Ma Vie De Libertin - Suite - 4Ème Histoire.
La découverte du libertinage.
Ma première maitresse.
Durant la période de mariage, jétais resté sage et fidèle à ma compagne. A 41 ans, veuf depuis près de deux ans, jélevais seul mes s déjà grands avec laide dune femme de ménage qui soccupait de la maison trois fois par semaine.
Comme chaque vendredi soir en sortant du bureau, javais fait le détour par le supermarché du secteur pour y faire les achats pour la semaine à venir. Jétais en train de ranger tout ce que javais acheté lorsque jai entendu non loin de moi une voix de femme sexclamer :
Ah non ! Ce nest pas vrai comment je vais faire avec deux pneus à plat ?
Je me suis approché pour voir ce que je pouvais faire pour lui venir en aide. Les deux roues du côté gauche de sa voiture nétaient pas simplement crevées, les pneus étaient lacérés, donc impossibles à réparer avec une simple bombe anti-crevaison. Nous avions deux voitures identiques, la seule option qui était possible était de lui prêter ma roue de secours pour quelle puisse regagner son domicile assez proche de la galerie commerciale. Je lai aidée à changer ses deux roues et en nous suivant, je lai accompagnée jusquà chez elle.
Arrivés chez elle, elle moffrit un pot. Elle habitait un joli appartement dans un immeuble récent édifié au milieu dun parc arboré. De lavant dernier étage, on dominait un peu ce quartier de la ville. Jai téléphoné à mes s (ce nétait pas encore lépoque du portable) en arrivant chez Sandrine. Nous avons bavardé un peu pour faire connaissance.
Elle vivait seule la plupart du temps avec sa fille de 16 ans car son mari travaillait sur une plate forme pétrolière au large de lEcosse et elle possédait un institut de beauté assez coté dans les beaux quartiers de la ville. Sandrine mavait expliqué au cours de la conversation quelle était dorigine franco libanaise mais quelle vivait en France depuis son adolescence.
Cest vrai quelle était assez typée.
Le lundi soir, jai été retardé par un rendez vous qui sest prolongé aussi, jai appelé Sandrine pour lui dire que je ne pourrais passer quaprès 21 heures au plus tôt. Prévenus eux aussi, mes s savaient se débrouiller seuls. Finalement il était plus près de 21 heures 30 quand je suis arrivé chez elle.
Sandrine ma ouvert le parking souterrain et jai rapidement mis en place ma roue de secours. Nous sommes remontés au 6ème étage où je me suis lavé les mains et une nouvelle fois nous avons bavardé de tout et de rien, de son pays natal, de voyages, des s et de leurs problèmes, de nos goûts, de notre amour pour le soleil
Sa fille Natacha avait le même âge que ma fille Aline et elles fréquentaient le même lycée mais ne semblaient pas se connaitre, mes deux garçons étaient un peu plus jeunes.
Sandrine trouvait les soirées longues car actuellement sa fille passait la nuit du lundi au mardi chez une copine pour travailler à un devoir de groupe. Assise dans un fauteuil en face de moi, elle avait tantôt une pose alanguie où je voyais ses cuisses entrouvertes jusquen haut des bas, tantôt elle se penchait vers moi et là, cest sa poitrine qui soffrait à mes regards. Tout cela ne me laissait pas insensible, cétait une femme désirable, en manque de sexe comme moi, sevré depuis le décès de ma compagne. Javais envie delle et elle le savait
et elle mallumait discrètement.
Je me suis dirigé vers elle et je lai fait se lever pour la prendre dans mes bras. Mes lèvres se sont posées sur les siennes pour un doux baiser qui sest rapidement enflammé.
En quelques minutes de ce manège, ma bite était dressée comme un I dans mon slip. Ses mains sont descendues jusquà ma taille, ont dégrafé le pantalon et sorti ma queue. Basculant en arrière sur le divan, Sandrine ma entrainé sur elle en ouvrant largement ses cuisses et remontant sa jupe sous ses fesses. Dune main, jai tiré son string sur le côté et dune violente poussée, je me suis introduit dans sa chatte trempée de mouille.
Au début, je la besognais rapidement mais jai ralenti le mouvement, je ne voulais pas partir trop vite et je voulais aussi profiter le plus possible de cette étreinte qui serait peut-être sans lendemain. Un peu plus de trois ans sans baiser, je devais faire attention à ce que mon plaisir narrive pas trop vite pour que Sandrine ait le temps de venir elle aussi à la jouissance.
Nous navions pas eu le temps dôter un quelconque vêtement tellement nous étions pressés de baiser. Au bout de quelques temps, Sandrine a commencé à jouir. Cela a été le signal. Jai lâché quelques bonnes rasades de sperme au fond de sa chatte. Lun et lautre nous étions un peu essoufflés tellement la joute avait été violente. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, puis Sandrine ma dit :
MERCI. Tu as su mattendre.
Puis elle ma guidée vers sa chambre où nous nous sommes déshabillés entièrement. Cétait effectivement une belle femme mature à la peau ambrée, avec une poitrine lourde mais bien ferme dont les tétons saillaient légèrement au centre dune aréole brun foncé. Son pubis était dépourvu de toute toison mais à la teinte de la peau, on devinait que, laissée libre de repousser, elle aurait été drue. Sandrine mexpliqua que cétait sa mère qui lui avait rasé la première fois la toison la veille du mariage.
Nous sommes montés sur le lit. Elle ma fait coucher sur le dos et en se penchant vers moi, elle a embouché ma bite pour une fellation savante et goulue. Je navais jamais été sucé de la sorte par ma femme
Javais presque oublié la merveilleuse sensation davoir la bite dans une bouche chaude et accueillante !
Elle prenait mon sexe le plus loin possible dans sa bouche et le ressortait copieusement enduit de salive puis faisant coulisser sa main droite le long de la hampe, elle navait plus que mon gland dans la bouche. Elle le pompait rien quen gonflant et dégonflant ses joues. Avec un tel traitement, ma bite na pas tardé à se dresser, raide, gorgée de sang et de désir. Sandrine sest relevée pour se mettre en levrette, les mains appuyées sur le pied du lit, face à un grand miroir. Elle moffrait ainsi la vue sur ses fesses, sa taille fine et cambrée avec deux fossettes au bas du dos. Jai toujours aimé particulièrement cette position où lhomme est totalement libre de ses mouvements pour pénétrer sa partenaire.
Jai placé mes mains de chaque côté de sa taille et je me suis introduit une nouvelle fois dans sa chatte, chaude et inondée de nos sécrétions. Je nous voyais dans la glace et cela était très excitant pour nous deux. Entre ses bras, je voyais ses beaux seins généreux balancer doucement. Là, jai pris tout mon temps et je lai baisée longuement, faisant monter sa jouissance puis en la laissant repartir plusieurs fois. Je me retenais et lorsque nen pouvant plus, jai accéléré mes mouvements, nous avons atteint la jouissance en même temps. Une nouvelle fois, jai jeté au fond de sa chatte quelques belles giclées de sperme. Waaouuuhhh ! Que cétait bon de baiser à nouveau. Nous sommes restés sans nous désunir de longs moments puis quand je suis sorti de sa chatte, elle est venue embrasser ma bite en disant quelle lui avait fait du bien.
Nous nous sommes quittés vers minuit et nous avons pris lhabitude de nous retrouver pour baiser presque tous les lundis car en plus, cétait le jour de fermeture de son institut. Cétait sans complication, une baise hygiénique juste pour le plaisir. Lorsque je suis venu la troisième fois, nous avons fait lamour comme des fous, changeant plusieurs fois de position et pour finir je suis venu entre ses seins quelle a pressés comme un fourreau autour de ma bite et jai éjaculé sur le haut de son buste. Cest là jai redécouvert la branlette espagnole dont la belle italienne mavait gratifié au cours de lété 1960.
Nus tous les deux sur le lit, nous avons mis quelques temps pour récupérer tout en bavardant. Sandrine ma alors proposé de me raser le pubis en disant que de cette manière, nous serions à égalité. Je navais rien contre car jai toujours été avide dexpériences nouvelles et puis comme cela, je serais à laise pour faire du naturisme
Nous sommes passés dans la salle de bain où elle avait tout le nécessaire. Assis sur le bord de la baignoire les cuisses largement ouvertes, elle a enduit mon bas ventre dune abondante mousse onctueuse et, avec un rasoir couteau, elle commencé à enlever les poils en partant du haut du pubis pour arriver au pied de ma bite qui était de nouveau raide. Quand elle a eu fini, elle ma rincé avec la douche. Il ne restait plus que quelques poils au pied de mon sexe. Elle les a enlevés délicatement avec le rasoir. Elle avait la main légère, à aucun moment jai eu peur dune coupure. Elle ma séché avec une serviette chaude et ma passé un baume apaisant pour atténuer le feu du rasoir. Cela faisait une impression bizarre mais agréable de me sentir nu à cet endroit.
Nous sommes revenus dans la chambre où Sandrine a de nouveau pris ma bite en bouche pour bien mexciter. Quand elle a jugé que jétais à son goût, elle sest allongée sur le dos, deux oreillers sous le bas des reins pour relever la fourche de ses cuisses. Elle a mis ses mains derrière ses genoux pour maintenir ses jambes en V elle me dit :
Viens, baise moi encore une fois !
Je ne demandais pas mieux. Je me suis approché de son sexe et jai à nouveau plongé ma bite dans cette chatte humide et chaude. Je la baisais depuis déjà cinq bonnes minutes quand elle ma demandé de la sodomiser. Je navais jamais eu cette expérience et jallais bien en profiter puisquelle soffrait à moi ! Cette coquine lubrique était prête, son illet plissé et son antre étaient pleins de gel lubrifiant. Bien que ma bite soit dune taille assez imposante mais relativement courte, je suis entré avec une grande facilité dans son pertuis étroit. Dès que je lai embrochée jusquà la garde, jai senti ses muscles intimes commencer un massage. A chaque fois que jarrivais au fond, javais limpression quune bouche avide se refermait sur mon gland. Avec un tel traitement ma jouissance est arrivée, soudaine et violente. Lorsque Sandrine a senti les jets de sperme linonder, elle a joui à son tour, bramant haut et fort son plaisir.
Une heure plus tard, je regagnais discrètement mon domicile. Cette liaison a duré près de six mois avec une coupure dun mois quand son mari est venu en congé en avril et pendant les vacances scolaires dété. Après, nos rencontres se sont espacées pour diverses raisons puis nous avons cessé de nous voir.
Un jour, je lai croisée à la sortie de son institut, elle était avec un jeune homme denviron 25 ans. Leur attitude était sans équivoque. Cétait son nouvel amant. Quant à moi, jai eu plusieurs aventures sans lendemain ou presque.
À plusieurs reprises je suis allé dans des camps naturistes sur la côte landaise ou vendéenne pour profiter pleinement du soleil. Cest aussi après ma liaison avec Sandrine que jai commencé à fréquenter les clubs échangistes qui commençaient à ouvrir dans certains quartiers de Paris. Jai gardé le pubis rasé plusieurs années jusquà ce que je rencontre celle qui allait être ma seconde femme, qui, malheureusement a également été emportée par la maladie après seulement quelques mois de mariage...
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