La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 597)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°596) -

L’esclave MDE était réveillé depuis déjà quelques minutes, il attendait sagement couché à même le sol, que sa queue veuille bien le laisser tranquille. Il n’y avait vraiment pas suffisamment d’espace dans cette cage pour que sa nouille puisse s’épanouir à son gré, la fine tige métallique enfoncée dans son urètre lui apportait aussi des sensations étranges, jamais vécues jusqu’ici, et c’était peut-être cet instrument, ou tout au moins son ressenti qui provoquait à la fois, cette délicieuse et douloureuse bandaison matinale. soumis Endymion MDE avait de bien belles images en tête, ce matin à son réveil ! Il se remémorait son arrivée au Château, sa première rencontre avec le Maître, il repensait à tout ce qu’il avait vécu depuis qu’il était entré en esclavage auprès de Monsieur le Marquis d’Evans. Il était entré à Son service, un peu comme un homme d’église entre en religion ! Il avait un sentiment étrange, voire paradoxal. Alors qu’il était enfermé, tenu enchainé, il se sentait étonnamment libre… Etrange aussi, cette citation de Jean Louis Barrault qui lui revenait subitement en tête : « La liberté, c’est la faculté de choisir ses contraintes » ou encore celle-ci de Jules Michelet : « La liberté, c’est l’homme, même pour se soumettre, il faut être libre, pour se donner, il faut être soi » …

Et donc avec ce fort sentiment paradoxal, ce matin alors que soumis Endymion MDE aurait dû se sentir accablé, abasourdi, anéanti, il se sentait libre, parce qu’il savait ce dont il était capable, ce dont il avait envie, il savait qu’il pouvait dépasser ses propres limites pour atteindre ses buts et satisfaire Le Maître. Il prenait conscience que seul, il n’y serait jamais parvenu, qu’il avait eu besoin d’un miroir pour se voir tel qu’il était. Et encore, ce miroir ne suffisait pas, il fallait aussi une énergie, un soutien, un regard objectif pour avancer. Et ce regard-là, n’était autre que celui du Maître, ce regard parfois sévère et froid, parfois compatissant, toujours d’un bleu profond mais surtout Dominateur, faisant accepter à Son chien soumis ce qu’il était, ce regard analysant les forces et les faiblesses de Son esclave, un regard pugnace, pour lutter contre les réticences, un regard patient pour vaincre les doutes, un regard opiniâtre pour résister à d’éventuels découragements.

Oui, Monsieur le Marquis d’Evans avait été capable de conduire soumis Endymion MDE sur ces chemins difficiles, fait de grandes satisfaction, mais aussi de tâtonnement, de déception, d’incertitude, d’abattement parfois, mais quel bonheur aujourd’hui pour le chien-mâle soumis MDE de se sentir plus fort, plus déterminer, d’être là, contraint, enfermé dans cette geôle pour corriger encore ses défauts, ses faiblesses, pour se faire dompter un peu plus encore, selon la Volonté du Maître.

La sirène venait de se mettre en branle… son sifflement strident aurait réveillé un mort, la « slaverie » était en effervescence : des soupirs, des bâillements, des étirements bruyants et le bruit des chaines sur le sol béton. Tous les chiens mâles soumis se levèrent et agrippèrent les barreaux de leur cellule, comme s’il s’agissait d’un cérémonial. Evidemment, soumis Endymion MDE en fit de même. Peu après, la porte métallique donnant sur les geôles s’ouvrit, des bruits de talons retentirent :

- Alors les chiennes, avez-vous bien dormi ?

soumis Endymion MDE reconnut la voix de Maîtresse Marina. Elle était accompagnée de deux autres Dominas, une brune, un peu forte et pulpeuse, l’autre blonde, au contraire très mince presque filiforme. Elles étaient vêtues d’une blouse blanche, on eut dit des infirmières. Toutes les trois ouvrirent les cellules et firent sortirent les esclaves mâles dans le couloir. Tous furent contraints de s’aligner les uns derrière les autres, mains sur la tête. Ils étaient tout juste douze. Maitresse Marina attrapa le premier de la lignée par son collier, le fit avancer en enjoignant aux autres slaves de les suivre ! Tous partirent dans une vaste salle de bain jouxtant les cellules.

- Vous ôtez les combinaisons ! ordonna Maitresse Marina

Les mâles stagiaires furent en même temps débarrassés de leurs fers et colliers. Une fois leur combinaison enlevée, ils se retrouvèrent tous en couche culotte. Ils durent s’installés, sur une longue table carrelée, les uns à côtés des autres, couchés sur le dos, les cuisses relevées sur la poitrine.
Les 3 Dominas, passèrent à l’action. La Domina blonde s’occupa de soumis Endymion MDE, lui ôta sa couche culotte, l’examina de près :

- Tu sembles t’être bien pissé dessus sale chienne, tiens regarde !

D’un geste rapide, elle retourna la couche culotte et la posa sur le visage de soumis Endymion MDE pour bien l’humilier de bon matin

- Ne bouge pas, que je m’occupe de ta queue et de ton cul, salope. Reprit-elle.

Elle retira la cage de chasteté de la nouille du chien soumis MDE, dégagea doucement la fine tige métallique de son urètre et désobstrua son cul de cet anneau de dilatation. Sitôt libéré de ces instruments, la queue de soumis Endymion MDE s’étira et gonfla sous les doigts agiles de cette Domina.

- Tu ne penses qu’à bander, la lope ! Lui dit-elle en pressant sur ses couilles puis elle reprit, Tu as de la chance, tu as une belle queue toi, un beau morceau entre les cuisses, ce n’est pas le cas de tous le chiens ici…

Le chien soumis MDE toujours la tête dans sa couche culotte imbibée d’urine reçut ces dires comme un compliment, la Domina lui ordonna de rester couché dans la même posture, elle s’intéressa au soumis allongé à côté de lui. Lorsque tous furent débarrassés de leurs accessoires nocturnes, Maîtresse Marina ordonna à l’ensemble des stagiaires d’écarter leurs fesses avec leurs mains pour bien dégager leur trou de salope. Elle fit quelques photos de cet alignement de slaves soumis, totalement impudiques dans cette posture plus qu’obscène. Lorsqu’elle fut satisfaite des clichés qu’elle venait de faire, elle ordonna aux mâles soumis stagiaires de passer sous la douche et de se laver correctement, sans oublier de bien nettoyer leur bite et leur cul. soumis Endymion MDE venait tout juste de se sécher qu’il fut attrapé par un bras, par la Domina brune et pulpeuse. Elle l’entraina dans une autre petite pièce jouxtant la salle de bain. Sitôt arrivés au centre de ce local, elle fit mettre soumis Endymion MDE à genoux.
D’une main, elle l’attrapa par les cheveux, de l’autre elle poussa sous son menton pour lui faire lever la tête vers le plafond. Le plafond, comme partout ici était en verre très épais.

- Vois chien, lève ton museau, Maîtresse Ella te regarde !

En effet Maîtresse Ella était là, juste au-dessus de l’esclave MDE, campée sur des hauts talons aiguilles, totalement nue. Lorsqu’elle vit soumis Endymion MDE la regarder, elle s’assit sur une vasque transparente et offrit largement son intimité au regard du chien soumis MDE.

- Maîtresse Ella veut t’honorer ce matin, reçoit ce présent comme un divin cadeau, le chien ! Intima la Domina brune à soumis Endymion MDE.

Sans trop comprendre, le chien mâle soumis de Monsieur le Marquis d’Evans fut obligé de se mettre à quatre pattes et fut conduit ainsi, tenu par les cheveux, devant une volumineuse bite factice sortant du mur.

- Tète cette queue salope et ne laisse rien échapper de cette tétine, si tu ne veux pas avoir le cul en feu d’ici quelques minutes.

soumis Endymion MDE téta un tant soit peu mais rien ne sortait de ce biberon en forme de bite. Alors il persévéra… et soudainement, un liquide chaud quelque peu acre et vaguement ammoniaqué lui parvint en bouche. Il leva les yeux au ciel et comprit immédiatement. Il vit Maîtresse Ella se soulager la vessie et ses fluides et effluves intimes arrivaient directement dans sa bouche par un tuyau raccordé de la vasque transparente à cette bite factice :

- Le fait de téter t’empêche de cambrer tes reins et de tendre ton cul de salope !

Un sévère rappel à l’ordre de la Domina, avec en sus, une dizaine de coups de cravache sur les cuisses et les fesses du chien soumis téteur, voilà qui semblait nécessaire pour le ramener à la raison et dans une posture adéquate. Quand soumis Endymion MDE eut terminé de se délecter de ce divin nectar, il fut reconduit à quatre pattes, toujours tenu fermement par les cheveux auprès du cheptel de mâles soumis.
En rang, dans un alignement parfait tous durent suivre en silence Maîtresse Marina. Ils entrèrent dans le réfectoire. Un petit déjeuner leur fut servi, ils le prirent nus et accroupis devant une écuelle de café posée par terre, sous le regard sévère d’une Domina. Ils purent mangés, une espèce de bouillie épaisse et insipide posée dans un autre bol, puis sitôt le repas pris, ils furent emmenés tous à quatre pattes, les uns derrière les autres, nez au cul, selon l’expression de Maîtresse Marina. En effet, elle exigeait les voir déambuler, se flairant l’anus, chacun devant garder le contact avec celui qui le précédait dans cette posture autant humiliante qu’excitante. Elle s’adressa au premier de la lignée en lui disant avec sévérité :

- T’inquiète pas salope, je vois bien que tu es frustré, toi qui n’as pas le loisir de fourrer ton nez dans le cul d’un de tes congénères, et bien je sais être juste, je te désigne comme le lèche cul de service pour la journée, tu pourras en sniffer des trous, fait-moi confiance ! …

Arrivés devant une porte, au fond du couloir, Maitresse Marina, ordonna aux mâles soumis de se relever, de s’aligner parfaitement, ne voulant voir qu’une seule tête. Elle voulait aussi les voir tous en contact les uns aux autres, comme soudés, poitrine plaquée contre le dos de celui qui le précédait. soumis Endymion MDE constatait que son congénère placé derrière lui était en très grande forme. Sa queue raide était venue se coller contre ses fesses. Ce simple contact, l’excita, sa nouille s’érigea à son tour. Maîtresse Marina les fit avancer ainsi dans la pièce qui ressemblait étrangement à une salle de classe, avec deux bureaux posés à chaque extrémité sur une estrade en bois. Contre le mur derrière cette estrade se trouvait un grand tableau noir où était écrit à la craie, la date du jour. Dans la pièce de part et d’autre d’une rangée, étaient alignés des petits bureaux d’écoliers. Sur chaque bureau était posé un chevalet, sur lequel était porté le nom de l’esclave. Maîtresse Marina ordonna à chaque stagiaire soumis de se placer dans la rangée à côté du bureau qui lui était alloué, bras croisés dans le dos, tête basse et cuisses écartées. Maîtresse Ella arriva sur ces entrefaites, vêtue d’un pantalon de cuir et d’un chemisier blanc, largement dégrafé, presque transparent sous lequel elle offrait une poitrine pulpeuse avec des mamelons pointant ostensiblement. Elle était belle, légèrement maquillée, sa chevelure coiffée d’un chignon à la Grace Kelly. Perchée dans des escarpins à talons hauts, elle tenait une cravache en main et arpentait la rangée ou se trouvaient les chiens soumis parfaitement immobiles et silencieux. Lorsqu’elle parvint à la hauteur de soumis Endymion MDE, du bout de sa cravache, Maîtresse Ella lui souleva le menton et le dévisagea …

(A suivre…)

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