Le Complot Démasqué
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André ma dévoilé le projet en cours. Je suis bouleversé, mais il me réserve une nouvelle surprise
- Dans un quart dheure je reçois une habituée.
- Bien, je me retire. Amuse-toi bien. Bonne soirée.
- Attends, Jean. Tu pourrais me rendre un grand service.
- Bien volontiers, de quoi sagit-il ?
- Cest un peu délicat à dire. Promets-moi de nen parler à personne. Voilà, jaimerais garder des souvenirs de mes aventures et de mes maîtresses. Jai essayé denregistrer des scènes damour avec une webcam. Cest plus souvent raté que réussi. Je viens dacheter un caméscope. Il me manque un opérateur. Accepterais-tu de filmer mes ébats ?
- Dis, tu déconnes. Que dira ta partenaire si elle me voit tourner autour de vous pendant que vous forniquez?
- Mais elle ne saura rien de ta présence. Viens, tu entres dans ce placard, il y a de la place, tu tires la porte coulissante. De là, par des yeux dans les portes tu as vue sur le salon et sur la chambre. Ces yeux sont à la fois une décoration et un système daération. Prends lappareil, vise le lit, tu le vois ? De lautre côté vise le canapé ou la table. Tu sais tenir, Je te montre le fonctionnement : démarrage, zoom avant, arrière, pause ? Cest simple à manier. Tu prendras lhabitude.
- Quand même, ça me gêne de surprendre lintimité dun couple. Je ne sais pas si
- Puisque je te le demande
On est potes. Sors de ta coquille. Tu vas te divertir et apprendre une autre vie. La monogamie est triste, tu vaux mieux que ça. Si tu veux je te prêterai des copines. Elles sont folles de moi, mais si je te recommande, pour me faire plaisir, pour augmenter le nombre de leurs amants et pour ta belle gueule, elles se donneront à toi.
- Tu ne diras rien à ma femme ?
- Je ne la connais pas. Donc tu nas rien à craindre. Nous partagerons nos petits secrets dalcôve. Le premier qui parlera sexposera à un retour de bâton. Cest une garantie réciproque.
Ma belle gueule ? Si André savait quel cas Julie fait de ma belle gueule. Or la femme mariée quil envoie se faire remodeler ne peut-être que Julie. Celle qui va tomber dans son lit au retour de sa liposuccion, cest ma femme. Il nen sait rien, je ne la lui ai pas présentée. Mais Julie correspond absolument à la description de sa future conquête. Elle réunit tous les critères. Il la connaît, il la manipule,mais il ignore que cest ma femme. Une idée diabolique germe dans mon esprit. Si Julie me trahit avec André, pour une fois le premier averti de sa mésaventure sera le cocu muni dun caméscope et dissimulé dans le placard. Au diable les scrupules. Un copain qui veut senvoyer ma femme après lui avoir imposé une transformation physique pour mieux lasservir minspire du dégoût. Il joue avec les sentiments des gens et des femmes, sans respect pour les familles. Je lui prépare un chien de ma chienne. Jaccepte le poste.
- A la réflexion, ta proposition mintéresse. Si je te demande lune de ces filles, tu me la présenteras, cest promis ? Je pense en particulier à celle que tu prépares. Cest certainement un cas intéressant. Nes-tu pas trop exigeant avec elle ?
- Pas de problème. Ce qui est à moi, sera à toi, promis, juré ! Et sans lavoir vue tu devines que Julie mérite dattirer tout homme. Attention, moi dabord et quand je me serai servi, tu seras le premier à pouvoir en disposer. Cest une perle rare. En réalité elle a un corps de rêve, comme je te lai déjà annoncé.
- Pourquoi exiger la liposuccion ou dautres opérations ?
- Pour la soumettre complètement. Je veux en faire ma chose. Malgré le coût, malgré les douleurs possibles,malgré une nécessaire convalescence, malgré le risque dun geste maladroit du chirurgien, malgré la crainte dêtre défigurée,malgré lopposition de son mari, un imbécile radin, je le répète,elle a trouvé un institut où se faire opérer. Cest fou ce quune femme est capable dendurer pour un coup de bite ! Son corps est parfait, mais à ma demande, elle est assez amoureuse pour se laisser transformer.
André tend loreille :
- Écoute ces pas dans lescalier. Ma gazelle arrive. Cache-toi et filme tout. Aujourdhui tu as droit à des ratés, je ne ten voudrai pas si tout nest pas parfaitement cadré, car elle reviendra. Cest la plus fidèle de mes complices, bonne pour le cul , mariée, pas jalouse si je lui réserve sa petite fête hebdomadaire et rabatteuse de choix. Elle habite dans limmeuble, cest pratique parce que discret et elle sait se libérer pour venir combler un trou dans mon emploi du temps. Pchttt, plus de bruit.
La porte souvre.
- Salut Victoire. Tu as pris du retard. Comment vas-tu ma chérie ?
- Oui, hélas, je suis en retard. Richard a traîné avant de partir au boulot. Il va arriver au bar en retard lui aussi. La patronne va lui sonner les cloches. La prochaine fois il se dégrouillera au lieu de lézarder. Javais envie de monter, limbécile tournait en rond.
- Lessentiel est que tu sois là. Je taime tellement. Touche là, je bande.
- Oh ! cest vrai, tu bandes comme un cerf. Il faut faire vite sinon quand jirai faire le service au restaurant la patronne se fera un plaisir de mallumer après avoir houspillé mon mari. Aide-moi à me déshabiller.
- Passons dans la chambre. Il ny a pas une minute à perdre. Jai envie de toi.
- Et moi de toi, beau mâle. Richard est nul. Je me demande sil ne va pas voir ailleurs. Une pétasse lui vide les burnes et il na plus dénergie au plumard avec moi. Mais je tai toi, mon amour. Sil me trompe, je le plaque et je tépouse. Oui, dans le dos, les agrafes.
- Pas si vite, tu es prévenue, je népouse pas, je dépanne. Embrasse-moi. Tu nes pas bien comme ça avec un casse-croûte et un maître à jouir ? Il te nourrit, je te tringle. Veinarde, fais durer et tu seras heureuse. Ou cherche ailleurs ; je ne veux plus entendre parler de mariage.
Richard, le bar, le service de restaurant, et surtout le prénom « Victoire » : Il faut être aveugle pour ne pas comprendre. La salope de femme mariée qui se laisse mettre à poil par André, lépouse mal baisée qui vient se faire descendre sa culotte rouge puis sauter dans la chambre du sportif, la grande rouquine qui embrasse goulûment mon copain, cest Victoire, la fameuse cousine de ma Julie. André debout derrière elle loffre de face à la caméra. Il ny a pas derreur, cest elle. Je reconnais la pousse-au-crime qui envoie ma Julie en chirurgie réparatrice. André vient de me préciser son rôle de sergent- recruteur, de fournisseur de chair fraîche. Le soutien-gorge est tombé, les mains viriles montent par-dessous les bras, viennent coiffer deux tout petits seins aux aréoles larges et dun brun foncé qui tranche avec la pâleur de la peau. Victoire, la cousine de ma femme, la grande prêtresse de « la liberté des femmes à disposer de leur corps sans avoir à rendre de compte à leurs maris », Victoire vient ici prendre sa dose de bonheur et tromper son mari. Je lui reconnais un mérite : elle met ses actes en conformité avec son détestable discours. Julie subit sa néfaste influence. Tout va mal.
Jenregistre, plus furieux quexcité. Victoire se trémousse sous la caresse, les pointes de ses mamelons percent entre les pouces et les index en mouvement. André les roule comme on fait des cigarettes. Contre le fessier agité, le malin pousse son ventre et fait ressortir pour le caméscope au-dessus dun mont de Vénus plat, le ventre aussi plat de la femme longiligne, nu, sans toison. Victoire au sexe rasé ne se doute pas de la présence de la caméra, ne cherche pas à cacher sa vulve flétrie et ses nymphes hypertrophiées entre des cuisses sèches à la minceur stupéfiante. Entre ces deux colonnes filiformes écartées, éloignées lune de lautre, on doit pouvoir placer toute une main à plat.
Ses fesses se frottent contre le sexe qui grandit à son contact.
André décide de présenter lautre face, fait accomplir un demi-tour à sa partenaire. Je pourrais compter les vertèbres du haut en bas de la colonne, les omoplates saillent de chaque côté dun creux. Plus bas deux fesses sèches et sans relief sont prises à pleines mains, un peu relevées pendant que les amants sembrassent. La tête dAndré apparaît au dessus dune épaule, il madresse un clin dil. Ses phalanges quittent les fesses, flattent les flancs décharnés, vont se poser sur les épaules en pointes. Victoire courbe son dos en forme darc, éloigne ses pieds et élargit langle entre les jambes. Sa chevelure dégage le tronc dAndré, descend encore. André appuie sur les épaules : la tête ne cache plus le nombril.
La grimace de lhomme annonce la capture de sa verge par la bouche de Victoire. Ah, la position de la suceuse expose le creux sombre de lanus et le bâillement violacé des petites entre les lèvres de la chatte, quasi inexistantes dont la peau fait parchemin. Victoire pompe, pompe encore. Une main dAndré vient accen lécartement du sillon des fesses et des grandes lèvres glabres. Il étale le creux, aplatit la raie du cul, ouvre la rose : Décidément il aura dans son caméscope chaque parcelle du corps de Victoire avec une revue détaillée de ses parties intimes.
Toute cette mise en scène me paraît dénuée de sentiment. Et quand André se met à bouger cest pour me permettre de prendre de profil les deux acteurs engagés dans cette pipe, lui debout, elle courbée en forme de pont. Sa tête avance et recule sur le membre viril tantôt apparent tantôt englouti. Une claque sur une fesse met fin à la fellation. André interpelle Victoire :
-Tu oublies que tu es pressée. Alors ne nous attardons pas en préliminaires. Place tes mains sur le matelas, ouvre tes quilles, encore, baisse ton popotin, tu es trop haute à cause de tes talons. Comme ça, tu es à la bonne hauteur. Prête ?
André se place de façon à montrer à mon objectif le sexe où il va sintroduire. Ses deux pouces tirent sur les lèvres. Il place deux doigts dans la crevasse rose et luisante, exécute un mouvement de vrille pour pénétrer et se met à les enfoncer et retirer à vive allure. Il masturbe, touille brutalement, va, vient, entre, sort, tournicote, fouille, creuse, cest une charge sans égards, à la limite du sadisme. Et la grande maigre apprécie cette forme de brutalité.
- Oh ! que cest bon, crie la grande, oui, plus fort ! Mon salaud
oh!
André obéit, les doigts décrivent des cercles, excitent les parois, cherchent à augmenter la mouille. Victoire arrondit son dos ou creuse les reins, remue ses fesses, écrase son crâne sur la literie et pousse des gémissements ininterrompus. Le vagin est prêt, lamant se redresse, me fait un signe de la main, désigne sa lance, sapproche du minou se pose contre les chairs rosies et entre tranquillement dans la place
- Oh ! oui, jaime ta bite. Fourre-moi, baise-moi. Oui. Rrhan, mais vas-y !
Le temps presse. Pas pour André, il est en démonstration, noublie pas le caméscope. Il entre à fond, recule et extrait toute la hampe à lexception du bout du gland, puis il repart en avant, revient avec lenteur. Quand il sort trop il me désigne de lindex le trou noir où il va replonger. Victoire sénerve, bout :
- Mais André, tu traînes. Accélère, prends-moi fort, vite, je veux jouir. Baise, baise !
- Bien, mais dabord, dis-moi où en est Julie. Hésite-t-elle encore ?
- Non, nous lavons décidée. Le rendez-vous chez le chirurgien est pris. Malheureusement Jean, son mari, fait encore de lobstruction. Anaïs et moi lavons travaillée. Je lui ai dit quelle pouvait se passer de lautorisation de son tyran. La révolte est passée. Il a cédé financièrement. Julie ne reculera plus. Elle doit commander bientôt ses billets davion pour Tunis.
- Ses billets ? Combien lui en faut-il ?
- Oui, elle espère que Jean laccompagnera. Sinon elle se fera accompagner par une amie ou un ami. Elle ne veut pas partir seule, il lui faut du soutien.
- Ah ! Cest sérieux. Je croyais quelle plaisantait. A quoi bon partir à deux ? Pendant un mois elle sera dans limpossibilité de baiser. Jai lu que la patiente ne doit pas fournir defforts musculaires avant la cicatrisation complète. Voyager avec elle, coucher avec elle et ne pas pouvoir la sauter, où est lintérêt ?
- Vous, les hommes, vous ne pensez quà ça. Nous avons besoin damour, de tendresse, dattention, de sentiment, de soutien moral. Si tu veux te faire Julie un jour, propose lui daller avec elle, puisque ce con de Jean sentête à refuser de porter ses valises. Qui sait, dans les toilettes de lavion elle voudra peut-être senvoyer en lair avec toi avant de passer sur le billard. Hé, une abstinence dun mois nest pas facile à vivre, autant baiser à fond avant dy être contrainte : heureux lhomme qui saura lui fournir auparavant les frissons et les transes dorgasmes dont elle sera privée par lopération. Ça te plairait, mon cochon ! Allez, bouge, tu tendors, tu nes pas en forme. Arrête de penser à une autre quand tu me possèdes. Merde, fonce, crève-moi le vagin, défonce-moi fort. Jadore ta queue. Alors, tu irais avec elle ? Elle sera molle et soumise à qui laccompagnera. Tu rêves ?
- Non, je réfléchis. La cabine de lavion serait formidable. Mais jai su me retenir pour faire monter la pression. Je ne vais pas gâcher toute ma préparation, je lui ai suggéré de perdre du poids, je ne peux pas lui laisser croire quelle est baisable en létat actuel. Bien que jaime aussi les filles girondes, je lutte contre mon envie. Combien de fois nai-je pas dû résister à la tentation en reluquant sa poitrine ou son petit cul ferme et rebondi. Julie attendra, elle en vaut la peine. Je laurai, oui, je laurai.
-Hé ! cesse de rêver à elle. Je suis là, moi. Je ne te plais plus ? Baise.
André a marqué une pause, se remet à limer, mais plus vite. Victoire lencourage. Il veut lui laisser linitiative et moffrir un spectacle différent :
- Et si on changeait de position. Puisque tu es pressée, à toi de donner le rythme. Viens sur moi et chevauche-moi à lenvers.
Cette fois, il sassied en pied de lit, toujours tourné vers le placard, pieds à terre, verge tendue vers le plafond. Sur ses grandes pattes daraignée Victoire, à reculons, encadre les jambes dAndré, recule, baisse sa croupe vers le pieu tendu, senfonce avec précaution sur le pénis, engloutit le tout jusquaux couilles, gire, sassure quelle ne peut pas en avaler davantage et aussitôt se lance au trot, séchauffe et passe au galop. La moule souvre et se resserre selon les mouvements du ventre. Son visage se met de nouveau à rougir, elle souffle puis geint comme lors du barattage précédent.
-Ha ! La bonne queue.
Elle suffoque. André bascule sur le dos, la déséquilibre, attire à lui le tronc de Victoire dont la poitrine sécrase au point de ressembler à celle dun garçon. Ses bras lenserrent, immobilisent la partie supérieure du corps. Je comprends lintention de mon copain. Jenregistre le grand écart des cuisses de grenouille et surtout, au milieu, louverture maximale du con distendu autour de la verge plantée en biais. Victoire meut sa croupe à coups rapides, mène un train denfer. Le coït se raidit. La voix grave couvre les plaintes femelles. Ils ne bougent plus. Un liquide blanchâtre suinte autour de la peau du sexe viril et dans la partie inférieure de la vulve. La tache suit le sillon et sécoule lentement vers la rose noire dilatée. Cest fini, elle court vers la salle de bain, se nettoie le frifri, enfile en vitesse sa robe, se glisse dans la culotte rouge ramassée sur la moquette, embrasse André. Il lui rappelle la nécessité de bousculer Julie, il compte sur ses loyaux services.
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