Drôle De Trio
C'est un dimanche d'été, le matin il ait déjà très chaud. Comme je vis pratiquement nue, je mets sur moi une simple robe tenue par deux cordons sur les épaules. Bien sur je ne porte rien d'autre. Je ne me doute de rien, sauf qu'à la boulangerie il y a du monde: je fais la queue comme tout le monde: je connais très bien la boulangère, Odette avec qui il m'arrive de passer des moments festifs: nous nous aimons pendant des heures. Elle me glisse gentiment un petit mot: Tu te fais remarquer, les cordons sont trop longs: je peux voir le début de tes tétons. Elle me sert vite, je pars chez moi en vitesse: je me regarde dans la glace: c'est vrai la moitié au moins la moitié de ma poitrine est dehors. J'aurai pu rectifier ma tenue. Comme je ne supporte pas trop la chaleur j'enlève cette foutue robe. Mais voilà, la nudité m'inspire toujours: j'ai envie de jouir: sans m'en faire, je me couche sur le divan, jambes ouvertes, ma main avec les trois doigts sur mon clitoris: je me fait jouir ainsi deux fois. Je me sens aussitôt bien mieux. Pourtant cet incident aura des conséquences dont je ne me doute pas. En début après midi quelque un sonne. Je me mets un léger peignoir pour être présentable. C'est mon voisin, le plus proche qui me demande de le recevoir. Je le connais depuis toujours; c'est un homme de mon âge à peu près, serviable au possible. Quand je le fait s'asseoir sur le divan il a l'air gêné. Je lui demande ce qui le travaille:
'- Je suis embêter de vous dire ça: je vous ai vue passer tout à l'heure, les seins presque dehors. Ça ma donner envie de
.
- Envie de quoi ?
- Ben je n'ose pas vous le dire, depuis le temps qu'on se connaît.
- Je suppose que ça a rapport à ma tenue.
- Oui, j'ai envie de vous depuis longtemps. Je sais que quelques fois vous vous commettez avec la boulangère. Maintenant je ne peux plus tenir: il faut que je vous fasse l'amour, vous savez je baise bien. Vous ne le regretterez pas du tout
Sur le moment j'ai envie de l'envoyer bouler.
Je le fait rasseoir, me met à ses cotés; Nous nous embrassons toujours. Il sait que je ne porte sur moi que ce petit peignoir. Il passe une main sur le genou. Je ne peux plus arrêter son ascension: je ne sais même plus si je veux ou si j'accepte cette main. En tout cas il la monte très haut. Il s'arrête à quelques millimètres de ma chatte. Je lui en veux. Pourtant il reprend pour enfin me toucher la chatte.
- Tu mouilles déjà ?
- Oui, tu m'as donné envie de toi.
- De moi ou de ma bite ?
- C'est pareil toi ou ta bite.
- Et si je veux je peux te sucer comme je sais le faire.
- Oui suces moi maintenant.
Je pense avoir dit le mot juste quand il m'enlève le peu de tissu que je portais. Il mets sa tête entre mes cuisses. Elles s'écartent toutes seules me semble-t-il. Je sens sa langue lécher l'intérieur des jambes. Je la sens quand elle arrive vers mon minou. Il m'embrasse toute ma fente. Il fait comme s'il m'embrassait sur la bouche, sauf que la bouche maintenant c'est mon vagin. Il est direct au moins. Pourtant il ne la laisse pas à cet endroit. Je la sens aller sur mon anus. Il me lèche le petit trou. Comment sait-il que j'aime avoir une langue ou autre chose de plus gros à cet endroit.
Quand je sens qu'il est sur le point de partir, je le sors de ma bouche. Il continue son cunnilingus: Il me fait toujours jouir. Cette fois je n'en peux plus:
- Baises moi maintenant
- Pas encore: je n'ai pas finie de te sucer.
- Non maintenant.
Il cède devant mon insistance: j'ai toujours les jambes écartées. Il vient me la mettre enfin. Il est à peine entré que je jouis déjà. Je suis tellement mouillée qu'il rentre sans problème très facilement. Je le retiens quand il est au col de la matrice. Je ne veux plus qu'il sorte. Je sers volontairement les muscles de mon périnée, comme le ferait une femme simulant un orgasme. Nos lèvres sont toujours soudées: il me fait jouir plusieurs fois: il y a très longtemps que je n'ai pas jouis ainsi. Il me semble dur à la jouissance. Je le fait sortir: j'ai absolument besoin d'une sodomie. Je la lui demande: il aime enculer les femmes. Alors il me mets en levrette, me mouille l'anus et lentement rentre dans mon cul. Je le laisse aller au fond du fond. Je commence à sentir monter cet autre orgasme par mon cul.
Il me fait jouir encore plusieurs fois. Je dois avoir le cul empli de son sperme quand il jouit à son tour.
Nous nous reposons.
A cet instant encore sonnette !!! Je sais que ma copine la boulangère a aussi envie de moi. J'en parle à mon voisin qui me dit qu'elle peut venir: il peut s'occuper d'elle aussi.
Je vais ouvrir la porte sans penser que je suis toujours nue. La boulangère, Odette, me regarde avec des yeux envieux: je sens qu'elle ainsi a envie de moi. Ce n'est que quand elle est entrée qu'elle voit mon voisin, nu, la bite encore bien droite.
- Vous veniez de baiser ?
- Bien sur nous d'invitons pour la suite.
- Baiser en trio ? Je ne l'ai jamais fais et pourtant des fois j'en rêve en me branlant.
- Viens vite je bande à nouveau, je peux te la mettre pendant que tu te fera sucer.
- Oui, j'en envie, la bite de mon mari est trop petite pour me faire jouir. La seule qui me fasse jouir est mon amie.
- Et tout à l'heure, moi.
Je suis surprise de la tenue de mon amante Odette. Je ne pensais pas qu'elle aime baiser avec les hommes. Ils sont déjà couchés, lui sur elle encore habillée. Il remonte simplement la robe, baisse sa culotte, qu'elle porte sans arrêt malgré mes recommandations. Il la tourne sur le ventre la met en levrette: il me demande de passer sous Odette pour que je la suce. Il crache sur l'anus pour le mouiller. J'ai la tête à très peu de distance du cul dans lequel normalement je mets ma langue. Je lèche le clitoris d'Odette et je vois en même temps la bite s'enfoncer dans le cul de mon amie. J'en mouille tant que je me branle juste avant que la langue d'Odette vienne me sucer. Cette bite met longtemps à entrer ans le cul d'Odette qui gémit au fur et à mesure de la pénétration. Je vois quand elle jouir: son sphincter se resserre. Elle aussi jouit beaucoup.
Nous avons envie de baiser entre filles. Nous le faisons facilement en 69. J'aime avoir sur la bouche la cyprine de mon amie. Nous nous arrêtons de sucer pour nous branler: nous aimons nous branler face à face: nous poussons regarder nos mains sur le con de l'autre.
Nous restons immobiles enlacés sans rien faire que de rêvasser. Il nous faut rechercher les batteries. La première en forme est Odette. Comme nous ne sommes pas encore prêts, elle nos informe tout haut qu'elle va se faire jouir en nous demandant de la regarder. Elle prend un position qui nous permet de vois toute sa chatte. Elle passe une main ses fesses: elle se rentre deux doigts dans l'anus. Ensuite quand elle se les a mis bien au plus profond, elle se caresse doigts dans son vagin. Elle nous offre un spectacle digne des meilleurs films X. Nous la regardons, moi en me touchant le clito, lui en se branlant tout simplement.
Je ne sais quoi voir: Odette qui se branle: je l'ai déjà vu faire ou la bite de cet homme qui nous ait commun. Je préfère voir la bite. Je la regarde jusqu'au moment où le sperme jailli: pour moi cest beau à voir.
En tout cas l'après midi est vite passé. Odette doit rentrer chez elle. Pour le voisin, il reste avec moi. Nous le partagerons Dimanche prochain. Comme j'ai encore petit creux dans mon ventre j'arrive à le convaincre de me la mettre là où il veut. Il choisit la plus simple pour lui: un bon 69 pendant lequel je m'applique à le sucer pendant que je sens encore sa langue se promener dans ma chatte. Pour cette fois nous jouissons ensemble. J'aurai bien passé la nuit avec lui.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!