La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 593)
Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°592) -
Nous quittons la pièce, reprenons le long couloir, et rejoignons la voiture par limpasse. Ayant compris, la leçon, je prends la direction du coffre, mais Walter me stoppe net dans mon mouvement, se place devant la porte arrière, et louvre. Je ne comprends pas, mais je monte prudemment dans la grosse Berline noir, jignore si je dois me placer sur les sièges en cuir, ou si je dois rester à terre. Walter ayant compris mon questionnement, il tire sur la laisse me faisant comprendre que je devais masseoir sur la banquette en cuir. Je prends la position, confortablement installée, et par habitude je croise mes jambes. Face à mon geste, Walter abat sa main plate sur ma cuisse, laissant une empreinte rouge de ses épais doigts sur ma peau. Un cri méchappe, tellement la frappe est forte et froide sur ma cuisse. Il force louverture de celles-ci, se penche sur moi, et passe des liens métalliques reliés à la banquette, à chacune de mes chevilles. Les jambes ainsi immobilisées, il mobserve.
- Tend tes bras au-dessus de ta tête.
Etonnée, je mexécute, mattendant à me cogner contre le plafond de la voiture. Surprise, rien ne vient butter contre mes mains, seuls des liens en cuir suspendus frôlent ma peau. Rapidement, Walter me joint les deux poignets ensembles, et mes bras sont suspendus au plafond capitonné. Une fois de plus, je suis attachée, tel un objet. Il se penche à mon oreille :
- Ne salit pas cette très belle banquette en cuir, cette voiture vaut une petite fortune...
Puis, il me décroche la laisse pendant entre mes seins, tirant au passage sur le ruban rouge, ce qui a pour effet dirradier mes tétons. Il finit par sécarter de la porte, et je le vois retourner en direction du sexshop, laissant la porte ouverte. Je commence à paniquer, je suis attachée, nue dans une voiture, une porte ouverte, nimporte qui pourrait passer par là
Lattente est longue, je nai aucune idée du temps qui passe, la panique en moi, a fait place à un étrange sentiment dexcitation, et je suis même arrivée à espérer quun passant un peu vicieux me découvre.
- Que
que faites-vous dans cette voiture ? mexclamais-je, lançant un regard noir aux deux inconnus.
- Depuis quand les chiennes de Monsieur le Marquis, posent des questions aussi idiotes, osent relever la tête et soutiennent un regard noir ? dicte lhomme.
Je ne mattendais pas à une telle réaction, je suis prise au dépourvu total, instinctivement, je baisse la tête.
- Voilà qui est déjà mieux, mais loin dêtre suffisant. Monsieur le Marquis nous avait prévenu que tu étais une petite rebelle, une chienne sans éducation, qui se croit tout pouvoir sur les Dominants. Cest pour cela quil nous a demandé à moi et à ma femme, de téduquer. Tu nous dois respect, obéissance totale et bien plus que tout cela. Tu nous nommeras Maitre John et Maitresse Elsa. Ta période avec nous, est encore indéfinie, cela dépendra de toi, chienne. Alors avant de commencer, tu vas dabord demander pardon, pour les mots déplacés que tu viens dexprimer.
Les yeux toujours rivés au sol, les mots de cet homme tournent et retournent dans mon esprit. Ainsi, le Maitre a décidé de confier mon éducation à ce couple de vieux pervers.
- Je crois que lon ta demandé quelque chose, chienne.
- Je
Heu
Je me remémore en vitesse les paroles de lhomme, reprends contenance, et dune voix claire, je mexprime :
- Je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour mes mots déplacées, impliquant également un regard noir et hautain. Ma situation de chienne ne le permettant en aucun cas.
- Bien, ceci est un bon début. Mais, cest très loin dêtre satisfaisant. Tu aurais dû demander à être détachée pour pouvoir présenter tes excuses dans la position adéquate, laquelle est, à genou, aux pieds des Dominants, les mains dans le dos, la tête baissée, et finir par une demande de correction. Mais pour le moment, nous nallons pas te détacher, je vais faire venir Walter, afin quil nous conduise à notre domicile, et pour que nous puissions enfin commencer ton éducation, crois-moi, il y a du boulot, chienne !
- Oui, Maitre.
- Elsa, peux-tu aller chercher Walter, sil te plait, en attendant que je fasse plus ample connaissance avec ce corps, qui me parait exquis.
La femme quitte rapidement, la voiture tout en ricanant avec perversité, me laissant seule avec lhomme, je suis alors prise de panique. Lhomme place ses mains sur mes flancs, les fait descendre sur mon bas-ventre, effleure mon clitoris, et constate la mouille présente entre mes cuisses et répandue sur le cuir de la banquette.
- Walter aurait-il omis de te donner lordre de ne pas salir cette luxueuse banquette en pur cuir, chienne ?
- Non, Maitre John.
- Alors pourquoi est-ce humide ?
- Je
cest que
je suis
Cela mest impossible, je ne peux le concevoir. Je ne peux avouer ma faiblesse à cet inconnu, je ne peux avouer ce quau fond de moi, mon corps tout entier réclame et létat même de mon excitation à souiller la banquette de ma cyprine.
-
je suis
?... Dis-le, chienne.
Conservant la tête baissée, je me résous à garder le silence, trop honteuse à avouer à haute voix, face à cet inconnu, ma profonde nature. Dune voix calme et posée, lhomme reprend :
- Nai pas peur de ce que tu es, sois en plutôt fière. Dis-le, maintenant, chienne Pauline.
A lentente de mon nom, je prends une forte inspiration, et dune voix marquant aucune hésitation, javoue à lui, comme à moi-même.
- Je nai pas respecté lordre donné par Monsieur Walter, parce je ne sais pas contrôler mon excitation, Maitre John.
- Et pourquoi ne sais-tu, pas la contrôler, chienne ?
- Parce que je suis une chienne sans éducation, qui na pas appris à maitriser son corps, et qui a un appétit sexuel sans limite, Maitre John.
- Ce nétait pas plus compliqué que cela. Ah, voilà, Walter et Elsa, qui sont de retour. Nous allons pouvoir commencer à prendre la route
(A suivre
)
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