Ma Vengeance : Chapitre 1- Ma Tante
Je mappelle Daniel. Les seize premières années de ma vie furent très heureuses. Mon père Hervé 45 ans, banquier de son état était un très bel homme d1m85. Il était très amoureux de ma mère superbe blonde de 40ans. Nous vivions dans une très belle villa à proximité de Versailles. Maman ne travaillant pas pouvait se consacrer totalement à sa maison, son mari et son fils.
La foudre tomba brutalement sur nous. Maman fut emportée par un cancer foudroyant nous laissant désemparés. Papa se renfermait sur lui-même et nos échanges devenaient de plus en plus lapidaires.
Je suis un plutôt beau garçon. Jai hérité du côté sportif de mon père avec une musculature plutôt impressionnante pour mon âge et les traits fins de ma mère. A 18 ans avec mon 1 m 85, je ne passe pas inaperçu.
La situation à la maison nétait plus gérable. Papa se laissait aller. Le ménage nétait plus fait. Dès quil rentrait, il senfermait dans sa chambre. Plus aucun contact avec lui nétait possible.
Ma tante Eliane la demi-sur de ma mère qui passait de temps en temps, le voyant dépérir, lui proposa de sinstaller provisoirement à la maison et dengager du personnel de maison.
Ma tante sétait beaucoup rapprochée de ma mère au cours de sa maladie. Elle était née dun premier mariage de mon grand-père. Cétait une très belle femme de 45 ans, brune, élégante avec de très longues jambes et une forte poitrine. Elle était veuve depuis 8 ans. Elle avait vécu au Canada une vie disait-on dans la famille, dissolue. Ma mère lui avait demandé de passer la voir dès son retour en France. Elles sétaient ensuite revues régulièrement.
Je ne laimais pas beaucoup car elle était très autoritaire, désagréable au possible avec moi. Au fur et à mesure que la santé de ma mère déclinait, elle avait pris lascendant sur mon père maccusant de tous les maux. Jétais régulièrement puni, privé de sortie. Elle faisait le vide autour de moi.
Javais depuis deux ans une petite amie, Brigitte, qui avait pris lhabitude de venir me voir.
Un jour alors quelle était à quatre pattes et que je lui avais bien élargi la rondelle, je lui présentais ma queue à sucer. Quand elle fut bien lubrifiée, je quittais sa bouche et la présentais devant son anus et commençais à la pénétrer doucement. Lorsque mon gland réussi à forcer le passage et mon sexe lembrocher complètement elle poussa un cri de douleur. Je la laissais shabi à la présence de mon vit et commençais mes mouvements de va et vient. La douleur laissa vite place à des petits cris de jouissance. Jaimais beaucoup dans cette position lui attr les seins, les pétrir et en titiller les bouts. Jaccélérais le mouvement et avec un grand cri je me déversais en elle.
Jaimais beaucoup la sodomiser. Elle avait de très belles fesses et un cul vraiment accueillant qui sétait habitué à mon sexe. Elle suçait divinement bien. Je naurais pas pu avoir meilleure initiatrice. Elle aimait aussi jouer avec mon petit trou et me pénétrer de ses longs doigts. Jappréciais cette caresse.
Peu de temps après linstallation de ma tante, mon père et elle sabsentèrent pour la journée. Jappelais Brigitte qui se précipita à la maison. En fait ma tante nous avait tendu un piège. Elle ne supportait pas la présence de mon amie. La porte souvrit alors que Je la sodomisais. Ma tante entra en sexclamant: « je te lavais bien dit ». Mon père me regardait dun air méprisant. Je me dégageais du cul de Brigitte. Ma tante récupéra nos vêtements et nous demanda de nous tenir debout lun à côté de lautre. Elle nous gifla plusieurs fois profitant au passage pour tordre et pincer violemment les tétons de Brigitte qui hurla sous le coup de la douleur.
Prenant Brigitte par la main, elle la conduisit à la porte de la maison et la projeta nue à lextérieur avec ses vêtements. Elle voulait lhumilier et casser notre relation.
Mon père menferma dans ma chambre et décida de me mettre en pension. Nous étions en milieu dannée scolaire et le seul établissement de valeur disponible était aux environs de Genève. Les jours précédant mon départ furent terribles. Mon père ne me parlait plus et ma tante me regardait dun air méprisant. Quand mon père était absent, un sourire de satisfaction apparaissait sur son visage. Elle me signifiait par là quelle avait gagné. Brigitte ne voulait plus avoir aucun contact avec moi. Sa présence me manquait car jétais devenu accroc au sexe. Je narrêtais pas de me masturber et les traces que je laissais après moi, augmentait lattitude méprisante de ma tante.
La veille de mon départ, un couple se présenta pour se faire embaucher. : Julien 35 ans plutôt bel homme et Marie une belle brune de 30 ans à lallure garçonne. Ils semblaient bien connaître ma tante.
Le nouvel homme à tout faire me conduisit au pensionnat « Les oiseaux » à 30 km de Genève. Ma tante lui avait certainement parlé de moi car il narrêtait pas au travers dallusions graveleuses, de montrer quil connaissait ma situation. Mon père ne sétait même pas déplacé pour me dire au revoir. Je jurai de me venger de cette garce qui était responsable de mon exil.
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