Quatuor : La Révélation (1)


INFORMATION

Ce texte est écrit avec la complicité de Caro, qui souhaite faire une surprise à Fred, son chéri et amour de mari. Pour cela elle recherchait la complicité d’une petite souris comme moi, Elodie, en recherche d’émotions et au service de leur plaisir. Nous vous livrons là une histoire en plusieurs actes, fidèle à nos envies et à nos délires. En espérant que la surprise soit au rendez-vous pour Fred bien sûr, mais aussi pour les lecteurs voyeurs de cette petite arnaque sensuelle, où le jeu à toute sa place. Bonne lecture.

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Fred était devant son ordinateur portable et se masturbait devant une vidéo coquine. Il était en chômage partiel pendant la pandémie. Caroline avait déposé les loulous à leurs écoles et collège, avant de se rendre compte qu’elle avait oublié à la maison une de ses mallettes de soins spécifiques pour un patient particulier. Elle est infirmière en addictologie et rarement étourdie. Elle avait fait son petit demi-tour inattendu tant pour son chéri que pour elle. Caro est du style méthodique et appliquée, la bonne élève qui aime quand tout est bien fait. Et Caro est carrée : même si elle est assez enjouée, souriante et ouverte, elle est maniaque sur le rangement et la propreté, mais bon, rien à voir avec nos histoires…

Son homme, Fred a 39 ans, c’est un solide gaillard, 1,84m pour un bon 100 kg. Il est paysagiste et profite d’un job assez physique qui lui permet de s’entretenir. C’est un beau brun, aux yeux marrons alors qu’elle est blonde aux yeux bleus. Ce mec est sa vie ! Elle est mariée avec lui depuis 8 ans et ils ont deux s, de 11 et 7 ans, plus l'aîné de 14 ans issus d’un premier mariage.

Fred a plein de fantasmes que Caro n’est pas en mesure de réaliser car certains lui font peur ou ne l’attirent pas. Mais elle a aussi quelques fantasmes en stock dont elle ne lui a pas encore parlé histoire de ne pas le perturber. En bonne petite infirmière Caro connait les besoins physiologiques des hommes, et n’a jamais refusé d’expérimenter les jouets, les scénarios susurrés dans l'oreille, les histoires imaginaires, la lecture érotique, la rédaction érotique à quatre mains.



La sexualité du couple est du style épanoui même si Caro vient d’un milieu catho conservateur sur la chose. Mais c’était bien la première fois qu’elle voyait son Fred se donner un plaisir perso caché. Caro adora admirer son mec se masturber, chose qu’elle ne pratiquait jamais elle-même. Pour elle une sexualité se pratique en couple et non pas en solo. Elle adorait vivre cette curiosité de le voir faire et comment il se donnait du plaisir. Elle se sentait devenir de plus en plus observatrice avec le temps, et surfait sur une tendance candauliste. Cette scène le lui confirma et elle en prit réellement conscience.

Son cœur était à la fois un peu déçu par l’acte caché de son homme mais ravie qu’il ne la trompe pas avec une autre. Fred avait quelquefois eu du mal à justifier certaines absences et elle se doutait qu’au travail il n’avait pu résister aux charmes de certaines de ses collègues ou clientes dont il lui parlait beaucoup au début, puis de moins en moins, pour finir par éviter de lâcher leurs prénoms par la suite. Pour info Caro est jalouse de type meurtrière tendance massacre à la tronçonneuse, le silence des agneaux étant trop soft pour décrire ce qu’elle ressent.

Le petit toussotement de sa chérie fit sursauter Fred qui ne l’avait pas entendu arriver.

- Tu fais des cachoteries sans moi, mon amour ?

Le sourire de Caro se faisait trop complice. Ravie, elle se faufila à ses pieds, s’emparant de son sexe pour récupérer son territoire et le masturber. Caro adorait la queue de son mec, la prendre en bouche bien dure et chaude était toujours une sensation très agréable.

- Petit coquin tu me donne une envie terrible mon amour, mais je vais être très en retard, tant pis !

Elle lui offrit une belle fellation rapide, chaud bouillant qu’ils étaient. Elle devait partir vite fait car l’agenda de sa tournée était chargé.

Son objectif était bien sûr de récupérer son chéri et lui faire prendre son pied.
Mais surtout elle mourrait d’envie de voir le type de vidéo qui lui donnait ce plaisir. Le scénario du film était un mec qui se tapait deux jeunes filles dont une petite timide sous le contrôle d’une autre plus extravertie. Cela la fit mouiller encore plus, et elle se délecta du plaisir qu’elle offrait à son homme, à genoux entre ses cuisses ouvertes. La belle queue se tendit, trouvant la conclusion de cette surprise dans les jets de sperme chaud que Caro dirigea sur le ventre de son mec, avec son sourire et cette gourmandise dans les yeux… comme une championne ayant atteint son objectif.

Caro avait eu 40 ans en février dernier et elle avait quinze mois de plus que son chéri. Elle mesure 1,65m pour un petit 65 kg. On ne va pas se le cacher Caro a des formes, un peu plus depuis le confinement, malheureusement. Les petites à l’écran étaient toutes minces et bien sûr bisexuelles les conasses. Embrasser ou faire l’amour à une fille n'était pas du tout son truc, Caro est bien trop jalouse de tout et connaît trop la méchanceté et la versatilité des nanas pour ne pas s’en méfier.

Elle ne savait pas si c’était l’âge, la quarantaine, le démon de midi ou la curiosité qui la poussait à le faire, mais Caro se sentait de plus en plus une âme de voyeuse... Elle devait avouer avoir été hyper systématiquement jalouse par le passé. Elle prêchait le faux pour savoir le vrai car avait toujours ressentie de l'excitation, assez intense, en imaginant son mari dans les bras d'autres femmes pendant ses ébats et uniquement dans ce moment-là... Dès le début de leur relation, Caro avait voulu tout savoir des ex de son chéri et des expériences sexuelles qu’ils avaient vécus. Cela la rassurait de tout savoir. Bien sûr toutes ces confidences étaient restées leur petit secret mais dernièrement tout s’était un peu accéléré. Depuis le confinement, trois fois sur cinq Caro avait recours à des histoires ou scénarios coquins avec son mari, et elle l'orientait sur des récits où il se "tapait" d’autres femmes.
.. Plus elle lui proposait de combler son imaginaire, plus il lui racontait ce qu'il leur faisait, plus elle montait, montait....

Cet épisode imprévu ou Caro avait surpris son chéri se termina sur une belle fin et elle repartit bien contente de cette expérience épicée non attendue. Mais ces épisodes lui trottaient dans la tête et son envie candauliste s’amplifiait et prenait de plus en plus de place dans son imaginaire.


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Tout s’accéléra quand ils croisèrent par inadvertance leur baby-sitter, Elodie, à la boulangerie. Elle leur présenta Marion “sa copine” et non pas “une copine”. Les mots ont un sens. Elles semblaient hyper gênées de cette présentation presque officielle et même avec les masques anti covid, Fred et Caro avaient ressenti la même chose. De retour dans la voiture ils se posèrent la question :

- Tu crois qu’Elodie est lesbienne ?

Ils l’avaient connu quand ? Ado quand elle avait 16 ou 17 ans. Ils l’avaient vu grandir sans s’en rendre compte. Elodie était une fille effacée, très timide, douce, gentille au look garçonne d’étudiante attardée. Huit ans plus tard, elle en avait déjà 25 et était toujours étudiante ! La vie était passée à 100 à l’heure. Les loulous adoraient Elodie et elle faisait partie de la famille. La chambre d’amis s’appelait d’ailleurs la chambre d’Elodie tellement ils associaient sa présence au sein de leur maisonnée.

Comme elle passait inaperçue, Elodie n’avait jamais fait partie des fantasmes du couple ou de leurs jeux érotiques. Bizarre car la babysitteur ta est un grand classique qui excite ces messieurs. Mais en l’occurrence la personnalité transparente d’Elodie l’avait rendue neutre à leurs yeux. D’ailleurs jamais Caro n’avait demandé à Elodie si elle avait un petit copain, pourtant elle était curieuse de ces choses-là avec ses collègues notamment. Elodie était une éternelle adolescente, une jeune femme qui n’en avait pas l’air, comme si le temps s’était arrêté sur elle.
Ils rentrèrent à la maison, absorbés par leurs pensées. Une fois dans le garage, moteur éteint, ils sortirent de la voiture. Caro se blottit dans les bras de son Fred et rompit le silence.

- Le nombre de fois où l'on a baisé en rentrant bien échauffés en fin de soirée avec Elodie dans la chambre d'à côté !

Le couple réalisait qu’Elodie, la jeune ado éternellement asexuée n’avait jamais été une femme dans leur esprit, mais un membre de la famille proche, une grande sœur pour leurs fils. Caro eut un flash :

- Purée et en plus ces deux filles ressemblent aux nanas de la vidéo porno devant laquelle je t’ai surprise en train de te masturber. Fred réalisa qu’elle disait vrai

- T’es nulle et conne de dire cela !

- Regarde-toi comme tu bande mon p’tit coquin. Fred bandait ferme en effet.

- C’est toi qui me fais cet effet ma chérie...

- En fait tu visualises maintenant toutes les fois où l’on a baisé sans retenue, avec Elodie dans sa chambre à côté de la nôtre ? Fred hocha la tête. Sans pudeur, sans se soucier de ce qu’elle en penserait, ce qu’elle pouvait ressentir, si elle nous entendait, ou pas ... Fred décocha un sourire rêveur.

- Et quand on rentre en pleine nuit, tu es décomplexée par nos soirées où l’on s’autorise à boire un peu, et tu fais du bruit dans nos ébats ma louve... Caro sentit son visage devenir pourpre.

- Tu sais que quand tu rougis tu m’excite. Je suis sûr qu’Elodie entendait bien quand tu me demande de bien te prendre ou de te la mettre bien profond. Caro fondait sur place, se voyant tout à fait bien dire cela. C’était bien son style

Fred et Caro ne purent résister à un petit quickie intense plein d’émotions contre l’établi du garage avant de rentrer avec les courses à la maison.

Cela faisait bien longtemps qu’ils n’avaient pas baisé dans le garage. Décidément la découverte de la sexualité de leur baby-sitter avait ouvert une jolie boîte de Pandore


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Le lendemain, justement, Elodie devait venir garder les loulous. Et c’est un regard tout autre que le couple posa sur l’étudiante éternelle. D’ailleurs Elodie était elle aussi troublée car on la sentait gênée. Caro s’isola dans la cuisine avec elle.

- Marion que tu nous as présentée hier est une “amie” ou bien une “petite amie”

Elodie devint toute rouge, trahissant la nature de leur relation

- Et cela fait longtemps que vous êtes ensemble ?

Elodie chuchota

- Deux ans,

- Tu aurais pu nous le dire tu sais, on est content pour toi. La seule chose qui nous importe est que tu sois heureuse.

Caro se sentait pourtant toute chose, n’en revenant toujours pas que l’hyper timide Elodie ait une sexualité.

- Si Marion veut venir avec toi prendre l’air à la campagne, ce n’est pas un problème pour nous que vous partagiez la chambre tu sais. Prends tes aises ici, sens-toi comme chez toi, le cadre est tellement plus sympa et chaleureux qu’en ville !

Caro posa sa main sur celle d’Elodie dans un geste de gentillesse. Mais c’est un autre sentiment qu’elle ressentit. Beaucoup de douceur et d’harmonie. Elle figeait son regard sur le visage familier de la baby-sitter. Caro ne pouvait décrire ce qu’elle ressentit à ce moment. Elodie rompit le silence bref :

- Oh c’est très gentil, merci !

- Et puis c’est bien que les loulous connaissent aussi Marion. Je suis sûr qu’ils seront ravis de la connaître. Ils ne sont pas censés savoir la nature de votre relation.

- Marion adorerait connaître les s, car je lui parle souvent d’eux ! ...Et de vous aussi...

Elodie rougit un peu plus, se refermant comme une huître, comme si ses mots avaient dépassé ses pensées.

- Appelle là et dis-lui de venir te rejoindre plus tard si tu veux.

Elodie sauta sur son portable visiblement trop contente de cette invitation, comme si elle l’attendait depuis longtemps. S'éloigner un peu plus loin de Caro lui permettait aussi de masquer son trouble.

Caro détestait les filles pestes et avait souvent souffert de ces ambiances pourries entre nanas. Mais Elodie était attendrissante. La voir se précipiter ainsi aussi vite pour parler à sa chérie et l’inviter à la rejoindre faisait plaisir à voir.

En l’écoutant parler au téléphone, Caro imaginait Marion se joindre à eux. Et pourquoi pas l'imaginer auprès de Fred, son Homme ! En fixant un point au loin, Caro imaginait Fred en train de faire l’amour à Marion, la copine de leur baby-sitter. Jamais au grand jamais Caro n’avait imaginé la petite Elodie faire l’amour. Mais elle visualisait fort bien son Fred pénétrer cette Marion. Ils ne l’avaient vu que 5 minutes presque à la dérobée. Elle se représentait si bien, cette fille se tordre de plaisir sous les coups de son mari. Dans ses pensées, l’épouse parfaite qu’elle était s’imaginait nue aux côtés de la petite Elodie, sur le canapé convertible de leur grand salon, en train de regarder son mec baiser Marion. Caro se sentit toute chose face à cette pensée prémonitoire, émue, perturbée, et elle s'enfuit sous un prétexte bidon pour ne plus croiser le regard d’Elodie qui terminait son appel.

Tout au long du confinement Caro avait appelée Elodie au secours régulièrement pour motif impérieux ! Les gamins confinés, surtout trois mecs, n'étaient pas toujours évident à gérer. Donc le couple s’échappait le week-end dans des gîtes ruraux du coin et Elodie s’occupait de tout, y compris des devoirs qui leur sortaient par les yeux. L’école à la maison n'était pas leur truc.

Ce soir-là, ils allaient juste dîner chez des voisins du lotissement et rentreraient tard à pied. C’est surtout le retour à la maison qui perturbait Caro. Elle aimait faire l’amour en rentrant d’une bonne soirée et ce soir allait être très spécial. Sur le chemin de retour Caro chauffa Fred :

- Cela me fait tout bizarre d’accueillir cette « Marion » chez nous et de savoir qu’elle va dormir dans le même lit qu’Elodie sous notre toit.

- Ah bon pourquoi ? Fred jouait l’innocent, mais Caro ne résista pas à le piquer sur ce sujet.

- Imagine qu’Elodie et Marion vont baiser cette nuit chez nous ?

Quand ils ouvrirent la porte vers 1 heure du mat les filles étaient encore dans le salon en train de regarder un film et ne les entendirent pas arriver. Tout le monde fut un peu surpris. D’habitude Elodie était toujours dans la chambre lumière éteinte comme si elle dormait. Mais là Elodie était sagement assise, bien calée dans les épais coussins de l’immense canapé convertible familial. Marion, visiblement plus à l’aise était espatarrée, jambes écartées, dans une pose indécente permettant des regards intrusifs...Une bouteille de vin blanc bien entamée trônait sur la table basse. Étrange car Elodie ne buvait pas d’alcool. Il n’y avait d'ailleurs qu’un verre à vin à côté de la tisane d’Elodie. C’était donc Marion qui avait quasi terminée la bouteille.

C’était la première fois que les époux voyaient Marion sans masque. Elle avait un très joli sourire enjôleur qui allait bien à ses cheveux blonds bouclés et ses petites lunettes. Elle avait de la poitrine et un beau corps sans extravagance. Faut dire que les filles portaient des hauts de pyjamas en coton trop grands pour elle. De grands tee-shirts de nuit, dirons-nous. Première fois qu’ils voyaient Elodie en pyjama, depuis leur première rencontre, elle ne se montrait à eux qu’habillée. Avec la lumière tamisée d’une lampe d’ambiance, on devinait que les filles portaient juste une culotte blanche confortable dessous et pas de soutien-gorge. On devinait leurs seins libres. Cela n'échappa pas aux amoureux que les seins de Marion étaient plus imposants que ceux d’Elodie. Celle-ci était d’ailleurs un peu nerveuse et n’arrêtait pas de passer sa main sur le ventre comme pour le masser tellement il devait être empli de nœuds. Elle passait aussi ses doigts sur son cou, comme pour se rassurer. C’était bien la première fois qu’il voyaient ce cou fragile, fin, délicat et soyeux, avec ses cheveux retenus par un chouchou. Elodie gardait normalement toujours ses cheveux lâchés. Le couple rentrait pour la première fois dans l’intimité de leur baby-sitter.



Caro sentie que son homme dévisageait Marion de haut en bas dans cette position allongée. Du coup elle se serra contre le bras de Fred se sentant soudainement hyper fragile face à ces deux filles. Elle entendit que sa voix n’était pas naturelle

- Tout va bien les filles ? Tout s’est bien passé ?

Elodie rassura les parents, mais on sentit qu’elle était très gênée de les croiser en cette fin de soirée. Caro écourta l’échange, prétextant être fatiguée et souhaitant bonne nuit aux filles. Marion intervint :

- On regarde la fin du film puis nous irons dormir aussi. C’est bientôt fini j’pense !

- On vous verra pour le petit déjeuner les filles. Bonne nuit.

Une fois dans la chambre parentale, Caro s’adressa à son mari.

- T’a remarqué comme Marion t’a matée. Elle a l’air d’une bonne gourmande celle-ci. A mon avis elle est bisexuelle non, tu ne dirais pas ? Fred était toujours gêné par les provocations de son épouse. Elle se blottie contre son homme

- Je t’imagine bien avec Marion elle semble pas du tout farouche comparée à Elodie. Tu crois que c’est le mec du couple ? Caro posa la main sur le sexe bandé de Fred, ravi de le trouver dans cet état. Elle ne put résister à défaire la ceinture et dégrafer les boutons de ses jeans tout en lui parlant et en faisant sauter ses baskets.

- Je sais que tu adorerais voir ton mari au milieu de ces deux filles en toute complicité. Je vois bien Elodie en petite lesbienne lèche minou timide et réservée. Pas toi ? Fred avait retiré son tee-shirt et Caro fit tomber au sol sa petite robe. Elle adorait quand son homme partageait ses envies sans lui mentir. Caro poursuivi :

- T’imagine Elodie avoir un orgasme, ce doit être quelque chose de très doux et terriblement craquant. Soutien-gorge et string rejoignirent la robe au sol avec les jeans et le caleçon de Fred.

Caro fonça prendre une douche dans la salle de bain attenante en pensant aux filles. Puis de retour elle n’hésita pas à tiser son homme à poil sous les draps

- Dis-moi ce que tu ferais avec ces filles ? Caro fondait sur place et adorait écouter les détails croustillants des pensées de Fred

- Je m’imagine bien sur le dos, Marion toute dégoulinante d’envie venir se faire lécher le minou. Et Elodie venir profiter de ma belle queue tendue pour l’enfiler tout au fond de sa gorge de petite timide cherchant une excuse de plus pour ne pas parler. Fred prit sa chérie par la main et l’invita à s’allonger sur lui. Caro pouvait bien visualiser cette scène et en était toute retournée.

- Elodie en train de te sucer ? je la crois incapable de faire cela...

- Mais là c’est toi qui es toute dégoulinante ma chérie. Tu n'es pas mouillée, tu es trempée. Caro se sentit toute honteuse.

La chambre d’Elodie était voisine de celle du couple. Dans les deux sens, on entendait tout ! Et justement un petit bruit se fit entendre dans la pièce voisine. Fred avait lui aussi du comprendre la présence des filles à côté et s’enhardit

- J’adore quand tu es excitée ma petite louve d’amour. Dis-moi que tu as envie de moi. Les doigts de Fred rentrèrent en Caro comme dans du beurre. Elle se cambra, agréablement surprise

- Oh oui j’ai trop envie Fred. Les doigts de son mari en elle la faisait craquer

- Envie de quoi tu peux me répéter Chérie j’adore l’entendre. Fred savait bien que cela serait aussi entendu à côté. Ses doigts commencèrent des allers retour et Caro partie en petits râles

- J’ai envie de toi mon amour, oui trop envie lâcha Caro haletante

- De quelle partie de mon corps as-tu envie ma chérie ? Dis-le-moi je veux l’entendre

- De ta queue avoua Caro à voix basse. Fred retira ses doigts luisants du sexe de sa chérie

- Plus fort, répète, dis-moi ce que tu veux de moi ? Fred fit mettre Caro à quatre pattes.

- Je veux ta belle queue mon amour. Caro savait que les filles savaient. Marion fit signe à Elodie de se taire et d’écouter.

- Et tu l’aime comment ma belle queue ? En bon mâle dominant, Fred voulait faire profiter aux filles de leurs ébats et cela mettait Caro dans tous ses états.

- J’aime quand tu me la mets bien mon amour. Fred positionna sa queue à l’entrée du sexe chaud de Caro

- Tu veux dire bien profonde ma douce ? Le gland fit son entrée en elle et Caro lâcha un halètement coupable. Fred commença ses allées et venues animales.


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Les filles s’étaient glissées nues sous les draps, lumière éteinte, écoutant ce couple fusionnel faire l’amour. Blotties l’une contre l’autre sur le lit, tendant l’oreille, essayant de ne plus faire de bruit, les filles entendaient Caro commenter les attributs de son mec, le complimentant, l'encourageant à bien la prendre. Elles étouffaient leurs rires toutes les deux complices d’entendre ces mots et les bruits de leurs ébats.

Elodie était comme d’habitude terriblement gênée de les entendre. Elle avait construit sa sexualité en les écoutant faire l’amour et avait découvert les premiers émois de sa sexualité en leur compagnie. Partager avec eux, de l’autre côté de la cloison, leurs moments intimes, était quelque chose qui s’était imposé à elle. Elle avait vécu sa première masturbation sous la force de leur amour. Huit ans que cela se passait ainsi. Cela expliquait qu’Elodie n’osait pas trop croiser le regard de ce couple et qu’une grande timidité s’emparait d’elle quand elle était en leur présence.

Elle trouvait ce couple solide et amoureux tellement beau. Elle adorait être le témoin silencieux de leur sublime union.

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