A La Découverte Du Plaisir 2

La masturbation est pour moi comme une passion. Alors qu'à l'adolescence toutes les jeunes filles sont passionnées par les stars, moi j'étais passionnée par ce petit « bout de chair » qui me faisait frisonner. Je dévouais à ma princesse un véritable culte. Je passais des heures à me caresser. Je voulais tout connaître, tout savoir, j'étais avide de ce plaisir immense.

A chaque jour son défi, je me masturbais debout, couchée, accroupie, dans toutes les positions possibles et imaginables. Je repoussais l'orgasme pour qu'il soit plus intense. Je me lançais des défis comme jouir en moins de deux minutes. J'adorais jouer aussi, à avoir le plus grand nombre d'orgasmes par jour et malgré ce que l'on pourrait croire, ce n'était pas facile. Un orgasme demande beaucoup d'énergie et dans mes débuts, j'étais si fatiguée que je m'endormais rapidement. Seule, je peux en avoir jusqu'à cinq par jour, pas plus, car ça me fatigue physiquement mais aussi cela perd de son charme. En revanche, avec un partenaire, je n'ai pas de limite.

Rapidement, je savais utiliser ma princesse non plus comme la gamine que j'étais, mais comme une femme. Je savais contracter mon vagin, me mettre un doigt, puis deux, trois enfin jusqu'à quatre. Au-delà je n'y arrivais pas et il me fallait être très lubrifié pour arriver à me mettre les quatre. Heureusement, la lubrification n'est pas une denrée rare chez moi. Je savais ce que c'était de jouir avec mes doigts à l'intérieur. Sentir ma paroi vaginale durcir sous la pression des mouvements de mes doigts, se contracter, se serrer toujours plus pour enfin jouir en me donnant tout son jus. En parlant de jus, j'aimais tout particulièrement les fruits et légumes à cette époque ! Les carottes, concombres, bananes y sont passées, il faut dire que ma princesse avait un sacré appétit.

J'aimais passer mes après-midi quand je n'avais pas cours devant mon ordinateur à regarder des films pornos, j'apprenais doucement mais surtout sûrement.

J'étais curieuse de toutes nouvelles expériences. La sodomie était sans doute l'une des plus choquantes ! Olala quelle horreur c'était de voir ces verges disparaître dans ce trou qui s’apparentait pour moi à « un usage unique de sortie ». Je ne comprenais pas vraiment. Je n'appréciais pas particulièrement ce genre de films, je préférais les films Hard, mais sans sodomie. Dans ma soif de connaissances, j'ai tout de même décidé de me filer un petit doigt dans les fesses. Je n'ai pas eu mal, mais je n'y voyais aucun intérêt et l'exploration s'en arrêté là.

Toutefois, comme vous pouvez le deviner les assaut de la puberté ne me lâchait pas. J'étais précoce, bien formée pour mon jeune âge. Et comme la nature fait bien les choses, je ressentais de plus en plus des attirances sexuelles, j'avais besoin de sexe, c'était presque une obsession. J'y pensais tout le temps, me masturbais partout où je le pouvais dans les toilettes, à l'école, chez des amies...
Au point même où j'étais extrêmement attirée par un cousin du même âge. Je me souviens qu'en été on partait dormir chez une tante et on était plusieurs cousins à dormir dans la même chambre. Bien sûr, je m'arrangeais toujours pour ne pas dormir loin de lui, je le frôlais et même me masturbais à côté de lui alors que tout le monde dormait déjà. J’espérais toujours que la nuit il se réveille et qu'il me touche, qu'il y ait une attirance réciproque. Ce ne fut jamais le cas. J'étais bien plus précoce que lui. Et franchement ce n'est pas plus mal que rien ne soit jamais produit, car vive l'ambiance lors des réunions de famille.

Malgré tout, j'étais une jolie jeune fille. Les propositions ne manquaient pas. On me voyait de moins en moins comme une . Les regards se faisaient de plus en plus désireux.  Néanmoins, j'étais une vraie petite romantique, il était hors de question qu'il y ait sexe sans amour de ma part, je voulais que les choses se fassent bien. Les mecs de mon âge étaient bien trop gamins.
Je suis donc sorti avec un mec plus âgé de quelques années et j'étais complètement amoureuse !
On se voyait dès qu'on le pouvait, là où on pouvait à l'abri des regards. On s'embrassait les lèvres, le coup, la nuque. Il passait les mains sous mon tee-shirt sur mes seins bien ronds, s'amusait à me pincer les bouts, me les léchait délicatement, les suçait. J'étais novice par rapport à lui, mais je savais exactement quoi faire. Je grimpais sur lui, l’enlaçais et me frottais à lui. J'ondulais des hanches et je sentais sa verge bien dure à travers le pantalon. Rien qu'avec le mouvement de mes hanches, j'arrivais à le branler.

Un jour alors que nous étions dans un immeuble à faire nos petites caresses habituelles, sous la pression des frottements de mes hanches, il m'a soulevé comme le poids plume que j'étais,a déboutonné mon jean. J'étais déjà toute trempée, il l'a sentie immédiatement, il a écarté mon slip et m'a mis un doigt. Mon premier doigt d'une personne autre que moi. Il ne s'est pas arrêté en si bon chemin, il m'en a mis un deuxième ! Je me souviens encore parfaitement de cette expression perverse qu'il avait dans le regard. Je gémissais, alors il m'a mis la main sur la bouche pour que les gens ne nous entendent pas. Il continuait d'aller et venir avec ses doigts à l'intérieur de ma princesse trempée et étroite. C'était bon si bon, je le suppliais du regard d’accélérer la cadence, d’aller plus fonds encore et encore, tellement qu'il est parvenu à me soulever du sol qu'avec ses deux doigts !

Jeunes et insouciants on ne s’est pas arrêté là. J'ai eu cette soudaine idée de monter dans l’ascenseur de l'immeuble où nous étions. Je voulais qu'il continue à me caresser là-dedans. C'était si bon, si dangereux que j'en avais des palpitations. J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. J'étais debout dans l’ascenseur m'accrochant de toutes mes forces aux remparts pendant que mon mec me fourrait bien profondément ses doigts dans ma chatte. Je gémissais tranquillement à l'intérieur de la cabine.
Je ne pensais qu'à mon plaisir. L'idée qu'on pouvait nous trouver m'excitait encore plus. Tellement que je n'ai pas tardé à ressentir les secousses de l'orgasme à travers mon corps pendant qu'il m'embrassait langoureusement pour mes cris. J'étais si épuisée que je tenais à peine sur mes jambes.

Plus que jamais je sentais s'approcher ce moment fatidique où je me ferais déflorer. Je le redoutais, il s'agissait d'une étape importante, un pas dans le monde adulte et une porte fermée définitivement à l'enfance. Mais est-ce que j'étais prête à faire ce grand saut dans ce monde qui ne m'était pas si inconnue que ça ?

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