Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Partie 4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Même si je lavais voulu, je naurais pas pu menfuir. Il savança vers moi et je reculais jusquà tomber sur le lit derrière moi. Je fus envahi par un mélange de peur et de désir. De peur car je ne lavais jamais vu aussi en colère et de désir car je ne lavais jamais trouvé aussi séduisant que maintenant.
-Parle Morgane, me dit-il les dents serrées.
Que savait-il exactement ? Peut-être navait-il que des soupçons.
-Quest ce qui te fait croire quil sest passé quelque chose entre Lucas et moi ?
-NE ME PRENDS PAS POUR UN CON ! hurla-t-il.
Je virais au rouge.
-Je vous ai entendu la dernière fois ! Alors maintenant dis-le moi en face. Quest-ce que quil sest passé entre vous deux ?
À quoi bon mentir ? Avec lui cétait impossible et puis il aurait bien fini par le savoir de toute façon.
-Jai
jai couché avec lui.
Les muscles de sa mâchoire se contractèrent.
-Quand ça sest passé ?
-
juste avant que tu ne reviennes dItalie.
Et voilà il savait tout. Je nosais plus bouger. Quallait-il faire ? Lentement et sans rien dire, il déboutonna sa chemise tout en me fixant. Finalement je rompis le silence.
-Philippe, dis-je en mapprochant de lui, je suis désolée. Je sais que je naurai pas du
-
mais tu ne peux pas tempêcher douvrir les cuisses et doffrir ta chatte au premier venu.
Il avait à peine fini sa phrase lorsquil reçut mon poing dans la figure. Je navais pas pu me retenir et il lavait franchement mérité. Tout en se massant le nez, il sapprocha de moi.
-Tu nes quune petite salope qui aime trop la bite alors je vais te donner ce que tu veux !
Il mattrapa violemment par le bras et je tombais par terre.
-Tu vas me sucer tout de suite, dit-il sèchement.
-Non, mais
Dune main, il déboutonna son pantalon et libera sa queue déjà dure.
-Suce-moi, mordonna-t-il sauvagement.
-Non, arrête !
Il ne mécoutait pas. Tout en magrippant les cheveux, il frotta son sexe contre mes lèvres et me força à le prendre dans ma bouche. Il prenait tellement de place que sen était douloureux et il avait lair daimer ça à en juger par ses grognements.
-Oui cest ça, suce ma queue !
Il me baisa littéralement la bouche. Il senfonçait si loin dans ma gorge que je faillis vomir plusieurs fois. Je ne pouvais que subir ses assauts. Après plusieurs minutes, il accéléra le rythme. Philippe allait jouir et il allait le faire dans ma bouche. Jessayais de me débattre mais il me tenait fermement. Quelques secondes plus tard, il éjacula dans ma gorge et me força à avaler sa semence avant de libérer ma mâchoire douloureuse.
Mon visage était couvert de salive et de larme et malgré ma gêne et ma peur, tout ceci mexcitait. Jétais certaine dêtre complètement folle. Comment cela était-il possible avec ce quil venait de me faire. Je me relevais en messuyant le visage et je me dirigeais vers la porte de la chambre puis je me rappelais quil nous avait enfermé. Je mappuyais donc sur le mur pour reprendre mon souffle.
-Je ferais mieux de partir Philippe, réussis-je à articuler. Tu es trop en colère.
-On na pas encore fini, me dit-il froidement. Jai envie de te sauter.
Il se dirigea vers moi puis, à nouveau, il mattrapa par le bras, me balança sur le lit comme une poupée de chiffon et me retourna sur le ventre. Je tentais de méchapper du lit mais il était plus fort que moi.
-Petite pute ! Je vais te faire hurler Morgane.
-Arrête, laisse-moi !
Il me tira jusquau bord du lit et mes genoux touchèrent le sol. Mécrasant de tout son poids, il me remonta la jupe jusquà la taille puis déchira mon string avant décarter mes cuisses, révélant ainsi mon intimité.
-Tu aimes ça hein, te faire niquer comme une sale chienne !
Jessayais toujours de me méchapper mais il me maintenait fermement.
-Tes tellement étroite et toute mouillée, me susurra-t-il.
Malgré moi, les vas-et-viens de son doigt me faisait du bien. Jétais complètement folle, jen étais sûre. Jétais toute excitée alors quil me traitait comme une putain ! Lorsque mon sexe fut assez mouillé, il retira ses doigts et jen fus presque déçue. Quelques secondes plus tard, je sentis son gland à lentrée de ma chatte. Je tressailli. Avec Philippe ce nétait jamais doux, mais vu à quel point il était énervé, je savais que jallais morfler.
-Je vais te défoncer petite salope !
Dun coup sec, il me pénétra avec une telle violence que jen eu le souffle coupé. Il se figea un instant, savourant surement le moment, avant de se retirer lentement puis il recommença, encore et encore. Plus il me pénétrait, plus il allait loin et plus je hurlais. Je hurlais de plaisir et de douleur. Puis seulement de plaisir. Cétait sauvage, bestiale et extraordinaire. Jétais même sur le point de jouir, mais il se retira. Je reprenais mes esprits quand je le sentis frotter son gland contre mon anus.
-Quest-ce que tu fais ? demandais-je inquiète.
Au lieu de me répondre, il me cala encore plus contre le lit.
-PHILIPPE, NON, PAS PAR LÀ ! hurlais-je.
-Ça fait des mois que jai envie de tenculer, me lança-t-il sèchement.
Jessayais de me dégager mais il maplatit sur le lit en appuyant sur mon dos. Jétais coincée, incapable de bouger. De sa main libre, il lubrifia mon trou avec ma mouille. Il enfonça ensuite son pouce dans mon cul avant dy faire quelques va-et-vient. Cétait spécial mais pas vraiment douloureux. Lorsque mon anus se relâcha un peu, il retira son pouce et tenta dy enfoncer son pénis mais sans succès.
-Lâche-moi Philippe! dis-je en essayant une nouvelle fois de me libérer.
-Reste tranquille petite trainée, mordonna-t-il.
Sans ménagement, il écarta mes fesses puis cracha au milieu.
-Rah bon dieu ! Tas le cul tellement serré, cest trop bon
Il allait de plus en plus vite, était de plus en plus impitoyable mais les grognements quil poussait me rendait folle. La main avec laquelle il mavait bâillonné étouffait mes cris et mes gémissements, ce qui rendait le moment encore plus excitant. Décidément, javais vraiment perdu la raison. Par esprit de vengeance, je lui mordis la main mais il ne sembla même pas le sentir. Soudain, ses grognements se firent plus graves et plus bestiaux. Il plaça ses mains sur mes hanches et enfonça ses doigts dans ma chair puis il éjacula bruyamment dans mon cul avant de sécrouler sur moi. Lorsque nos respirations reprirent leur rythme normal, il se redressa pour ensuite sallonger sur le lit alors que je restais là, agenouillée contre le bord du lit, son sperme sécoulant de mon trou endolori.
Lorsque jeus repris assez de force pour me lever à mon tour, je constatais que Philippe me fixait et que son regard noir navait pas disparu du tout. Je mavançais vers lui mais il rompit le silence :
-Jai envie dêtre seul ! dit-il dun ton méprisant. Tu dormiras dans nimporte quelle autre chambre et tu peux aussi te servir à manger, à boire
bref, fais comme chez toi.
-Tu te fiches de moi là ? demandais-je choquée.
-Non, jai juste pas envie de te voir ! répondit-il en sortant la clé de je ne sais où.
Comme je ne bougeais toujours pas, il se leva du lit, attrapa mes chaussures que javais retiré en entrant puis me traina hors de la chambre avant de refermer la porte à clé derrière moi.
-NON MAIS TU TE FICHE DE MOI, hurlais-je en tambourinant sur la porte, les larmes aux yeux. ESPÈCE DE CONARD, TES QUUN CONNARD.
Après deux bonnes minutes dacharnement sur cette malheureuse porte qui nous séparait, humiliée comme jamais, je décidais de quitter les lieux. Je ne savais pas où aller à une heure pareille. Pas chez moi car vu létat dans lequel je me trouvais je ne voulais pas que mes parents me posent des questions. Mais sur le moment je men fichais, je voulais juste sortir dici. Lorsque je fini de rassembler mes affaires, je me rendis compte que la porte dentrée de lappartement aussi était verrouillée et que cétait Philippe qui avait la clé. A bout de nerf, je me laissai glisser contre la porte et je pleurais un bon coup le plus silencieusement possible. Lorsque je réussi à me calmer, je me rendis dans la salle de bain afin de prendre une douche puis je tentais ensuite de mendormir dans la chambre la plus éloignée de celle où se trouvait Philippe.
Il était déjà 2h du matin. Jétais allongée en position ftale mais je narrivais pas à trouver le sommeil. Si la façon dont Philippe me traitait lorsquil me baisait, au fond, mexcitait comme une malade, la manière dont il mavait chassé de sa chambre mavait beaucoup blessé. Cétait un gros connard, le roi des salauds et moi une pauvre idiote. Mes pensées furent interrompues par le bruit de porte de la chambre. Il était là. Je pouvais lentendre se rapprocher. Le lit senfonça sous son poids et il sallongea juste derrière moi.
-Morgane, chuchota-t-il, je sais que tu ne dors pas !
Mais je ne bougeais pas. Il sapprocha alors de moi et me caressa les cheveux avant de membrasser sur la joue.
-Je te demande pardon Morgane, me murmura-t-il à loreille.
-Tu es le pire des salauds que jai rencontré de toute ma vie, lui lançais-je.
-Je sais ! Je suis un vrai salaud avec toi et je suis désolé. Mais tu me rends complètement dingue Morgane
Il passa sa main sous ma nuisette pour me caresser le ventre puis il descendit jusquà mon pubis et glissa un doigt dans ma fente tout en me léchant le cou. Il savait exactement où et comment me toucher pour mexciter. Doucement, il me fit basculer sur le dos puis il sallongea sur moi. Il remonta ensuite ma nuisette jusquau-dessus de mes aisselles.
-Jai pas du tout envie, lui dis-je en essayant de larrêter.
-Attends, laisse-moi faire !
Il pencha sa tête sur ma poitrine et attrapa le bout de mon sein gauche avec ses lèvres avant de le sucer pendant quil caressait mon autre mamelon. Je commençais à me détendre un peu. Il suça ensuite mon autre sein puis membrassa le ventre et les hanches jusquà descendre sur mon pubis rasé. Délicatement, il mécarta les cuisses pour se loger entre elles. Lorsque je senti sa langue titiller mon clitoris, je saisi les barreaux du lit des deux mains et je fermais les yeux. Cétait vraiment trop bon, je ne pus mempêcher de soupirer de plaisir. Il passa ensuite sa langue sur les lèvres de ma chatte en feu avant de me pénétrer. Je me cambrais aussitôt. Il me lapa le sexe pendant vingt bonnes minutes, me donnant ainsi plusieurs orgasmes. Finalement, nous nous endormîmes vers 3h du matin.
Lorsque je me réveillais, il était déjà 10h passé. La nuit dernière avait été très mouvementée, jétais épuisée et javais assez mal au cul à cause de la correction qui mavait été infligée. Je décidais donc de ne pas aller en cours. Philippe lui était déjà levé. Je le trouvais dans la cuisine en train de cuisiner. Lorsquil eut terminé, nous mangeâmes tranquillement en discutant. Une question qui mavait semblé insignifiante plus tôt me revint soudain :
-Comment tu as justifié ton absence auprès de ta femme ?
-Nathalie sait que jai une maitresse, mais elle ne sait pas que cest toi, me répondit-il après un moment dhésitation.
-Et elle ne doit jamais le savoir ! lançais-je mal à laise. Jamais.
Jétais la maitresse de Philippe ! Bien sûr, je le savais, mais lentendre à voix haute, ça me faisait bizarre.
Vers midi, Philippe me ramena chez moi en voiture avant de se rendre à son bureau, où il nallait que très rarement, tandis que je passais le reste de la journée à glander. Les choses allait mieux entre nous et au final, nous avions un nouvel endroit pour faire des folies de nos corps sans éveiller les soupçons
enfin du moins pour un certain temps !!
***A SUIVRE***
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