Ma Vie De Libertin - De Brèves Aventures : Train De Nuit Ou Souvenirs Des Années 80.
Avant que le T.G.V. nenvahisse le réseau des grandes lignes, les trains de nuit étaient nombreux. Ils permettaient de voyager sans perdre de temps et de dormir à peu près confortablement.
Laventure que je vais vous conter date dune trentaine dannées alors que je me rendais de Paris à Perpignan à la morte saison A cette époque, je cherchais à acheter un studio pas trop loin de la côte où jallais presque tous les ans pour faire du naturisme.
Lorsque le train a quitté le gare de Paris-Austerlitz, je pensais être seul dans mon compartiment couchettes mais après environ un quart dheure, le contrôleur est arrivé accompagné de deux femmes qui, visiblement navaient pas réservé ou sétaient décidées pour un départ de dernière minute. Environ trente ans toutes les deux, autant lune était brune, lautre semblait être blonde naturelle.
Leurs bagages installés, leurs manteaux posés sur la couchette restée libre, jai pu voir combien lune et lautre étaient agréables à regarder, sveltes, dune mise très soignée qui laissait voir des petits seins menus et haut placés sous un chemisier de soie. Les jupes, en tissu épais arrivaient à mi-mollet. Elles étaient chaussées de bottillons à talons arrivant au dessus de la cheville.
Nous avons lié connaissance. Même si à près de 45 ans, jétais très libre dans mes relations avec les femmes, jétais un peu gêné de la promiscuité à laquelle je nétais pas préparé et qui allait être la notre tout au long de ce voyage. Je savais aussi que les femmes naiment pas se trouver dans cette situation.
Apparemment elles semblaient ne pas y prêter attention. Après quelques temps, elles sont sorties dans le couloir pour fumer une cigarette. Jai donc proposé de me coucher en premier pendant quelles attendraient dans le couloir. Ce fut chose faite. Tourné contre la paroi du compartiment, jai pu entendre les frôlements de tissus lorsquelles se sont déshabillées et glissées dans les draps.
Jai lhabitude de voyager en train et le balancement du wagon et les bruits de roulement ont généralement vite fait de mendormir. Là, pas moyen de trouver une position confortable. Jétais troublé par les parfums capiteux que ces jeunes femmes dégageaient. Elles aussi semblaient avoir des difficultés à trouver le sommeil. Elles bavardaient à mi voix mais je ne comprenais pas ce quelles disaient.
Soudain, jai senti quune main se glissait sous la couverture à hauteur de mon bas ventre et une autre me caressait les cheveux pendant quune bouche cherchait la mienne. Cétait une invitation à ne pas refuser. Je découvris ainsi la silhouette de Véronique, la blonde penchée sur moi alors que la brune regardait du haut de la couchette supérieure.
Mes mains partirent sous la petite nuisette opaque à la recherche des seins menus. Oh ! De jolis tétons bien saillants, mon rêve de toujours. Je les ai fait rouler sous mes doigts, arrachant de petits gémissements de plaisir à mon assaillante. Jai repoussé le drap dun mouvement de jambes. Véronique continuait de membrasser et je lui rendais bien volontiers ses baisers de plus en plus chauds. De ma main droite, je descendis jusquà son pubis. Elle était nue et aucun poil ne venait ombrager son sexe. Elle était en avance sur la mode actuelle où la grande majorité des femmes est rasée ou épilée.
De la paume jai massé son mont de Vénus, laissant courir un doigt dans sa fente déjà bien humide. Elle avait abandonné mon sexe pour jouir de ma caresse. Sa compagne Aline est alors descendue de sa couchette et venant se placer derrière elle, elle a empaumé les seins de Véronique pour les masser. Jétais tombé sur deux coquines bisexuelles qui étaient à la recherche dune aventure sans lendemain.
Bientôt les rôles ont changé. Véronique a fait glisser le pantalon de mon pyjama et, couvrant ma bite dun préservatif, elle est venue sempaler sur mon sexe dressé en me tournant le dos.
Véronique se donnait à fond. Profitant de ma bite bien raide (à cet âge là, on a encore une vigueur certaine), elle faisait elle-même les mouvements de va-et-vient. Jétais occupé avec Aline que je maintenais par la taille pour lempêcher de basculer. Ma langue faisait couler un flot de cyprine de sa chatte. Elle se frottait sur moi pour éprouver plus de sensations. Je nétais plus maitre de la situation.
Véronique et Aline me faisaient lamour comme deux cavales en chaleur. Mon plaisir montait et je nallais pas tarder à me lâcher. Véronique a du le sentir car elle a fait travailler ses muscles intimes et là, la jouissance commune est arrivée, brutale et généreuse. Véronique sest dégagée et après avoir retiré le préservatif elle sest esclaffée en le nouant pour emprisonner mon sperme :
Souvenir !
Même si Aline avait éprouvé du plaisir sous ma caresse, elle était insatisfaite. Elle fouilla rapidement dans son sac de voyage et en sortit un gode vibrant de belle taille et sallongeant sur la couchette en face de moi, dune main elle lintroduisit avec facilité dans sa chatte alors que lautre venait agacer ses tétons.
Véronique et moi, nous nous sommes placés de part et dautre, relevant la nuisette, nous sommes allés cueillir chacun un des tétons. Sous cette triple caresse, Aline na pas tardé à jouir à son tour.
Nous avons regagné chacun notre couchette et là, rapidement nous avons trouvé un sommeil réparateur.
(Nota : si je me souviens bien de cet épisode, jai complètement oublié les prénoms
mais ce nest pas important, je les ai changés !).
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