Une Partie D'Échecs
À presque quarante ans, beaucoup dhommes se retournent sur mon corps que jentretiens souvent, par des séances de gymnastique, de footing et de natation.
Mariée depuis quinze ans, nous avons une vie très stable, mon époux mapportant tout ce que je désire, et même parfois avant que je ne le formule. Aussi bien sur le plan matériel, quaffectif et surtout sexuel.
Pour le sexe, il est toujours dune imagination sans borne, me mettant parfois mal à laise, me faisant passer de la bourgeoise coincée à celui de putain. Bref, une vie sexuelle bien remplie.
Toutefois, quelques fois, son comportement avec moi me mettait mal à laise.
Il y a un an, vers 18 heures, à lheure où la chaleur décline. Je venais de sortir de notre piscine. Mon maillot de bains ôté, je me décidai pour un tout petit top couvrant ma poitrine nue et une jupette de tennis, sous laquelle je portais juste un petit string. Jétais pelotonnée dans notre balancelle, quand jentendis la voiture de mon mari. Puis le bruit dune portière, et dune deuxième !
- Tiens, ce soir il y a quelquun avec lui ? Me suis-je dit.
En effet, mon mari est arrivé avec David une relation de travail qui était devenu un véritable ami.
- Jai ramené David pour faire une partie déchecs. Comme demain cest samedi, nous aurons tout le dimanche pour nous reposer pour nous remettre en forme avant une semaine de dur labeur.
Mon mari envoya valser sa cravate, son veston et invita son ami à en faire de même. Nous avons sorti les bouteilles dapéritif, les petits gâteaux. Mon mari tout fier de son barbe Uck en pierre, alluma le foyer, pendant que jétais allée chercher les merguez et autres chipolatas, je les saupoudrais dherbes de Provence et les passais à son copain qui soccupa de la cuisson.
Une fois la dernière bouchée avalée, les hommes installèrent léchiquier, et mon mari, annonça quil allait se changer.
- Tu es toujours aussi ravissante ! Tu as un bronzage splendide, et tu es bronzée partout, comme ça ? me dit son copain.
- Oui mais ne compte pas que je te montre mon bonhomme !
Mon mari cétait là déjà mis en maillot de bain. Il enjoignit son ami à, se mettre dans la même tenue, lui expliquant que faisant sensiblement la même taille de pantalon il lui avait préparé sur le rebord de la baignoire, un de ses slips de bain.
- Jespère que cela ne te gêne pas que jai ramené mon pote avec moi pour le week-end ?
- Pas du tout, la seule chose qui mennuie cest que vous allez encore jouer toute la soirée à votre jeu, auquel je ne comprends rien.
Le copain de mon mari revint se plaignant que mon mari nait pas le compas dans lil pour les tailles. En effet, il était plutôt étriqué dans le slip de bain de mon mari. Cest tout juste si ses attributs virils étaient contenus dans le maillot de bain.
- Désolé mon vieux, de ne pas en avoir une aussi grosse que toi, mais tu nas quà tasseoir, tu vas faire rêver ma femme !
Il est vrai que David que jai plutôt lhabitude de voir en costume cravate, a lair dêtre monté comme un cheval. Évoquer ainsi lami de mon mari me fit ériger les pointes de mes seins, et ils ne manquèrent pas de le remarquer.
Leur jeu a duré pendant plus de deux heures, quand soudain mon mari, ayant déplacé une tour, David lui a aussitôt dit :
- Tu es mort mon vieux ! Je te mets échec et mat en deux coups.
- Ha ! ha, je voudrais bien voir ça. Répond mon mari.
- Tu veux parier ?
- Si tu gagnes ton coup, tu gagnes en même temps le droit de disposer de Ma femme à ta guise.
Je fus abasourdie. Sans même me demander mon avis ! Mais, de toutes façons, il sait que je lui suis fidèle, quil est mon unique raison de vivre, il ne me mettrait pas comme cela en jeu sil existait une once de chance pour quil perde.
- Quen dis-tu, mon amour ?
- Je suis daccord, si cest ce que tu veux, si cest aussi, ce que je vaux à tes yeux.
Je ne fus pas sans voir le début dérection chez David, érection qui devait être assez douloureuse vu la taille du slip. La partie a encore durée, mais cette fois je la suivais, cest normal, étant la principale intéressée. Penchée derrière mon mari, javais conscience dexposer ma poitrine à son copain. Je voulais lui montrer ce quil allait perdre, puisque bien sûr, mon mari allait remporter la victoire et javoue que je voulais le déconcentrer aussi. Ils étaient donc en pleine concentration, quand mon cher et tendre a brisé le silence :
- Putain, celle-là je ne lai pas vu venir. Ce nest pas vrai ! Merde !
De tels propos dans la bouche de mon mari me surprirent, et là, je pris conscience de son désarroi puis jai compris quil venait de perdre la partie et que du même coup son copain mavait gagnée. Mon mari, invita son ami à se rapprocher de moi.
- Tu verras, je lui dis ! Tu ne regretteras pas que mon mari ait perdu.
Javoue quand-même, quavoir des relations avec un homme chez moi, devant mon mari complaisant et voyeur, était une situation inédite pour moi. Je sentis bientôt, mes tétons qui tendaient le tissu de mon top, monter une vague de chaleur dans mon ventre avec comme conséquence une humidité certaine de mon minou.
David chercha alors rapidement à membrasser. Il posa ses lèvres sur les miennes, récalcitrante, je fis un barrage de mes dents à sa langue. Mais devant mon époux et à la manière désinvolte quil avait eu le culot de me proposer comme lot, je fis aller ma langue à la rencontre de la sienne, et nous les fîmes se chevaucher.
Jenvoyai ma main à la rencontre de son sexe à moitié sorti du slip prêté par mon mari. Lui nattendant bien sûr que ce signal, se libère. Il vint empaumer mes seins après mavoir fait lever les bras et fait passer les bretelles par-dessus mes épaules.
Je mouillais de plus en plus. Je le sentais de plus en plus entreprenant. Je sentis sa main rechercher la fermeture de ma micro jupe, puis elle sinsinua entre nos sexes pour baisser le frêle rempart de tissu du string que javais eu la bonne idée de mettre.
- Tu es vraiment monté comme un âne. Lui dis-je en commençant un mouvement de va et vient sur sa hampe que javais du mal à couvrir de mes deux mains.
Sétant aperçu que jétais pas mal mouillée, il tint à continuer et me fit allonger à même le sol, il nous fit mettre tête-bêche et nous eûmes bientôt le sexe de lautre en bouche. Pendant quil me dévorait le vagin, je me suis occupée de sa queue.
Magnifiquement monté il devait faire dans les six à sept centimètres pour une trentaine de centimètres de long. Il était plus large et plus long que mon mari qui arrivait déjà bien à me remplir.
- Quest-ce que ça allait être avec lui ! Je mattendais au pire !
Jétais donc avec le sexe de David en bouche et javoue que jaimais ça. Jen arrivais à me demander si jétais devenue, une putain ? Car si mon mari avait fait en sorte de me plier à ses désirs, ses pulsions, je me demandais si je nen tirais pas une certaine jouissance, si je nacceptais pas trop facilement de me soumettre à ces plaisirs particuliers.
Pour linstant un sexe masculin me distendait les lèvres, me faisait hoqueter de bonheur. Quil était long et gros, quil était chaud et parfumé ! Je mappliquais à en sucer le gland, passais ma langue sur toute la longueur de sa hampe, léchais ses couilles avant de revenir faire un tendre baiser sur son gland. Sa queue prenait encore plus de volume ! Jen étais fière.
Il se mit à gémir et cela me donna envie den faire plus. Je remontais tout en laissant un filet de salive, je suçotais le bout de son sexe, je redescendis, loin, très loin pour lui faire sentir mon souffle chaud sur son ventre, mes lèvres se frottant sur ses poils intimes.
Par moments, je laissais sa queue ressortir complètement du fourreau de ma bouche, puis je la reprenais faisant mine de lavaler, jen attaquai lextrémité en lenveloppant de toute la largeur de ma langue, je picorais son gland en lembrassant et en le suçotant.
Quant à lui, je lai senti repousser doucement mon clito, en révéler la petite tête rouge et dure, suintante dhumidité. Il me léchait le clitoris à petits coups de langue, vifs, incisifs et rapides. Il jouait avec mes lèvres, me léchait la fente de haut en bas, encore et encore, y mettait la langue pour recueillir ma cyprine qui coulait maintenant en abondance. Mon corps allait à la rencontre de sa bouche, de sa langue.
Il me dévorait le minou et je coulais comme une fontaine, je creusais le ventre comme pour mieux en faire loffrande à mon bienfaiteur. Je mentendis grogner de plaisir, puis ce fut son tour. Il commença à promener sa verge sur mes seins.
Le gland, mouillé de ma salive et de ses sécrétions se frottait sur mes mamelons durs et tout érigés. Son bout laissait perler des gouttes transparentes quil sappliqua à métaler sur mes aréoles. Sous la caresse mouillée ma poitrine presque douloureuse vraiment durcit.
Après une bonne dizaine de minute de frotti-frotta, de mes seins sur son pénis, javais pris le rythme, je voyais en contre-plongée, son gland surgir de fourreau de mes seins quand, tout à coup, son sperme jaillit avec une puissance que je ne soupçonnais pas.
Surprise ! Je vis la suite comme dans un film au ralenti. Il atteignit dabord ma chevelure, puis mon visage, jouvris alors la bouche pour récupérer une partie du précieux nectar. La puissance de lémission de foutre fit que je métouffais presque en déglutissant.
Il termina en maculant mon menton et mes nichons qui avaient été le berceau orgasmique de son éjaculation. Cétait la première fois que je vivais ça ! Même avec mon mari, qui était pourtant, un sacré baiseur.
- Ton mari ne mavait pas menti quand il me disait que tu étais super chaude, super bandante et que tu savais y faire pour faire dégorger un homme.
- Vraiment ? Il tas-dit tout ça ? et que te raconte-t-il encore sur nos ébats sexuels ?
Jétais carrément furibarde contre mon mari. Non seulement il dévoilait notre intimité, mais en plus il me faisait passer pour qui ? Pour quoi ? Il voulait une leçon ? Eh bien il allait en recevoir une et une magistrale.
Je pris David par la main pour lemmener dans notre chambre, sans que mon bien aimé puisse assister. Jusque maintenant il avait été spectateur de nos ébats, mais là je lui retirais ce rôle de voyeur quil affectionnait. Dailleurs, je me rendis compte que je ne métais pas trompée et quil était surpris.
- Nous en avons pour un bon moment, amour, lui dis-je. Je vais montrer notre chambre à David, je pense que tu sauras te contenter de la chambre que tu avais prévue pour lui, puisquil ma gagnée, je ne me vois pas aller coucher avec lui dans un lit à une place, surtout pour ce que nous allons y faire !
Cette phrase vengeresse, laissa mon mari comme deux ronds de flan, je repris ma jupette, mon brésilien et David suivit, son slip à la main et la bite au vent.
- Tu nas pas été trop dure avec lui ? demanda David.
- Je ne crois pas. Lui, il aime jouer avec les sentiments, donc il jongle avec le feu, et il ne doit pas sétonner de se brûler de temps à autres.
Touchée par la sensibilité de mon amant qui sétait senti mal à laise, je lui fis visiter la chambre avec la fierté de la maîtresse de maison qui sait tenir son logis.
- Votre chambre est très grande ! Ça me change de mon studio de célibataire. Cest vraiment très luxueux !
Il était comme un gosse, sémerveillant de la taille du lit au-dessus duquel mon mari avait fait placer des miroirs, le la véritable salle de bains attenante à la chambre et surtout de la terrasse.
- Tu nas quà tasseoir sur la terrasse, pendant ce temps-là, je vais me rafraîchir un peu, jen ai besoin après notre exercice. Après ce sera ton tour, lui fis-je.
Alors que je cherchais après des vêtements pour me changer, il vint derrière moi, me prit par les seins et me demanda :
- Que vas-tu te mettre ?
Je sortis plusieurs tenues, et je lui demandais comment il voulait me voir habillée. Il fit son choix dans ma garde-robe après avoir amoureusement tenu dans ses mains des chemisiers, des sous-vêtements.
Finalement son choix sarrêta sur un chemisier transparent, qui se révélait plus courte encore que ma jupette de tennis et sur un tout petit string rouge transparent au possible. Je devrai porter le tout avec une paire de souliers à talons aiguille. Ça me donnait, une cambrure exceptionnelle. Nétant pas encore habillée, il me fit remarquer que la touffe de poils qui ornait mon sexe était bien mignonne.
- Viens donc me la raser. Comme cela je serai entièrement glabre pour toi.
- Comment sais-tu que cest mon fantasme ?
- Mon mari me la déjà dit. Tu vois, à toi il te parle de moi eh bien, à moi, cest de toi quil parle. En fait, la petite touffe de poils ras qui surmontait mes grandes lèvres je lavais surtout pour lui. Il aimait membrasser là pour commencer. Pour lui, cétait la ligne de départ de tout cunnilingus. Il serait donc privé de ce point de repère pendant un certain temps !
David sarma du rasoir de mon mari. Moins dune minute après, jétais redevenue comme le jour de ma naissance. Pendant quil faisait office de barbier, dans la baignoire, je me lavais, et javoue que je fus satisfaite du résultat et plus encore du soin avec lequel il me passa du baume apaisant sur le minou. Je fus prise de pitié en le voyant tenter de remettre le slip de bain échancré que lui avait prêté mon mari.
- Il y a une autre armoire dans la chambre, qui est à mon mari. Prends donc un caleçon ou un boxer, tu y seras plus à ton aise.
Après sêtre changé il revint vers moi, et reconnaissant, membrassa tendrement, faisant naître en moi une onde de désir.
- Es-tu certain que le baume apaisant que tu mas mis ne tâche pas ? Je ne voudrais pas faire une tâche sur un string propre.
- Eh bien, le mieux cest que tu nas quà pas en mettre.
- Arrête, idiot !
Nous retournâmes voir Mon mari qui attendait tout penaud.
- Tu as une bien jolie maison, le complimenta son copain, cest une chose de la voir en photo et une autre que de pouvoir en profiter avec la maîtresse des lieux qui en est le joyau.
Les deux hommes sassirent sur un canapé et moi je pris place, en face deux, dans un fauteuil qui me força à écarter les jambes. Je vis mon mari qui buvait un whisky, s en constatant que mon minou était lisse comme le dos de ma main. Je lui fis un adorable sourire de garce jen conviens, et lui dit :
- Tant quà appartenir à David jusquà dimanche soir, je trouve quil vaut mieux lui accorder tous ses plaisirs et tous ses fantasmes.
- Alors là, me dit David, si tu maccordes tous mes fantasmes saches quil y en a un que je voudrais réaliser avec toi.
- Ah oui, et lequel ?
- Ça serait de faire lamour à trois, à quatre voire à plus. Pour linstant je ne vois que ton mari ici, alors la partie à trois est réalisable.
Ah, le salaud il sen tire encore bien. Même si jai des raisons de lui en vouloir, jai présent à lesprit que cest lui qui ma tout appris en matière de sexe. Il a voulu aujourdhui me partager avec un autre, eh bien il en sera fait selon ses désirs et plus douce sera ma vengeance. Je me rends compte que je sais être une excellente élève, allant parfois au-devant du souhait de son professeur, ou plutôt devrais-je dire de ses maîtres, dans le plaisir, le délire, le désir de lautre, des autres.
- Si tu veux David, moi personnellement, je suis plutôt flattée dêtre désirée par deux, voire plusieurs mecs en même temps. Je maperçois que tes fantasmes, pour linstant, je peux y répondre le minou rasé, lamour pluriel, quand il y en aura un qui me gênera je te le dirai.
Mon mari, qui se rend compte quil va pouvoir à nouveau me baiser grâce à son ami, au lieu de tenir la chandelle, vient dans mon dos et commence par un très doux massage de mes épaules et bien vite, vient emprisonner mes seins.
Pendant que jembrasse David, mon mari achève de déboutonner mon chemisier et le retire, cest ensuite au tour de ma mini-jupe dêtre détachée, celle-ci tombe autour de mes pieds que je lève lun après lautre afin quil puisse lévacuer. Je nai plus sur moi que mes chaussures.
Je sens les bras de mon mari frôler mes cuisses et je me rends compte quil est en train de baisser le caleçon de David, le contact de ses poignets avec mes chevilles me donne à penser quil est arrivé à ses fins.
Puis, Mon mari se débarrasse de son maillot de bain, et bien, je peux vous dire que rien ne vaut cette sensation, un sexe frottant contre mes lèvres intimes et un autre niché dans le sillon de mes fesses. Je jouis entre mes compagnons, prise en sandwich, comme une tranche de jambon entre leurs deux baguettes !
Je sens le doigt de mon époux sur ma rondelle. Il commence à lui faire faire un va et vient, mon petit trou ne fait aucune difficulté à se laisser pénétrer. Aussi, il envoie un second puis un troisième quil enfonce en tournant et en les remuant, de manière à me préparer avant de mettre sa queue.
Quand il juge que je peux le recevoir, il me pénètre avec un « han » de bûcheron et les deux amis commencent à me besogner. Je ne sais pour qui la sensation est la plus étrange pour eux qui me prennent comme une chienne ou pour moi, qui subis leurs assauts frénétiques ? Toujours est-il que cest très étrange de sentir leurs sexes se battre, se combattre à travers ma matrice.
Je ne suis plus quune source intarissable, je narrête pas de jouir, mes seins sont mangés, même mes aisselles sont dégustées. David me prend les lobes de mes oreilles, les lèches, il a découvert que cétait un de mes points faibles et il en profite, mes cheveux sont collés par la transpiration. Et soudain, le carillon de la porte dentrée retentit. Mais on nattendait personne ! Qui cela peut-il bien être ?
Mon mari, remet vite son caleçon, se sèche avec une serviette qui traînait par-là, se coiffe sommairement en passant les doigts écartés dans ses cheveux, puis va ouvrir. David et moi, nous nous dépêchons de nous rhabiller en pêchant dans les vêtements éparpiller par terre, pour nous donner un certain air civilisé, nous nen sommes tout de même plus à lépoque des cavernes où une simple peau de bête suffisait pour se vêtir!
- Quelle heure peut-il être ? Demandé-je à David.
- Vingt heures et des poussières. Me répond celui-ci, tout en remettant de lordre dans la pièce.
- Ah bon, seulement ! Fais-je en passant un coup de désodorisant parfumé, la pièce doit embaumer nos exploits.
Jamais, je nai été rhabillée aussi vite et un rapide coup dil en coin mapprend que cest aussi, sans doute, le cas pour David. Maintenant à peu près présentable, je me précipite vers lentrée doù jentends poindre de joyeuses exclamations.
Franchissant la porte je vois trois personnes, il y a là Julien, mon ancien fiancé aussi copain de mon mari, sa copine Annie, et un ancien voisin connu de tous de le quartier pour ses multiples conquêtes féminines, mais seul pour une fois, ce soir.
- Chérie, me dit mon mari, ils sont venus juste pour nous dire un petit bonjour, en passant devant chez nous.
Je reviens dans le salon où David termine de remettre de lordre. Ouf, ça va ça ne sent pas trop le sexe, mais au contraire une agréable odeur de rose flotte dans la pièce, Je remercie les fabricants de laérosol dont je me suis servie et réintègre mon rôle de maîtresse de maison.
Oh! Il ne fallait pas, balbutiais-je, en voyant que chaque personne est porteuse de deux bouteilles dun champagne renommé.
- Mais si, mais si, cest tout à fait normal, rétorque Julien, mais, nous vous dérangeons peut-être ?
Il na pas changé ! Une belle voiture neuve, bien sapé ! Cest ce côté nouveau riche, cherchant toujours à en mettre plein la vue et à écraser tout le monde avec son fric, qui mavait fait précisément quitter ce type.
En installant les bouteilles quil a ramenées dans des seaux à champagne, je surprends les regards des trois invités surprise plongeant dans mon décolleté. Mes seins sont nus sous le corsage transparent que jai remis à la hâte, et dont jai dû oublier refermer un ou deux boutons
Ayant conscience du paysage que je leur offre, jen remets une couche et viens les servir, en me penchant bien de manière à leur offrir un superbe panorama. Ils doivent pouvoir voir au moins, jusquà mon nombril.
Jessaie de fixer mon attention sur leurs conversations à tous, mais peine perdue, on ne perçoit plus quun brouhaha.
- Nest-ce pas, chérie ? dit mon mari, en train de converser avec mon ex et sa nouvelle copine.
- Pardon, javoue que je ne faisais pas attention à ce que tu disais. Il est impossible, pour moi, de suivre la conversation de chacun.
- Je disais à Julien que javais perdu aux échecs et du même coup que je tavais perdue au profit de David.
Le salaud, il na pas pu se retenir. On dirait que ça lui plaît de faire constater aux autres que je suis sa chose. Et avant quil naille plus loin, tout en lui décochant un regard noir, je vais à la rencontre de mon ex et celui-ci me présente Annie, son amie.
Il est vrai quelle est superbe, brune à la silhouette plus quavantageuse, elle a un regard envoûtant, ses yeux sont dun bleu profond. Ses longs cheveux bruns sont juste coiffés à la va vite, sa poitrine, qui me paraît plus conséquente que la mienne, est libre sous un petit haut en filet. Jaime autant vous dire que les pointes de ses seins trouent littéralement le vêtement.
Quant à son mini short en jean, qui lui moule parfaitement les fesses par derrière et son mont de vénus par devant, il laisse séchapper des cuisses longilignes et hâlées surmontant elles-mêmes des jambes fuselées et interminables.
Mon ex, sans doute émoustillé par ce que lui a raconté mon cher et tendre, commence devant sa copine à me coller les mains au fessier, elles sinsinuent même sous létoffe de ma mini. Jai conscience quil me pelote les fesses et saventure sous lélastique de mon string. Je perçois aussi son excitation qui prend de lampleur jusquà déformer son short en jeans.
- Tu es toujours aussi craquante et bandante, me susurre- t-il.
Je voix mon époux en grande conversation avec les autres, Des éclats de rire me parviennent, ils me jettent des regards amusés et intéressés. Pourvu quil ne soit pas en train de leur raconter notre expérience à trois, je le connais suffisamment pour savoir quil peut, à partir de faits réels, bâtir un scénario bien croustillant dont je serais lhéroïne ! Je ne vais pas tarder à être fixée, les voici qui se dirigent vers nous.
- Alors ! On voulait partouzer à deux sans nous ?
Cest bien ce que je craignais ! David na pas pu sempêcher de se vanter de notre petite sauterie, mais en quels termes ? Cette fois ci la coupe est pleine. Je suis décidée à me venger et il est bien loin de se douter de ce je peux imaginer comme revanche. Il doit encore simaginer que je suis la petite bourge quil a connue à nos débuts. Tant mieux, jai pour moi leffet de surprise.
Ok ! Puisquil fantasme tellement sur un trio, je vais me donner à trois de plus ! Javoue que moi aussi je ressens une bouffée de chaleur qui mhumidifie le minou. Et même si la petite amie de mon ex est daccord, je saurai aussi moccuper delle, lui donner du plaisir. Même si elle nest pas daccord, je saurai la convaincre.
Jen suis arrivée à un tel point de rancur envers mon mari que je veux leur jouissance à tous. Je voudrais que ma bouche soit le creuset où se mélangeront leurs spermes, je désirerais que mes cheveux soient laqués de leur jouissance, jexigerais que ma peau soit nimbée de leur semence. Je souhaiterais que mon corps entier soit le réceptacle de leur foutre, je demanderais à men abreuver.
Voilà la chienne que je suis devenue à cause de mon mari. Si seulement il savait à quel point il ma transformée, moi la petite bourgeoise que jétais quand on sest rencontrés, mais il ne va pas tarder à sen rendre compte !
Maintenant ! Je ne désire plus quune chose, être prise sous une douche de sperme. Je sens que je ça y est je suis transfigurée. Ma mutation en salope sest faite et elle est irréversible, je deviens scénariste de mon existence, je ne vois pas ma vie comme un scénario érotique mais carrément pornographique. Jai envie dêtre grossière, de dire des choses crues.
Voilà en quoi je suis transformée par la faute de mon mari, en une salope assoiffée de sperme et pourquoi pas en une pute jamais rassasiée, en manque dorgasme. Quand jétais petite fille je serais bien mon nounours contre ma poitrine, là ce sera un autre animal qui entrera en contact avec mon corps.
- Tu rêves ? Me demande David ? Cela fait bien deux ou trois fois que je te demande ce que tu veux boire, reprend-il.
Ah! On veut me faire boire en plus! Ok, je ne vais rester sobre, comme cela pas dexcuse je serai vraiment la salope que je veux être. Mon mari veut avoir épousé une femme qui se comporte en pute ?
Entourée de quatre mâles, je sens leurs sexes, sur mes fesses, sur ma chatte et ma cuisse, et même contre mes mains inoccupées pour linstant. Je nai pas envie de me réfréner, mais plutôt de me laisser aller à ces délices interdits, à ceux que les esprits étroits appellent plaisirs immoraux.
Les quatre mecs qui mentourent sont tous à mes gouts. Mon mari, bien sûr, son copain David, mon ex avec son short en jeans, son amie avec une chemisette ouverte, le tombeur aujourdhui seul, maître-nageur dans la vie, il porte un cycliste qui lui moule le paquet, et autant vous dire que ce paquet prend brusquement de lampleur.
Après avoir dégusté une autre coupe de lexcellent champagne, je me sens bien partie et je constate quil en est de même pour les autres.
Leurs mains ne se gênent pas pour me palper, pour me flatter la poitrine et les fesses, pour se perdre sur mon entrejambe. Le maître-nageur me débarrasse de mon chemisier devenu gênant pour eux. Son cycliste, déformé par son gourdin, a tôt fait de rejoindre la fine étoffe.
Son sexe ressemble à une batte de base-ball, et comme en plus il est circoncis, son gland semble aussi volumineux que les cornets de glace à la fraise dont jétais folle que le marchand de glace me servait.
Dailleurs il semble en avoir la taille et la couleur violine, je le goûte en le léchant, le suçant et du même coup, je fais encore augmenter sa tumescence.
David, derrière moi, en profite pour dégrafer ce qui reste de ma minijupe, la fait tomber par terre, ensuite, il fait glisser mon string, trempé de sueur le long de mes jambes en sattardant sur mes cuisses quil parcourt de bisous.
Me voici nue devant quatre mâles en rut et une fille qui na pas lair de vouloir laisser sa part aux autres. Je naurais pas à la convaincre de pratiquer lamour car, Annie la copine de mon ex veut membrasser, la voilà qui me roule une galoche faisant tournoyer sa langue contre la mienne, nous mêlons nos salives, nos souffles, nos jouissances et nos cris. Japprécie le râpeux de sa langue, celle-ci a le caractère rugueux dune langue de chat et me génère des frissons tout le long de ma colonne vertébrale.
Jôte les cordons qui retiennent son top fermé sur le devant et fais passer celui-ci par ses épaules. Elle doit être adepte du bronzage intégral car je ne vois nulle trace de maillot sur son corps splendide. Le maître-nageur, qui lui a retiré son tout petit short est déjà en train de lui brouter le minou, agaçant son clitoris de la langue tout en cherchant à lui enfoncer son majeur dans le cul. Décidément, il na pas usurpé sa réputation dhomme à femme, celui-là !
- Sil te plaît, non pas par-là, je ne lai encore jamais fait !
- Je te jure que je ferais très attention. Si tu as mal, tu nas quà me le dire et jarrêterai.
Malgré ses gémissements, il ne tarde pas à lui fourrer jusquà trois doigts dans le cul. Mon mari qui a bien vu son manège vient se positionner derrière et senfonce en elle. Soudain, David demande aux autres :
- Qui veut maider à réaliser mon fantasme avec ta femme ? Je sais quelle est partante pour une orgie de sexe à plusieurs.
À peine a til prononcé ces paroles, que tous se précipitent sur moi, mon mari sétend sur le sol et je suis carrément fichée sur lui. Le beau maître-nageur vient me narguer avec son sexe, me le passant sur le front, sur les tempes.
Je tente vainement de le prendre en bouche. Jen arrive presque à bouder comme un privé de son jouet. Enfin il pose son gland sur la bouche que jentrouvre pour pouvoir le déguster.
Je fais virevolter ma langue, lèche sa hampe, tente aussi de lui faire une gorge profonde mais devant la démesure de son sexe, je suis contrainte dabandonner.
Je lève la tête et aperçois David et mon ex qui sont en train de se masturber, chacun dans un coin. Je leur fais signe dapprocher ne pouvant parler, ne dit-on pas aux s quil ne faut pas causer la bouche pleine.
Je prends un sexe dans chaque main. Cette fois ci, je crois bien que je suis prise de tous les côtés, un sexe dans la bouche, deux virilités qui soccupent de mon côté pile et de mon côté face.
Je crois quon ne peut faire mieux.
Et soudain cest léclair de génie, lâchant la queue de mon maître-nageur, jinvite la femme à venir, et lui annonce que je vais masturber son clitoris avec mon pied. Elle sassied, et son clitoris saillant comme une petite bite est bientôt à la fête, agacée par mes orteils. Alors je reprends entre mes lèvres la queue de lapollon des plages.
Je peux enfin savourer ma victoire, ma vengeance sur mon mari, et surtout, jai une irrépressible envie de lui hurler que cest moi qui le mets en échec et quil mate bien tout ce que je fais.
Et cest avec le sentiment du devoir accompli, que je vais vous abandonner pour continuer de me faire prendre par tous les orifices, en changeant de partenaires,
- Maintenant ! Je vais pouvoir envisager ma nouvelle vie et excusez-moi de vous quitter sans une poignée de mains ni même un bisou, car noubliez pas que jai les mains occupées et la bouche pleine.
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