La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°587)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°578 -

« En selle, Ma toute belle ! », c’est en ces termes que Monsieur le Marquis d’Evans vient de s’adresser à Sa soumise Holly MDE dont il tient fermement la laisse enroulée autour de Sa main, tout en ayant attrapé entre Ses doigts l’anneau qui pend au collier de Sa fidèle chienne la forçant à relever le menton et à pencher la tête en arrière pour qu’elle ressente bien physiquement et aussi cérébralement la très forte Dominance du Maître. Holly MDE sait à cet instant combien elle est Sa soumise, Sa chienne femelle, Sa propriété absolue, et combien elle en ressent une plénitude qui la comble d’avoir trouvé une petite place aux pieds du Maître Vénéré, au milieu de ses frères et sœurs de soumission. Ayant depuis fort longtemps abandonné toute autre volonté que celle de servir et de satisfaire en tous points le Dominant entre les mains de qui elle s’est remise dans la confiance la plus totale, elle est prête à se laisser conduire les yeux fermés vers le vélo spécial D/s, fabriqué par l’un des esclaves MDE du cheptel demeurant au Château à temps plein, et y tenant le rôle d’artisan-bricoleur en sus de celui de chien-mâle enfermé dans le chenil.

Le Châtelain a le regard déjà tout émoustillé à l’idée qu’IL va faire tester sa toute nouvelle et belle sexe-machine à deux roues, dont IL a initié lui-même les ingénieux systèmes plus pervers et jouissifs les uns que les autres, avant de les faire réaliser sur mesure par l’artisan MDE attitré dans le domaine. Le Marquis d’Evans prend le temps de faire quelques réglages pour modifier le mode opératoire du « bicycle » phallique, mais pour que la surprise soit la plus totale pour Holly MDE dont Le Maître désire qu’elle se concentre uniquement pour une fois sur ses propres sensations charnelles et le plaisir accordé, et non sur l’environnement extérieur, le Noble lui a au préalable passé un bandeau noir sur les yeux.

Docile et se laissant conduire en toute sérénité, l’esclave se laisse installer au dessus de la petite rondelle trouée qui tient lieu de mini selle phallique, lorsque le gode anal la traverse pour venir s’embrocher profondément dans l’anus dilaté de la soumise duquel le Maître Vénéré vient de retirer le plug anal marqué à ses Nobles armoiries. La pénétration, qui n’est pas encore à son maximum, est des plus aisées dans ce petit trou déjà bien préparé et largement sollicité depuis le début de la soirée.

- Ma chienne, je suppose que lorsque tu étais petite, tes parents t’ont appris comment faire du vélo. Alors cela n’aurait pu être qu’un simple jeu d’ pour toi que de pédaler sans t’arrêter et sans tomber. J’ai décidé d’en faire pour tous ceux qui ont et auront la chance de pouvoir grimper sur cet engin à deux roues, transformé du tout au tout, une activité beaucoup plus érotiquement excitante, sans oublier les petits plaisirs D/s dont N/nous sommes tous friands, tant les Maîtres(ses) que les soumis(es).

La chienne MDE, malgré toute la confiance qu’elle a dans Le Maître mais ne sachant pas ce qui va lui arriver, est un peu inquiète de ses propres aptitudes dans les conditions actuelles qui sont bien éloignées du cyclisme sportif ou même du simple cyclotourisme. Certes, elle a déjà fait souvent du vélo jeune dans les campagnes environnantes de son village natal, ou encore l’été lorsqu’elle partait faire du camping-car loin des foules estivales qui s’entassent sur les bords de mer, mais de là à savoir si elle va pouvoir garder l’équilibre sans selle et sans guidon, et qui plus est les yeux bandés, il y a tout un monde. Elle se sent gênée de douter d’elle, alors qu’elle sait au fond d’elle qu’elle devrait savoir que si Le Dominant lui a donné cet ordre, c’est que lui-même avait confiance dans ses capacités à pouvoir l’accomplir sans faillir, pour peu tout du moins qu’elle en ait la volonté servile à obéir au Maître Vénéré sans discuter et sans (se) poser de questions.
Holly MDE a l’impression qu’elle va avoir à se transformer par enchantement en une artiste équilibriste qui va devoir monter sur un genre de ces monocycles de cirque auquel elle ne sera reliée que par le gode qui viendra s’enfoncer dans sa petite rondelle anale anatomiquement si étroite, ce qui ne lui facilitera pas la tâche si, en outre, le pal plastique se met à faire des va-et-vient réguliers au rythme de son pédalage. Et c’est donc les yeux fermés sans savoir ce qui se passe autour qu’elle hésite encore quelques secondes avant de se lancer à lever un pied pour chercher la pédale qui devrait se trouver légèrement plus haut. Une voix ferme et profonde qui se veut sans appel se fait entendre.

- Allez, Allez ! On se dépêche …. JE ne vais pas y passer la nuit. En selle ! … Je te l’ai déjà dit, Je n’aime pas me répéter, tu le sais bien, Ma chienne. Aurais-tu dans l’intention de courroucer LE Maître en personne en cette journée anniversaire ?

Holly MDE sursaute en entendant Monsieur le Marquis d’Evans qui s’impatiente, et, craignant une nouvelle réprimande qui serait assurément suivie d’une punition, elle lève un pied à la recherche d’une quelconque pédale, s’empalant par le simple fait de son propre poids encore plus profondément sur le gode phallique qui lui pourfend les entrailles. Portant tout son poids sur l’autre pied resté à terre, son pied droit décrit difficilement des petits arcs de cercle, mais elle ne trouve rien à sa portée. En désespoir de cause, elle repose le pied droit et tente de faire la même chose avec sa jambe gauche, ce qui achève de la faire s’enfoncer totalement sur le gode anal. Ses fesses, avec la raie au milieu de plus en plus écartée, reposent maintenant sur la minuscule rondelle trouée de métal qui tient lieu de selle et sert de butée à la pénétration. Sa deuxième tentative à senestre est tout aussi infructueuse, et c’est presque de manière instinctive qu’elle essaye de se redresser en reposant les deux pieds par terre pour se remettre droite et en équilibre, ce qui de fait lui permet de se relever un peu plus.


- Eh bien, Ma Chienne !!! ….. (d’une voix très ferme)…. Il semblerait que Mon jouet ne te plaise pas suffisamment puisque tu en es au point d’avoir l’air de vouloir déjà le quitter alors que le jeu n’a pas encore commencé et que je n’ai même pas enclenché le bouton « On » de l’appareillage électrique. Tu étais pourtant bien installée et il me plaisait de te voir ainsi profondément enculée. D’ailleurs, Je crois me souvenir, … en fait je ne crois pas, … je suis certain que je t’ai posé une question avant de t’emmener faire un petit tour de vélo D/s qui était mot pour mot : « Mais avant, je veux savoir si tu te sens encore en forme, car je pense que tu as été déjà bien sollicitée depuis le début de la soirée ». Dois-je en conclure que tu m’as délibérément menti lorsque tu m’as répondu : « Oui, Maître Vénéré. Je me sens même très bien et je Vous remercie très sincèrement avec toute la gratitude qui est la mienne. Je suis à Vos ordres, et là pour satisfaire la moindre de Vos exigences » ?

Avant de reprendre, le Marquis d’Evans marque un temps de pause, un moment des plus oppressants pour Holly MDE, qui tétanisée n’ose plus bouger d’un millimètre, se contentant tout au plus de respirer en silence sans lever la tête.

- Tu préfèrerais sans doute que je t’autorise à aller directement te coucher sur ta paillasse dans ton cachot. Moi, qui avait dans l’intention de t’offrir, pour te remercier de ta belle soumission qui me ravie au quotidien, d’agréables moments jouissifs où j’aurais entendu tes cris de chienne en chaleur, ce qui m’aurait servi de dernière « comptine du soir » avant de songer à aller me coucher, car le petit matin s’est déjà levé, et il va bien falloir songer à baisser le rideau sur cette nuitée orgiaque à un moment donné car même les meilleures choses ont une fin, mais ce ne sera que partie remise jusqu’à la prochaine grande soirée D/s organisée au Château.

La soumise se sent honteuse et ses joues s’empourprent aussitôt.
Le rythme de son cœur s’accélère. Elle ne sait si elle peut ou si elle doit répondre. En plein embarras, elle se met à bafouiller.

- M…. Maî…. Maître Vénéré, pardonnez-moi, Je vous en supplie, humblement et sincèrement. Je ne vous ai pas menti, je n’oserai jamais Vous mentir. Je Vous l’assure. De grâce, croyez-moi.

Prenant son courage à deux mains, et après une grande respiration Holly MDE ajoute timidement, car elle sait combien Le Maître n’aime pas du tout lorsqu’un esclave MDE du cheptel essaye de tergiverser derrières de fausses excuses au lieu de reconnaître platement sa faute et ses faiblesses, tout en cherchant à ne plus jamais faillir au moins pour la même erreur.

- Maître Vénéré, c’est que …. C’est qu’à cause du bandeau sur les yeux, je perds l’équilibre et j’ai peur de tomber. Les aveugles ne doivent pas pouvoir apprendre à monter à vélo après tout. Ce n’est pas de la mauvaise volonté, ni de la désobéissance. C’est de l’incapacité technique, Maître Vénéré.
- Je ne partage pas ton analyse !

Un silence glacial de quelques secondes s’installe après cette réponse couperet dite avec une réelle maitrise affirmée dans le langage et l’intonation.

- Alors disons, ma chienne, que c’est plutôt un manque total de confiance en Moi, ce qui n’est pas pour me satisfaire pleinement. Crois-tu que j’ai eu à un seul instant l’intention de te laisser tomber par terre en prenant le risque que tu te fasses mal ? Comme tous tes frères et sœurs de soumission, tu m’appartiens, et tout ce qui m’appartient est précieux à mes yeux de Dominant D/s. Dis-toi bien que J’aurais été là si tu avais pu risquer de glisser avant que j’ai fini de te sangler correctement sur l’appareillage que je viens de peaufiner pour t’y installer dessus.

Le Marquis d’Evans profite de cette mise au point pour attacher Sa soumise par la taille, les hanches et la poitrine, la fixant à une grande barre large qu’il vient de relever juste derrière la colonne vertébrale de la chienne désormais bien « ficelée », si bien qu’elle ne peut plus risquer de basculer ni d’avant en arrière ou vice-versa, ni même sur le côté. Le Dominant règle la hauteur de la micro-selle pour que l’objet phallique coulissant s’emboite parfaitement dans le petit conduit rectal tout en laissant la soumise en extension en appui sur les deux pointes des pieds.

- D’ailleurs, ma chienne, Je t’avais demandé de te mettre en selle, pas de mettre tes pieds sur un quelconque pédalier que j’avais volontairement relevé puisque tu n’en as auras absolument pas besoin pour cette course de vélo D/s et non de pédalo. Et je t’ai encore moins demandé de faire des moulinets avec tes jambes en te dandinant d’un pied sur l’autre, car je ne comprenais même pas pourquoi tu bougeais alors qu’il suffisait de rester à l’endroit où je t’avais placée et comme je t’avais placée, le temps que la machine se mette en route. Le souci de beaucoup d’esclaves mâles ou femelles dont le dressage n’est ni terminé, ni parfait, c’est qu’ils ou elles n’écoutent pas vraiment mot à mot ce que J’exige à un instant T et qu’ils ou elles décident de faire, non comme JE l’ordonne, mais comme eux imaginent que ce sera le mieux qu’ils ou elles ont à faire, croyant à tort pouvoir ME satisfaire en agissant ainsi à leur manière et non à LA mienne avant tout.
- Maître Vénéré, je suis sincèrement désolée. Vous avez parfaitement raison. Je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses et m’accorder Votre Noble pardon.
- Bon, je vais laisser passer pour l’instant, tenant compte de ta fatigue vu l’heure plus que tardive. Et puis l’instant à venir que j’avais en tête est au plaisir orgasmique et non à la punition. Alors, Ma chienne, décontracte-toi maintenant et laisse toi posséder par ce gode en t’imaginant juste que c’est le Divin Joyau du Maître qui s’engouffre en toi pour te pénétrer et te posséder encore plus. Laisse-le agir ! Lâche-prise en ne résistant pas à ses assauts phalliques ! Offre-toi pleinement en me laissant admirer sur les traits de ton visage, même si je ne vois pas ton regard dans le fond de tes pupilles, ton désir charnel qui monte et qui appelle en toi cette sodomie inquisitrice…

(A suivre…)

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