La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 589)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°584) -

soumis Endymion MDE tremblait, il relut le feuillet initialement posé sous son assiette :

- Les chiens de ton espèce devraient voyager en soute, estime-toi heureux d’être assis à cette place… Tout l’équipage de ce vol A85423 à destination de New York sait que nous transportons un esclave-chien-soumis à bord, toi, un simple chien-mâle propriété du fameux et si prestigieux Monsieur le Marquis d’Evans. Il est dans ton intérêt d’obéir, si tu ne veux pas avoir quelques soucis à ton arrivée à l’aéroport JF KENNEDY. D’ici quelques minutes, un steward va te demander de le suivre, tu obtempèreras. N’oublie pas que tu n’es qu’une salope, une pute, un esclave qui doit obéir. Nous avons le plein accord du Maître pour exiger tout ce que nous voulons de toi.

soumis Endymion MDE resta là un petit moment, comme éberlué, totalement hébété, cherchant à digérer l’information, à la relire et à comprendre comment l’équipage avait été mis au courant ? Il se mit à réfléchir quelques minutes avant de se rendre compte que sa décision était déjà prise, il se conformerait sans réticence aux ordres et instructions qui lui seraient donnés parce que le Maître l’avait ordonné. Il leva la tête et vit un steward approcher.

- Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plait !

soumis Endymion MDE, bien que surpris par le ton et la politesse utilisés par ce jeune homme, se leva rapidement et le suivit jusqu’à l’avant de l’avion. Ils entrèrent dans une cabine destinée au personnel de bord.

- Je suis chargé de vous introduire ce plug, merci de baisser votre pantalon à vos chevilles et de me présenter vos fesses !

Le ton était courtois et respectueux, trop peut-être, et c’était bien ça qui était surprenant, sinon déstabilisant, soumis Endymion MDE se soumettait aux ordres, baissant son jean et offrant son postérieur à cet inconnu. Il sentit un doigt chargé de lubrifiant s’introduire en lui, il se laissa faire, n’étant plus à une humiliation près.

Le plug glissa d’abord tranquillement dans ses entrailles jusqu’au moment où la partie la plus large de l’objet se heurtait à son anus quelque peu récalcitrant, tant la circonférence de ce plug était importante !

- Écartez-vous bien s’il vous plait, décontractez-vous, en cambrant bien votre bassin !

Le steward d’une main s’agrippa à une cuisse de soumis Endymion MDE et de l’autre poussa le plug d’un seul coup pour le faire pénétrer totalement dans son cul, l’esclave poussa un cri exprimant à la fois douleur et extase !

- Ne bougez pas, s’il vous plait, je dois maintenant vous photographier ainsi plugué ! Posez bien vos mains bien à plat sur la petite table devant vous et cambrez vos reins …

Le steward prit son IPhone et fit deux ou trois clichés en gros plan du cul du chien soumis MDE, puis il autorisa l’esclave à se relever, à remonter son jean et à regagner sa place dans l’avion. Le plug était pour le moins envahissant, si bien que l’esclave MDE eut du mal à marcher correctement, et lorsqu’il s’assit, il sentit son rectum se dilater largement et se remplir entièrement. Cette étrange sensation à la fois douloureuse et excitante lui demandait une parfaite maîtrise de son anatomie intime, sa queue cherchait vainement à s’épanouir dans cette cage de chasteté devenue subitement beaucoup trop étroite à cause de son excitation grandissante... Il s’installa alors sagement au fond du siège et se décida de s’attaquer à son bien maigre repas. A peine venait-il de commencer qu’une hôtesse, la même qui l’avait servi l’interpella :

- Il est trop tard pour manger !
- Je n’ai pas eu le temps Mademoiselle…
- C’n’est pas grave…ton estomac peut attendre ! Ton cul quant à lui, semblait avoir très faim, n’est-ce pas ? Chuchota-t-elle

L’hôtesse ne le laissa pas répondre, elle sortit de sa poche un IPhone et le plaça sous le regard de l’esclave MDE, elle fit défiler les trois ou quatre photos prises par le steward puis elle continua son travail et son chemin sans rien dire d’autre.
soumis Endymion MDE était super excité, il languissait même de savoir ce qui allait suivre. Il resta sur le qui-vive, anticipant les moindres allées et venues du personnel de bord passant auprès des passagers pour s’assurer de leur confort. L’esclave MDE attendit ainsi une heure, puis deux, sans presque bouger. L’homme qui l’avait enculé sauvagement dans les toilettes de l’avion, était avachi à ses côtés et dormait profondément en ronflant parfois. La plupart des autres passagers eux aussi dormaient, Ils avaient abaissé leur siège, posé un plaid sur le corps et s’étaient installés dans une position sans doute un peu plus confortable pour trouver le sommeil. Lui, le chien soumis de Monsieur le Marquis d’Evans s’efforçait à rester éveillé, mais au bout d’un certain temps, bien malgré lui, il sombra dans un sommeil superficiel. Il était dans une semi-conscience quand il sentit l’un de ses tétons le brûler. Il se réveillait en sursaut et vit l’hôtesse juste au-dessus de lui. Elle venait de lui pincer sévèrement son mamelon gauche.

Rapidement, elle posa son index relevé sur sa bouche pour faire comprendre à soumis Endymion MDE qu’il devait se taire, puis elle dirigea son index en direction de ses chaussures à talons hauts. Au premier abord, l’esclave MDE ne comprit pas vraiment ce que voulait cette femme Dominante. Alors elle reprit sa gestuelle, dans un premier temps, elle pointa son doigt sur sa langue quelque peu tirée, dans un deuxième temps, elle désigna de son doigt tendu soumis Endymion MDE et enfin elle dirigea son index en direction de ses chaussures. L’esclave MDE avait enfin compris le message ! En silence, sans se préoccuper de l’environnement, tant il était surexcité sinon en transe, soumis Endymion MDE se mit à genoux, posa les mains sur le sol et dirigea doucement sa bouche vers les hauts talons de l’hôtesse. Doucement, docilement il lécha cet escarpin avec application, elle fit bouger la chaussure et tendit son talon. soumis Endymion MDE leva timidement les yeux et la vit murmurer « Suce salope ! » et il se mit à sucer.
Il se sentait humilié comme jamais à se voir comporter ainsi, mais il crut un instant que son entrejambe allait exploser. Elle fit la même chose avec le deuxième talon puis enleva doucement ses chaussures et surprit celui qui rampait devant elle, lorsqu’elle lui força la bouche en lui glissant violemment son pied dans cet orifice contraint. L’esclave MDE suçai comme il pouvait, il ne fut pas mécontent lorsqu’elle se dégageait de lui et lorsqu’elle lui présenta ses orteils puis la plante de son pied. Il léchait, suçait, s’employait avec un réel dévouement, une servilité démesurée. Cette séquence dura bien une dizaine de minutes, un temps relativement court, mais dans de telles circonstances, ce temps parut une éternité pour l’esclave MDE, une éternité d’extase contradictoire mélangeant la honte et l’extrême excitation.

Elle fit un signe à soumis Endymion MDE, il comprit qu’il devait se redresser, tout en restant à genoux devant elle. Elle lui mima d’ôter son pull-over ainsi que son tee-shirt, ce qu’il fit sans hésiter, quand bien même la peur d’être vu le terrassait. Il attendit quelques secondes ainsi, comme paralysé, tétanisé, jusqu’au moment où l’hôtesse sortit un gros stylo feutre de sa poche. Elle se pencha vers l’esclave MDE, et se mit à lui écrire sur le torse.

- Je suis une salope soumise et j’aime ça !

soumis Endymion MDE sentit une boule de honte lui tirailler et lui nouer l’estomac mais au même moment, une épouvantable douleur sur sa nouille encagée. Elle cherchait désespérément à s’évader… Elle se heurtait et se boudinait aux parois de cette cage beaucoup trop étroite. Le cockring enserrant la base de la queue du chien soumis MDE, pour tenir l’objet en place, lui broyait littéralement les couilles, tant la pression exercée était importante. Il ne put retenir quelques couinements bien vite réprimés par une main lui saisissant sa chevelure et lui imposant de marcher à quatre pattes, dans ce long couloir entre les sièges des passagers tous dormants.
Il avait complètement abdiqué, tel un chien soumis malmené, dans un état de totale soumission. Heureusement personne ne l’avait vu s’afficher ainsi !

Tous deux arrivèrent enfin dans un petit espace réservé au personnel de bord. L’hôtesse referma le local à clé.

- Regarde Marina ce que je t’ai ramené comme jouet. Lança l’hôtesse tout en traînant toujours pas les cheveux l’esclave MDE vers des pieds d’une femme.

Dès que cette main lui lâcha sa tignasse, soumis Endymion MDE redressa un tant soit peu la tête. Il vit la première hôtesse qui l’avait humilié en lui servant son coca-cola. Son regard était froid, humiliant, hautain, dédaigneux et sévère

- A poil chien !

L’ordre tomba comme un couperet, soumis Endymion MDE quitta rapidement ses chaussures, et fit tomber son jean aussi vite qu’il put. Pendant ce temps l’hôtesse appelée Marina ouvrit un placard étroit. Oh surprise… à l’intérieur du placard était enfermé le jeune steward qui avait posé le plug dans le cul de l’esclave MDE. Il se tenait debout, bras contre le corps, tant l’espace était restreint, son pantalon baissé aux chevilles, sa chemise ouverte était tenue seulement par sa cravate autour du cou. Lui aussi portait une cage de chasteté…

- Je crois que tu as déjà fait connaissance avec mon chien, une bien belle salope du même acabit que toi ! dit Marina (puis elle s’adressa à sa collègue, une certaine Elodie) Nous allons enseigner à ces deux chiennes nos bonnes et vieilles méthodes éducatives, avant même qu’elles touchent le sol américain. Je suis sûre qu’elles deviendront très rapidement dociles avec nous !

Marina avait attrapé soumis Endymion MDE par les cheveux et l’emmena à quatre pattes vers le steward enfermé.

- Lèche-lui les couilles, excite le, je veux voir sa queue gonflée sous cette merveilleuse carapace de verre, je veux la voir se comprimer contre ces parois étroites, je veux voir et entendre cette salope blêmir et gémir ! Tu entends chien ?
- Oui Madame. Répondit calmement soumis Endymion MDE

L’esclave MDE ne pensait plus, ne réfléchissait plus, mécaniquement et naturellement il avait adopté sa posture de chien mâle soumis, il léchait ces couilles tenues serrées dans ce cockring étroit, sans se soucier de là où il était, sans se préoccuper de qui le dominait, peu importe l’environnement, peu importe qu’il soit nu, peu importe le Dominant, il était en transe, terriblement excité à quatre pattes, dans une posture dégradante et humiliante, le cul relevé et les reins cambrés. Il était redevenu ce qu’il devait être, un simple esclave-objet en chaleur. Et pendant que sa langue s’activait, une main cherchait à lui retirer ce plug enfoui dans ses entrailles depuis si longtemps maintenant. L’objet lui fut ôté, ou plutôt arraché, et il ne put contenir un long rugissement lorsque la partie la plus large du plug passa sa rondelle étroite. Son cul resta béant quelques instants, juste le temps nécessaire pour lui enfourner un gode plus long encore, Madame Marina l’assaillait. Installée à genoux entre les cuisses écartées du chien soumis, elle avait ajusté un gode-ceinture à sa taille et se déhanchait furieusement. L’objet entrait et sortait à vive allure, le pénétrant un peu plus profondément à chaque coup de rein. Il haletait, suffoquait, se raidissait, se tétanisait comme s’il allait jouir. Ne contrôlant plus rien, il s’affaissa et s’allongea de tout son long sur le sol. Madame Marina le chevauchait plus violemment encore, assise sur lui, elle lui avait fait resserrer les jambes pour l’enculer plus sauvagement encore…

(A suivre…)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!