La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 595)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode N° 594) -

Sur ces mots, le Maître quitta promptement la cuisine. Je déteste la douleur, j'aime être un chien soumis mais je n'aime pas souffrir physiquement. Il va falloir donc être efficace. Surtout si je dois souvent changer de partenaire, ils auront le temps de calmer leurs ardeurs et je vais avoir du mal à les faire jouir. Je reviens dans la grande salle où tous les Convives sont déjà attablés. Le Maître me regarde de ses yeux bleus Dominateurs et accompagné d’un geste de la main sans équivoque pointant le doigt en direction du sol, il claque des doigts pour me faire comprendre que je dois me mettre sous la table maintenant, alors je m’y glisse dessous au plus vite sans attendre. Elle est très grande et large et cela me laisse beaucoup d'espace pour ne pas être recroquevillé, mais parfaite pour me permettre d’être à quatre pattes avec une certaine aisance afin de me retourner entièrement à 360 degrés si besoin. J'entends le Maître expliquer aux Invités qu'en tant que Hôte, il leur propose d'agrémenter le "repas" d'un petit divertissement dont il explique les règles. Je vois immédiatement des jambes féminines s'écarter et une main, aux ongles vernis, écarter une culotte toute en dentelle noire. Je me glisse alors immédiatement entre les jambes et commence à m'occuper de cette chatte lisse et magnifique aux lèvres pulpeuses…

J'applique directement ma langue sur sa chatte et glisse le long de la fente aux lèvres charnues. La répétition de ce mouvement humidifie rapidement ce beau sexe de la Domina et j'en profite pour introduire ma langue en son intérieur. Cela augmente la production de cyprine et je sens qu'elle apprécie mes savoureux coups de langue de plus en plus entreprenants. Si je considère que cela démarre bien, je me doute aussi que la jouissance peut être très longue à venir et que j'ai peu de chance de donner un orgasme aux Dames présentes à la table en passant de l'une à l'autre.

Je me rends compte que j'aurai sûrement plus de chances de faire éjaculer les hommes que de faire jouir les femmes. C'est d'ailleurs à ce moment que j'entends le mot " repas", la femme pose sa main sur mon crâne et tire sans ménagement mes cheveux pour repousser ma tête en arrière et resserre ses cuisses immédiatement. C'est encore une femme qui ouvre ses jambes, écarte sa culotte et fait légèrement basculer son bassin en avant pour me permettre d'accéder à sa vulve toute aussi excitante. Je m'attelle très vite à la tâche car je sais que mon temps est compté et que je n'échapperai pas à ma punition. J'espère que je pourrai rapidement revenir à la première ou à la deuxième femme, sinon tout le bénéfice de mes coups de langue serait perdu et il faudrait tout redémarrer. Je me concentre sur la chatte qui est déjà bien humide…

Je m’attaque à cette nouvelle chatte de la même façon que la précédente. Tout en m’affairant à lécher de mon mieux une idée me vient. Aurais-je la permission d’utiliser mes doigts pour multiplier mes chances de la faire atteindre l’orgasme ? Ou cela m’est-il interdit ? Il me faut réfléchir pour ne pas commettre d'erreur... je me dis que cette initiative a pour but d'augmenter le plaisir ressenti par les convives et que c'est par conséquent une bonne initiative. Je prie que cela ne déplaise à personne et je glisse un doigt dans la fente déjà humide de la Domina. Cela la surprend fortement car elle pousse un petit cri de plaisir. Je sens que la tension monte dans son corps car elle se crispe tout à coup. Je profite de son excitation pour introduire un deuxième doigt et je continue de lécher son bouton de plaisir en même temps. Plus la situation l’excite et plus elle est excitée, plus je persiste à la doigter et la lécher ardemment... Et ce qui devait arriver arriva, sa respiration s’accélère, elle n’essaie même pas de dissimuler son orgasme arrivant aux autres convives quand l’explosion arrive, elle se met à crier de plaisir sans aucune retenue. Un flot de cyprine inonde mon visage. Les discussions cessent et les regards doivent être dirigés je pense vers cette Domina avec des regards de félicitations envers elle. J’entends dire que je ne dois pas trop mal me débrouiller pour un chien soumis... Je me dis que ça fait déjà deux coups de fouet en moins pour mon petit cul.

- Pouvons- nous reprendre le repas ?

Ce sont par ses mots proposés par Monsieur le Marquis en prenant soin d’appuyer particulièrement sur le dernier mot de la phrase que les plats s’enchaînent servis par des esclaves femelles entièrement nues lesquelles j’aperçois que les pieds fins. Aucune seconde de répit. Deux jambes masculines s’écartent. Un homme avance largement son bassin mais ne se donne même pas la peine d’ouvrir sa braguette. Pas de temps à perdre. J’ouvre sa braguette plonge ma main à l’intérieur pour en sortir une bite qui bande déjà à moitié et au gland violacé. Je l’enfourne directement dans ma bouche et elle se met très vite au garde à vous sous mes coups de langue fort actifs. Je suce vigoureusement car je sais que malgré la réussite précédente, j’ai plus de chances de faire jouir les hommes que les femmes... ils me semblent plus disposés à jouir plus vite... Alors, je m’affaire sur cette grosse queue de mon mieux et en même temps je me rends compte de la façon dont j’ai changé depuis mon arrivée dans ce Château. J’étais vierge de presque tout et là je me retrouve sous une table en train de sucer chattes et queues que je ne connais même pas. Et en plus j’aime ça, ça me fait bander moi-même terriblement... Ma fellation est interrompue par le mot "repas" qui fuse dans mes oreille... je quitte à regret ce sexe tendu que j’aurais tant aimé faire jouir mais pas de temps pour les regrets puisque c’est la bite d’un autre Dominateur juste à côté qui va s’offrir à moi. Celui-ci est déjà bien chaud car il a directement ouvert sa braguette sorti sa queue déjà bien raide et l’a tendue vers moi. Celle-là ne m’échappera pas! Je suce comme je sais le faire maintenant et avec son état d’excitation déjà avancé, je devrais arriver à le faire jouir dans ma bouche assez rapidement.

Effectivement le travail de ma langue et de mes lèvres ne tardent pas à produire leur effet. L’éjaculation qui inonda bouche marque ma deuxième victoire. Un flot saccadé de sperme chaud s’éjecte au fond de ma gorge et je m’attache à tout avaler… Une troisième bite se dévoile juste à côté de Monsieur le Marquis d’Evans. Il va falloir être bon pour que le Maître s’aperçoive que je me débrouille bien. Alors, je m’applique encore au maximum pour sucer au mieux cette nouvelle queue déjà de bonne taille. Je suis très étonné de voir le Maître soulever légèrement la nappe pour me voir en action. Il me fixe de son regard Dominant quelques secondes. Cela m’excite énormément qu’il m’observe ainsi et j’avale la queue tendue au plus profond de ma gorge pour lui montrer que je suis une bonne chienne en chaleur et obéissante, juste avant que le Maître se redresse et me laisse faire mon travail buccal. L’homme n'a pas le temps d’éjaculer avant que le mot ‘’repas’’ ne retentisse encore... Et je continue jusqu’au dernier mon travail de bouche … Et donc après être passé de la sorte entre toutes les jambes de tous les Invités, je n'ai réussi à faire juter que deux autres bites (dont celle de ce Gilles pour la deuxième fois ce soir)... Tout à coup, la nappe se lève et je vois le Maître ordonner à soumise Phryné MDE de me rejoindre. Monsieur le Marquis explique aux Convives qu’il exige que Ses soumis entretiennent de bonnes relations entre eux et qu'ils soient fraternels. Phryné MDE passera donc à chaque fois avant moi pour m’aider à faire jouir tout le monde. Le rythme des "repas" sera par conséquent plus rapide qu’avant. Je n'aurai pour ma part plus qu’à terminer le travail d’experte de soumise Phryné MDE et récolter les fruits de son savoir-faire surtout sur le léchage des chattes plus difficile à faire exploser la jouissance. Et effectivement voir soumise Phryné MDE en action vaut le détour. Voir sa langue glisser avec une telle dextérité et un tel savoir-faire laisse rêveur. En repassant comme cela juste après elle, nous arrivons à faire jouir la quasi-totalité des Invités en ayant recommencé entièrement le tour de (dessous) table depuis la première Domina laquelle je n’avais pas réussi à faire jouir quand j’étais tout seul à oeuvrer… Je ne manque pas de remercier soumise Phryné MDE au passage car sans elle je n’y serai jamais arrivé… Le repas se termine enfin et l’heure de la sentence pour moi arrive. Les chaises se déplacent pour que les Convives quittent la table pour se placer tout autour de la salle. Sur un claquement de doigts de Monsieur le Marquis d’Evans, je sors rapidement de dessous la table pour aller me mettre à genoux aux pieds du Maître. Les Invités sont debout à différents endroits de la pièce entrain de siroter différents breuvages en guise de digestifs.

- Sais-tu ce que tu mérites maintenant ?
- Oui Maitre, je mérite des coups de fouets pour les personnes que je n'ai pas réussi à satisfaire.
- Cela fait combien de coups de fouets ?
- Je ne sais pas Maitre je n’ai pas réussi à compter.
- Tu n’es qu’un ingrat, un sot, un chien sans cervelle, je t’ordonne de prendre soin de mes Invités et tu ne sais même pas combien d’entre eux tu n'as pas fait jouir!? Tu as plutôt intérêt à t’en souvenir car je rajoute dix coups de fouet par unité d’erreur… Alors ? Combien ?
- Je ... Je mérite quatre coups de fouets, Maitre (il me semble qu'il n y a que deux femmes Dominas qui n’ont pas joui)
- Tu en es sûr ?
- Non MAITRE
- Tu as de la chance ce soir mais tu aurais du en être sûr… Tu auras 8 coups de fouet sur tes fesses, en effet j’en rajoute le double car tu n’es pas certain de ton résultat. Ca t’apprendra à retenir les choses. Ils te seront donnés par les femmes que tu n’as pas su satisfaire.

Le Maitre m’ordonne de mettre mon buste sur la table en me penchant en avant, d’écarter mes jambes et de tendre mes fesses en arrière et d’attendre la sentence. J’attends dans cette position durant quelques minutes puis j’entends les femmes venir ensemble derrière moi. Elles complimentent avec ironie mon cul et disent que c’est dommage de l’abîmer. Elles estiment tout de même que je l’ai bien mérité et que je dois sans doute aimer ça en plus (ce qui n’est pas du tout le cas). La première frappe s’abat. Le bruit et la douleur sont terribles. C’est encore pire que ce que j’avais imaginé. Je remercie le ciel de ne pas m'être trompé dans le décompte. Je ne crois pas que j’aurais supporté une cinquantaine de coups. Les sept autres coups sont tout aussi douloureux, même si sous la douleur je me surprends de bander fortement et de ressentir un bien-être excitant qui irradie tout mon corps et qui se mélange au feu de la peau rougie de mon fessier. Sensations bizarre mais au combien jouissives, ce mélange que je n’avais jamais ressenti de la douleur et de l’excitation bandante. Les femmes jettent le fouet sur mon dos, me mettent une claque sur les fesses et s’en vont en rigolant après m’avoir, pour chacune d’elles, presser les couilles de leur poigne. Le Maître m’exige d’aller en cuisine chercher le buffet des desserts.

Marie, la perverse cuisinière, se moque de mon cul tout rougi et me dit que je n'avais pas fini de me faire martyriser le cul.

- Tu vas mettre ton buste sur ce chariot et mette tes jambes sur ces petits marches pieds. Elle m’attache alors les chevilles avec des sangles ainsi que les cuisses et poignets. Mon cul est ainsi écarté et offert à l’arrière du chariot tandis que mon buste est posé à plat sur celui-ci. Elle m’enfile une cagoule pour que je ne voies rien. Elle dispose ensuite de multiples fruits autour et sur mon dos. Je suis ainsi amené dans la salle à manger sur cette desserte à roulettes. Je me dois à une immobilisation totale afin de ne pas faire tomber les fruits.

- Buffet des desserts à consommer sans modération ! s’écrit Marie ne poussant le charriot roulant.

C’est ainsi, saucissonné nu et le cul bien offert sur cette table roulante, que je vais me faire sodomiser plusieurs fois lors du reste de la soirée selon les envies des uns et des autres. A force de sentir les bites glisser dans mon cul, je ne sais même pas si ce Gilles y est passé, de plus que je suis aveuglé par la cagoule .... mais je n’en doute pas .... il a du profiter encore de mon anus ainsi exhibé à tous...

(A suivre…)