Le Plaisir Primitif Par Ma Soumission
Le plaisir primitif par ma soumission
Il sagit là dune troisième histoire avec ce noir massif que jai rencontré à la fac. On sy était rencontré, il mavait baisé puis foutu dehors. Plus tard on sétait revu au hasard des allers et venues sur le campus et il mavait convaincu de le suivre dans sa voiture puis chez lui où il ma à lui faire des gorges profondes.
Cest clairement un salaud manipulateur, mais ce salaud baise tellement bien. Et surtout je lai dans la peau. Je ny peux rien : je ne peux pas lui résister. Ce nest pas quil me contrôle, mais à son contact, cest tellement bon de perdre le contrôle que jai sur moi-même.
Avec lui, mon cerveau se déconnecte automatiquement et seuls mes instincts primitifs guident mes pas et mes gestes. Je perds toute inhibition pour redevenir un animal suivant ses plus bas instincts. Et ces instincts naturels me poussent naturellement à me soumettre à lui quand il me le demande, sans me poser de questions.
Est-ce une relation saine ? Sûrement que non, mais mes instincts primaires nen ont cure.
Suis-je un trou pour baiser, quil appelle quand il en a envie ? Certainement. Et jaime ça. Quand il mappelle, je cours pour sentir son corps et son animalité menvahir.
Car ensemble, nous somme des animaux ; lui le lion dominant, et moi la gazelle, sa proie.
Lautre jour, il ma appelé pour passer. Jai abandonné tout ce que je faisais pour le retrouver chez lui. Jétais déjà commandé par mes instincts de soumis. Une fois sur place, je fus surpris dapprendre que lui et son colocataire partaient faire une partie de foot dans le parc. Il ma dit dattendre son retour dans sa chambre. Puis ils sont partis.
Jétais seul chez lui et jen ai profité pour fouiller dans ses affaires. Instinctivement, jai commencé par le bac à linge sale et jai sorti ses tee shirts et caleçons pour sentir son odeur de mâle puissant.
Avoir couru jusquà chez lui mavait fait transpirer, et mon excitation et la chaleur caniculaire de ce mois de juillet 2015 narrangeaient rien. Jétais en sueur.
Il est finalement rentré avec son pote. Tandis que celui-ci est allé dans sa chambre, mon mâle ma rejoint dans la sienne, où je lattendais en caleçon, allongé sur son lit. Quand il est entré, il sest dévêtu, et son corps était luisant de transpiration. Ça a rendu lanimal primitif que jétais devenu fou. Ce corps massif recouvert de sa sueur bestiale
Je me suis collé contre lui et, instinctivement, ai ressenti le besoin de lui lécher tout le corps. Sa peau, qui en temps normal a un goût exotique et fort, nen était que meilleur.
Jembrassais chaque centimètre carré de sa peau, ou la léchais complètement. Il sest allongé sur le lit. Jai ôté mon caleçon et ly ai rejoint. Je lui ai retiré le sien pour que nous nous retrouvions nus tous les deux. Je me suis mis à califourchon sur lui et je lai embrassé à pleine bouche.
Mon baiser était passionnel. Pas une passion amoureuse, une passion bestiale. Avec lui, je ne peux pas faire les choses à moitié ou du bout des lèvres. Mon appétit est alors vorace.
A califourchon sur lui, je sentais son sexe dur contre le mien et je les faisais se frotter. Je descendais peu à peu vers ses aisselles, son torse, son ventre. Nos peaux glissaient lune contre lautre sous leffet de la sueur.
Je suis finalement arrivé à son bassin. Sans réfléchir, jai saisi son sexe et lai enfourné dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation comme il aime.
Son sexe est très beau et le gland, plutôt rosé, attire véritablement ma langue et mes lèvres et j'aime m'attarder dessus, le prendre dans ma bouche et le masser avant d'avaler toute sa queue,
Pendant que je le suce, il aime que je lui saisisse le scrotum. Je lui masse les boules, je les lui avale, C'est tout mon visage que j'insère entre ses cuisses et contre son sexe, me laissant m'imprégner de son odeur intime.
La pipe a tendance à l'exciter et une fois qu'il est bien excité, je ne peux que subir sa domination et sa force physique. Donc quand il a décidé que la pipe était finie, il m'a repoussé, s'est levé , m'a saisi comme une petite chose et m'a fait me mettre à 4 pattes sur le lit. Le match avait dû l'échauffer car cette fois il était particulièrement énergique. Je le sentais dans ses gestes et la force de sa poigne quand il me pétrissait les fesses.
Donc une fois en position, j'étais dans l'attente de me faire pénétrer par mon mâle. Seulement, quand il a fini de m'habi à la gorge profonde, il m'a initié à une autre pratique violente : la sodomie sans lubrifiant autre que ma salive et sans douceur. J'aime sa force et sa brutalité mais la 1ère pénétration est extrêmement douloureuse : au même moment je ressents un grand plaisir mental quand il me malmène et une grande douleur physique.
Encore cette fois, il s'est positionné derrière moi, m'a saisi par les épaules, a fait pénétrer seulement le bout de son gland. Je redoute et attend avec envie ce moment. Puis, il a donné un grand coup de bassin tout en me tirant à lui par l'épaule pour une pénétration qui me fit hurler.
Il m'a besogné en levrette avec beaucoup de force, ne pouvant ignorer la douleur physique que je ressentais mais connaissant pertinemment le plaisir mental que ça me procurait. Je sentais sa grosse bite noire s'enfoncer en moi tandis que la douleur s'effaçait pour laisser place au plaisir. Plaisir physique et mental, j'étais réellement au 7ème ciel, le niveau de plaisir qu'on atteint quand il n'existe plus aucune barrière ou limite chez soi. C'était comme si chaque pénétration de son pénis m'électrisait jusqu'au cerveau, encore et encore,
J'étais tellement déconnecté de la réalité à me faire chevaucher par mon mâle et à crier que je n'ai pas réalisé que son ami était entré et nous matait. Je l'ai aperçu quand il s'est approché de moi et a sorti sa queue près de ma bouche. Il voulait que je le suce. Terrassé par le plaisir sexuel et tenant à peine sur mes 4 pattes, je n'ai pas eu la force de résister et il a inséré sa queue dans ma bouche, ou plutôt il m'a baisé la bouche.
Au moment de jouir, il a râlé mais avant qu'il éjacule dans ma bouche, mon mâle lui a dit de dégager, et que ma bouche n'appartenait qu'à lui. Je vous laisse imaginer ce que j'ai ressenti et ma fierté. Quand mon mâle fait de moi sa chasse gardée et sa pute attitrée. Du coup, le gars a éjaculé sur mon visage et est parti.
A terme, mon mâle s'est planté au fond de moi, s'est vidé les couilles puis s'est écroulé sur le lit. Submergé par le plaisir et tentant de récupérer mon souffle, je me suis lové contre lui. J'ai réalisé que je sentais le sperme de l'autre et ça m'a gêné ; je ne voulais sentir que lui. Je me suis essuyé le visage et la bouche et j'ai sucé à nouveau mon mâle jusqu'au bout. J'étais comblé.
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