Lecon De Natation Vecue

Bonjour, je me lance, et vous fais parvenir le récit d’une aventure coquine qui c’était déroulée en juillet d’une année précédente. Est-ce la perspective de revivre un bon moment, similaire à celui que je vais vous raconter ? En tout cas, cette aventure nourrit encore mes fantasmes lors de mes ébats.

Bon, je me présente, je m’appelle Michèle, installée en Provence dans le haut Var près de Manosque depuis quelques années avec mon compagnon qui, à l’occasion d’une mutation professionnelle, a rejoint cette belle région. J’ai suspendu mes activités pour le suivre et aussi en pensant me réorienter professionnellement. En attendant un nouvel emploi pérenne, je fais quelques petits boulots et, comme l’enseignement de la natation est une de mes cordes, alors je profite du temps clément de cette région pour apprendre à nager aux s et adultes.

Ce qui suit s’était passé fin juillet aux abords de la piscine d’un ami où je donnai quelques cours.
Le bassin est suffisamment long pour que l’on puisse nager correctement, et les abords aménagés avec une construction qui abrite des toilettes-douche à une extrémité, une terrasse couverte (tip top quand le soleil est au zénith) au centre puis un local qui fait office de cuisine d’été, de bar, de vestiaire et, pour l’occasion, de lieu de plaisir…

J’assume mes 45 ans, blonde comme beaucoup de mes compatriotes du plat pays, 1, 69 m, avec un corps encore musclé qui trahit mon passé de nageuse, et mes activités physiques actuelles. Mon compagnon semble se focaliser sur mes fesses qu’il trouve belles et rondes, rondeurs qui feraient défaut à ma poitrine plutôt menue (95B) mais qui présente le bel avantage d’être encore ferme et orgueilleuse, et surtout avec des tètons très très érectiles.

Ce matin-là, j’avais le petit Paul comme élève. Comme pour les autres leçons, son père l’avait amené au cours (45 min) et l’attendait sur le bord du bassin. Il profitait du soleil déjà chaud vers les 10 h, de la compagnie de son fils immergé et aussi me draguait discrètement depuis plusieurs leçons.

Cela me plaisait, étant d’une nature épicurienne.
C’était un homme grand qui portait bien la cinquantaine, le regard envoûtant. Il ne me laissait pas indifférente. En dehors des leçons, je l’avais croisé quelques fois au village, et j’avais remarqué ses regards appuyés.

Son fils Paul n’était pas spécialement doué pour la natation malgré son application et ses progrès, réels par rapport à la première leçon, étaient néanmoins timides. Je suivais ses longueurs divulguant conseils et consignes le long de la piscine. J’avais bien remarqué que son père ne perdait pas de vue ma silhouette sculptée par mon maillot, et surtout lorsque, de dos, j’offrais à sa vue mes fesses rondes moulées dans le lycra.
Le père de Paul était déçu de la faible progression de son fils. Pensait-il faire de lui un champion ? Moi, je savais que cela ne serait jamais le cas. Et de fait, je souhaitais le lui dire clairement à la fin de la séance, afin qu’il fasse retomber la pression qu’il mettait sur les épaules de Paul à chaque début de leçon. À la fin du cours, je lui demandai donc d’aller en discuter dans le local qui servait de vestiaires, loin des oreilles de Paul qui, ce jour là s’amusait dans l’eau, avec l’élève suivant (arrivé en avance) .

Je devançai Victor (le papa) pour aller jusqu’au vestiaire, et j’imagine qu’à ce moment-là il devait reluquer mon postérieur car, en marchant, les maillots de bains ont tendance à remonter, à venir s’insérer entre les fesses, et à dessiner la raie (les nageuses savent de quoi je parle…). Résultat : mes fesses presque à nues, partagées par le lycra bleu qui tranche avec ma peau blanche de blonde…

Arrivés dans le vestiaire où Paul s’était changé, je m’apprêtais à informer le père, lorsque je surpris son regard fixé sur le bas de mon Speedo. Je compris la situation et, un moment figée entre le désir et le respect, je plongeai mes yeux dans les siens et le défiai du regard. Puis je glissai un doigt sous mon maillot de chaque côté de mes hanches pour faire redescendre le lycra …

À ce moment, Victor, me saisit les deux poignets et les ramène derrière mon dos, fermement mais sans violence, il me les maintient d’une main.
Je me cambre, le fixe du regard, les pointes de mes seins tendant, insolentes, le lycra…
J’ai su à ce moment là que j’allai perdre pied, comme cela m’était arrivé quelques années avant à l’occasion de soirées trop arrosées…
De sa main libre, Victor a effleuré, puis pressé mon mont de vénus et fait glisser l’entrejambe de mon maillot d’un côté, offrant certainement à sa vue ma toison blonde récemment épilée. Sa main droite posée sur ma vulve, il a glissé son majeur entre mes lèvres, puis parcouru plusieurs fois ma fente en appuyant sur mon clitoris. La pression se faisait plus forte et son doigt s’enfonçait dans mon sexe déjà humide, trahissant une envie certaine. Je me suis surprise à avancer mon bassin afin d’accen la pénétration, et à entrouvrir le compas de mes cuisses..

Après quelques va-et-vient, son doigt abandonne mon antre et Victor me fait me retourner. Me voilà face au mur de parpaings crépis, ses mains guidant mes poignets, il applique mes mains sur le mur. Naturellement, très excitée par la situation je tends les fesses en arrière. Mon corps avait envie de contact, j’avais envie d’être possédée.
Ses mains emprisonnent mes hanches, caressent, flattent les rondeurs de mes fesses, puis remontent sur mon dos avant que ses doigts ne viennent titiller mes tétons tendus à travers le lycra. Il frotte son bas-ventre contre mes fesses et, à travers les étoffes qui nous séparent, je sens son sexe tendu. Ses mains glissent sous les échancrures de mon maillot, fais glisser les bretelles en dehors de mes bras, m’obligeant à lâcher provisoirement mes appuis muraux et il s’accapare mes petits seins. Mes pointes roulent entre ses doigts (ça j’adore !) et une douce chaleur envahit mon ventre. Sa main droite laisse mon téton pour caresser mon cul tendu. De ses doigts agiles, Victor a fait glisser le lycra au milieu de mes fesses, laissant apparaître mes deux globes blancs tendus.
De ses deux mains, Victor malaxe mes deux lunes, me caresse l’intérieur des cuisses, s’aventure, entre, laisse traîner ses doigts entre mes lèvres humides.
Son pouce dans ma raie, appuie sur mon petit œillet. Mon sexe est humide et ses doigts inquisiteurs. Sous leur pression, mon cul se tend, j’ai envie d’être prise !
J’ai abandonné momentanément mes appuis muraux pour continuer de descendre le haut de mon maillot sur les hanches puis, me retournant, j’offrait à la vue de Victor ma poitrine encore ferme avec les pointes dressées et ma toison soyeuse. Il me mate de haut en bas et nous nous sommes embrassé goulûment, pendant que mes doigts s’affairent à libérer son sexe de son pantalon de toile et de son slip. Au contact de sa queue, ma respiration s’accélérait et mon excitation grandissait. Sa verge d’un beau gabarit, bien droite déjà au garde-à-vous devant et dans mes mains chercheuses…
Je m’agenouillai et commençai une fellation. Après quelques coups de langue, son membre glisse presque entier dans ma bouche pendant que, d’une main, il me maintient le haut du crâne, accompagnant mes mouvements et que de l’autre, il caressait mes seins ballottant.
Je me redressai et je l’embrassai, lui faisant partager le parfum de sa verge, puis je me retournai et, de nouveau face au mur, j’empoignai les patères où sont pendus quelques effets de Paul.
J’offrais mon cul tendu en arrière, à un presque inconnu avec une forte envie d’être pénétrée, mon corps le réclamait.
Victor m’agrippe les hanches et vient présenter son sexe tendu entre mes lèvres, dilatées et offertes. Il glisse en moi sans effort jusqu’à la garde. Mes mains serrent très fort les patères pendant que je subissais ses coups de bélier. Mes fesses accompagnent le mouvement, claquant contre sa peau, sa verge me remplit bien et frotte de partout, accentuant mon plaisir. Je sens sa jouissance monter en moi. il accélère son va-et-vient et puis une décharge de foutre me remplit alors qu’il m’embrasse le dos.
Il se retirait assez vite, craignant je pense que notre absence semble suspecte aux s. Je n’ai pas joui sur le moment, malgré tout le plaisir pris.

Le dernier cours privé de cette matinée m’avait parut long, j’avais la tête ailleurs, et le reste du corps aussi je crois. En rentrant à la maison, après avoir posé mon sac de sport, la première chose que je fis est de m’allonger sur le canapé, et de me faire jouir. Quelques caresses autour de mon clito ont suffi pour déclencher la déferlante qui attendait cette libération…
J’ai recroisé Victor à quelques reprises, échangeant des sourires complices, mais sans plus, avec quand même les effets du souvenir chaud de ce moment partagé…

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