Une Famille Très Ouverte 1 : Un Frère Trop Bruyant

Ma famille a un mode de vie assez particulier : nous vivons nus.
Mes parents se sont rencontrés un été dans un camp de vacance nudiste. Alors quand ils ont emménagé ensembles ils ont décidé de garder ce mode de vie et ils n'ont pas changé avec l'arrivée de leurs s. Mes parents travaillent tous les deux dans de grandes entreprises, et ils ont avec les revenus qui vont avec. Le résultat c'est qu'on vit dans un appartement au sommet d'un immeuble plutôt classe. C'est bien parce que ça nous permet de vivre comme on le veut qu’on le peut. Et oui, essayez un eu de vivre nus dans une résidence où la maison d’en face à une vue plongeante sur la maison et le jardin. En plus l'autre avantage c'est que comme il faut passer un interphone et prendre un ascenseur pour y rentrer, pas de surprise, en cas de besoin tout le monde peut s'habiller.
Comme vous vous en doutez, la nudité est devenue naturelle chez nous. Je vais vous décrire un peu ma famille histoire de faire un peu connaissance.
Mon père s'appelle Marc, a 47 ans. Il est du genre grand, brun avec de bons restes des muscles de sa jeunesse. Vu son travail il se rase le visage mais conserve ses poils sur son torse et bien sûr autour de son sexe, un sexe assez large et assez long, dépassant la moyenne mais sans être extrêmement gros non plus. Il est assez recourbé vers le haut quand il bande. C’est amusant parce que ce trait est commun à tous les hommes chez moi. On a un pénis de famille
Ma mère, Barbara est un peu le modèle de la bombasse qui a de très très bon restes. Son visage magnifique n'est que très peu marqué par le temps, et ses traits fins sont encadrés par de magnifiques boucles blondes. Moyenne, la taille fine, des formes amples avec de très belles fesses qui avaient un peu perdu de leur fermeté mais à 45 ans on peut difficilement faire mieux. Sa poitrine opulente sans être trop est-elle restée parfaitement tonique. Elle est entièrement épilée ce qui laisse apparaître sa vulve délicate.


Mon frère, Thomas, 25 ans, est l'image de la virilité, presque plus que mon père. Une virilité sauvage. Aussi grand que lui, undercut à la mode, des traits anguleux couverts par une barbe aussi brune que ses cheveux et qu'il entretient avec précaution. Il travaille dans une salle de sport. Je vous laisse imaginer la beauté de son torse. Il n’est pas tombé dans la gonflette et ses muscles sont restés fins et striés magnifiquement couverts par une toison brune elle aussi entretenu pour lui donner un aspect faussement naturel sur ses pecs et ses abdos. Le tout aboutissant au bout de son V et de son chemin du bonheur sur son pubis finement velu et sur son sexe très longs, près de 20cm tout en finesse, encadré par ses cuisses et se jambes tout aussi magnifiquement poilues et musclées.
Ma sœur Emma avait elle 22 ans. Elle a essayé d'être l'opposé de ma mère toute sa vie, refusant d'être la beauté classe que nature a fait d'elle. Elle peut paraître ordinaire mais en fait elle cache bien son jeu. Je le sais je la vois nue tous les jours. Derrière ses hauts et ses pantalons justes assez larges pour ne faire que suggérer la beauté de son corps, ce qu'elle ne parvient pas vraiment à faire d'ailleurs, se cache la digne héritière de ma mère.



A mon tour maintenant. Je m'appelle Romain, j'ai 20 ans, je fais des études de médecine à la fac. Je ressemble pas mal à mon père, si ce n'est que j'ai pris mes gènes du côté de ma mère et je tends plus vers le blond que vers le brun corbeau des autres hommes de la famille. C'est en fait toute ma pilosité qui est différente. Le maximum de barbe qui puisse pousser pour l'instant ne peut que suffit seulement à entourer mon menton, ma lèvre supérieure, et le bord de mes joues d'une petite barbe. Le collier large n’est pas loin mais trop fin et trop blond pour être vraiment intéressant. Je trouve tant bien que mal que ça me donne un petit air sexy donc je le garde. D’autant que c’est pareil sur le reste de mon corps.
Mes pecs sont à peines recouverts d'une fine toison blonde, de même que mon pubis. Je suis du genre universitaire qui fait du sport mais pour qui ce n'est vraiment pas le plus important, j'ai un physique assez banal avec des pecs suffisamment développé pour apparaître dans mes pulls, de même pour mes épaules et mon abdos, justes assez pour montrer qu'ils sont là mais pas assez pour justifier la moindre comparaison avec mon frère. En revanche là où la comparaison est intéressante c'est pour le sexe. Je vous l'ai dit mon père nous a transmis un sexe particulier. Tout comme lui et tout comme mon frère, mon sexe est recourbé vers le haut. La différence du miens c'est que même s'il est assez court, 14 cm, mais il est large, très large. L’exact opposé de mon frère Thomas.

Vous avez dû le sentir dans mes descriptions : le genre n'est pas un problème pour moi. C'est l'avantage de vivre nu en famille, ça permet d'apprivoiser le sexe de l'autre, homme ou femme. Dès lors ça ne pose pas de problème. Du coup je dirais que je suis bi par nature. Il est normal pour moi qu'un corps de femme comme d'homme me plaise s'il est séduisant. Mais du point de vue sentimental je reste plutôt hétéro. J'ai déjà eu des aventures avec les deux sexes mais c'est avec des femmes que j'avais vécu les plus fortes. Mon côté gay c'était limité niveau sexe a quelques baises au lycée au temps de la découverte. Mais bon si elle ne se concrétisait plus trop mon attirance était restée.

Maintenant que vous nous connaissez un peu mieux, je vais vous raconter ce qui m'est arrivé dernièrement. Nos parents étaient partis deux semaines en vacance hors période scolaire ce qui laissait la maison libre pour mon frère ma sœur et moi. Ma sœur avait un appart près de son école a l'autre bout de Paris, elle en profita donc pour organiser une soirée avec ses potes. Vous imaginez bien que les vêtements étaient obligatoires pour ses frères chéris. A part cette fête elle n'en profita pas beaucoup plus.
Mon frère organisa lui aussi des trucs mais ce n'était en général que l'apéro, le before, avant de partir en boite et de finir la nuit dans son lit bien occupé. Il avait vécu plusieurs mois avec sa copine dans son appart mais elle l'avait largué. Du coup il noyait sa tristesse dans les conquêtes d'un soir. Et à ce que j'entendais il se noyait plutôt bien. Parce que oui ma chambre et la sienne ont un mur en commun. Quelqu’un dans la même pièce en saurait moins que moi à cause du noir. Enfin bon après qu’il eut profité de la maison ce fut à mon tour. J'invitai mes potes de la fac pour se faire une soirée entre mec. Hélas peu d’entre eux purent venir. Seul Clément pouvait venir, un de mes potes les plus proches.

On devait passer l'après-midi avec les autres sur Paris avant de rejoindre mon appart pour une soirée tranquille. Avant de partir les rejoindre je profitai de croiser Thomas pour lui dire :
- Par contre pour ce soir ce serait bien que tu t'habilles. Je sais que t'aimes pas faire semblant mais bon mon pote va trouver ça chelou de te voir de promener à poil, au sens propre du terme d’ailleurs...
- Oui ne t’inquiète pas Romain. Je m'arrangerais pour que ton pote ne voie pas la beauté de ton frère, me répondit-il avec un sourire ironique et curieusement sexy. Et puis de toute façon je vais en boite ce soir.
- D'accord merci, tu devrais faire autre chose que sortir comme ça...enfin bon tu fais comme tu veux.

Sur ceux je le laissai, sorti et pris l'ascenseur.

L'aprèm se passa plutôt bien, bonne ambiance etc. Vers 19h30 après avoir pris un vers dans un bar sympa on se quitta. Clément et moi on alla se poser chez moi comme prévu. Pizza, bière, film console, discussion sur tout et rien, sexe compris bien sûr. Bref une bonne soirée.

Je ne vous ai pas décrit Clément. Il est du genre BCBG. En polo sur chemise, ou en veste par exemple. Grand et châtain c'est plutôt un beau gosse assez sûr de lui en général. Il aime le sexe et les femmes sans en être au stade maladif de mon frère.
Son corps l'aide bien. Il a un peu le même gabarit que moi. Juste assez musclé pour bien remplir une chemise et pour l'enlever sans gêne. Qui dit style bcbg dit rasage. Il est toujours rasé de près, et d'après ce que laissent entrevoir ses chemises, il en va de même pour son torse. On se connait qui depuis la fac donc je ne le connais physiquement pas aussi bien qu'un ami avec qui j'aurais grandi.
Comme je vous le disais on était posés dans le canapé dans une bonne ambiance, avec des conversations allant du plus chaud au plus sérieux.
- Mec j'ai plus de batterie, et je n’ai pas de chargeur...je pourrais t'en emprunter un ?
- Oui oui pas de soucis, va le chercher dans ma chambre, il est sur le bureau, lui répondis-je.

Il sorti du salon et entra dans le couloir.

- Il a l'air cool ton pote frérot, dit Thomas quelques minutes plus tard, dans mon dos.
- Thomas? Qu’est-ce que tu fous là? Je pensais que t’étais dans un bar avant d’aller en boite. Dis-je en sursautant.
- Bah je suis revenu pour me changer avant d’aller en boite. Ça te pose un problème ? T’as peur que je vois ce que tu fais avec ton pote ?
- Redescends sur terre mon gars, tout le monde n’est pas obsédé par le cul comme toi. Et puis Clément est hétéro donc il n’y a pas débat.
- Si tu l’dis. Bon j’y vais à demain.

Thomas parti me laissant dans le salon. Clément revient.
- Alors t’as trouvé mon chargeur ?
- Oui, désolé j’ai dû répondre à un appel.
- T’inquiète. Mon frère m’a dit qu’il t’avait croisé, j’espère qu’il n’a pas été lourd.
- Non, il avait même l’air sympa.

La soirée reprit son cours tranquillement. On riait bien. Vers 3h du matin quand le dernier film se finit Clément et moi nous installâmes dans ma chambre et nous couchâmes. On dormait souvent ensemble en soirée donc on n'était plus à ça près et puis le canapé n’est pas super.

C'est alors que mon frère rentra à l'appart. Apparemment pas seul. On entendait les éclats de voix d’une femme bourrée et les siens dans un état pas meilleurs. Clément et moi nous tûmes pour voir ce qu’ils allaient faire. Ils passèrent le couloir sans faire semblant d’être discrets et une fois dans la chambre de Thomas le feu d'artifice commença. Je vous l'ai dit mon frère est du genre sauvage au lit, vous imaginez l'effet d’un corps comme le sien, d'un sexe comme le sein, et d’une manière comme la sienne sur une femme. Rapidement c'est devenu bruyant. Au début nous n'entendions que quelques gémissements féminins. Elle semblait se languir et lui tout faire pour qu'elle n'en puisse plus.
- Il doit lui faire un cuni là, dit Clément. Et il doit faire ça bien parce que...
Effectivement les gémissements étaient plus forts que jamais.
Puis ils se turent avant de recommencer de plus belle, mais accompagnés maintenant du mouvement du lit tapant contre le mur de ma chambre.
Je m'étais habité à cette situation au fil des conquêtes de mon frère. Mais là Clément était avec moi alors la situation était vraiment étrange.
Lui aussi était étrange. Il avait l'air de quelqu'un fasciné mais qui n'ose pas le reconnaître. Il me proposa de reprendre le film pour couvrir le bruit et penser a autres choses.
Bien sûr ça ne fit qu'un effet très limité. La gêne restait entre nous, on était plus concentrés sur les bruits, les cris et les gémissements de la chambre d'à côté que sur le film ou une conversation.
J'eu peur que mon pote puisse distinguer mon érection dans le short qui me servait de bas pyjama. En tout je le craignis jusqu'à ce que je distingue celle de Clément dans le sien.
- Mec je tiens plus là...il faut qu'on fasse quelque chose, me coupa Clément.
- Je veux bien mais quoi? En plus tu sais ça arrive souvent que mon frère fasse ça et crois-moi il est du genre endurant. Ca pourrait durer longtemps...
- Ah ce point-là...qu’est-ce que tu fais dans ces cas-là?
- Ça dépend j'essaie de dormir, d'écouter de la musique, regarder un film, et quand c’est trop je le branle en les écoutant, ça me permet de passer à autre chose après.
- Ah oui?
Clément semblait transporté. Je ne l'avais jamais vu comme ça il avait les yeux dans le vide, il était assez agité. Je vis que sa main se porta comme machinalement sur son sexe.
- C'est vrai que ça aiderait, admit-il. On fait ça?
- Euh...d'accord si tu veux.
Nous enlevâmes nos T-Shirt, en profitant pour jauger et mater l'autre, puis ce fut au tour de nos shorts et caleçons. Le sexe de Clément était totalement bandé. Quelque chose comme 15 cm bien épais. La vue de Clément si attirant finit de me faire bander, déployant mon sexe.
Nos pénis et nos yeux présentés on commença à se branler. Quelques instants après que nous eûmes commencé, la conquête de mon frère eut un orgasme dans un cri puissant. Ses gémissements furent remplacés par ceux de mon frère apparemment en pleine fellation.
- Oh...vas-y...tu suce bien ma grande queue...entendions nous.

-Elle le suce là? Me demanda Clément.
- Quelle perspicacité, répondis rieur, lâchant mon sexe pour lui donner un petit coup sur son épaule.
- Je me suis toujours....demandé...ce que ça faisait de sucer homme.
- J’n’aurais pas cru ça de toi Clément. Bah envoutés, fais toi plaisir, dis-je plus sérieusement. Moi j'adore me faire sucer, homme, femme les deux me vont.
Il ne réagit pas tout de suite. Il avait l'œil billant mais en même temps un regard concentré très surprenant. Il posa sa main sur ma tige, la branla puis dit : "si j'ai le droit pas de raison de s'en privé".

Il lécha alors mon gland avant de le sucer, le gober et enfin mettre en bouche le plus de ma queue qu'il le pouvait. C'était délicieusement maladroit. De mon côté je branlais son sexe qui refusait d'être abandonné.
Puis nous nous mimes en 69 après que je l’ai proposé. Je m'allongeai sur lui empalant ma bouche sur son sexe qui rentrait entièrement vu sa taille. Lui continuait à me sucer aussi bien. Nos gémissements étaient repartis de plus belles même s’ils étaient étouffés par le sexe de l'autre. En revanche de l'autre côté, Thomas avait recommencé à baiser sa copine du soir, dont les cris n'étaient, eux pas étouffés.
Excité à fond je voulu voir jusqu'où mon pote voudrait bien aller. J'insérai alors doucement un doigt dans sa rosette. Il ne s'y attendait pas mais je sentis le frisson de plaisir que ça lui provoqua.
- tu aimes ça?
- Oui j'adore ! Je ne me suis jamais doigté...
- Je vais te montrer.
Je me levis, laissant sa bouche avec tristesse loin de mon sexe. Puis de mes doigts habiles je commençai à le doigter plus intensément. Un, deux, trois doigts salivés, puis j'y introduisis ma langue et la fis tournoyer en lui. Lorsque je mis mon 4ème doigt en lui il gémit de plaisir et dit
- Mec j'ai envie d'essayer encore plus. Fais-moi jouir comme ton frère fait jouir sa nana s’il te plait !
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je pris une capote et du lubrifiant dans mon placard et passa aux choses sérieuses. Je le doigtai plus intensément encore, de manière plus large qu'avant. Vu le format de ma bite, il vaut mieux qu'un vierge soit bien préparé. Lorsqu'il fut bien ouvert et bien lubrifié je lui dis se mettre à quatre pattes.
J’introduisis alors lentement mon gland en lui. Jusqu’au moment où je fus entièrement entré en lui il gémit de douleur mais une fois entré jusqu’à la garde il put s'habi à mon sexe en lui. Lorsque mes vas et viens lents commencèrent à lui faire du bien je les accélérai et commença à le baiser littéralement.
De l’autre coté du mur les cris de femmes étaient devenus si fors qu’ils recouvraient les nôtres. Je savais que cela voulait dire : elle avait accepté de se faire sodomiser par mon frère, ça leur faisait toujours ça quand il les prenait comme ça. Quelle ironie.
Clément n'en pouvait plus il gémissait. Je m'allongeai sur son dos pour pouvoir le prendre en plus vite et pouvoir sentir son plaisir irradier tout son corps. Dans cette position il enfonça sa tête dans un coussin qu’il mordait parfois entre deux cris. Il était si serré, c’était un délice. Il jouit et éjacula sur les draps.
Mais il en voulait encore. On s’allongea l'un contre l'autre sur le côté. Je le re-pénétra et recommençai des vas et viens profond et lents en lui.
Ses gémissements reprirent, de plus en plus graves et intenses. J'avais glissé une main entre ses jambes. Je pouvais donc branler son sexe pendant que je le prenais augmentant encore son plaisir. Ses muscles internes se contractaient de plus en plus resserrant l'emprise sur mon sexe que la largeur et la courbure dérangeait rendant mes sensations toujours plus fortes. Dans cette position les sensations sont plus intenses de part la profondeur de la pénétration, il ne lui fallut pas longtemps pour être à deux doigts de jouir encore, et moi aussi. Il me dit alors

- Romain...je veux jouir pendant que tu me baises comme une bête !
Nous nous remîmes donc en levrette et je le pris le plus vite possible. Nous criâmes notre plaisir encore trois ou quatre minutes avant je jouir une dernière fois.

- Qu'est-ce que c'était bon ! Je remercierai mon frère de nous avoir donné envie, dis-je après être sorti de lui et m'être allongé.
- Oui, je ne pensais pas pouvoir ressentir ça un jour. Autant de plaisir d'un coup !
- Ça m'avait fait ça aussi ma première fois.
T'as vu ils ont fini aussi à côté, dis-je après un silence.
- C'est vrai. Apparemment tu n'es pas le seul baiseur talentueux de la famille.
- Ah ah oui je crois, mais bon personne n'a jamais testé les deux frères. En plus si tu veux savoir lui aussi il a un sexe pas mal, différent mais pas mal, ça doit aider aussi.
- Ah oui effectivement...dit-il d'air absent.

Nous nous endormîmes côtes à côtes. Ce n'est que plus tard que je compris la raison de son air mystérieux.

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