Devenue S.M.
Tout a commencé après 7 ans de mariage deux de mes copines mavait mis en garde sur cette année fatidique, où les couples se font et se défont.
Jétais allongée nue sur notre canapé la tête reposant sur des coussins, car je sortais de ma douche, Vivian avait posé mes jambes sur lui et je sentais que le fait de bouger commençait à le faire bander.
Je lai taquiné et sa seule réponse a été une tape sur le côté de mes fesses qui ma fait mal.
Jai crié, cela a semblé lui faire plaisir, il a recommencé avec le même résultat.
Jai continué à le contrarier et comme réponse a été de redoubler de faire rougir mes fesses.
Il ma retourné et elles ont vu, jen avais les larmes aux yeux à deux doigts de partir en sanglots.
Je me tortillais comme un ver de terre que lon tient par un de ses bouts et qui cherche à se libérer.
Plus je me tortillais et plus cela semblait lui faire plaisir.
De mon côté sauf les larmes, ma haine montait de plus en plus envers cet homme que je côtoyais depuis plus de sept ans et qui osait me frapper.
Si je me tortillais, cétait pour lui échapper et retourner chez ma maman.
Hélas, elle aussi ma abandonné aux mains de ce maniaque en partant habiter à New York avec un homme plus jeune quelle et qui pour tout dire a mon âge.
Et me tenir dune main en me frappant de plus en plus fort de lautre au point que je suis sûr quil commence à marracher la peau des fesses ou tout du moins me les rend écarlates, un de mes pieds lui échappe et en essayant de le rattr, les deux se trouvent libérés.
Jen profite pour pivoter sur moi-même et de chuter au sol sur ce fessier quil vient de martyriser.
Une nouvelle fois il essaye de me rattr et la seule chose quil trouve, ce sont mes cheveux qui par le mouvement que je fais, tombent sous la main.
Je tire, mais jai horriblement mal, cest là que tous craquent en moi.
Sil persiste à tirer, il marrache, une mèche de cheveux aussi je sens sa main relâcher sa pression.
Par ce mouvement de recul de sa main, il me fait voir quil maime alors je me relève et je pars en courant dans la première pièce qui soffre à moi.
Cest la cuisine et comme il ma suivi, nous tournons autour de la table qui fait rempart entre nos deux corps.
Pour me coincer, il pousse la table, mais il lui faut bien la contourner même sil tend un bras par-dessus.
Je lui échappe de nouveau et cest dans la chambre quil me rejoint persuadé que je vais céder sur le lit qui nous tend les bras.
Cest mal me connaître, car jusquà peu, jétais gymnase et jen ai gardé une souplesse assez grande.
Il croit me coincer dans la rigole du lit sur ma carpette, mais aussi agile quune chatte, jarrive à sauter par-dessus le dessus de lit une nouvelle fois et à retomber de lautre côté.
Joublie de lattendre et je passe dans notre salle de bain où je repousse la porte.
Je perds lavantage acquis le temps quil fasse le tour du lit, jespérais refermer la porte à clef, mais il la pousse avant que je réussisse ce geste.
Jai plus de souplesse, il est plus fort, aussi je dois une nouvelle fois céder, mais jai la chance de trouver la porte de la chambre damis ouverts.
Il me faut contourner le lit, car la porte donnant sur le couloir est-elle aussi fermée.
Comme dans notre chambre, cest en sautant sur le dessus de lit et dans le mouvement que je passe de lautre côté.
Vivian essaye de me suivre, mais il chute lourdement. Jai un instant peur quil se soit fait mal surtout aux cervicales, car il est tombé sur le cou, mais comme il se relève, jouvre la porte et je retourne vers le salon.
Il est essoufflé et moi aussi, je me place derrière le canapé et jessaye de reprendre ma respiration.
Mal men prends, car il arrive courroucé que je lui échappe.
Cest en poussant le canapé vers la cheminée comme il la fait avec la table de cuisine quil espère mattr, mais en bonne sportive les deux minutes de repos mon permis de reprendre mon souffle.
Je saute par-dessus et le temps quil relève ses mains, il essaye de me saisir et jai le temps de les sentir sur mon dos.
Un de ses ongles me fait mal, mais je repars pour un deuxième tour de piste.
Jai beau être entraîné par rapport à lui, mais immanquablement la lucidité me fuit et je tombe en me recroquevillant derrière la porte dentrée.
Cest un cul-de-sac quil se dépêche dexploiter.
Il me saisit alors que je me suis mise en position duf.
Sa main passe devant ma poitrine et vient glisser jusquà mon sexe.
De son autre main, il détache sa ceinture et sort sa queue.
Je suis en eau et je suis physiquement au bout aussi lorsquil me relève la croupe et que son sexe bandé par lexcitation de mavoir attrapé, il me pénètre la chatte marrachant un râle de plaisir.
Depuis quil se sert de son sexe en moi jamais, il ne ma pilonné avec autant dardeurs.
Jamais je nai crié aussi fort à chaque coup de boutoir qui le propulse au fond de ma vulve.
Je suis sûr que sa verge pénètre beaucoup plus loin en moi que dhabitude.
Je suis certaine que mon vagin expulse deux fois plus de sécrétion que, lorsque nous avons des étreintes fougueuses, certes, mais bien moins intenses que ce quil me met en ce moment.
Je suis incapable de dire le nombre de fois quil me fait jouir, mais des chapelets, des vagues de plaisirs, déferlent dans mon corps.
À un moment, il sort de ma chatte me faisant pousser un cri de dépit, mais cest pour mieux redonner de la voix lorsquil mencule dun seul trait sans aucune précaution.
Dans les minutes que je viens de vivre, je maperçois que cest moi qui ai pris la position en levrette pour quil entre plus facilement dans ma rosette et cest de nouveau une volée de claques que je reçois sur chaque fesse.
Il les a tellement frappés que ses coups se muent en plaisir.
Il se déclenche une nouvelle fois dans mon corps, mais pour la première fois depuis que jaccepte quil me sodomise, je jouis par le trou du cul.
Au moment où pour lui la tension est trop importante, il me propulse des traits de spermes si importants quils retombent sur mes jambes au moment où nous écroulons tous les deux au sol.
Je dois reconnaître que de ma vie, je nai autant eu de plaisir même si, avec le temps passé au sol mon fessier me cuit énormément.
Nous avons dormi sur la moquette et lorsque je le sens bouger, je maperçois que même sil a débandé une bonne partie de sa verge se trouve toujours dans ma rosette.
Nous nous regardons dune façon nouvelle que sest-il passée dans notre couple et surtout dans notre rapport sexuel, les heures suivantes, nous donnera une partie de la réponse.
En attendant, il nous faut ranger le capharnaüm provoqué dans notre appartement par notre cavalcade endiablée.
Si chaque fois que nous voulons nous donner du plaisir, il nous faut refaire les lits, canapé et cuisine où la table et les chaises ont valsé de droite et de gauche, cela va rapidement devenir intenable.
Aussi lorsque après une douche, nous nous couchons sans prendre le temps de manger et que Vivian me prend dans ses bras, me cajole et finit par me faire lamour le changement survenu en moi dans cette possession pleine de hard me manque.
Même lorsquil me caresse le clito moi quil y a peu démarrais au quart de tour, je sens bien quil me manque quelque chose.
Pendant presque huit jours moi alors que jaime quils me sexent tous les deux jours, chaque fois que nous nous retrouvons, il bande, me pénètre et me laisse sur la touche malgré tous nos efforts.
Cest le jeudi qui suit que jai la certitude de ce qui nous manquent. Lorsque me sodomisant alors que je suis en position de levrette une belle claque sur mes fesses me fait démarrer quelques secondes lébauche dun plaisir.
Je suis vite déçu, Vivian de son côté semble ignorer le mal qui me ronge, car cette claque est la seule quil me donne et je retombe dans ma léthargie.
Le lendemain, je décide de prendre le taureau par les cornes.
Si je veux éviter quil aille chercher ailleurs une femme qui jouit ou moi un homme sachant mapporter à chaque rapport ce que nous avons su déclencher derrière cette porte sur la moquette, il faut que je le provoque.
Cest sur Internet que je trouve les conseils de femmes et dhommes ayant subi la même évolution dans leur corps au fil des mois et des années de mariage.
Afin de mettre la recette proposée par Défonce77 qui propose une solution assez bandante, je pars à Dijon, ville où personne ne me connaît et je vais dans un sexe chope à ladresse relevée sur le site.
Dès que jentre chez nous, je mets en pratique avec laide de ce que jai acheté ce qui ma été proposé.
Notre terrain de jeu sera la chambre damis qui est la seule à pouvoir recevoir grace au lit à barreaux les deux paires de menottes que je fixe assez prêt lune lautre pour avoir la longueur nécessaire pour les attacher à mes poignets.
La semaine dernière les bruits que jai poussés semblent avoir gêné certaines voisines mère de famille, car nous étions derrière la porte en pleine journée alors que de lautre côté il y avait lascenseur et leur regard réprobateur ma fait prendre conscience quil faut faire un peu plus attention surtout au bruit.
Une heure avant que Vivian ne revienne de son travail, jenfile la combinaison en latex noir.
Jai acheté un modèle ou la seule partie dégagée du corps, ce sont mes parties intimes avant et arrière avec surtout un postérieur à la portée de celui qui va arriver.
Pour le bruit, jai suivi le conseil et je fixe dans ma bouche une boule à bouche pouvant être mordue si je retrouve les plaisirs de la semaine dernière.
Enfin avant de mattacher, je pose sur le lit une cravache, un gant de crin que Défonce77 préconise après une bonne phase de cravache.
Il reste la queue de mon homme que je peux stimuler sil le veut.
Ma combinaison possède une cagoule obstruant ma vue me permettant de me concentrer sur mon plaisir et un trou dégageant ma bouche afin que je puisse sucer la bite qui me sera proposée.
Jai conscience au moment où je mets tous ces artifices de devenir la femme-objet de mon mari. Quà cela ne tienne daprès ce que jai lu être une telle femme décuple le plaisir de celle aspirant à trouver un plaisir dune très grande intensité !
Lorsque Vivian arrive, je suis dans limpossibilité de lui faire savoir ou je suis.
Je lentends aller et venir dans lappartement semblant pester contre mon absence.
Il va même jusquà téléphoner à Aline mon ami pour savoir si elle ma vue.
Défonce77 a oublié décrire que jaurais dû flécher le parcours pour quil me rejoigne.
Le plus beau cest que la porte de la salle de bain est ouverte et quil prend une douche.
Je bouge sur mon lit et je pousse des petits cris qui finissent par lintriguer et je lentends approcher de la chambre où je suis prête à me faire prendre et surtout martyriser.
Lorsquil comprend que je suis là, il semble avoir un moment darrêt, car pendant quelques secondes plus rien ne bouge.
Dun coup comme mes yeux sont obturés le premier coup de cravache mapporte directement, un orgasme venu du fond de mon cerveau.
Il me flagelle toujours plus fort et le bras certainement fatigué, le gant de crin au début mapporte de la douceur pour terminer par me cuire deux fois plus que lorsquil me donnait des claques.
Vient le moment où je le sens monter sur le lit et où il me pénètre me donnant plus de plaisir que dans notre couloir.
Vivian me prend comme une bête quil semble être devenu et après plus dune heure de ce traitement, cest dans ma bouche quil vient me donner mon repas du soir après avoir détaché la boule.
Lorsquil a fini de prendre son plaisir, il me laisse seule à méditer ce que je ressens et surtout un immense amour pour celui qui a compris le besoin de violence qui sest dégagé de mon corps après la première fessée quil ma procurée sur notre canapé.
La seule chose quInternet pour retrouver la plénitude de mon plaisir, non, de nos plaisirs a oublié de préciser, cest quil est parti manger me laissant dans mes liens que mes mains attachées restreignent mes mouvements et quau fil de la nuit cette épreuve me donne du plaisir.
Dommage que mes mains soient entravées, jaiderais ma chatte qui coule toute seule à la déchirer en me pinçant le clito et en me fourrant un maximum de doigt dans le vagin.
Aujourdhui, il y a deux mois que mon corps subi tous les plaisirs les plus frappants qui peuvent exister.
En ce moment, nous visitons le troisième pavillon dans la banlieue de notre ville, je crois que nous venons de trouver le must de ce que nous cherchons.
Les deux premiers bien sympas manquaient dune cave si possible en forme de voûte que je sais exister dans notre région de vin où nous pourrons installer ma salle de que nous avons commencé à monter dans la chambre damis où je passe de plus en plus de temps lorsque Vivian va à son travail et quil mattache jusquà son retour
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!