Ophélie, De Femme À Femelle (11)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cela fait un moment que je suis entravée sur cette table d’auscultation, peut-être 1 heure ou 2, je ne sais pas. J’ai les bras engourdis, des fourmillements dans les pieds et mollets et, pleins de sperme séché sur la figure.
Je vois Pierre tourner autour de moi, en train de préparer des choses, prendre des notes….
J’ose, lors de son passage près de moi, lui demander la permission de me lever pour aller faire pipi.
Pour toute réponse, il pose un sceau sous mes fesses, et en ricanant me dit de me soulager.
Surprise par cette situation, je n’arrive pas à me soulager, bloquée par l’humiliation de cette situation. Devant le manque d’obéissance, je le vois se saisir d’un martinet à larges lanières, les faisant claquées au-dessus de moi en signe représailles. Mais, malgré cette menace, je n’y arrive toujours pas, pas une goutte n’arrive à sortir.
Le premier coup s’abat sur ma poitrine, dans un claquement sec et sonore, me faisant serrer les dents pour ne pas crier. Je vois son bras se lever pour m’administrer le deuxième coup, restant en l’air en attendant que je me soulage. Mais toujours rien, maudite vessie ! Et Clac, un autre coup, plus fort que le précédent, toujours sur mes seins qui commencent à rougir. J’essaie de me concentrer mais Pierre accentue ses coups, plus rapides, plus forts, plus précis. Je sens une des lanières s’écraser sur un de mes tétons dur d’excitation, me faisant gémir de douleur. Je relève la tête pour voir mes seins cramoisis par le martinet et pour essayer de forcer ma vessie, mais rien, je n’arrive pas à me résoudre de pisser devant cet homme.

- Très bien, je vois que tu fais la forte tête !

Le son de sa voix n’envisage rien de bon et, en le voyant de nouveau lever le bras, je sers les dents attendant une violente douleur sur mes seins, mais au lieu de ça, c’est sur mon ventre que s’abat son dernier coup, me faisant cambrer les reins, crier et pleurer sous la douleur.

Avant qu’il ne relève son bras, je le supplie entre deux sanglots, que je vais y arriver, le suppliant encore.
Convaincu, je le vois poser son martinet et venir entre me jambes, ne voulant rien louper de ce spectacle si dégradant, humiliant. Au bout de grand effort, je sens un mince filet sortir de mon sexe, timidement, coulant entre mes fesses. Il semble satisfait et m’encourage, m’insulte et, commence à me toucher mon clitoris, comme pour me récompenser. Ce contact m’électrise et me décontracte, accentuant le débit de mon urine, je l’entends tomber dans le sceau prévu à cet effet. Pierre arrête ses attouchements lorsque mon jet se tarit et, commence à me détacher, les bras, les jambes. Je peux enfin bouger, secouer les bras et les jambes pour faire partir les fourmillements qui me picote tout le corps.
Je me redresse sur la table et je peux ainsi découvrir les marques sur mon corps, des dizaines de zébrures qui parcourent mes seins et mon ventre. Je ne peux m’empêcher de les toucher, de les caresser, comme des décorations, repensant à la douleur vive à chaque coup. Malgré moi, je sens mes doigts parcourir mon corps, effleurer mes seins, mes tétons toujours durs d’excitation, courir dans mon sillon mammaire, et finir sa course sur mon ventre. Mon dieu, si je ne me reprends pas, je vais finir par me masturber. Revenant un peu à moi, je vois Pierre qui ne perd rien du spectacle, souriant en me voyant m’exciter toute seule.

- T’aimes les coups toi petite pute ! t’aime avoir mal !
- Oui Monsieur, j’avoue

Pourquoi le nier ? Quand je repense à la puissance de mes dernières jouissances, je ne peux que l’avouer.
Comme pour confiner, il me prend les deux tétons entre ses doigts, les fais rouler et les pincent durement. L’effet est immédiat, je soupire d’aise et ma chatte recommence à couler, je suis tirée par mes pointes et, je me mords la lèvre pour retenir mes gémissements. Il me lève de la table en me tirant par les seins, m’ordonne d’écarter les jambes.
Je sens mes lèvres se décollées d’elles même et, ma chatte s’ouvrir, laissant échapper un petit filet de mouille.il me tire maintenant si fort que me tétons bleuissent, et si haut que je suis sur la pointes des pieds et, au lieu d’essayer de me soustraire à cette tension, je mets mes mains derrière la tête, laissant à mon bourreau tout le loisir d’essayer de me soulever par les seins.
Après plusieurs minutes de cette délicieuse douleur, il me lâche, me faisant retomber lourdement sur mes talons. Mes pointes des seins sont rouges, douloureuses, et hyper sensible. Pierre se retourne pour attr une longue corde noire, qu’il plis en deux, la passant autour de mon buste, sous les seins, remontant dans mon dos, passant au-dessus de mes épaules. Je reste immobile, sentant la corde glissée sur ma peau, me comprimant au fur et à mesure des passages. Il finit en nouant le reste derrière le dos, contrôlant des doigts la bonne tenue de son œuvre, le bon maintient.
Il se retourne de nouveau pour prendre deux petites cordes plus fines, qu’il glisse sous mes seins et, d’un geste sur, commence à en faire le tour, à la base de chaque seins, serrant de plus en plus à chaque tours. Je ferme les yeux en sentant la compression de mes seins s’accentuant à chaque passage, je les sens se gonfler.
Une fois terminé, il m’entraine devant un grand miroir, de plein pied, me découvrant, les cuisses écartées, les mains derrière la tête, la corde faisant comme un harnais autour de ma poitrine qui, avec les petites cordes ressort comme des obus. Mes seins me paraissent énormes, rouge, et légèrement douloureux.

- Regarde comme tu es belle petite chienne, ils sont plus fermes comme ça.

Il les tâte, et je vois dans la glace qu’ils sont si comprimés qu’il arrive à peine à entrer ses doigts dans mes seins. Il semble satisfait et, pour finir, il accroche deux petites clochettes pendantes au bout des pinces métalliques, accrochées à mes tétons. Je frémis une fois de plus quand je sens les mâchoires métalliques rentrer dans mes pointes encore sensibles, et Pierre, du bout des doigts, fait tinter les clochettes.


- Comme ça, on t’entendra quand tu bougeras sales chienne.

Tout en riant, il m’oblige à me remettre à 4 pattes en m’appuyant sur la tête.

- Allez, suis moi, j’ai faim.

Docilement je le suis, traversant toute la pièce, passant devant les cages ou les personnes à l’intérieur sont en train de manger dans des écuelles. Nous sortons de la pièce pour aller dans une grande salle à manger, avec une grande table, déjà dressée, une assiette pleine.
Je me dis qu’il doit avoir des domestiques pour être déjà servi et j’essaie de regarder autour de moi pour voir si quelqu’un nous vois, mais personne. Ouf.
Pierre prend place su un gros fauteuil, me laissant à quatre pattes au pied de la table, attendant son bon vouloir.

- Viens me lécher les couilles pendant que je mange salope !

Je prends place entre ses cuisses écartées, commence à prendre son sexe du bout des doigts pour le soulever mais je me fais interpeller aussitôt, bien sûr ! Sans les mains, suis-je bête !
Je me contorsionne afin de d’accéder à ses testicules, essayant de repousser son sexe avec mon nez au ma joue. Tout ceci est d’un ridicule, pire qu’humiliant de faire subir ça à une femme, mais en suis-je encore une ?
Après plusieurs tentatives, j’y arrive, une couille ridée et poilue dans la bouche, son gros sexe posé sur mon front, je m’applique à faire mon devoir, à lui faire plaisir. Je passe d’une couille à l’autre, les gobant, les léchant, essayant de prendre les deux en même temps dans ma petite bouche. Tous mes efforts ont l’air de porter leurs fruits car je sens son sexe se durcir contre mon front, ce qui me fait mouiller de plus belle.
A un moment, je vois sa grosse main descendre sous la table, tenant un morceau de pain avec un peu de sauce, et un « tiens » me signifiant que c’est pour moi. Je quitte à regret ma besogne pour prendre du bout des lèvres ma récompense. Brave chienne, tu veux un susucre me dit-je tout bas.

Pendant que je mastique mon pain je regarde avec fierté et envie son sexe, qui a repris sa de la vigueur, grâce à moi. Je le regarde en train de se caresser le sexe sous la table, excité par ce que je viens de lui faire, je ne peux m’empêcher de tortiller du cul, comme une chienne remuant la queue, j’ai tellement envie de me toucher, de me mettre des doigts dans ma chatte brulante, mais je n’ose pas.
Pierre passe sa main sous ses couilles, les remontant tout en glissant de son fauteuil, écartant encore plus les jambes.

- Lèche mon cul chienne !
Je m’approche, colle mon nez entre ses fesses, l’odeur est forte mais je n’y prête guerre attention, je sors ma langue et la colle sur sa rosette, léchant le tour, jouant avec quelques poils, essayant de pénétrer ce trou qui palpite. Il a repris sa masturbation, faisant tomber ses couilles sur mes yeux, grognant de plaisir.
J’entends au-dessus de moi quelqu’un qui débarrasse la table, a-t-elle une idée de ce qui se passe en dessous ? M’a-t-elle vue ? Je m’en fous, qu’importe ce qu’elle pense de moi, je ne veux qu’une chose, lui obéir, lui faire plaisir pour qu’il asperge ma petite gueule de chienne de son sperme chaud. Même l’ouverture de la porte d’entrée ne me fait pas réagir, je suis trop concentrée !

- Je vois que tu ne t’ennuis pas dit donc !

Mon dieu, c’est la voix d’Arnaud, la voix de Mon Maître. J’essaie de l’apercevoir sans quitter ma position, mais je ne vois que ses pieds. C’est Pierre qui me dit d’arrêter et de sortir de sous la table.
J’avance vers mon maitre, faisant tinter mes tétons à chaque mouvement, ce qui le fait rire. Pierre présente son œuvre, son bondage de mes seins, les clochettes, le marquage, tout y passe. Il m’écarte les fesses, pour faire constater mon trou dilaté. C’est un bon début d’après eux, mais beaucoup de boulot encore d’après Pierre.

- Ca va te prendre beaucoup de temps et d’argent Arnaud, dit Pierre.
- Je sais, mais on n’a rien sans rien non ?
- Ouais, elle a intérêt de bosser dur pour que tu rentrer dans tes frais.
- T’inquiète Pierre, j’ai déjà pas mal de demandes, et des sérieuses.

De quoi parlent-ils ? Je les écoute sans rien comprendre, fixant leurs pieds, n’osant relever la tête. Mais j’y suis e, tirée par les cheveux par Pierre, demandant à mon maitre de regarder comme je suce mieux maintenant, enfournant sa grosse bite dans ma bouche. Me l’enfonçant jusqu’au gossier, me déformant la bouche.

- Tu vois, du premier coup ! ironise-t-il avec Arnaud.

C’est vrai que ma gorge me fait moins souffrir avec ses gorges profondes, mais son gabarit est loin d’égaler celui d’Arnaud, qui a déjà le sexe sorti. Il se place à coté de Pierre et j’alterne entre les deux bites, me baisant la bouche chacun leur tour durant de longues minutes. Je suis couverte de bave et, de crachats, ils essaient même de rentrer leurs deux sexes dans ma bouche.
C’est Pierre qui craque en premier, m’aspergeant le fond du gosier de sperme chaud que j’avale avec délice, tout en le regardant dans les yeux.

- Humm la bonne salope, elle commence à aimer le foutre. Peut-être qu’on pourra en faire quelque chose tout compte fait. S’exclame Pierre
- Oui, j’en suis sûr, ça va être une parfaite petite pute, dit Arnaud tout en forçant ma gorge encore pleine de sperme.

Je ne bouge plus, je suis empalée par la bouche, je sens ma gorge gonflée comme jamais avec cet énorme morceau de chair. Il n’a même plus besoin de me tenir la tête, je le fais de moi-même, résistant aux nausées et à l’, je n’ai qu’une envie, le faire jouir, lui faire plaisir. Mais avant que je n’y arrive, il se retire, laissant un grand vide dans ma bouche, faisant couler de longs filets de bave sur mes seins toujours compressés et bleuissant.
Il me tapote la tête et me dit de les suivre, me disant qu’ils vont voir mes prouesses. Je comprends vite quand nous arrivons dans une salle, avec un grand écran, s’asseyant dans un large canapé, moi assise sur mes talons aux pieds de mon Maître.
Pierre mis en route la projection et je découvre avec horreur qu’il avait tout filmer, de mon arrivée, de la scène lesbienne avec Christelle, l’auscultation, même le moment où je fais pipi dans le sceau.
Bizarrement, je n’ai même pas honte, je suis plutôt excitée de me voir sur cet écran, et encore plus en entendant les commentaires de mon public. Ils auraient pût de nouveau me maltraiter comme sur l’écran, mais au lieu de cela, Arnaud me saisit par les hanches pour me soulever et m’empaler d’un coup sur son mandrin, me déchirant le cul et me faisant jouir instantanément.
Il commence à me faire aller et venir sur sa bite, m’insultant, me disant de regarder la grosse salope sur l’écran, me jurant que j’allais devenir la pire des chiennes de la ville, sous les rires gras de son acolyte, qui commence à me gifler les seins douloureux.
J’avoue qu’avec tout cela combiné, j’ai jouis comme une chienne, gueulant mon plaisir, leur promettant que je serai leur chienne pour toujours, qu’ils peuvent me faire tout ce qu’ils veulent.
Je me demande encore comment c’est possible qu’à chaque jouissance, c’est encore plus intense, me demandant ce qu’allai être la suivante, car maintenant, je sais que je lui appartiens, et qu’il ne va plus me lâcher.

Mais en ai-je envie qu’il me lâche ?

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