La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 590)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°589) -

soumis Endymion MDE fut enfin autorisé à retrouver sa place dans l’avion après avoir subi pendant plus d’une heure de temps, les assauts pervers des deux hôtesses dominatrices. Son cul avait été mis à dure épreuve, il avait été copieusement et furieusement labouré aux godes-ceintures. Les deux femmes s’étaient déchainées, faisant de lui, un vulgaire pantin parfaitement docile et asservi, et bien sûr ce ressenti humiliant l’avait terriblement excité à tel point qu’il s’était surpris à jouir du cul à plusieurs reprises. Il regagna à la hâte son siège où il retrouva son tee-shirt et son pull-over qu’il s’empressa de revêtir. L’homme assis à côté de lui dormait toujours. Il s’asseyait le plus délicatement et doucement possible pour ne pas le réveiller, éreinté, il sombra rapidement dans un sommeil profond et réparateur… Un repas fut encore servi aux passagers, le dernier avant l’amorce de l’atterrissage. L’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans put cette fois-ci se rassasier à sa faim. L’hôtesse en le servant, lui avait dit ironiquement :

- C’est bien parce que tu t’es bien donné…

L’avion s’était posé, il roulait maintenant doucement sur le tarmac pour regagner l’aérogare. soumis Endymion MDE vit s’approcher le steward, il lui apportait un courrier émanant de Maitre CharlEd ainsi que son passeport.

- Tenez de la part de Monsieur le Vicomte d’Evans !

Ce steward avait un coté surprenant, très gentleman … il vouvoyait celui qui lui avait lécher les couilles pendant plus d’une heure… soumis Endymion MDE ne put s’empêcher de sourire ! Mais très vite, il s’intéressa au courrier qui lui avait été remis.
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« Le chien, dès lors que tu auras passé le poste de l’immigration, récupéré ton bagage et passé la douane, tu prendras à gauche l’escalator te conduisant au premier étage de l’aéroport. Arrivé à cet étage, tu prendras à droite et toujours tout droit jusqu’au bout.

Là, tout près d’un kiosque à journaux tu attendras que l’on vienne te récupérer. Inutile de te dire que tu adopteras une attitude servile et dévouée, le regard bas, tes cuisses tenues écartées, les bras croisés dans le dos ! Signé Maître CharlEd »

Après être sorti de l’avion, ce qui avait déjà pris un certain temps, soumis Endymion MDE suivi la masse des gens qui voyageait avec lui au travers un dédale de couloirs et d’escaliers jusqu’à la salle du contrôle de l’immigration. Là, ce fut le choc, la salle était remplie par les voyageurs de plusieurs avions qui venaient d’atterrir. Une employée criait là où les passagers devaient aller pour récupérer les documents à compléter. C’était ça l’Amérique : Rapidité et efficacité. Au bout d’une heure soumis Endymion MDE arrivait face au fonctionnaire qui allait décider s’il l’autorisait à entrer sur le territoire américain. L’esclave MDE s’était imaginé un redoutable fonctionnaire américain, qui allait le maltraiter, en fait, finalement ce fut un sympathique jeune homme souriant, avec un mot gentil. Il vérifia le passeport, regarda soumis Endymion MDE afin de le comparer à la photo du passeport, l’interrogea sur les raisons de son séjour ici, (le chien soumis MDE dut dire simplement qu’il était là pour du tourisme) puis lui demanda de poser pour la photo et lui prit ses empreintes digitales. Une fois ces formalités passées, soumis Endymion MDE était admis sur le territoire, il lui restait à récupérer sa valise et de passer la douane… Le fonctionnaire ne le regarda à peine, lui demanda s’il avait quelque chose à déclarer, puis lui fit un vague signe de la tête, lui indiquant qu’il était temps de dégager le passage. Deux heures après son atterrissage, l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans foulait pour la première fois le sol américain, il se pressa pour regagner le lieu qui lui avait été indiqué. Il patienta encore un long moment immobile dans la posture indiquée, craignant même qu’on l’eut oublié.

- Ne serais-tu pas l’esclave du fameux Monsieur le Marquis d’Evans ?

C’était une voix féminine qui s’était adressé à lui, soumis Endymion MDE ne reconnut pas celle de Maitresse Ella, normal, car ce n’était point elle d’ailleurs !

- Oui Madame, je suis ce chien mâle soumis appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans. Rétorqua-t-il haut et fort avec un brin de fierté
- Justifie-le ! lui ordonna-t-elle avec arrogance

L’esclave MDE tendit son passeport, et en échange il reçut une gifle magistrale de la part de celle qui l’interrogeait. Bien des passants avaient vus et entendus le chien mâle se prendre une claque, certains avaient été semble-t-il un peu surpris, d’autres avaient poursuivi leur chemin sans même s’interroger, d’autres encore avaient eu un sourire entendu.

- Espèce de chien, crois-tu que je vais me contenter d’un seul document administratif, qui pourrait-être par ailleurs falsifié.

soumis Endymion MDE ne comprit pas ce qui lui était réclamé. Il restait comme ahuri, étonné et sans doute un peu godiche.

- Arrête de me regarder avec ces yeux de merlan frit, petite salope, et présente-moi le seul document officiel qui justifie ce que tu es et à qui tu appartiens.

Le soumis MDE ne comprenait toujours pas… Il reçut une nouvelle claque aussi intense que la première.

- Tu n’es vraiment qu’un idiot de chien, un décérébré notoire, on va avoir du boulot avec toi…

Elle souleva le menton de soumis Endymion MDE et colla son visage à quelques centimètres du sien, son regard froid et intransigeant se posa dans celui de l’esclave.

- Ton seul passeport valable n’est-il pas celui qui est imprimé et à jamais gravé dans tes chairs ! N’est-ce pas ce symbole qui authentifie ce que tu es et à qui tu es ?
- Si Madame ! répondit soumis Endymion MDE comme soulagé d’avoir compris exactement ce que la Femme exigeait de ce qu’il fallait lui montrer.
- Tu es un peu long à la détente salope, il va falloir apprendre à réagir beaucoup plus vite. Montre-moi donc ton marquage de propriété du Maître.

soumis Endymion MDE se retourna et d’une main, baissa un tant soit peu son pantalon pour dégager le haut de sa fesse droite, de l’autre, il souleva son pull-over ainsi que son tee-shirt. La jeune femme prit tout son temps pour examiner de près cet ouvrage magnifique, son doigt touchait le relief des lettres inscrites dans la peau, elle s’extasiait quant à la finesse du travail exécuté, une vraie pièce d’orfèvrerie se dit-elle avec une pensée si admirative envers Monsieur le Marquis d’Evans.

- Suis-moi, maintenant que je sais qui tu es ?

soumis Endymion MDE était un peu perdu, toute cette foule, cette ville qu’il ne connaissait pas, cette femme qu’il n’avait jamais vu et qui l’avait humilié et qui lui demandait de la suivre. Où étaient Maître CharlEd et Maitresse Ella ? Ils descendirent dans les étages inférieurs de l’aéroport, jusque dans les parkings et regagnèrent une grosse berline américaine aux vitres teintées. La femme ouvrit le coffre et ordonna à l’esclave MDE de poser son bagage et de monter dans ce coffre… La voiture démarrait et avançait très lentement… Le trajet fut long, plus de deux heures encore pour arriver à destination, mais quelle destination ? L’esclave MDE avait renoncé à se poser de multiples questions, il n’était pas très bien, parce qu’inconfortablement installé, mais aussi et surtout parce qu’il avait le spleen… Monsieur le Marquis d’Evans était loin, très de loin de lui, il lui manquait déjà ! La voiture enfin s’immobilisa, son moteur se tut. La femme ouvrit le coffre et fit descendre soumis Endymion MDE. Il écarquillait les yeux pour savoir où il était, dans un grand garage !

- A poil chien !

Il se déshabilla rapidement laissant ses vêtements dans le coffre de la voiture. La femme lui ordonna de se mettre à quatre pattes, lui passa un large collier de cuir autour du cou qu’elle serra fort, puis attacha une laisse et entraina le chien mâle soumis derrière elle, jusqu’à un ascenseur. Ils montèrent au vingtième étage et arrivèrent directement dans un appartement de grand standing. De grandes baies vitrées donnaient sur Manhattan, avec une vue extraordinaire sur le Hudson River à l’ouest et le Upper New York Bay au Sud ! Toujours tiré à quatre pattes, l’esclave MDE suivait cette femme, le guidant au milieu d’un large couloir jusqu’à une monumentale porte ancienne en noyer ornée de moulures et corniches superbes. Ce que remarqua l’esclave, tout au fond du couloir juste au-dessus de la porte laquelle, ils se dirigeaient, était un grand tableau, ou plutôt une immense photo couleur encadrée représentant… le Maître en personne ! Oui en effet, Monsieur le Marquis d’Evans posait avec solennité sur cette photo immense de plus d’1,50 mètre de haut x autant de large. Il était assis dans son fauteuil dans son bureau de son magnifique Château… La femme frappa et entra entrainant derrière elle le chien mâle. Là installés sur des fauteuils en cuir épais discutaient Maitre CharlEd et Maitresse Ella avec… La surprise fut de taille, la femme assise en face de Maître CharlEd, n’était autre que l’une des deux hôtesses dominatrices de l’avion, celle qui se prénommait Marina.

- Approche chien ! Ordonna Maître CharlEd.

soumis Endymion MDE approcha près du Maître, resta à quatre pattes et se laissa caresser la tête.

- Je suis fier de toi, le chien, tu as été parfait dans cette avion m’a-t-on dit. Redresse la tête et regarde-moi.

L’esclave MDE fut contraint de lever son regard, la main de Maître CharlEd s’était agrippée dans ses cheveux.

- Je suis heureux de te présenter cette personne qui en face de moi et que tu connais, il s’agit de Ma Sœur, Marina Vicomtesse d’Evans, hôtesse de l’air à ces heures perdues, experte en Domination !

(A suivre…)