Nuit Coquine ...
Une heure du matin ... Je me réveille en sursaut ! ... Dépitée ! Car j'étais en plein "rêve cochon" ... j'allais jouir !
" Sur une plage bondée, couchée sur nos serviettes, Carine, malgré mes protestations m'a enlevé le haut et le bas de mon maillot, je ne voulais pas, mais j'étais collée à ma serviette, sans réaction, sans même pouvoir sortir un son de ma bouche. Elle était contre moi, avec une jambe entre les miennes pour bien me les ouvrir, et une main qui bloquait mes bras au-dessus de ma tête, m'empêchant tout mouvement. Sa main libre me masturbait, pendant que sa bouche jouait avec mes tétons. Les gens s'agglutinaient de plus en plus nombreux autour de nous pour nous regarder, me regarder. Certains, certaines se masturbaient ! ... La honte d' être ainsi exhibée, me faisait jouir autant, si ce n'est plus, que ses caresses ..."
Qu'est-ce qui m'a réveillée ? ... Frustrée, mon entrejambe mouillé, je me pose la question en m'étirant. J'ouvre mes jambes et pousse ma main dans le pyjama pour empaumer mon sexe et le cajoler. Dans ma tête, j'essaye de rembobiner le film de mon songe pour le reprendre où il s'est cassé ... Et me finir. Mais rien à faire ! Mon esprit ne suit pas !
Un bruit arrive jusquà ma chambre. Comme une plainte. Certainement, ce qui a provoqué mon éveil. Je retiens mon souffle et écoute ...
... Je vis avec Solène. Une copine depuis le lycée. Comme nous avons choisi la même université pour poursuivre nos études, et que nous nous entendons bien, nous avons pris une colocation à deux pour limiter nos frais. Je connais bien sa voix ainsi que tous les bruits normaux de l'appartement. Mais là, c'est quelque chose de tout à fait différent. Un halètement, un gémissement de fille ... Et ce n'est pas son timbre de voix ...
Je concentre toute mon attention sur ces sons, qui proviennent du séjour ... Plus de doute, il s'agit d'une vidéo que j'ai récemment visionnée, justement avec Carine, alors que nous étions seules.
Mais je suis une incorrigible curieuse, et que Solène regarde cela discrètement, à cette heure avancée de la nuit m'intrigue ... Alors je me lève, ma main toujours à l'intérieur de mon pyjama, je me dirige "à pas de loup" vers le séjour.
Dans la pénombre de l'ouverture qui sépare couloir et séjour, je vois Solène de trois-quarts, juste éclairée par la télévision, dont l'écran me renvoie les images lubriques. Je suis exposée, il suffit qu'elle tourne la tête pour me surprendre en pleine séance de voyeurisme ! ... Tant pis ! La scène qui se déroule sous mes yeux m'électrise, j'aviserai si nécessaire.
Ce que je vois m'excite et me fait couler, j'ai ma main trempe. Je dois retenir mon souffle où je vais haleter. Solène est avachie sur le canapé, une jambe par-dessus le dossier, l'autre pend hors de l'assise avec la culotte enroulée autour de la cheville. Son tee-shirt est remonté sur ses nénés. Solène à de gros seins, mais avec de petits tétons qui pointent à peine au milieu de larges aréoles claires. Sa main gauche joue avec le mamelon droit.
Pendant que je me frotte le clitoris d'une main, de l'autre, je passe sous la veste du pyjama à la recherche de mes seins et de mes tétons.
Sa main droite comme la mienne s'occupe de sa vulve et plus particulièrement de son bouton. Je peux même voir sa cyprine briller sur ses poils pubiens. Elle est haletante, et fait de gros efforts pour ne pas gémir.
Je me masturbe fiévreusement, espérant jouir la première, et ainsi retourner dans ma chambre avant qu'elle ne s'aperçoive de ma présence.
Qu'est-ce que je mouille ! ... Comme diraient les hommes, elle est bandante ! ... Je la vois s'insérer un doigt dans son anus.
Voir ce doigt, aller et venir, dans le fourreau anal, tandis qu'elle frotte furieusement son clitoris ... Putain, ce n'est pas vrai ! ... Je vais jouir ! ...... Je vais venir, là, dans le couloir, devant Solène !
Mes jambes tremblent, je sens venir les spasmes dans mon bas-ventre. Dans un éclair de lucidité, je surprends ses seins s'agiter plus vigoureusement. Dans la vidéo, j'entends les deux demoiselles partir dans leur orgasme. Je perds tout sens de lieu et de temps. Je m'agite un peu plus vite, un peu plus fort ... Et je pars ! ... Je m'envole ! ... Je me mords les lèvres pour m'éviter de crier à Solène que je jouis à cause d'elle, pour elle ! ...
Il me semble que l'orgasme dure une éternité. Pendant tout ce temps, j'ai gardé les yeux ouverts. J'ai oublié toute crainte de me faire prendre. Je suis resté attentive à ce que se faisait Solène.
Mes doigts sont pleins de ma jouissance. Je les lèche tout en entamant, "en marche arrière", le retour dans ma chambre.
J'ai à peine esquissé un pas que l'orgasme de Solène se déclenche. Je peux la voir se cambrer. Jambes tendues, tête en arrière, ses seins pointer au plafond, ses doigts dans sa chatte poilue au milieu de sa fourche grande ouverte. Je l'entends gémir, elle n'a pas pu se retenir ! ... Alors que je reprends ma reculade, elle fixe son regard sur le couloir. Rapidement, je rentre dans ma chambre.
Dans mon lit, je repense a ce que je viens de voir, de faire. Puis je me revois, sur le canapé avec Carine, nos mains s'occupant de nos minous. Je suis de nouveau surexcitée. Je ne sais plus, si c'est mon rêve, mon excursion dans le séjour, ou les pensées cochonnes qui me trotte dans la tête, mais je suis trempée comme jamais !
Alors je ferme les yeux et comme Solène tout à l'heure, je mets un doigt dans mon "trouduc", deux doigts dans mon vagin, le pouce sur le clito .
Je retombe, inerte, épuisée par tant de sensations. Quand je reprends mes esprits l'appartement est silencieux. Je regarde vers ma porte restée très entrouverte et il me semble voir dans l'obscurité la silhouette de Solène s'agiter ... Je suis gêné et excitée de nouveau ... Solène ? ... pourquoi pas essayer ! ...
... À 8 heures, la sonnerie de mon réveil retentit. Je souris, en repensant à cette nuit coquine. Avant de me lever, je regarde Solène, couchée a coté de moi, qui dort encore dans une position très impudique. Dans des draps souillés par nos ébats, qui me font penser (allez savoir pourquoi !) au refrain de cette chanson à sucées des années 70 que j'aime bien :
"Je l'ai rêvée si fort
Que les draps s'en souviennent
Je dormais dans son corps
Bercé par ses "Je t'aime".
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