Plaisirs Troubles - 2/5
Plaisirs troubles
2ème partie - 2/5
« « 2ème partie
donc il sest déjà passé des choses avant
Quoi ? Il faut lire la 1ère partie, ça va de soi !
Bon, très vite. Cest lhistoire de Patricia. Ce quil lui arrive, comment et pourquoi
Je lai rencontrée elle, au début, mais pas seulement. Pour vous raconter son histoire, jai aussi rencontré sa belle-sur Babou, ses collègues de travail Jade et Cathy, et puis bien sûr Christelle et Charlène.
Chacune men a dit un peu
et lhistoire se construit. » »
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Babou ma dit
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Moi je savais. Elle me dit tout
cest même souvent gênant. Je lavais engueulée, je me souviens. Je comprends pas ça , moi.
On avait mangé au restau ensemble. Il y avait Pascal et moi, on était jeunes mariés, Pierrick et elle. Ils étaient ensemble depuis 6 mois. Il ma jamais plu, celui-là. Cétait le premier, elle était raide dingue de lui. Je voyais bien quil se passait quelque chose, mais je faisais pas très attention et puis jétais allée aux toilettes, au retour, depuis le fond de la salle du restau, jai vu. Elle avait les cuisses ouvertes, sa jupe remontée, et elle était à poil dessous. Les gens des tables à côté devaient sacrément se rincer lil.
Elle a vu que je la regardais de travers en me rasseyant, elle sest doutée que javais vu son manège, elle a rougi.
Cest lui qui voulait, elle me la avoué. Tout. Leurs jeux débiles. Le rideau quil ouvrait en grand dans les cabines dessayage de la galerie commerciale quand elle se changeait, ce quils faisaient au cinéma jose même pas vous le dire. Et cétait pas elle qui voulait, cest ça le pire, cétait lui, il lobligeait, seulement elle était folle de lui, alors elle obéissait. Et cette idiote, elle ma dit un jour quen même temps, ça lexcitait ! Quelle connerie ! Sur la fin, il lui arrivait même de lui taper dessus ! Vous vous rendez compte ? Non mais ! Où on va ?
Et pas moyen de lui faire entendre raison.
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Jade, autour dun thé en terrasse
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Cest Cathy. Jétais là quand elle a branché Christelle sur Patricia. Dabord cest elle qui a choisi daller dans ce bar pour lanniversaire de Patricia. Ça lui ressemble bien.
Elle
elle aime les filles, je crois. Moi je men fous, mais cétait pas très sympa. Elle avait dragué Patricia. Je crois que Pat, elle sapercevait de rien, ou elle la envoyée promener, je sais pas, et ça la vexée. Une vengeance.
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Patricia, ce quelle a dit à Charlène bien plus tard
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Deux semaines. Jai traîné ma misère deux semaines.
Au tout début je me suis dit cest lalcool : je nétais pas dans mon état normal. A mes copines au boulot jai rien dit : oui, jétais partie avec cette fille, non, il ne sest rien passé. Jai menti, jai dit quelle mavait posée devant chez moi, voilà tout.
Au début je pensais « cest une folle » : mattacher, me gifler, mobliger à
et puis
je lavais provoquée, je métais pas défendue.
Je pensais « cest normal, le corps réagit mécaniquement »
déjà avec Pierrick
Cétait le premier. Et cest le seul. Quand jen ai parlé à Babou, elle sest fâchée, vraiment fâchée. Moi ça me plaisait bien. Cétait comme un jeu. Je disais « non », mais je savais, et lui aussi, que je finirais par accepter.
Il aimait bien que je me montre, des fois au restau, ou en essayant des fringues, cétait marrant. Et après, quand on faisait lamour, cétait mieux. Au cinéma aussi. On se mettait au fond, les premières fois, après même pas, en plein milieu de la salle. Il aimait bien que je le fasse jouir avec ma bouche. Personne voyait rien, mais comme il y avait du monde autour, ça mexcitait ! Lui il me touchait pas, il préférait que je fasse toute seule, que je me mette presque nue et que je me masturbe.
Je lai quitté. Pas seulement parce quil me trompait. Babou croit que cest à cause de ça, mais cest surtout parce quà la fin, il me tapait dessus, et quil voulait que je le fasse avec ses copains. Ça, jai pas voulu. Il allait trop loin.
Alors Christelle, cétait un peu comme ça aussi, et quand jy repensais, soir après soir, je sentais mes seins et mon ventre durcir de désir
et les yeux clos dans mon lit je voyais ses yeux, et ma main glissait entre mes cuisses, soir après soir.
Après avoir quitté Pierrick, pas très souvent, mais quand même, je me caressais, et souvent cest à lui que je pensais. Mais après cette soirée, plus du tout.
Je me sentais seule et perdue, jétais troublée, déboussolée, en mavouant que mes scénarios de masturbation étaient toujours associés à ces moments avec Christelle, comme une fixation, quils revenaient en permanence et soir après soir mamenaient toujours au plaisir.
Et rien ne sestompait au fil des nuits, les souvenirs de ce premier matin sont restés très vifs et précis. Au cur de mes nuits, après les caresses quasi quotidiennes et la jouissance toujours atteinte, Christelle ne me semblait plus aussi folle.
Ce presque vécu avec Christelle, tellement inattendu et improbable, rejoignait lun de mes fantasmes : être e, soumise au désir brutal dun partenaire. Fantasme ? Plus quun fantasme après ce qui se passait avec Pierrick, ce quil mimposait. Jaimais ça.
Je nourrissais mes plaisirs nocturnes de la peur ressentie, de la honte. Mon fantasme avait depuis cette soirée un visage, un corps, une réalité. Jimaginais du plaisir que je me donnais à revivre ces moments inachevés le plaisir que jaurais à les vivre vraiment.
Christelle avait dit « A toi de voir » et jy pensais souvent.
Jai passé deux semaines à ressasser sans arrêt les mêmes idées, parce que jamais rien de tel ne métait arrivé, parce que depuis plus dun an ma vie était vide ; je me souvenais du frisson, de la peur et du plaisir qui montait, de la bouffée de chaleur à la honte dêtre e.
Une fille
moi rêver dune fille et de sexe ! Cétait à la fois déstabilisant et rassurant. Pourquoi rassurant ? Je serais bien incapable de lexpliquer, mais je le ressentais comme ça, et puis que ce soit une fille avait un côté transgressif qui augmentait mon envie. Babou ma toujours dit que jétais « un peu allumée »
Elle ma souvent dit aussi que jétais un véritable « aimant à emmerdes »
Alors je ne répondais pas à ses messages
quoi lui dire ?
Que tous les soirs je surfais sur la peur et la honte, limpuissance, pour me donner du plaisir comme rarement avant cette soirée ? Que ce que je subissais de Pierrick, que je ne supportais plus au point de menfuir même si parfois jy trouvais mon compte, je le désirais de cette fille à en pleurer ?
Un samedi je revenais dune soirée restau avec Cathy et Jade. Jai fait un détour, je me suis garée sur le parking du bar où je lavais rencontrée, comme on joue à se faire peur, pour le frisson, pour le tremblement dexcitation à lapproche du danger.
Longtemps je suis restée derrière le volant, tenaillée entre lenvie de fuir et lenvie dentrer. Pourquoi je me suis décidée ? Un challenge
« on verra bien, je prends un verre et cest tout ! Allez ! Je risque quoi ? ».
**
Charlène et Christelle mont raconté sa venue ce soir-là
*
Moi, je lai pas reconnue, je lavais à peine vue la première fois, mais Chris mavait raconté : mignonne, sexy.
Je tavais dit plus que ça
Mmm, cest vrai. Tu avais dit : fausse blonde, qui prenait son pied quand on la bousculait, mais qui avait pas pris son pied parce que tu lavais fichue dehors !
petite robe beige en strectch floqué, bien moulante, des bas, des talons, sauf quelle était pas blonde. Châtain foncé.
Moi je lai reconnue tout de suite.
elle sest installée au bar sur un tabouret, elle avait lair de chercher quelquun. Chris bougeait pas. Je suis allée au comptoir chercher une bière.
Tu vas pas la voir ?
Si cest moi quelle cherche, elle saura bien me trouver.
tu te souviens, au comptoir ? Il y en avait pas mal qui voulaient lui payer un verre, qui la serraient de près, elle avait du succès ! Même Lulu qui avait levé les fesses de sa table pour la draguer ! Elle refusait les verres, repoussait le bras de Lulu qui senroulait autour de sa taille.
Allez, sois sympa ! Va la chercher et présente-la moi !
Je croyais quon devait rentrer tôt ?
ten mourais denvie, de toute façon, reconnais ! et tu la ramenée à notre table. Lulu faisait sacrément la gueule ! Et on la embarquée !
Jolie robe, tes à croquer !
je te présente Charlène, une amie. Tes seule ?
Oui
Je suis juste passée chercher Charlène, tu viens prendre un verre chez moi ?
elle bredouillait, elle avait les joues qui brûlaient, jetait des coups dil vers moi. Elle avait lair déçue. Mais quest-ce quelle était belle ! Elle a haussé les épaules. Elle serrait ses mains sur ses genoux, comme pour les empêcher de trembler, moi je voyais plus que ses yeux
et ses seins, daccord, ses seins aussi !
Je sais pas
Laisse-toi faire, allez ! Il y a trop de monde ici !
elle sest assise sur ton pouf marocain. On était dans le canapé.
**
Patricia aussi se souvient
**
Jétais franchement mal à laise, je regrettais dêtre venue, idiot de ma part davoir accepté cette invitation, mais voilà, il y avait eu tous ces picotements sur ma peau, incapable de dire « non », et puis pour être honnête, jétais venue pour ça !
Revoir Christelle mavait fait un effet
étonnant ! dès quelle sétait approchée de moi au bar
comme dans mes rêves nocturnes. Et puis il y avait cette autre fille
Elles étaient sur le canapé de lautre côté de la table de salon, Christelle me regardait avec un petit sourire aux lèvres, elle semblait samuser, de mes joues rouges sans doute quand elle a passé un bras autour du cou de Charlène blottie contre elle, quelle insinuait une main dans louverture du chemisier et caressait un sein. Elle tendait lautre main vers moi :
Reste pas toute seule là-bas ! Viens plus près, approche ! Et toi, ressers-nous un verre !
Je me souviens du moindre détail.
Je me suis levée. Jétais toute proche, encore debout, elle me tenait la main, elle a posé sa main libre à lintérieur de mes genoux et a lentement remonté sa main sur la cuisse jusquà lourlet de ma robe. Je voulais reculer, je me pliais en arrière pour lui échapper.
Charlène était derrière moi, je lavais pas sentie sapprocher, elle sest collée à moi ses deux bras autour de ma taille.
Christelle souriait, ne me quittait pas des yeux :
Nessaie même pas de téchapper !
Elle tenait toujours ma main dans la sienne, lautre plaquée à lintérieur dune cuisse entre mes jambes :
Très jolies jambes ! Jai pas eu le temps de te le dire la dernière fois, tétais pressée de partir. Je tai pas reconnue tout de suite au bar, tas repris ta couleur naturelle
jaurais presque préféré que tu te fasses décolorer la chatte !
**
Patricia,Charlène et Christelle, leur soirée
»
Patricia avait préféré prendre sa voiture, elle nous suivait. Christelle ma expliqué comment elle voyait la soirée.
Tu déconnes ?
Pas du tout ! Crois-moi, cest ce quelle cherche.
Elle te la dit ?
Elle le dira jamais
fais-moi confiance, Charlie
elle te plaît pas ?
Si, mais quand même
elle résistait, un peu, sans véritable énergie, comme résignée ; elle serrait les jambes pour emprisonner la main de Christelle, tirait sur lourlet de sa robe de sa main libre.
je lai pincée, le haut de sa cuisse, fort, lui arrachant un cri de douleur, jai glissé un pied entre les siens pour lobliger à ouvrir un peu les jambes.
Ma main sous la robe, la lisière du bas, la chair nue et tendre en haut de la cuisse, jai empaumé son sexe, mes doigts très profond entre les cuisses, le pouce balayant le bombé du sexe devant.
je sentais dans mon cou le souffle chaud de Charlène qui me maintenait dun bras serré autour de la taille, sa main froissait le tissu de ma robe, son autre main sur un sein où les doigts se crispaient très fort, douloureux.
Entre mes jambes, les doigts tendus de Christelle déformaient le nylon de ma petite culotte et se plantaient dans mon sexe, brutale, entraînant dans leur poussée les grandes lèvres étirées, tirait sur mes poils, me faisait mal, ma toison prisonnière du nylon, elle mobligeait à me dresser sur la pointe des pieds pour tenter datténuer la douleur.
jai relâché la pression de mes doigts tendus un bref instant, puis jai raidi à nouveau le bras et les doigts pour faire rentrer sa petite culotte dans son vagin. Elle a crié.
je la soutenais de mon bras autour de sa taille, ses jambes tremblaient.
Elle ne sest pas débattue, na pas protesté quand je lai lâchée pour étirer les bretelles de sa robe sur ses épaules et labaisser sur ses bras, et jai soulevé son soutien-gorge au-dessus de ses seins.
Charlène avait dénudé ses seins et la caressait, pinçait ses tétons. Elle fermait les yeux, gémissait lèvres tremblantes quand jai soulevé sa robe sur sa taille et baissé sa petite culotte à mi-cuisses puis empoigné sa toison des deux mains pour ouvrir grand son sexe.
Tout rose tout mignon tout brillant
tu mouilles, chérie, tu mouilles fort, ça se voit et ça se sent !
Jai lâché ses poils tous frisés et collés de mouille dune main pour pincer le capuchon du clito, planté les doigts plus profond pour les refermer autour de la tige déjà dure, bandée, et la branler de petits coups de poignets qui découvraient et masquaient la petite pointe rose pâle brillante.
De lautre main, du bout de longle de lindex, jeffleurais les voiles ourlés de brun des petites lèvres collées de cyprine, reculait le doigt pour étirer un mince fil de mouille qui pendait entre mon doigt et son sexe.
Elle se cambrait, venait au-devant de mes mains, lèvres tantôt mordues tantôt étirées dun sourire crispé, les joues rougies et les yeux fixes, une ride au front quand Charlène pinçait trop fort ses tétons.
Je riais en continuant à branler le clito entre deux doigts pincés, et en plantant brusquement deux doigts dans son vagin, deux doigts plantés en butée, sa bouche ouverte sur une plainte muette, son front plissé de rides
jai arrêté de la caresser juste avant quelle jouisse. Elle secouait la tête de droite à gauche, « oh non, non, sil te plaît ! ».
Charlène, dans mon tiroir
je tai dit, tu sais, va !
je ne tenais plus sur mes jambes tellement je tremblais. Plus de Charlène pour me soutenir, Christelle qui ne bougeait plus. Jen aurais hurlé de frustration. Cest horrible quand on sent que ça vient et que tout sarrête. Horrible ! Je titubais sur mes jambes. Christelle sest levée face à moi, elle barbouillait mes lèvres des doigts qui venaient de fouiller mon sexe, puis dune main sur mon épaule et de lautre serrée dans mes cheveux elle ma fait mettre à genoux devant le canapé, la joue appuyée sur lassise :
Ecarte les jambes ! Mieux que ça, allez !
moi jétais prête, jattendais. Elle lui a cinglé les fesses de la main ouverte, jai vu la trace de ses doigt sur les fesses de Patricia, blanches au début et toutes rouges après, et puis elle a mis sa main entre ses jambes ouvertes, elle la branlé, vraiment fort, son pouce venait taper entre ses fesses, et je voyais le petit illet rose tout fripé qui se serrait et se relâchait.
Elle allait jouir, cest sûr, et Christelle sest arrêtée juste avant. On sent que ça monte, ça monte, que ça va venir, et non ! Elle coupe tout ! A pleurer !
Et cest ce quelle a fait à Patricia ! Elle a pris ses cheveux à pleine main pour lui redresser la tête et la obligée à regarder vers moi.
mon ventre dur, la boule chaude montait
et encore elle sest arrêtée ! Ma tirée en arrière par les cheveux : encore la frustration, la colère. Jallais jouir !
Jai vu Charlène, nue, des sangles autour des hanches, un gode rouge dépassant sur son ventre.
Elle est là pour toi ! Tes prête ?
NON !
Christelle ma à nouveau plaqué le visage sur le canapé et sest assise sur mon dos, elle appuyait sur mes épaules, jai senti un contact froid entre mes jambes, à lentrée du vagin, et la pointe de douleur. Jai crié ! Ecartelée ! et jai senti les cuisses de Charlène claquer contre mes fesses, une douleur sourde tout au fond du ventre, mon sexe étiré, trop
les larmes, le souffle bloqué, Christelle qui avait pris mes seins à pleines mains, les pressait
moi je lai faite jouir. Elle se cambrait, creusait les reins, venait au-devant du gode, et à chaque fois mon ventre claquait contre ses fesses. Elle a joui, elle gémissait, feulait, se tendait, et je voyais son périnée battre des contractions de lorgasme. Et franchement, vu comment elle criait, elle a pris un sacré pied !
Christelle ma redressée et sest assise sur le canapé devant moi, ma attirée vers elle de ses deux mains sous mes bras. Mes genoux touchaient plus la moquette, à cheval sur ses jambes. Je reprenais mon souffle. Elle ma embrassée. Javais mal partout : aux seins aux épaules aux hanches et au ventre. Moulue. Et jétais bien. Tellement bien. Christelle me peignait de ses doigts et essuyait les larmes sur mes joues.
Tout va bien ? Tes prête ?
Je ne comprenais pas. Prête ? Prête à quoi ?
jai fait signe à Charlène. Patricia sest cambrée brusquement dans mes bras et je lai serrée plus fort contre moi.
Son front plissé de rides, ses yeux écarquillés, sa bouche grande ouverte en un cri muet, et un râle, un sanglot, son corps secoué des coups de boutoir de Charlène dans son dos.
Charlène y allait fort ! Elle serrait les dents, appuyée des deux mains ouvertes sur les fesses de Patricia quelle écartait de tout son poids pour planter le gode rouge au creux de ses fesses.
Patricia se débattait, martelait mes épaules de ses poings, des larmes plein les yeux.
jai enduit le gode de lubrifiant pendant que Christelle la cajolait dans ses bras. Je me suis enfoncée dun coup, jusquau bout, en écartant ses fesses. Elle a crié. Sans pitié. Jusquau bout. Les 18cm du gode en entier au creux de ses reins.
Elle sest ramollie, vaincue, affalée sur Christelle qui la tenait entre ses bras, son torse agité de gros sanglots. Jai commencé à bouger, lentement, sortant presque avant de replonger, longtemps, sans concession aux râles de Patricia. Christelle mencourageait à continuer en la berçant dans ses bras.
La nuit commençait à peine.
Une suite ? Mais oui ! Jai encore des choses à vous raconter !
Elles se connaissent à peine
A suivre
Misa 10/2015
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