Ma Vie De Libertin - Amours De Jeunesse - 2Ème Partie.
Une baise toute simple.
Après ma première fois avec Caroline, le même été, jai croisé chez des cousins chez qui elle passait quelques semaines, une jeune italienne dune vingtaine dannées. Elle était de passage dans la région où elle était venue rendre visite à des oncles et tantes émigrés de leur lointaine Sicile au début des années 50.
Ce jour là je lai rencontrée quand elle faisait les magasins dans la petite ville où je passais mes vacances en attendant de partir à lArmée. Elle cherchait un souvenir particulier à rapporter chez elle. Je lui ai offert de la guider vers un magasin où elle trouverait certainement ce quelle voulait. Lun et lautre, nous avons déambulé dans les rues tout en bavardant comme peuvent le faire deux jeunes gens dune vingtaine dannées.
Grande et aux courbes généreuses, Francesca avait une poitrine rebondie que son chemisier léger et son soutif avaient bien du mal à maintenir. Son pantalon de toile claire laissait deviner des hanches larges sévasant sous une taille assez fine et on distinguait le dessin de sa culotte en transparence. Bref cétait une très belle femme même si avec ses formes généreuses, elle ne répondaient pas aux canons de la mode de lépoque.
Ses achats terminés, je lui offris de passer prendre un pot dans la maison de mes parents où jétais seul pour une quinzaine de jours. Cétait situé non loin du centre ville et je la reconduirais plus tard chez sa tante. Elle accepta demblée et maccompagna : je navais aucune idée particulière à ce moment-là.
Nous bûmes chacun un verre deau minérale avec une rondelle de citron pour nous rafraîchir tout en évoquant ses retrouvailles familiales. Il faisait chaud, la présence de cette belle jeune femme près de moi, notre bavardage amical faisaient que je me sentais bien en sa compagnie. Je le lui dis. Elle appréciait aussi ma gentillesse et ma courtoisie.
Elle me demanda à aller aux toilettes. Quelle ne fut pas ma surprise lorsquelle en revint son chemisier largement ouvert et ses seins pris dans un soutien gorge de dentelle blanche laissant voir des tétons bistre aux larges aréoles.
Elle me dit quil faisait vraiment trop chaud et quelle supportait mal la chaleur lourde et orageuse qui régnait en cette fin daprès midi du mois daoût. Au lieu de se rasseoir dans le fauteuil, elle vint se mettre sur le divan à côté de moi. Je sentais son odeur un peu poivrée. Tout cela acheva de me mettre dans un état pas possible. Je bandais comme un taureau et pour le dissimuler, je magitais à côté delle. Elle était la seconde femme à mapprocher ainsi et elle ne me laissait vraiment pas indifférent.
Soudain, en se tournant un peu plus vers moi et en posant sa main gauche sur ma cuisse, Francesca me tendit ses lèvres. Jaccueillis son baiser avec bonheur et je le lui rendis. Nos langues se mêlèrent dans une succession de baisers profonds qui achevèrent de nous échauffer. Mon T-shirt et mon bermuda vite enlevés, je retirai son chemisier et ôtai le soutien gorge : sa poitrine volumineuse ne plongeait pas trop. Ses seins fermes dun blanc laiteux navaient certainement jamais vu le soleil mais quils étaient beaux ! Je crois que cest à partir de cette découverte que je suis devenu autant fan des seins féminins
Ma bite était dressée, triomphante, comme aimantée par ces deux globes séparés par une fente profonde où la transpiration laissait perler quelques gouttes. Les tétons légèrement saillants semblaient appeler la morsure de mes lèvres. Francesca fit alors glisser son pantalon et sa culotte. Une toison noire et taillée sommairement en triangle apparut au dessus de sa chatte.
Elle tendit les mains vers mon sexe pour masser mes bourses et mon sceptre de chair en se rapprochant du bord du divan pour le prendre en bouche pour quelques va-et-vient. Ensuite, delle-même elle mit ma bite entre ses globes pour me branler ainsi. Que cétait bon, doux et chaud.
Ma bite se trouvait maintenant à la hauteur de sa chatte. Je me couvris rapidement dun préservatif et dune seule poussée, jinvestis sa vulve humide et chaude où je restai immobile. Je savourais cette baise inattendue, la seconde de ma jeune vie
Au bout de quelques allers-retours, Francesca jouit brusquement. Elle se dégagea et ôtant la capote, elle se glissa sous moi pour venir emprisonner à nouveau ma bite entre ses seins, la faisant coulisser entre eux. Je nen pouvais plus dautant que lorsque jétais à portée de sa bouche, elle gobait mon gland pour le sucer. Bientôt je crachai dabondants jets de foutre qui maculèrent sa gorge et le bas de son visage.
Après un temps de repos, Francesca recommença à me tailler un plume et me faire bander à nouveau. Ce ne fut pas difficile : cétait ma première fellation ! En plus, javais encore envie de la baiser. Elle plaça un préservatif sur le bout de ma queue bandée et, en suçant ma bite, elle la couvrit elle-même en le déroulant entre ses lèvres. Douée la fille ! Quelle caresse ! Elle semblait avoir bien plus dexpérience que moi ! Elle se mit en levrette. Javais sous les yeux ses hanches larges, sa taille étroite, ses reins creusés au bas de son dos où il y avait deux fossettes.
Quel spectacle. Dune poussée lente et continue, jinvestis à nouveau sa chatte jusquà la garde quand elle me surprit en disant :
Encule-moi, jen ai envie. Tu seras le premier mais je suis prête !
Décidément ce jour là, jaurais aussi découvert quon pouvait sodomiser une fille ! Tout aussi doucement, je pénétrai son anus qui souvrit facilement, emprisonnant ma bite dans un fourreau chaud qui me massait le bout de la queue... :
Je ne peux pas demander cela en Italie, je passerais pour une putain ! Avant de venir en France, jai préparé mon cul avec divers objets pour lassouplir ! Tu vas être le premier à en profiter
Là encore, il ne fallut pas longtemps pour arriver à une explosion finale partagée.
Quel privilège d'être jeune ! Deux jours après, Francesca prenait le train pour lItalie et je ne lai jamais revue.
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