Retour À La Ferme Le 1er Mars 2021
Après presque un an sans nouvelle de Carl et Max de la ferme proche de chez moi, lundi 1er mars 2021 matin mon GSM retenti.
Ayant enregistré leur numéro lannée passée, je vois directement de qui il sagit.
Après ce que jai subi lannée dernière, difficile doublier.
Je décroche. Cest Carl, après les politesses dusage et me demander comment jallais, il entre directement dans le vif du sujet. Cette fois-ci, pas de surprise, il me dit demblée :
- « on veut te baiser ce soir ! »
Je réponds que je ne suis malheureusement pas disponible mais javoue que cette proposition mexcite, la sensation dêtre à nouveau la pute de ces deux mecs à tendance à mexciter
.
Je le laisse un peu insister et je fini par accepter.
Je lui demande alors pour quelle heure il souhaite que je vienne.
Il me répond que cette fois-ci il va venir me chercher à 20h00 et je dois être prêt. Cest-à-dire être complètement rasé juste ave un ticket de métro sur mon pubis!
Bon soit, jen profite pour aller à la SBD et je me prépare.
Mes fesses, mes jambes, mes seins mon sexe sont complètement rasés. Je laisse juste le ticket de métro demandé. Jenfile également un triple cockring en silicone.
La journée passe en télétravail. La soirée approchant, je nai pas très faim, je fais donc limpasse sur le dîner.
20h00 tapante on sonne à la porte, jouvre, cest un grand et gros mec mature. Visiblement pas Carl ou Max. Loin de moi lidée que ce type pouvait être un ami de Carl.
Je lui demande pourquoi il a sonné chez moi. Il me répond sèchement « cest toi la pute de Carl ? »
Que répondre à cela si ce nest quun oui ! Personne naurait pu savoir à lexception dun mec envoyé par Carl.
Je linvite donc à rentrer un moment, il referme la porte derrière lui. Dans sa main, il tient une sorte de peignoir fin en satin. Il me regarde fixement et mordonne de me mettre nu. Quoi ? Il va r de moi avant même de partir ?
Je mexécute, il sapproche de moi, ne dit rien mexamine intensément du regard.
Je ne bronche pas. Il me palpe ensuite la bite et les couilles. Cest clair que je commence à bander.
« Retourne-toi pute » dit-il ensuite. Je mexécute.
Il me donne quelques fessées. Oui il est SM.
« Penche toi que je puisse voir ta chatte salope » me dit-il ensuite. Je mexécute et spontanément je positionne mes mains sur mes fesses pour les écarter afin quil puisse avoir une belle vue sur ma chatte quil complimente au demeurant.
Il me dit ensuite quelle nest pas lubrifiée et quil faut remédier à ce problème. Je ne peux que répondre « et bien brute quest-ce que tu attends »
Je sens alors un objet sy enfoncer, on dirait une poire de lavement à la sensation. Apeine bien enfoncé je sens un liquide tiède menvahir.
Je demande alors ce que cest. Il me répond quil sagit dhuile de coco vierge. Ah oui je connais cest un excellent lubrifiant et qui plus est sent très bon. Cest tiède car le point de fusion est de plus de 20 degré si ma mémoire est bonne.
Jai limpression que ça ne sarrête pas. Je lui « et quoi tu vide 1 litre ? » Il me répond « non juste 500 ml »
Cest fait il mordonne de me redresser. Bon avec la quantité ça commence à couler sur mes cuisses rasées.
Il mordonne de ne pas bouger et de serrer les fesses. Jobéi.
Il étale ce qui a coulé sur mes cuisses, mon ventre et ma bite. Cest bon je garde les fesse serrée plus rien ne sort.
Il me présente alors le peignoir en satin et me dit «enfile ça on doit y aller »
Je lui réponds que je ne peux quand même pas sortir ainsi. « Ferme là ! » me dit-il.
Tu vas sortir par ton garage jai mis le « van » dans lentrée.
En effet un combi VW sans vitre est dans mon entrée de garage. Heureusement de mon entrée personne ne sait voir quelque chose.
Je suis vêtu dun simple peignoir en satin très court (à peine en dessous de ma bite) et mes Tongue de maison.
Je rentre dans le combi à larrière.
Il ny a pas de siège, juste un matelas en sky sur toute la surface. Il ferme la porte et prend place sur le siège conducteur.
Il se retourne vers moi et me tend une cagoule en latex ou il ny a juste quun grand trou pour la bouche. Je lui dis « quoi je dois mettre ça ? » il me rétorque que oui que je nai pas le choix. Il me rappelle que jai accepté linvitation de Carl et que je dois donc maintenant me conformer aux instructions.
Jenfile donc la cagoule. Ma bouche est bien dégagée et heureusement je sais bien respirer car mes narine sont elle aussi dégagées. Je referme la fermeture éclair derrière pour que le latex épouse bien la forme de ma tête. Je ne vois absolument plus rien. Cest le noir total.
Il me demande de me rapprocher de lui, facile je ne vois rien, il me guide dons je tâtonne et je touche sa tête.
Il mordonne de me retourner et attache un petit cadenas à la tirette tout en me disant « ainsi tu ne sauras pas lenlever, Carl te libérera quand il lestimera »
Pff me voilà en plus dans limpossibilité denlever cette cagoule et condamné à subir.
Il mordonne ensuite denlever le peignoir, il latt. Je suis à poil et aveugle.
Il allume le moteur et me dit de me tenir car on va démarrer.
Il roule un certain temps. Je nai pas la notion du temps je ne vois rien.
Il sarrête, la porte latérale souvre, jentends plusieurs voix graves. Des mecs entrent.
Les commentaires fusent « cest la pute de Carl, elle est pas mal
» « on va bien soccuper de toi salope tu vas voir ».
Je ne dis rien.
Le van redémarre, les mecs me tripotent, mattirent veux eux. Ils sont à poil je sens, ils sont gros et très poilu.
Un me tire vers lui et membrasse goulument sur la bouche il me langue bien.
Sa salive se déverse dans ma bouche, javale sans brocher et même en poussant quelques gémissements, un autre me branle, et jai aussi un doigt dans la chatte.
Je change de mec cest une autre bouche qui membrasse, cest hyper excitant, puis vient le tour dun autre, lui me crache carrément dessus et membrasse ensuite.
Le van sarrête de nouveau et dautre type montent.
Je ne sais plus combien ils sont. Je sais que je me fais embrasser en permanence.
On me colle ensuite une grosse bite en bouche, je commence à téter. On me bouscule, je suis balloté dans tous les sens. Je sens une autre bite senfoncer dans mes entrailles. Elle est vraiment grosse et longue. Le mec me laboure. Je suce toujours une bite
Les mecs mencouragent « aller sale pute, sac à foutre de Carl, fais ton boulot »
Je suce je ne sais même plus qui je suce qui me laboure.
Ma bite et mes couilles balance au rythme des coups de butoir.
En voilà un qui décharge dans ma bouche, mmm du foutre épais, jadore, javale je pompe.
Le mec qui me laboure pousse des râles, il va jouir, je me cabre bien afin de le sentir au plus profond de moi, à peine cabré voilà quil décharge.
Cest puissant je sens littéralement des jets me remplir.
Jadore, jai honte de le dire.
Mais jaime vraiment donner du plaisir.
Jen avale finalement 4 et je dois me faire remplir par 4 de ce que jai pu compter.
Le Van sarrête à nouveau les mecs sortent visiblement tous ensemble.
Le conducteur, me demande si ça va. Je réponds que oui. Il me dit ok et redémarre ;
Nous roulons encore un peu, le foutre coule de ma chatte le sky du matelas est gluant dhuile de coco et de sperme.
Ca sent déjà assez fort la semence de mâle.
Le van sarrête de nouveau. La porte souvre, cest reparti jentends des mecs qui entrent. Ça va recommencer.
Pfff et Carl alors quand vais-je le voir. La porte se referme et Le conducteur madresse la parole.
Il me dit « tu as eu la première fournée, cétait des bears maintenant des blacks, il y en a également 8 si tu veux savoir et tu vas déguster ! »
En effet jentends pleins de voix.
Un autres vient membrasser à pleine langue, il se retire crache sur ma bouche et revient membrasser goulument. Cest bon, je tiens sa tête collé à ma bouche tout en gémissant lorsque je ressens encore une décharge au fond de moi.
Il se retire, jentends, un mec jouir mais je ne sens rien couler en moi, sur moi, aurait-il déchargé trop vite ?
Non un gars vient à nouveau membrasser mais cette fois jai compris, il me déverse plein de foutre dans la bouche.
Un baiser au sperme, jadore ça, on sembrasse, javale.
Jadore ce mélange de salive et de semence masculine.
Mon cul se rempli des autres.
Le van sarrête. Je suis exténué ! Je comprends que les blacks sortent.
Il règne dans ce van une odeur de foutre pas possible.
Je pue le foutre à des kilomètres, mais cest bon !
Dans mon délire et sans voir quoi que ce soit, je frotte mes mains sur le sky pour récupérer ces sauces gluantes et me lèche les mains pour ne rien gaspiller.
Je ne peux tomber plus bas dans la décadence pornographique !
Le chauffeur minterpelle et me dit que Carl ne lui avait pas menti. Jétais bel et bien un super sac à foutre comme Carl lui avait expliqué.
Finalement je le remercie du compliment.
Une portière souvre et se referme, la porte du van souvre. Cest le chauffeur, il magrippe la main et me tire vers lui, prend ma tête et enfonce sa bite dans ma bouche. Il me dit bois moi.
Je le pompe tout en le masturbant, je fais tourner le bout de ma langue à la base de son gland, je le reprends en entier dans la bouche, il gémit.
Sa respiration saccélère, son gland grossi encore sous ma langue, oh oui il décharge en poussant des râles de mec en rut.
On peut dire quil a été bien excité, je compte 6 jets de sperme bien épais ! Je dois my reprendre à plusieurs fois pour tout avaler.
Cest délicieux toutes ses différentes saveurs. Il retire son gland de ma bouche et vient membrasser à pleine langue tout en profitant pour minonder de salive que javale aussitôt.
Il me dit tu te rends compte que tu tes pris 17 mecs moi compris.
Je dis oui, je men rends compte et lui rétorque que beaucoup de femme aussi font des gangbangs géant avec parfois 50 gars voir plus ! Pourquoi pas un mec ?
Il me dit quon arrive bientôt chez Carl. Je suis rassuré je vais pouvoir me doucher.
Mais il précise quil y a encore une fournée que je dois satisfaire. Il sagit de toujours 8 mecs mais cette fois des arabes me dit-il.
Mmmm je me dis, ce sont de bons baiseurs
je suis curieux de goûter leurs semences.
Le van sarrête la porte souvre et les mecs entrent. Le van redémarre, sans attendre, un me positionne à 4 pattes et me fourre sa bite en bouche. Ils sont très vulgaires. Jentends pute, salope, sac à foutre, esclave, on va te féconder, tu vas en bouffer du foutre
Ça fait partie du trip.
La bite dans ma bouche change, je les suce à tour de rôle et jusque-là personne ne ma encore enfilé.
Je tète je tète, jentends des râles je sens ses glands gonfler dans ma bouche.
Ça dure
Soudain celui que jai en bouche se retire rapidement pendant quun autre prend sa place, une bite me pénètre et décharge quasi instantanément en poussant des râles puissants. Je sens bien le sperme menvahir, oh cest bon, je rebande à nouveau.
4 arabes déchargent ainsi en moi. Puis plus rien mais jentends les 4 autres jouir.
Etrange rien en moi, rien sur moi rien dans ma bouche
Cest alors quun des mecs mordonne de massoir, agrippe ma main et y place un gobelet en plastique.
Il me dit « bois salope ! »
Jai compris 4 gars ont juté dans ce récipient, je nai vraiment plus soif là, je suis fatigué.
Il est insistant « avale chienne ! »
Bon vu le ton je vais mexécuter
Jouvre la bouche et verse ce mélange de nectar dans ma bouche. Bordel, quelle quantité et du bien épais ! Cest tout juste si je ne dois pas mâcher (non bien sûr que non cest une image)
4 gorgée mais je ne vous le cacherai pas jai adoré !
Le van sarrête, les mecs sortent.
Le chauffeur me dit que cest tout et quil me conduit à présent chez Carl.
Nous arrivons à la ferme.
Il me sort du van et me conduit à lintérieur, la, il me retourne et enlève le cadenas de la cagoule quil me retire ensuite.
Jai du mal à ouvrir les yeux car je suis resté longtemps dans lobscurité.
Jy parviens enfin, je suis dans le grand salon de la ferme éclairé par des spots. Je vois juste cette lumière aveuglante et le matelas devant mes pieds. Je tourne la tête à gauche, à droite, derrière que des spots qui méclairent. Soudain, jentends des applaudissements et la voix de Carl qui me dit félicitation tu as satisfait tous mes amis ici présents.
Mets-toi à genoux et pompe nous devant eux (nous pour lui et son compagnon Max)
Je mexécuté et vois également mon état, couvert de sperme.
Je pompe Carl en alternance avec Max. Carl se met à genoux et je le suis dans son mouvement tout en le suçant. Max sintroduit alors dans mon intimité gorgée de sperme et me baise avant déjaculer très rapidement.
Sa bite de black est vraiment bonne. Carl décharge quasiment au même moment dans ma bouche.
Le chauffeur me balance le peignoir que jenfile et me dit quil va me raccompagner chez moi.
Je retourne au van. Quel spectacle quand il ouvre la porte.
Il y a du foutre partout sur le matelas. Il mordonne de minstaller et me ramène chez moi.
Je suis assis dans toute cette semence.
Je rentre et prends une douche avant de meffondrer sur mon lit
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