Une Étudiante Bien Maladroite - Epilogue
Pierre releva linvitation. Leurs mains se quittèrent. Eva se dirigea vers le comptoir de la kitchenette et disparut derrière. On entendait des bruits de verres qui sentrechoquaient. Elle réapparut quelques instants après en posant ses trouvailles sur un plateau posé là. Puis, elle ouvrit un placard suspendu. Elle recula un peu pour mieux voir son contenu.
- Ah non, Laura
je le lui avais pourtant dis
.
- Quoi donc ? se permit Pierre
- Jai une colocataire qui est plutôt grande
. Jai beau lui dire de ne pas mettre les affaires tout en haut, elle oublie souvent
Eva, sur la pointe des pieds, étira le bras autant quelle put : elle voulait atteindre cette bouteille tout en haut. Ses doigts touchèrent le bord du verre, pas assez pour saisir le récipient, mais suffisamment pour le faire dangereusement vaciller.
Pierre ne perdit rien de la scène et craignant la suite, se précipita vers Eva. Le bras tendu, il se précipita derrière elle. Elle se retrouvait alors prise entre le plan de travail et Pierre. En voyant la bouteille sincliner sans pouvoir lattr, Eva eut le réflexe de se recroqueviller sur elle-même. Pierre neut pas trop de mail à intercepter le flacon. Soulagé, il le posa devant Eva.
- Cest bon, je lai, annonça Pierre.
Eva souvrit. Elle observa la bouteille devant elle. Puis lentement, elle se retourna vers Pierre. Elle se retrouva littéralement dans ses bras. Ils avaient déjà été aussi près... certes, mais les conditions nétaient pas les mêmes.
Soudain, elle réagit. Là, prise entre le meuble et Pierre, le choix était simple. Elle prit son visage entre les mains et lembrassa goulûment. Puis elle sécarta, attendant sa réaction. Pierre ne sy attendait pas bien sûr. Son regard était dans le vide, comme sil imaginait cette scène. Puis, il réalisa que cette image était réelle, bien là, là devant lui.
Il glissa les mains sous les fesses dEva et la hissa sur le plan.
Eva lenlaça. Pierre la transporta dans les bras au travers de la pièce jusquau sofa. Ils tombèrent dessus, elle sous lui
Mais la position ne dura pas : elle le fit tourner sur elle. La place nétait pas grande et ils glissèrent au sol.
A califourchon, Eva se redressa dans toute sa splendeur. Les bras croisés eurent tôt fait de saisir le bas de son pull. En lôtant, elle révéla un soutien-gorge noir, sobre, mais qui soulignait une poitrine ferme et rebondi. Pierre ne bougeait pas, admiratif et tétanisé.
Eva rampa sur lui et passa les mains sous sa chemise. Son ventre et son torse ainsi dévoilés, elle commença à les embrasser. Pierre regardait le plafond, alors quil se faisait littéralement dévorer. Ses questions lui revenaient à lesprit
mais les assauts dEva le ramenèrent à la réalité, linvitaient
.
Eva se releva, toujours sous le regard de Pierre, allongé, là, entre canapé et table basse. Les yeux malicieux, elle éclipsa sa ceinture et dans une ondulation harmonieuse, laissa glisser son jean jusquà ses chevilles. Le visage baissé, sa longue chevelure sexposait aux yeux admiratifs de Pierre. Elle se redressa aussitôt et sa crinière senvola pour retomber dans son dos. Elle passa les mains dans le dos pour dégrafer son soutien-gorge. Dans un geste presque de pudeur, elle le retint en serrant les coudes, empêchant que sa poitrine ne soit dévoilée. Mais très vite, elle se ravisa et, à linstar de son pantalon, le laissa choir à ses pieds. Il ne restait plus quun petit bout de tissu qui empêchait Pierre de voir Eva dans sa plus grande simplicité.
Elle lui tendit la main, tant pour linviter à la rejoindre que pour laider à se relever. Il la saisit avec la même douceur quelle avait pris sa main en le soignant. Ils se retrouvèrent face à face. Pierre prit enfin toute la mesure de la situation. Au diable les questions, au diable les préjugés
Il passa le bras derrière et cueillit sa joue dans le creux de la main.
Pierre remonta doucement dentre ses seins jusquà son cou. Il sattarda sur le côté pour en dévorer cette veine qui battait au rythme du désir dEva. Puis, la bloquant encore plus entre le mur et lui, il la saisit par les cuisses et la hissa. Ils virevoltèrent sans trop savoir où aller. Mais la table de la cuisine les accueillit bien volontiers. Si tôt posée, Pierre abandonna sa prise. Il recula, passa les doigts de part et dautre de la culotte dEva et la tira vers lui. Eva ne le quittait pas des yeux, le laissant sadonner à ce plaisir.
Enfin, elle était nue, là, posée sur cette table, comme une offrande, une promesse dun festin partagé. Il sagenouilla et écarta délicatement ses cuisses. Curieux, il embrasse son genou. Sa peau était douce et savoureuse à la fois. Il continua son exploration. Sa langue glissa sur lintérieur de sa cuisse, puis de lautre. Eva prit appuie sur ses bras en se penchant en arrière. Elle offrait à Pierre une vue exceptionnelle depuis son bas ventre plat, en passant par ses deux monts symétrique. Au loin, au travers de la vallée qui les traversait, on apercevait le visage dEva, basculé en arrière.
Pierre neut que peu de temps pour admirer ce paysage.
Les lèvres luisaient et semblaient battre. Dans cette position, elles souvraient au monde, aux yeux de Pierre. Il sen approcha du bout de lindex, les écartant avec précaution. Eva eut un léger sursaut à son contact. Délicatement, il passa le doigt sur toute leur longueur. Il senduisit petit à petit du nectar qui en suintait. Senhardissant, il décida de lexplorer plus profondément. Aucune résistance ne sopposa à cette décision et Pierre découvrit toute lampleur du désir dEva. Cette cachette, à peine dissimulée, regorgeait de plaisir, mêlée de douceur.
Lappétit de Pierre grandissait, comme sa soif. Il saventura alors à sabreuver à cette source liquoreuse. Ses rives souvrirent pour dévoiler son antre. La langue de Pierre sy introduisit tout en douceur. Alors quelle en toucha le fond, Eva libéra un soupir profond, presque comme un soulagement. Pierre prit ce signe comme un encouragement et sévertua à explorer consciencieusement cette nouvelle découverte. Sa langue se fit curieuse, audacieuse, presque insolente. Plus aucun recoin navait alors de secret pour lui. Sauf un, quil se réservait comme un dessert.
Les mains de part et dautre de ses cuisses, Pierre leva les yeux vers Eva. Linterruption de Pierre dans les attentions quil lui portait attira son attention. Leurs regards se croisèrent : celui de Pierre était dans lattente dune approbation.
Eva soutint son regard, et se perdit dans ses pensées à basculant à nouveau la tête en arrière. Il nen fallait pas plus.
Ses doigts écartèrent avec précaution sa cachette pour le dévoiler dans son bain scintillant.
Une fois dompté, Pierre apporta sa touche finale. Son index guidé par ce sillon gonflé de désir, sintroduisit dans Eva. Il sancra fermement au fond et initia un massage en règle. La peau semblait recouverte de minuscules ampoules. Il cadença les mouvements du doigt sur ceux de la langue. Il la possédait complètement.
Eva ne perdit rien des supplices que subissait son intimité. Ses mains saccrochèrent au rebord de la table pour mieux se rapprocher de Pierre. En dernier recours, elle passa les jambes par dessus les épaules de Pierre. Son esprit sembrouillait, bouillonnait. Elle ne tenait plus
Les yeux clos, son imagination y projetait des images folles. Mais il ne tenait quà elle den faire réalité.
Elle puisa en elle lénergie nécessaire pour interrompre ce moment délicieux. Elle prit le visage de Pierre entre les mains pour le porter à ses lèvres et lembrasser fougueusement. Elle se laissa glisser le long de la table. Pierre resta immobile, laissant venir la suite. Rivé à ses lèvres, Eva neut cependant pas beaucoup de difficulté à atteindre le pantalon de son amant. Habilement, elle le fit tomber. Pierre finit de sen débarrasser en même temps que ces chaussures.
A son tour, Pierre se trouvait dans la même posture quEva. La similitude nallait pas sarrêter là. La jeune femme le saisit par les épaules et échangea sa place. Acculé contre la table, elle neut quà le pousser légèrement pour quil perde équilibre et s'effondre.
Dun geste sûr et déterminé, sans lui laisser le temps de réaliser, elle réserva à son caleçon le même sort que le reste de ses vêtements. Elle rampa sur ses cuisses à hauteur de son hampe, images (2)dressée et sans défense. Elle la prit à pleine main comme pour lexaminer, la jauger. Elle la dévisagea de bas en haut. Enfin, son opinion fixée, elle la porte à sa bouche. Le gland glissa au travers des lèvres à peine desserrée. Sa main abandonna son emprise. Eva avait bien lintention de lui infliger les mêmes plaisirs quil sétait abandonné à lui donner.
Sa langue en fit le tour. Son envie était déjà bien apparente. Ses lèvres épousèrent chaque plis, chaque veine. Il était à sa merci. Elle le laissa échapper un instant. Elle entreprit dembrasser sa base. Chaque centimètre qui la séparait de son extrémité fut passé en revue. Aucun néchappa à lattention de ses lèvres, à la caresse de sa langue. La tête appuyée en partie sur la cuisse de Pierre, elle se surprenait à jouer de sa découverte. Son sommet, cependant, la narguait. Elle se résolut à sen occuper.
La bouche mi-ouverte, elle le laissa entrer. Puis, doucement, elle referma le piège. Ses lèvres se posèrent tout naturellement sur sa couronne. Elle prit un soin tout particulier à soccuper de sa proie. Sa langue navait aucun mal à en r. Elle jeta un oeil sur Pierre. Elle sentait bien quil nétait pas insensible. Mais visiblement, comme elle, le plaisir était presque insupportable
Sa tête sagitait de droite à gauche et de gauche à droite
Si Eva le savourait, elle savourait encore plus le pouvoir quelle avait sur lui. Mais cétait sans compter sur leffet que ses caresses provoquaient en Pierre.
Il redressa la tête et vit ce rideau familier de cheveux qui couvrait son bas ventre. Il aurait aimé capter son regard, lui exprimer combien ses caresses étaient divines.A151
Il sassit alors et passa la main dans la chevelure. Eva ne se laissa pas distraire. Toutefois, Pierre se redressa, obligeant Eva à labandonner. Elle se releva et leurs lèvres se retrouvèrent. Pierre la saisit par les cuisses et lallongea à nouveau sur la table. Mais cette fois, ils se faisaient face. Accrochée dun main à la nuque de Pierre, soutenue par son bras, elle était en apesanteur.
Son regard était devenu défi. Elle était à la merci de Pierre qui la dominait de son corps. Ses mains se rejoignirent et elle se hissa jusquà son visage pour lembrasser avec fougue. En même temps, elle releva les jambes, pour les passer derrière les fesses de Pierre et lattira encore plus près de lui. Les jambes ainsi écartées, leur intimités navaient jamais été aussi proches. Leur poids commun fit pencher le fragile équilibre vers Eva. Elle sentait son membre tendu épouser de toute sa longueur son sillon. Son regard soutenu voulait tout dire.
Pierre se cambra. La pointe de son hampe recula, écartant au passage les lèvres. La connaissance quil en avait acquis lui donnait un avantage dont il comptait bien tirer les bénéfices. Il guettait le moment où son gland descendrait légèrement plus profondément.
Il stoppa le mouvement et dun coup de rein plein dassurance avança. Sa verge neut aucun mal à se frayer un chemin. Eva, bien que consentante, ne peut sempêcher de pousser un léger soupir de surprise.
Pierre goûtait la sensation que lui procurait le nectar qui enduisait son membre à son passage. Eva nétait pas en reste. Elle se sentait emplie au fur et à mesure que Pierre savançait en elle. Cétait un moment quelle avait attendu depuis longtemps. Paradoxalement, il marquait aussi la fin de leur préliminaire si intense. Sous lémotion, elle planta les ongles dans le dos de Pierre. Mais concentré sur Eva, il ne réagit pas.
La course de Pierre sacheva contre les cuisses relevées dEva. Il commença à se retirer, mais déjà il imaginait le plaisir quil allait ressentir en revenant en elle. Et il ne sen priva pas ! Eva le laissa les guider sur les chemins du plaisir. Elle sabandonna sur la table, laissant Pierre uvrer au plus profond delle. Son corps hoquetait au rythme des assauts de son amant. Un sourire se dessinait sur son visage
baiser dans le couElle réalisait que ce membre qui allait et venait dans son bas ventre, avait été il y a quelques minutes dans ses mains, puis dans sa bouche. Elle lavait découverte derrière ce caleçon, sous ce pantalon. Ce pantalon était porté par lhomme qui avait défoncé maladroitement sa porte dentrée. Cet homme était son professeur danglais
La situation lamusait tant elle était insolite, improbable. Si inimaginable quelle ne voulu pas en rester là.
Elle rouvrit les yeux : Pierre se tenait droit, entre ses jambes. Elle rabaissa les jambes, obligeant par la même à interrompre leurs ébats. Puis, elle se tourna sur le côté sous les yeux interrogatifs de Pierre. Elle joignit ses jambes et releva les genoux presque à hauteur de sa poitrine. La main posée sur sa fesse gauche, elle exprimait muettement son désir. Pierre sapprocha, pris son sexe dans la main et se guida au travers du sillon de ces fesses. Naturellement, le chemin le guida vers lorifice dont il avait été remercié. Lespace était devenu plus exigu, promesse dautres sensations. Il posa une main sur lépaule dEva et lautre sur ses genoux. Il la bloquait contre lui. Maintenant, chaque coup de rein quinfligeait Pierre à Eva était entièrement encaissé par tout son corps. Dans la ferveur, Eva saisit lavant bras de Pierre et lenserra au rythme de ses hanches. Elle naurait pas imaginer le sentir aussi bien. Mais alors, pourrait-ce être encore mieux ? Cette expérience boosta son audace et la décida à en avoir le cur net.
Ses genoux se déployèrent, juste à la limite de la table. Contraintes par leurs poids, ses jambes tombèrent et son corps roula tout naturellement. Dans la manuvre, Pierre se retira, mais il commençait à être habitué par les envies dEva. Elle navait dailleurs aucun mal à le rallier à elles.
Eva était désormais à plat ventre. Ses fesses parfaitement galbées pointaient avec arrogance. Pierre ne put sempêcher de les admirer. Il était de ses hommes qui appréciaient imaginer les courbes dune femme sous un chemisier, une robe ou un pantalon. Les images quil en tirait était souvent plus belle que la réalité
Simplement parce que dans la quasi totalité des cas, il navait jamais loccasion de la vérifier ! Mais cette fois, il pouvait dire quil naurait jamais imaginé courbes plus parfaites. Certes, son imagination navait par été aidées : Eva nétait pas du genre à exposer ostensiblement ses formes. Sil fantasmait sur une inconnue, une amie, voire une collègue, jamais il naurait associé de telles pensées avec une de ses élèves. Mais, désormais, ce nétait plus une simple élève. Cette femme était là, nue devant lui, lui avait offert son antre. Il avait adoré sentir sa langue sur son membre, et il y a quelques instants encore, il senfonçait avec délectation en elle.
Alors, lorsque Eva posa ses mains sur ses fesses et les tendit, dévoilant ses lèvres rosées sous un autre angle, Pierre cessa de se poser des questions. Il releva linvitation sans se faire prier.
Il pose les mains à leurs naissances. Elles épousaient parfaitement leurs formes. Le spectacle eut pour conséquence de donner un second souffle à sa virilité qui se dressait parfaitement vers Eva. Pierre neut quà sapprocher et à se contracter légèrement pour entrer en elle. Lui aussi nimaginait pas découvrir une telle nouvelle sensation. Son sexe était tendu au maximum et venait caresser cette petite zone quil avait titillé du doigt tout à lheure.
Eva tendit le bras derrière elle autant quelle put pour saisir une hanche, une fesse
Peu importe : lessentiel était quil comprenne combien elle voulait le sentir encore plus fort en elle. Même si elle natteignit pas sa cible, ses gesticulations néchappèrent pas à Pierre. Il assura son emprise pour ne faire quun avec elle. La table ondula aux mouvements de ce duo torride. La pièce se fit lécho du choc sourd des cuisses de Pierre heurtant les fesses dEva. Bientôt, ces sons passèrent en second plan. Eva gémissait à chaque fois que son amant repoussait les limites que son sexe lui offrait. Elle ne regrettait pas leurs audaces mutuelles. Et ce sentiment la comblait comme le sexe de Pierre la portait aux portes de la jouissance.
Elle tendit les bras pour se cramponner à lautre côté de ce lit improvisé. Son sexe était au service de son plaisir le plus intense. Et son amant allait lui apporter la récompense ultime.
Pierre accéléra la cadence. Il se cambra pour donner à sa belle toute lampleur de son désir, de sa force quil sapprêtait à lui offrir. Il sentait cette douce pression envahir son membre. Il se découvrait une raideur quil ne soupçonnait pas.
Eva sévadait
elle était transportée, presque hors de son corps. Elle se voyait abandonnée à Pierre, tournoyé autour de ce couple étreint, Elle imaginait ses fesses fermes encaisser les cuisses fermes de Pierre. Elle revoyait son sexe dur et tentant, entrer en elle. Et enfin, elle sentait ce liquide chaud, brulant de leur émois, exploser au plus profond delle, au même rythme que les hanches de son invité
La sensation la rappelle en elle, juste au moment où ses lèvres enserrèrent une dernier fois la clef qui avait ouvert cette chambre aux jouissances. Submergée par tant dimages, de sensations et de chaleur, elle ouvra la bouche pour laisser sortir le témoignage de sa satisfaction. Mais le cri était si fort, quil ne su comment sexprimer.
Pierre sécroula sur son dos. Son membre confessa sa défaite sur son homologue. Leur corps moites s'apaisait enfin. Il se redressa pour libérer Eva de son emprise. Elle se tourna, sassit au bord de la table et le prit dans les bras tout en lenserrant de ses jambes. Ils sembrassèrent délicatement mais non sans passion.
Elle descendit en gardant sa main dans la sienne, tant quelle le put, alors quelle séloignait vers la salle de bain.
Pierre la laissa seule. Il observa autour de lui les témoignages de leur corps à corps. Il entreprit de rassembler leurs affaires. En sapprochant pour identifier un vêtement, il trébucha sur le sac dEva. Il bascula et se rependit sur le sol. Vite, Pierre se hâta à effacer sa maladresse. Et sous un calepin, un trousseau de clefs lui apparut. Il lexamina au moment où Eva le rejoignit :
- Tiens, regarde, on dirait ton trousseau, non
- Eva regarda Pierre, dun regard malicieux
- Oups, mais que je suis étourdis, tu ne trouves pas ?
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