L'Épouse L'Amant L'Époux ! 2

-C’était comment ? Souriait l’époux qui caressait la nue poitrine de son épouse.

-Bien.

-Bien ou… Bien ?! Insista l’époux.

-Bien ! Riait l’épouse.

-Tu sais, je sais que ce n’était terrible. Avoua-t-il. Son sourire se dissipait.

-Qu’est qu’il te fait dire ça ? Se redressa-t-elle. Elle s’assit près de lui.

-Ne t’inquiète pas, en prononçant ces paroles sa main tempérait l’épaule de son épouse, tu sais que je sais !

-De quoi tu parles ?! Que sais-tu ?! Les jolis traits de son visage durcirent. Sa nue poitrine vibra.

-Chaque fois que l’on fait l’amour je nage. Je veux dire que ma… est lâche. J’ai l’impression que je ne te donne pas de plaisir. Mais tu continue de crier comme lors de nos premières relations. Je sais que tu fais semblant de jouir. Les homme détectent se genre de chose.

Les traits de son visage se détendirent mais rougirent. Contre sa joue, il colla sa douce paume.

-Tu sais que je t’aime mon cœur. Tu m’as fait deux merveilleux s. Chaque fois que nous faisons l’amour je prends du plaisir. J’en prendrais beaucoup plus si toi aussi t’en prenais.

-Mais, protesta-elle, je prends du plaisir avec toi. Quand tu me lèche le vagin, quand tu me suce les tétons, quand tu…

-Avoues que, l’interrompit-il, t’en prends beaucoup moins quant je te pénètre.

-J’en prends un peu moins que lors de notre première fois. Tu sais que je t’aime et que pour moi ça ne change rien.

-Je le sais bébé.

Langoureusement leurs lèvres se mêlèrent.

-Moi aussi je t’aime ! C’est pourquoi je voudrais te voir jouir pour de vrai en baisant avec un homme mieux monté que moi !

Bouche ouverte. Elle se figea.





Devant l’ordinateur ils s’installèrent puis sur un pornographique site ils se connectèrent ensuite ils regardèrent une vidéo dans laquelle un noir en slip doigtait une blanche toute vêtue dans la conjugale chambre en présence du mari.

D’une prodigieuse longueur le sombre pénis s’introduisit dans le rose vagin. Aux creux des cuisses des épouses naquit une exquise brulure qu’ une assouvit en introduisant deux doigts dans sa humide intime. Dans l’air les maris se branlaient.

-J’ai envie de te bouffer la chatte !

D’elle il se rapprocha. Ses lèvres se déposèrent sur sa fente. Sa langue s’engouffra dans son vagin. De plaisir elle soupira le corps raidi. Il la fit s’allonger sur le sol. Il monta sur elle. Trop facilement son pénis s’introduisit dans son vagin. Il gesticula du postérieur. Inerte elle demeura, muette elle resta. Plus hardiment il dandina du fessier ! Mais comme elle n’émettait aucune réaction, jouissant de sa propre humiliation, dans un aigu râle il éjacula.

-La prochaine fois que tu baisseras se sera avec un étalon !






Sur un site de rencontre ils s’inscrivirent et publièrent des photos de l’épouse. Dans celle où un lumineux éclat dissimulait son visage elle portait des noirs talons aiguilles avec de la fine lingerie aux motifs panthères. Dans une autre image on la voyait dos vierge une main sur sa fesse nue mise en valeur par la noire ficelle d’un string. La description de leur annonce disait qu’ils formaient un couple d’amateurs et qu’ils recherchaient un homme noir très virils pour faire l’amour à madame devant monsieur.

En très peu de temps un grand nombre de photos ils reçurent, pas seulement celles d’hommes noirs, celles d’hommes blancs, celles d’hommes orientaux aussi, tous types de bites nues en érection ! Sur un athlétique jeune homme noir au pénis vertigineux le couple s’accorda. Ils le contactèrent.

Le jour de rendez-vous arriva. Le couple se trouvait dans la salle de bain. L’eau chaude coulait sur le corps de l’épouse pendant que les mains de l’époux moussaient la peau de cette dernière.

-Je suis nerveuse !

-C’est normal. C’est la première fois qu’on le fait.

-Tu crois qu’il va aimer mon corps ?

-Bien sûr qu’il va aimer ton corps ! Il a dit que tes photos l’avait fait bander.

-Oui c’est vrai. C’est peut être vrai dans les photos mais dans la réalité ?

-Ne t’inquiète pas.

Sous les jets ils s’embrassèrent. Dans leurs bouches s’immisça le gout de l’eau tiède.

Après s’être essuyé le corps elle se maquilla. Elle porta un rouge string, un moulant bleu jean, un noir juste corps valorisant ses seins. Quand elle se mira elle se trouva belle. Dans le salon elle avala un demi-verre de bière pour se détendre sous les motivations de son époux. Ils attendirent.


L’amant arriva. Quelques minutes plus tard tous les trois pénétrèrent dans la conjugale chambre.

En short l’amant, en jean l’épouse, tous les deux torse nu, elle, à califourchon sur lui presse ses seins contre sa poitrine. Sa lumineuse chevelure blonde recouvre le visage de l’étalon. Il la saisit par les hanches puis par le derrière. Retenu de l’intérieur par le short le pénis de l’amant bondit derrière le cul en jean de l’épouse dans lequel se dissimule un odorant vagin.

Ses sombres mains s’introduisent dans sa blonde chevelure. Dans un bruit de succion leurs lèvres malaxent.

L’épouse délivre l’amant de son short. Ses roses doigts entourent la velu base du long pénis. Sa bouche recueille le sommet du braquemart. Elle gobe tout le monstre. Sa bouche va et vient sur cet amas de chairs. Sa main aux ongles vernis de rose caresse le puissant ventre de l’amant qui ferme les yeux puis soupir de plaisir la bite décalottée et le gland près à éclater.
Le rouge string du vagin de l’épouse sous les doigts de l’amant glisse le long des féminines courbes jusqu’aux orteils vernis de rose. Elle allonge son dos sur le lit. Elle replie ses jambes vers ses cuisses. Les paumes de mains de son amant écartent ses cuisses. Ses charnues brunes lèvres se déposent sur sa blonde chatte. Sa large langue gouttent les clitoridiennes muqueuses. De plaisir ses paupières se referment puis sa bouche libèrent des répétitifs soupirs. Si intense son plaisir qu’elle caresse d’une main un peu timide la cunnilingus nuque de son amant ! Ses féminines aigues soupires égouttent un séminal nectar du tendu pénis de l’amant sur sa propre cuisses.


Fou de désir il grimpe sur elle. Son excitation introduit mal son long pénis noir dans la rose chatte chaude. Des roses ongles se saisissent du gros membre sombre puis le guide dans la féminine intime. Sa main d’épouse lui lisse le dos puis sa main de femme s’accroche à ses épaules ensuite sa main d’adultère lui polit les omoplates pendant qu’il la laboure sous ses puissants coups de reins. Les ressorts du lit émettent des jouissifs grincements. Dans leurs respectifs soupirs leurs lèvres se mélangent.

Elle l’enfourche. Ses obscurs doigts oppressent ses jolis seins puis saisissent ses rondes fesses. Sur ses costauds pectoraux elle dépose ses roses ongles puis elle écrase ses reins et sa bite sous ses violents coups de vagin.