qu'une chose:
- Viens m'embrasser comme avant.
Elle ne se le fait pas dire deux fois. Elle se lève, s'assoie à mes coté, se penche et pose sa bouche sur la mienne. Sa langue me rappelle notre jeunesse. Sa bouche à la même goût qu'avant. Je me laisse faire sans rechigner, elle caresse un sein, pose une main sur ma cuisse, la monte sous la jupe pour arriver juste là où je suis trempée. Elle me caresse par-dessus la culotte.
Le plus fort est qu'elle me fait jouir. Sa main depuis des années m'a donné du plaisir. Je ne peux la laisser sur sa faim: je la caresse comme elle m'a fait: je caresse l'intérieur d'une cuisse en montant vers son entre jambe. J'ai la surprise d'arriver directement sur son sexe: elle est nue dessous. Ou elle est habituellement ainsi, et c'est nouveau, ou elle est comme ça parce qu'elle comptait bien me séduire. Je vais à la redécouverte de sa fente, depuis le petit trou, jusqu'à clitoris. Je pouvais le branler. Je préfère la doigter. Je lui mets eux doigts dans son sexe, je les fait aller et venir. Elle me laisse faire: "c'est bon" sont les seules paroles que j'entends. Elle ne se rend pas compte de l'effet que ça ma fait de la masturber ainsi. Quand elle jouir, elle me demande encore. Cette fois je lui caresse le clitoris.
Elle jouit, m'embrasse longuement, me prend pas la main, me conduit à la chambre où elle me déshabille avec une habileté diabolique. Pour elle c'est bien plus simple: elle enlève sa jupe et son chemisier. Nous restons nues, l'une contre l'autre, comme avant, seins contre seins. Pubis contre pubis. Nous nous tenons pas les épaules, nos mains descendent vers les fesses. Nos souvenirs remontent sans cesse. Je me rappelle qu'elle aimait quand je lui mettais ma main entre ses fesses pour lui caresser le petit trou, où je ne rentrais qu'un seul doigt. Elle se souvient que je préférais avoir sa main directement dans ma fente.
Nous nous couchons, nous nous branlons un bon bout de temps avant de nous mettre en 69. Là encore nous refaisons les même léchages. J'aimais lui prendre le clitoris en lui mettant deux doigts dans le vagin. Elle me suce le clitoris également sans rien me mettre. Je n'aime pas avoir un autre endroit occupé pendant qu'on me suce. Même mon mari n'a jamais réussi.
C'est après plusieurs 69 qu'elle me dit connaître une autre façon pour les femmes se faire jouir, directement par les clitoris.
Voilà le pourquoi de notre positions que je trouve particulièrement intéressante entre femmes.
Les hommes nous donnent bien leur sexe pour nous faire jouir, alors pourquoi pas entre filles.
Je sais que ce soir quand je raconterai tout ce que nous avons fait, mon époux me baisera encore plus que d'habitude.


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