Parenthèse Charnelle
Premier soir.
Le TGV fend la nuit à 300 km/heure mais je suis si impatient de toi que jai limpression quil se traine. Encore 10 minutes et je te retrouve. Heureusement, je suis très occupé car depuis une demi-heure, tu me bombardes de SMS ultra chauds, promesses torrides, et le résultat est que je suis hyper excité, la queue gonflée à bloc. En prime, une auréole sombre sest formée au niveau de mon gland tellement je goutte.
Toi, tu es au chaud dans ta voiture, sur le parking de la gare de Montpellier, mouillée, avide de moi dans toi. Tu pianotes fébrilement des mots de plus en plus crûs. Mexciter à ce point te mets dans un état proche de lorgasme sans même te toucher
Le train ralentit, il va entrer en gare. Je suis déjà devant la porte, valise à la main. La traversée du wagon fut une épreuve. ment. Les passagers étant assis, leurs yeux sont juste à la hauteur de mon trouble visible. Entre ma bite qui déforme mon pantalon et la tâche sur le côté, mon état ne laisse guère de place au doute
Le quai. Je cours presque. Dehors, je cherche des yeux ta petite auto rouge. Je te vois avant elle, nonchalamment appuyée contre la portière. Tu portes une courte jupe colorée et un blouson rouge et noir. Sur tes épaules, tes cheveux sont libres et épars. Tu arbores un sourire mi-narquois, mi-conquérant. Tu es sublimement désirable. Juchée sur tes talons aiguille, tes jambes galbées semblent interminables. Jai le temps de me demander si ce sont des bas ou des collants, culotte ou pas, et je suis contre toi. Langues qui semmêlent en guise de palabres, ta main qui empoigne ma bite histoire de vérifier que je suis en forme car tu meurs de faim. Cest le cas, tout va bien du côté de ma tige.
Je minstalle au volant, tu poses innocemment tes pieds sur la planche de bord comme tu le fais souvent. Tes jambes sont légèrement écartées, je tente de mater dans le rétro, peine perdue cest une zone dombre. Mais ment ta jupe glisse et jentrevois vois du coin de lil un petit bout de jarretelle noire.
Ma chaudasse adorée est enfin de retour, et elle a les crocs affamés par des mois dabstinence
Après moult circonvolutions charnelles, le Graal. Tiens, tu es intégralement épilée ? Surprenant ! Je maventure sur ce terrain inconnu, cest doux et agréable en fait, jaime bien. Tes lèvres gonflées sont largement ouvertes comme une bouche gourmande et avide. Je descends le long de la vallée humide, effleurant le clitoris, vers le puits, vers la source. Tu es trempée, dilatée. Terriblement excitant. Jintroduis mon majeur dans le piège brulant. Tu soupires daise. Ma paume ondule sur ton petit mont, je pulpe ton point G puis je vais et viens un moment dans ton orifice béant en massant tes parois innervées. Jai le rêve absolu dy planter ma queue dure comme un dard. Mon doigt huileux de ton envie sextirpe et barbouille ton trou du cul qui palpite aussitôt. Je lenvahis sans vergogne, me repais de ton râle de femelle, ta giclée de cyprine mencourage. Je texplore le vagin et le cul, tu técartèles, ton bassin se rue à ma rencontre. Ma queue me brule tant elle est bandée.
Lhôtel. Le parking. Le baiser-partage à pleine bouche après que jai léché mes doigts avec délectation. Les formalités vite expédiées, le réceptionniste qui nous fait presque un clin dil en nous tendant la clef. Un escalier feutré tapissé de moquette, avec de la musique. Direction le deuxième étage. Un coude un peu sombre. Un baiser ardent, ma main qui caresse ton sexe liquide, la tienne qui branle ma bite à travers mon tissu.
Ma bouche est maintenant dans le creux de tes reins, peau de satin, odeurs enivrantes, je te savoure de tous mes sens. Quelques centimètres plus bas
Tes fesses
Affolement de boussole, magnétisme céleste. Malgré la fièvre qui manime et la dangerosité du lieu, je ne peux mempêcher de prendre le temps de la dégustation. Des semaines que jen rêve ! Jécarte comme un loup tes lobes charnus et soyeux, ladorable cercle brun et plissé se dévoile, contrastant fortement avec la blancheur de ta peau, tel un trésor sur une plage. Il palpite, fronce, danse devant mes yeux comme pour me subjuguer. Jen hume la fragrance délicate et légèrement poivrée. Ta respiration est à présent plus calme et plus profonde. Japproche doucement mes lèvres pour un chaste bisou. Jépouse ton anus de mes lèvres. Il réagit immédiatement. Puis jy pose ma langue brulante, dabord à plat, mouvements circulaires, pour ne pas négliger le pourtour si sensible. Ton sublime trou du cul semble apprécier, et même en vouloir plus, il souvre, corolle offerte, me veut, maspire. Je darde ma langue, baiser impudique, il maccueil dans ton soupir de soulagement et de plénitude. Je te pénètre de ma langue, de plus en plus profondément
Une porte qui claque à quelques mètres. Des pas.
Nous ? Un couple qui sembrasse amoureusement au coin dun escalier, partageant en secrets dinavouables saveurs
La chambre nous attend. Avec elle, la promesse dune nuit hors du temps, une fusion totale, un feu dartifices dorgasmes
Affaire, à suivre, peut-être.
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