Premières Fellations Au Cinéma...

J'ai 19 ans. J'ai découvert depuis peu que me faire sucer par un homme me plaisait plutôt pas mal (voir mon premier récit "première fellation").

Après cette première expérience, j'hésite toutefois à recommencer, me disant que tout cela n'était qu'une histoire sans suite...

Je décide toutefois de continuer mes escapades érotico-pornographiques en allant me promener dans les quartiers chauds de la capitale. Je délaisse Pigalle pour aller du côté des Halles. Je passe d'un sex-shop à l'autre, je mate les prostituées aguicheuses dans la rue, je fais du lèche vitrine. Au fur et à mesure que la journée passe, je suis de plus en plus excité, bien décidé à "faire quelque chose", sans savoir quoi et sans oser franchir le pas.

Je suis dans un sex-shop quand je prends une décision. La boutique propose un espace cinéma avec projection de films X en continu au sous-sol.
Je prends mon ticket, descends les escaliers et me retrouve dans une grande salle avec un écran "géant" (pour l'époque) sur lequel est projeté un film porno. Je le regarde quelques temps, de plus en plus excité. Quelques hommes se caressent dans les recoins sombres de la salle, debout contre les murs. Il n'y a d'ailleurs pas de sièges ici. Je suis terriblement excité mais je ne me sens pas de sortir mon sexe gonflé et dur au milieu de tout le monde.

Je remarque alors qu'il y a un peu partout de petites cabines avec un petit écran de TV diffusant le film. De petites cabines dans lesquelles il est possible de s'enfermer.

J'en choisis une. J'entre, ferme la porte. Celle-ci ne peut être fermée à clef, je considère naïvement que ce n'est pas trop grave. Je m'assois et commence à regarder le film, à sortir ma queue raide pour me caresser.

Quand quelqu'un ouvre la porte et entre dans la cabine. L'homme me regarde, voit ma queue dressée, me voit assis, à la bonne hauteur. Il sort sa bite, raide. La cabine est exiguë, son sexe se trouve à quelques centimètres de mon visage.

J'aurais pu partir, je pense. Me lever, me rhabiller... Et prendre le large.

Mais non. A la place, je prends son sexe dans ma main. Je le masturbe doucement. Je sors alors une boîte de 12 préservatifs, neuve. On n'est jamais trop prudent. J'enfile la capote sur la queue du type et, sans trop savoir ni comment ni pourquoi, je me mets à le sucer.
Le temps me semble bien long alors que j'ai sa queue dans la bouche. Je le suce avec plaisir, je me demande si je m'y prends bien, s'il apprécie. Finalement, après quelques minutes, je le sens éjaculer dans ma bouche. Il sort sa queue, la mets dans son slip, ferme son pantalon et s'en va.

Je pense que c'est fini.
Je me trompe.
Je m'aperçois à ce moment que c'est loin d'être le cas. La porte de la cabine est restée grande ouverte... Toute la salle pouvait me voir sucer ce mec... Et tous les mecs de la salle ont commencé à faire la queue. Sitôt la place libérée, un autre homme prend sa place. Je n'ai pas le coeur de lui dire non, de refuser. Sa queue est déjà sortie, il se branlait en m'observant. Il entre, je lui mets un préservatif et recommence à sucer. Toujours sans réaliser ce que je fais mais toujours avec plaisir. Je continue d'ailleurs à me branler pendant ce temps là...

Le petit jeu va durer et durer encore. Ce serait mentir que de dire que je me souviens de toutes les queues que j'ai sucées ce jour là. Je me souviens de deux choses seulement avec certitude.

Premièrement, je me souviens de la dernière queue que j'ai sucée. Un métis très bien membré avec une queue très épaisse et très droite. Il était étranger et ne parlait qu'Anglais. C'est la seule personne avec qui j'ai parlé. Pour lui dire : "you have a nice big cock".

En enfin, je me souviens qu'après cela, si je suis parti, c'est parce que ma boîte de préservatifs était vide...