La Table En Sapin 3

Alors que je venais de sortir de chez Collette, une pensée me traversa la tête. Pourquoi je prenais tant de plaisir à la baiser, celle-là ?
Surtout avec ses cent kilos pour un mètre soixante dix. Je vous laisse imaginer le tableau.
Mais la réponse à ma question vint tout de suite. Parce qu’elle était la mère de ma femme. Et ça suffisait pour que je prenne un pied pas possible. Surtout que je ne prenais jamais de gants, avec Colette. Ce qui n’était pas le cas avec sa fille. Il fallait toujours faire attention pour ne pas offenser la dame. Même si je lui jutais dans tous les trous. Ça restait plus ou moins pour moi, qu’une simple baise. Une branlette améliorée, si vous voyez ceux que je veux dire
Toujours est-il que les jours passaient et que je m’installais dans ce qu’il fallait bien appeler une débauche familiale. Entraînant dans ma déraison, belle-maman. C’était devenu un besoin pour moi. Une drogue. Cela épiçait mon quotidien de s’envoyer vergogne la mère de ma femme sous la barbe de beau-papa, Claude.
Et Colette était loin de s’en plaindre. J’étais devenue son fantasme vivant. Son gode sur pattes. L’obsédant à un tel point, qu’elle ne vivait plus, que dans l’attente de ces moments.
Mais le plus magnifique, c’était qu’après notre soif sexuelle étanchée, nous n’avions même pas de remords. Nous reprenions chacun de notre côté, notre vie de couple. Redevenant le mari de Cathy et Colette la femme de Claude. Ou alors la gentille maman venant rendre une visite à ses chers s. Partageant souvent notre table. Comme nous partagions la sienne.
Mais le plus extraordinaire, dans tout ça. C’était que tout le monde autour de nous ignorait ce qu’était réellement la gentille Colette… toutes sauf moi.
Des mois se sont écoulées. Mais cela n'avait pas tari notre besoin de jouir ensemble. Entre-temps, mes beaux-parents avaient quitté leur l’appartement pour faire l’acquisition d’une maison. Hormis une grande pièce à vivre et une chambre, tout le restant était à restauré.

Pour échapper un peu, à l’obligation des travaux, Claude avait décidé d'aller rendre une visite à des amis demeurant dans le midi. Ça n’avait pas été une mince affaire, de contraindre Colette de l’accompagner. J’ai eu recours à la persuasion. Je vous laisse deviner lesquels .
Je me suis promis pendant leur absence de m’occuper de l’ouverture du mur. Un besoin, qui leur permettra d’aller aux toilettes sans mettre les pieds dehors.
Le lundi suivant, je me mis au travail. J’étais en train d’étayer le mur porteur quand le téléphone se mit à sonner. Ce devait être sans aucun doute Cathy, mon épouse. Prenant de mes nouvelles où savoir si j’étais sur place. Pour les deux fins, il fallait à tout prix que je réponde. Je courus jusqu’à lui et décrochais le combiné. Je fus surpris de reconnaître la voix de Patricia.
- Maman n’est pas là .
- Non… elle n’est pas là, effectivement.
- Elle est en course .
- Pas du tout. Elle est parti avec ton père dans le midi.
- Merde cela ne m’arrange pas.
- Ah bon, et je pourrais savoir pourquoi ça ne t'arrange pas .
- Parce que je suis à la gare et je comptais passer vingt quatre dans leur nouvelle maison.
- Elle était au courant de ta venue.
- Non… je voulais lui faire la surprise.
- Eh bien ma chère Patricia, c’est foutus…
- Oui mais qu’est-ce que je fais moi ?
- Je ne sais pas moi.
- Tu peux venir me chercher .
- Oui, ça peut se faire. Mais tu fais quoi ensuite .
- Bonne question. Viens me chercher et j’aviserai ensuite.
Après avoir raccroché, je me mis au volant de ma voiture direction la gare. Elle m’attendait sur le trottoir.
Elle portait des bottes qui lui arrivaient juste au-dessus du genou. Perchée sur ses talons, ses jambes se galbaient, enserrées dans des bas ou collants. Patricia, aux cheveux châtains claires, aux yeux noisette, avait un visage à la peau fine qui lui donnait l’air d’une poupée.
De taille moyenne, dont la finesse de sa taille faisait paraître scandaleux ses seins lourds, très ronds, plantés hauts.
Patricia, malgré ses airs de petite blonde bien élevée, était au fait des choses du sexe et aimait en parler. Elle était bien la fille de sa mère, de ce côté-là. Souvent de manière très crue. Le contraire de sa sœur Cathy. Elle, était si coincée. Rosissant dès que la discussion abordait des thèmes sexuels
Après les bises d’usages, elle s’installa sur le siège passager, posant son sac à ses pieds. Pendant le trajet elle m’informa de son projet de passer la nuit chez ses parents et compté repartir le lendemain matin.
- Tu pourrais me déposer à la gare ?
Après une visite accompagnée dans la maison, je me désintéressais de Patricia pour me remettre au boulot. La partie supérieur du mur sécurisait, je m’attaquais à l’ouverture. Pierres après pierres.
Deux heures plus tard la brèche fut achevé, les gravats retirés. Patricia vint aux nouvelles.
- Eh bien… tu as fait vite.
Elle s’avança jusqu’à l’ouverture, passa sa tête pour regarder de l’autre côté.
- Il y a encore du boulot… Puis me détailla de la tête aux pieds.
- Tu as mérité une bonne douche.
Je m’avançais jusqu’au miroir pour en juger. Effectivement j’étais couvert d’une épaisse poussière blanche.
- Oui tu as raison. J’y vais sur-le-champ.
Quand je suis sortis de la cabine, ruisselant, Patricia m’attendait, une serviette-éponge en main. Elle contempla ma verge et murmura gourmande :
- Tu permets… Je ne m’embarrassais pas de répondre. Elle savait que j’allais me laisser faire. Je me retournais, lui tendant le dos pour qu’elle m’essuie. Me sentant sec, je me retournais. Lui offrant mon côté, face.
- Tout cela me donne envie d’aller pisser.
- Je t’attends ici. Répondait-elle, un sourire salace aux lèvres.
- Ah… j’aurais pensé que tu… pourrais là aussi, m’aider.
Ses joues se teintèrent.
Mais cela ne l’empêcha pas de me suivre jusqu'aux toilettes. Une fois au- dessus du bidet, elle prit mon sexe avec une joie trouble.
- Tu pensais peut-être que j’allais me dégonfler peut-être . Fit-elle, d’une voix enrouée.
Un jet d’urine sortit du méat. La pisse ricocha sur l’émail et finit sa course dans l’eau du bouillonnant. J’avais l’impression qu’elle tenait un tuyau d’arrosage. La situation commençait à m’échauffer. Quand le jet d’urine se tarait, l’eau de la cuvette était teintée de jaune. Tenant toujours ma queue en main, elle semblait embarrassée. Je lui murmurais.
- Alors ! Qu’attends-tu. Il faut l’égoutter maintenant, jeune fille.
Patricia s’exécuta. Secoua vivement ma hampe. Envoyant quelques gouttes par-ci, par-là. Elle comprima ma bite entre ses doigts et fit glisser la peau de haut en bas. Mon gland apparaissait et disparaissait. Patricia observa avec un plaisir vicieux, que sa friction me faisait de l’effet. Ma queue commençait à forcir. Encourageait, Elle entama un mouvement de va-et-vient qui en augmenta rapidement là
dureté. Elle me branlait à présent. Je me mis à gémir comme pour l’encourager à continuer son massage. Elle admirait son œuvre. Ma verge battait la mesure de mon désir. Sans me lâcher, elle s’agenouilla.
- Je peux toucher. Me lança-t-elle d’une voix toute timide.
Comment rester insensible à une si fervente demande ?
- Bien sûr, tu peux. Seulement si tu ne dis rien à ta sœur. Lorsqu’elle se pencha, je sus que c’était avec sa langue qu’elle
voulait toucher ma queue. Je fermais les yeux et poussais un grognement de satisfaction, elle venait de me prendre en bouche. Ses lèvres douces et tièdes s’étaient refermées. M’emprisonnant dans un merveilleux anneau de chair. Animé d’une vie propre, qui pétrissait mon sexe.
Lorsque j’ouvris les yeux, je fus émerveillé de voir son lent mouvement de sa bouche. Cette vision acheva de m’affoler. Le plaisir me gagnait. Trop vite, même.
J’aurais voulu que cela dure. Attendre encore, en profiter. Mais la diabolique fille, s’activait à m’offrir une grande jouissance. Je sentais le déferlement tout proche du plaisir, bouillonnait en moi. Elle dut le sentir, puisqu’elle se redressa, contente d’elle en souriant.
- Mais continu… la suppliais-je.
Je voulus prendre sa tête entre mes mains, mais elle m’échappa. Fuyant la pièce en courant. Quand je la revue, ce fut dans la cuisine, buvant son thé. Puis, elle reprit sa place entre mes jambes pour s’intéresser de nouveau à ma queue. Qu’elle fit disparaître graduellement dans sa bouche serrée. Avant ne l’englouti vivement pas entre sa langue et son palais. L’intense chaleur du thé me tira un cri rauque. Pendant quelques secondes, je restais tétanisé, haletant.
Jusqu’à entendre de nouveau la sonnerie du téléphone.
Même si l’envie de ne pas répondre me submergea un court instant. Sachant très bien qui de trouver de l’autre côté. Ma bienveillance me conseilla d’attr le combiné. Ceux que je fis en tendant mon bras.
- Alors qu’est-ce que tu fou…
- Je sors de la douche. J’allais m’habiller.
- Tu m’avais promis d’être là avant que je rentre du boulot ?
- Oui… c’est-ce que j’avais dis. Mais j’ai voulu finir l‘ouverture aujourd‘hui…
- Tu en as pour encore longtemps ?
- Le temps de m’habiller.
- Tu bandes ?
- Comme à chaque fois que je sors de la douche… pourquoi ?
- Tu pourrais… peut-être….
- Me branler. Pour rien te cacher c’était ce que j’étais en train de faire avant que tu m’appel.
- Cochon… tu n’as pas honte ?
- Non… pas du tout. Tiens-je te propose d’en faire de même. Tu es d’accord .
- Cela te ferait plaisir .
- Oui… ce serait excitant… non . .
À mes pieds, Patricia m’aspirait de plus en plus fort. Incapable de me contrôler, je donnais un coup de reins. Regardant ma belle-sœur totalement immobile, alors que sa langue s’enroulait autour de ma queue.
- J’ai ma main dans ma culotte. Entendais-je Cathy dans le récepteur. Je fouille dans les poils à la recherche du clitoris. Je tripote le bourgeon de chair, que je sens durcir sous mes doigts… Patricia frôlait mes poils pubiens de ses lèvres. Jusqu’à faire pénétrer le gland dans sa gorge. J’éprouvais un bonheur sans limite. Avec une passion dont je ne la croyais pas capable. Elle pompait, léchait, engloutissait ma queue.
Le souffle court, j’écoutais ma femme se masturber de l’autre côté de l’appareil. Alors que je succombais sur les sensations délicieuses que me procurait la langue agile de sa sœur. Virevoltant autour de mon membre. Dans l'écouteur, Cathy émettait un gémissement rauque.
- … Je caresse ma grosse poitrine… j'ai les seins gonflaient de plaisir…
Les lèvres mouillées de Patricia glissaient le long de ma colonne luisante de salive. Je gémissais de plaisir. Me contractais chaque fois que sa bouche descendait à la base de ma bite. Dans le combiné Cathy continuait son manège.
- Je caresse mes cuisses avec une infinie lenteur… J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Que je ressente toute ma vie les lèvres de ma belle-sœur autour de ma queue.
- … je caresse délicatement ma chatte, puis ma fente… je fais coulisser mes doigts régulièrement de haut en bas… j’introduis un ou deux à l’intérieur… où c’est bon… Les- Je caresse mes cuisses avec une infinie lenteur…
J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Que je ressente toute ma vie les lèvres de ma belle-sœur autour de ma queue.
- … je caresse délicatement ma chatte, puis ma fente… je fais coulisser mes doigts régulièrement de haut en bas… j’introduis un ou deux à l’intérieur… que c’est bon…
Les spasmes s’accéléraient, dans un cri rauque, l’orgasme me submergea. Mon sperme brûlant éclaboussa sa bouche. Déborda de ses lèvres, coulant sur son menton. Pris de convulsions du plaisir, j’arquais mes reins. Secouant la tête de Patricia qui ne lâchait pas sa proie.
- … Tu jouis… moi aussi je vais…. Ah ! Oui….oui…. Je jouis…
Goulûment, Patricia avalait jusqu’à la dernière goutte, ma liqueur visqueuse. Continuant à lécher alors que Cathy avait raccroché. Puis ma belle-sœur se leva. Se passa la langue sur ses lèvres, et prit place sur la table faisant remonté la jupe haut sur ses cuisses. Sous ses bottes elle portait effectivement des bas. Mon regard s’était fixé au-dessus des renforts foncés. D’une blancheur malsaine, spasmes s’accéléraient, dans un cri rauque, l’orgasme me submergea. Mon sperme brûlant éclaboussa sa bouche. Débordèrent de ses lèvres, coulant sur son menton. Pris de convulsions du plaisir, j’arquais mes reins. Secouant la tête de Patricia qui ne lâchait pas sa proie.
- … Tu jouis… moi aussi je vais… Ah ! Oui…oui… Je jouis… Goulûment, Patricia avalait jusqu’à la dernière goutte, ma liqueur visqueuse. Continuant à lécher alors que Cathy avait raccroché. Puis ma belle-sœur se leva. Se passa la langue sur ses lèvres, et prit place sur la table faisant remonter la jupe haut sur ses cuisses. Sous ses bottes elle portait effectivement des bas. Mon regard s’était fixé au-dessus des renforts foncés. D’une blancheur malsaine,
ses cuisses se touchaient. Plaqué sur sa chatte bombée, un slip rose en nylon très échancré ne cachait rien de son abondante pilosité. Elle a poussé son ventre vers moi.
- À ton tour…
J’ai penché ma tête pour humer l’odeur piquante de son sexe à travers le slip. Elle me prit la tête de ses deux mains me collant contre son intimité. Puis astiqua sa chatte contre mon visage. M’imprégnant de ses effluves intimes. J’ai tiré son slip à ses chevilles. Elle s’en est débarrassée d’un coup de botte. M’exhibant son orifice servant à l’écoulement du pipi,. À travers lequel je devinais les lèvres de la vulve. Des poils noirs s’échappaient du trou. J’y enfilais un doigt. Une puissante odeur de femelle en rut s'en dégagea.
Elle a poussé son ventre pour que je la prenne en bouche.
J’ai pointé ma langue sur son bouton. Le faisant tanguer dans tous les sens. Des cris ont remplacé les plaintes. Puis elle attrapa ma tête pour la seconde fois et l’appuya de toutes ses forces sur sa chatte. J’étouffais le dedans. Mais j’ai continué tant bien que mal à la lécher. Elle a brutalement vissé ses jambes autour de ma tête. Bouchant mes
oreilles. Je perçus tout de même au loin, des hurlements. Elle se secoua dans tous les sens. Ne puis plus rien, me libérant.
Quand je me suis redressé, Patricia était allongée sur la table cuvant son orgasme. Je bandais de nouveau. Gros et dur. Je l’approchais du rebord de la table. Cela me permit de lui enfoncer profondément ma queue. Je la ressortais en entier et la rentrait d’un grand coup brusque avant de la besogner énergiquement. Sa tête se mit à ballotter de droite et de gauche tandis qu’un grondement continu montait de sa gorge.
Mais cela ne masqua pas le bruit d’un moteur d’une voiture, se garant devant la fenêtre. Cathy… c’était mon épouse. Je me rappelle d’avoir été pris de panique. J’avais fait, tant bien que mal sauté Patricia de la table, et l’avais entraîné jusqu’à la chambre.
- Tu ne bouges pas de là.
Quand je suis retourné à la cuisine, j’ai entendu le portail s’ouvrir. J’ai eu juste le temps de m’apercevoir que la culotte de Patricia traînait sur le sol. D’un coup de pied, je l’ai envoyé sous le meuble. Quand elle a enfin disparu de mes yeux, la porte d’entrée s’ouvrait.
- Mais enfin, qu’est-ce que tu fais encore à poils ?

À suivre…

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