Ma Vie De Libertin - Suite - 5Ème Histoire.
La mère et la fille.
Au début des années 1980, cétait les prémices de la multiplication de ces clubs coquins après les théâtres érotiques qui depuis quelques années se développaient dans les quartiers chaudes de certaines villes.
A un peu plus de 40 ans, javais des goûts simples et la fréquentation des clubs me permettait de baiser sans complications
Les femmes plus ou moins jeunes qui y allaient ne sembarrassaient pas non plus ! Elles étaient là pour la même chose ! Baiser tout en séclatant.
Cette histoire est une des premières aventures qui a duré un peu plus quune soirée
mais je conserve de la brève liaison que jai eue avec Martine, dexcellents souvenirs et une envie que je nai pas pu assouvir. Je lai rencontrée dans un des clubs du centre de Paris dans lesquels javais mes habitudes depuis quelques mois. Martine était une jolie femme (une « couguar » comme on les appelle maintenant). Sensiblement du même âge que moi, grande, avec des formes bien arrondies, elle avait une poitrine opulente comme je les aime, avec des tétons proéminents et des globes dun blanc laiteux avec de fines veines bleutées. Une taille étroite toujours ceinte dune chaîne en or, des hanches larges et des fesses rondes bien galbées lui donnaient une jolie silhouette. Elle avait des yeux gris avec des rides dexpression, un nez un peu large et des lèvres qui appelaient le baiser et dont elle savait se servir pour sucer les bites qui soffraient à elles. De longs cheveux gris cendré descendaient jusquau milieu du dos, bref une belle femme qui était avide de sexe
Le premier soir où nous nous sommes rencontrés, elle était au milieu dun groupe de trois hommes dune trentaine dannées et dune femme dans une des salles du club. Javais joué les voyeurs, regardant comment elle se faisait prendre en double pénétration après que la femme ait préparé son anus par une série de baisers plus ou moins profonds et des manuvres digitales.
Jen avais assez vu et jétais suffisamment excité par le spectacle que ce groupe mavait offert si bien que jai coincé une jeunette dans le jacuzzi et je lai baisée en levrette, à moitié dans leau
Je lavais remarquée au bar lorsque jétais arrivé et elle mavait attiré aussitôt. Nous nous sommes séparés rapidement et errant dans les différents salons, jai retrouvé Martine avec qui jai plaisanté en la félicitant de sa performance ! Cette coquine ma dit alors :
Je nai pas fini ma soirée ! Jen veux encore !
OK ! Si un vieux te convient, je suis ton homme !
Elle avec un sourire très coquin elle a apprécié :
Pas de problème ! A ce que je vois, une bite bien trapue mais pas trop longue, çà va être bon !
Cest vrai que depuis que jétais sorti du jacuzzi, jétais nu, retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il ny avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas
et je nétais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie dêtre seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y réfugier.
En fait, il sagissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut sy masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, lhomme debout entre ses cuisses largement ouvertes
Mais nous ne lavons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusquà ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison.
Martine sest placée delle-même en levrette, à genoux sur lassise dun des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. Javais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration quelle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne mintéressait pas !
Ce que je voulais, cest la baiser normalement, comme jaime ! La levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je nallais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que jen ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. Jai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que jai été couvert, jai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de lembrocher dun coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Quelle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que jarrivais tout au fond.
Même si javais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire lamour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien séclater.
Mes mains autour de sa taille, jallais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et dune manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de laine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers lavant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans tous les sens, elle balayait son dos de ses longs cheveux ! Cétait très érotique et très stimulant à la fois ! On aurait dit, une cavale en colère alors quelle savourait tout autant que moi ce que nous faisions.
Je sentais la jouissance monter doucement dans mes reins et je crois que cela devait être la même chose pour Martine qui se ruait de plus en plus fort au devant de la pénétration de mon sexe. Je ne me retenais plus et je copulais de plus en plus vite si bien que soudain, je me suis lâché au fond de la capote, remplissant le bout de plusieurs jets généreux, et là, cest Martine qui a joui à son tour ! De me sentir gicler au fond de sa chatte, elle sest mise à jouir, poussant un feulement rauque, expression de son plaisir.
Quand nous nous sommes désunis, elle sest tournée vers moi en disant :
Tu me fais un sacré coquin ! Je tai vu baiser vite fait avec une jeunette mais là, tu as su memmener au 7ème ciel. Tu mas baisée comme jaime !
Tant mieux ! Cétait aussi très bon pour moi ! Je peux te retourner le compliment : tu es un bon coup !
Après nous être essuyé le sexe, nous avons trouvé deux paréos que nous avons noués autour de notre taille et nous sommes allés au bar où nous avons pris un pot tout en bavardant. Lun et lautre, nous étions libres de toute attache sentimentale et nous avons convenu de nous revoir pour dautres sorties en club. Lun et lautre, nous savions que ces soirs là, nous naurions pas dexclusive et cela ne nous gênait pas ! Nous serions là pour baiser, ensemble ou séparément avec des partenaires de rencontre
Puis nos relations ont évolué. Martine a accepté de venir finir la nuit chez moi et au moins une fois par semaine, elle venait désormais me retrouver pour passer la nuit et nous ne nous privions pas de nous envoyer en lair
pour notre plus grande satisfaction dautant quil ne nous était pas nécessaire de nous protéger...
Cela a duré jusquaux vacances estivales. La dernière fois où nous sommes sortis en club, Martine est arrivée avec un jeune couple à plus de minuit. Je lavais attendue depuis près dune heure. Elle sest excusée de son retard et ma présenté sa fille Marina et Serge, son copain du moment :
Ces deux coquins avaient envie de découvrir le libertinage ! Quoi de mieux quune première sortie en club avec des personnes quon connait ?
Je suis tout à fait daccord
Quand on connait les us et coutumes des lieux cest plus facile de sadapter !
Nous avons pris un pot tous les quatre au bar avant de déambuler en couple dans les divers locaux où les activités coquines étaient bien lancées en ce samedi soir ! Martine avait glissé son bras sous celui de Serge et jétais avec Marina.
Quand nous avons eu terminé notre visite des lieux, nous nous sommes séparés. Avec Martine, nous sommes allés dans le coin balnéo où, après nous être déshabillés entièrement, nous nous sommes glissés dans un jacuzzi. Nous avons été rejoints par un homme dune trentaine dannées et chacun dun côté de Martine, nous avons entrepris de la caresser, lun soccupait de la poitrine pendant que lautre fourrageait dans la fourche des cuisses parcourue par les bulles et les remous du bassin. Martine masturbait doucement nos membres qui bandaient déjà bien. Soudain, elle sest redressée et elle est sortie du bassin pour aller sallonger sur un des matelas de plage étendus à proximité en nous disant :
Venez ! Rejoignez-moi !
Comment résister à pareille invitation ? Martine avait envie davoir deux hommes pour la contenter, et bien, cest ce que nous avons fait ! Je la savais être une adepte des partenaires multiples. Pendant que Manuel, notre compagnon lui faisait un cunnilingus, Martine me suçait comme elle sait si bien le faire. Puis, elle a fait coucher Manuel sur le dos, la bite dressée comme un mat. Elle a couvert ce sexe long et fin avec un gland proéminent et sest empalée le cul sur ce sceptre de chair en me disant de la prendre par devant !
Je me suis placé entre ses cuisses et celles de Manuel et je me suis introduit dans sa chatte accueillante ! Elle était bouillante et humide si bien que jai entré sans difficulté ma queue courte et trapue. Nous avons accordé nos mouvements jusquà ce que tous les trois nous partions dans une jouissance de folie qui nous a arraché des grognements de plaisir.
Manuel nous a quittés rapidement en nous disant quil allait retrouver sa femme qui devait avoir terminé son premier gang bang !
Quand jai dit à Martine que je me ferais bien sa fille, elle ma rétorqué que cela métonnerait quelle accepte car elle naimait que les jeunes hommes et quelle était raide dingue de son homme. Bref, je suis resté sur ma faim et après les vacances, je nai plus revu Martine et dans le club que nous fréquentions habituellement, personne navait de ses nouvelles
Puis, jai découvert dautres clubs échangistes dans Paris
A cette époque, ils nétaient pas encore très nombreux.
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