La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 596)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°590) - Un Centre de Dressage New-Yorkais pour mâle soumis -
Maitre Charled ordonna à soumis Endymion MDE, toujours stupéfait par ce quil venait dapprendre, de se lever et de se présenter cuisses écartées et mains sur la tête. Puis Maitre Charled fouilla dans sa poche pour sortir la clé de la cage de chasteté portée par le chien soumis mâle.
- Approche que je libère ta nouille de chien !
Sitôt sortie de cet étui trop étroit, la queue de lesclave MDE se redressa subitement. Les trois femmes Dominantes dans la pièce ainsi que Maître CharlEd ne purent sempêcher dhumilier lesclave, il se fit traiter de tous les noms et plus particulièrement de chienne lubrique toujours en chaleur. Madame Marina, lui attrapa les couilles vicieusement tout en le regardant sévèrement droit dans les yeux :
- Des mâles comme toi, jen ai dressé plus dun, fait-moi confiance, ici tu vas apprendre à devenir un bon et gentil esclave, un bon toutou. Nous allons te formater, téprouver, te conditionner comme lexige le Maître, Monsieur le Marquis dEvans, notre Noble et Vénérable Oncle. Il ta confié à nous pendant un mois, et pendant ce mois nous allons te métamorphoser, si bien que lorsquIl viendra te rechercher, il ne te reconnaitra plus
Maître CharlEd à son tour sétait levé, il fit mettre soumis Endymion MDE à genoux devant lui, tête haute, bras croisés dans le dos :
- Je te dois une explication, le chien
Maître CharlEd se tut longuement, il marchait lentement tout autour de soumis Endymion MDE, le regardant de haut sévèrement, sérieusement, avec même une certaine arrogance et une toute puissance.
- Tu viens dintégrer un centre de dressage pour chiens mâles soumis, en quelque sorte une Ecole, une Académie de la soumission, ou seuls des mâles de ton espèce apprennent à obéir. Ce Centre de Dressage est tenu essentiellement par des femmes Dominantes, perverses et vicieuses, avec seulement deux ou trois Hommes Dominants, participants eux aussi à léducation des mâles, je fais partie de ceux-là évidemment.
Maitre CharlEd se tut encore, fit de nouveau les cent pas, mains derrière le dos, comme sil réfléchissait, comme sil voulait que soumis Endymion MDE intègre bien le message quil voulait lui donner :
- La formation vise à rendre les mâles aptes aux services des Femmes, pour leur confort, leur bien-être, leur épanouissement, leurs plaisirs, la réalisation de leurs souhaits et de leur volonté. De nombreux mâles viennent ici se faire dresser car ils ont conscience de leur infériorité dans les domaines divers tels que sexualité, spiritualité, rapidité de pensée, ouverture de lesprit et du cur, autorité, intuition, facilité dadaptation, etc
Beaucoup dentre eux ne tirent cependant pas toutes les conclusions logiques de ces constats et portent encore en eux le poids des conventions et des coutumes obscurantistes. Lucides sur leur envie de servir, ils simaginent que cette envie suffit à les rendre acceptables serviteurs, ce qui est faux. Cest pourquoi, leurs Maîtresses les adressent à nous. Au sortir de leur formation, les mâles sont en mesure de servir réellement, sans se préoccuper dautre chose que de lintérêt de leur Maîtresse, et en faisant notamment fi des fantasmes qui nourrissent leurs premiers désirs de soumission.
Maître CharlEd se tut encore, laissant lesclave MDE digérer ses propos. soumis Endymion MDE ne comprenait pas tout
.
- Toi, soumis Endymion MDE, nous te dispenserons du premier cycle de formation, car tu as déjà été formé à la politesse, au renoncement, à la soumission et à linitiation à la discipline.
Maître CharlEd sinterrompit encore, quelques secondes uniquement cette fois-ci :
- Cest ainsi que le Vénéré Maître, Monsieur le Marquis dEvans souhaite te voir évoluer et dresser
Regarde-moi chien, regarde-moi bien dans les yeux
(Maitre CharlEd se tut longuement)
Si tu es bien daccord pour suivre cette formation et de respecter scrupuleusement ces règles dictées alors contente toi de japper trois fois.
Sans hésiter une seule seconde, soumis Endymion MDE émit trois « ouaf !» tonitruants qui ne laissaient guère dambiguïté. Alors, Maîtresse Marina se leva, sapprocha de lesclave MDE, lattrapa par sa queue tendue et lentraina ainsi tenu, dans un long couloir, pour regagner une pièce à proximité, dans laquelle seule une table en inox trônait en son centre, ainsi quune armoire posée contre un des quatre murs.
- Couche-toi à plat dos et relève tes cuisses sur ta poitrine.
A peine installée Maîtresse Marina badigeonnait la rondelle intime de lesclave MDE avec un gel lubrifiant et lui glissait dans le cul un anneau souple de dilatation anale de forme anatomique en matière thermoplastique. Par réflexe, soumis Endymion MDE tenta de resserrer ses sphincters, il constata quavec un tel objet dans le cul, il ne pouvait plus les contrôler, son orifice intime était contraint à rester entrouvert. Maîtresse Marina sintéressait maintenant à la queue du chien-soumis-mâle. Elle pressa sur son gland, inspecta le méat de sa verge, lécarta en exerçant une pression sur le bout de la bite du chien soumis. Elle fit tomber quelques gouttes de lubrifiant dans ce mince conduit, et avec agilité et dextérité, elle inséra une fine tige profilée dans lurètre et la fit pénétrer sur quelques centimètres. Soumis Endymion MDE se crispait et grimaçait, une petite brulure tout au long de sa queue le fit débander. Sans doute était-ce le but recherché. Dès que la queue du chien-mâle soumis fut flasque, Maîtresse Marina sempressa dinstaller la cage de chasteté, la sienne, celle finement ciselée portant les Nobles Initiales de Monsieur le Marquis dEvans que le Maître avait offert à Son chien soumis. Même si lesclave MDE avait débandé, il était mentalement très excité par la situation et même physiquement (même sans bander) car tout son corps était irradié dun incroyable plaisir dune onde et de spasmes dun bien-être jouissive certainement provoqués par la pénétration de son urètre
- Voilà tes trous contraints, salope ! Il va têtre difficile de contrôler tes besoins naturels ainsi ouvert. Mais ne tinquiète pas, nous allons parer à ça.
Alors que le chien soumis était secoué de ses savoureux spasmes irradiants son échine, Maîtresse Marina avait abandonné quelques instants seulement soumis Endymion MDE, toujours installé nu sur cette table, cuisses repliées sur son thorax. Elle revint rapidement tenant en ses mains une couche culotte.
Lensemble de ces pièces métalliques furent reliées entre-elles par une lourde chaine, obligeant lesclave MDE à se tenir courbé, penché en avant. Cest ainsi quil fut conduit à travers un long couloir, tenu dune main ferme par son collier. Il dut descendre des escaliers, non sans difficulté, en se faisant houspiller tant et plus, pour se trouver à létage inférieur. Là, Maîtresse Marina déverrouilla une lourde porte métallique, puis entraina lesclave MDE dans un autre long couloir, dans lequel, de part et dautre, des cellules étroites fermées par des portes en lourds barreaux dacier. Dans quelques-unes de ces cellules, il y avait enfermé individuellement des hommes, de tous âges, des blancs, des noirs, ayant une tenue similaire à celle portée par soumis Endymion MDE. Certains étaient assis, dautres allongés en position ftale, tous attendaient sans bruit, levant un tant soit peu la tête lorsquils entendirent les chaines trainées bruyamment sur le sol de béton lors du passage de soumis Endymion MDE. Maîtresse Marina poussa lesclave MDE dans lune de ces cellules.
- Soit bien sage, le chien, je te rappelle quil test interdit de parler, attends simplement le moment où je reviendrai te chercher, tu nas rien dautre à faire
Ah, une précision, même si elle est évidente, tous ceux qui sont ici, dans ce Centre de Dressage, sont comme toi, ils sont là tous de leur plein gré et acceptent pleinement de vivre comme des prisonniers et esclaves
Maîtresse Marina verrouilla la cellule à triple tour, regarda dun air Dominant soumis Endymion MDE, puis feint de partir. Elle refit deux pas en arrière et sadressa de nouveau à lui :
- Ah au fait, le chien, si tu as besoin de satisfaire quelques besoins naturels, tu peux évidemment souiller ta couche culotte.
Elle se mit à rire et abandonna cette fois-ci définitivement lesclave MDE. Il sassit sur le sol dur, plaça sa tête entre ses genoux en calant son dos contre le mur du fond de la cellule. Combien de temps allait-il rester ainsi
Après un long moment prostré ainsi, soumis Endymion MDE leva la tête en direction du plafond, Il venait dentendre, juste au-dessus de lui, des talons claqués sur le sol. En fait, le plafond était en verre, un verre très épais, ayant lavantage déclairer les cellules, mais aussi de surveiller les chiens soumis enfermés. Une femme était debout juste au-dessus de sa cellule, elle portait des cuissardes de cuir, une jupe courte. Ostensiblement, elle écartait les cuisses pour dévoiler son intimité. Elle sasseyait sur le sol après avoir ôté sa jupe quelle venait de jeter. Son fessier écraser par son poids sétalait sur cette surface vitrée. Une autre femme était venue la rejoindre, elle aussi était nue, elle aussi sassit sur le sol verré juste derrière celle qui était déjà installée. Elles entreprirent de se caresser toutes les deux, là, sous le regard de soumis Endymion MDE, deux mètres cinquante en dessous. Les doigts de lune glissaient entre les lèvres intimes de lautre et sintroduisaient lentement dans ce vagin offert et tenu largement écarté. Très vite des flots de cyprine venaient se répandre sur cette épaisse vitre gênant un peu la vision de soumis Endymion MDE. Les deux femmes sétaient allongées, lune à côté de lautre, lune sur le ventre, lautre sur le dos, elles se caressaient langoureusement, leur langue sentrecroisait, un chien-mâle sétait approché, tenu en laisse par lune delle, son nez disparaissait entre les lobes fessiers de la plus jeune, celle couchée sur le ventre. Sa langue tendue cherchait désespérément cette petite chatte trempée, elle voulait se loger dans cette fente chaude ventousée sur la paroi vitrée
Les deux femmes avaient joui et près delles, le chien-mâle soumis avait avec sa langue nettoyait les traces de leur jouissance, le spectacle saisissant et excitant était terminé. Soumis Endymion MDE décida alors de se coucher, recroquevillé sur lui-même. Il laissa son esprit divagué
. Comprenait-il ce que lon attendait de lui désormais ? Sans doute pas ! Où tout au moins pas encore, peut-être même refusait-il de ladmettre. Ce nest que lorsquil sentit quil ne pourrait plus retenir et contenir ses urines très longtemps quil commença à comprendre. On lui imposait une régression, un retour à des modes de pensée et de conduite, ne correspondant ni à son âge, ni à sa maturité psychique, peut-être même voulait-on un affaiblissement de ses facultés mentales pour mieux le modeler et le former à la stricte obéissance. Et tout cela lexcitait grandement, aussi incroyable que cela puisse paraître, cest cet état de servilité totale qui lui procurait une excitation mentale rarement égalée. Pour lui, cétait un épanouissement absolu dêtre, de devenir un simple objet sexuel, un pantin, un jouet
de nêtre plus rien, de ne plus penser, de ne plus rien décider, juste obéir avec ce sublime lâcher prise total... Il sentit sa couche culotte se remplir, il sentit ce liquide chaud simprégner dans ces fibres ouatées, il venait de se pisser dessus. Il comprit quil devenait totalement dépendant, tant physiquement que psychologiquement et ses impressions, à bien y réfléchir, lui permettait de sépanouir un peu plus encore dans sa condition desclave appartenant à Monsieur le Marquis dEvans. Sa queue jusquici engourdie cherchait désespérément à sépanouir.
Le repas était servi ici dune drôle de manière ! A un moment donné, une sirène ahurissante avait retenti, brisant le sinistre silence, dans le couloir de cette « slaverie ». Elle annonçait aux chiens soumis enfermés ici que lheure de la bouillie était venue. Mécaniquement deux embouts avec sur chacun deux une tétine, étaient sortis dun petit caisson encastré dans lune des cloisons de la cellule. Obligé de se tenir à quatre pattes, soumis Endymion MDE, téta le premier embout, une espèce de purée liquide et insipide, bien que nourrissante en sortie. Lautre embout ne contenait rien dautre que de leau. Lesclave soumis MDE fut rapidement rassasié, il se recoucha sagement, attendant la suite des évènements. Il attendit longtemps et rien ne se passa
La nuit tomba, le silence était parfois troublé par le bruit dune lourde chaine glissant sur le pavé. Les esclaves mâles ici, enfermés sendormirent
Une nuit longue et terrible pour soumis Endymion MDE, souillé, anéanti, dégradé, sali et déshonoré, une longue nuit et terrible nuit pour lesclave soumis MDE, comblé, rassasié, exhaussé de ses besoins dextrême soumission. Une nuit terrible mais O combien épanouissante et salvatrice pour son mental de soumis et si heureux de vivre des moments comme ceux-ci
(A suivre
)
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