Avec Le Père De Lucas...
Comme vous le savez, mon père est chef dentreprise dans le bâtiment. Jai travaillé avec lui pratiquement tous les étés. Je my connais pas mal en la matière donc, à chaque fois que quelquun que je connait a une dalle de béton à couler, un mur à élever, une piscine à creuser ou je ne sais quoi dautre, cest moi quon appelle pour aider.
Le dernier chantier en date a été lagrandissement dune terrasse et la construction dune pergola chez le père de Luc, mon ami denfance. Les travaux étaient censés durer plusieurs jours, cétait aussi une occasion pour moi de revenir dans ma région natale et de me faire payer pour !
Le père de Lucas est venu me chercher à la gare dans son gros 4x4 qui n'était pas de trop pour accueillir cet homme de près de 2m de haut. Le train de Lucas avait eu du retard, il ne serait là qu'une heure plus tard alors nous sommes directement rentrés à la maison. Je connais bien François, mais je ne l'avais pas revu depuis assez longtemps. C'est un homme du cinquantaine d'année, grand et blond, comme son fils. Très bien fait et très bien conservé, c'est le genre de patron avec lequel on ne rechigne pas à coucher pour réussir. C'est d'ailleurs ce qui avait hâter la fin de son mariage avec la mère de Lucas. C'est un ami d'enfance de mon père avec qui il est resté très proche comme d'ailleurs tous les parents de ce groupe de pote là (Lucas, Antoine, Yann et moi). On se connait tous depuis l'enfance.
Le trajet pour rentrer chez lui était court et l'a paru encore plus vu toutes les choses qu'on avait à se raconter. Mon père l'avait tenu au courant, naturellement, mais ça ne l'a pas empêché de me poser un tas de question sur les études, le travail, etc
Nous parlions encore en passant la porte d'entrée, il avait mon sac à la main et je l'ai suivit dans l'escalier qui menait à la chambre d'ami. Le temps était radieux, il était encore assez tôt dans laprès midi pour satteler immédiatement à la tâche.
- Ben dis donc, t'as bien grandi toi !
Il me détaillait comme si il me découvrait alors même qu'il m'a certainement vu plus de fois à poil qu'habillé durant les 18 premières années de ma vie.
- T'es devenu un vrai petit homme !
A 25 ans, j'espère être un peu plus qu'un petit homme mais venant de lui, c'était une forme de compliment.
- Et là, t'as fait comme ton père ! De vrais jumeaux !
Il faisait référence à l'anneau qui ornait désormais mon gland.
- Tu sais que Lucas aussi s'est fait percé? C'est pas aussi réussi que l'original mais c'est une super copie ! Il tas montré ?
- Ouais, ouais, il ma même plus que montré !
François ricana bruyamment et ajouta :
- Vous êtes vraiment des bonobos les mecs ! Ca y est, dès que les filles ont quitté la pièce vous commencez à vous grimper dessus !
- Et cest qui qui parle ?
Nous avons rigoler. Il ny avait pas eu besoin de lui dire quil nous arrivait de niquer, son fils et moi, cétait sous entendu. Il lavait peut être entendu à travers une cloison ou peut être sen doutait-il tout simplement parce quil faisait la même chose à notre âge (et peut être encore aujourdhui).
Nous avons continuer à discuter de ça en enfilant des habits plus appropriés pour le chantier et puis nous avons commencé à travailler. Le Soleil tapait fort, la journée fut assez rude mais cétait très agréable de bosser avec quelquun qui a de la conversation et quon connait depuis longtemps.
Lucas était sensé nous rejoindre mais il narrivait pas. Un problème de train que je nai pas entièrement compris.
Une fois la journée de travail terminé, il devait être 18 ou 19 heures et alors que Lucas ne donnait toujours pas de signe de vie, nos estomac commençaient à gargouiller alors que nous montions les marches de lescalier pour nous rendre au premier étage:
- Tas une idée de lheure à laquelle Luc est censé arriver ?
- Il devrait déjà être là mais bon, il a juste dit quil aurait beaucoup de retard.
- Si, à fond !
- On est pas s de lattendre pour manger, au pire on lui ramènera quelque chose du restau.
- Tu veux aller au restau ?
- Cest la moindre des choses sachant que tes venu trimer pour moi toute la journée !
Ce faisant, nous passions la porte de la salle de bain. Il farfouillait dans un tiroir, jétais adossé à un lavabo :
- Par contre il va falloir changer de tenue !
- Ah bon ? Mais dans quel type de restau tu memmènes ?
Il tira deux serviettes du tiroir et men lança une.
- Jai la tête de quelquun qui remercie les gens en les invitant au McDo? Tu te douches en premier ou jy vais en premier?
Connaissant le père de Luc, nous nallions pas dîner nimporte où, heureusement javais une tenue présentable dans ma valise.
- Tu peux y aller en premier si tu veux ! - Lui ai-je répondu en enlevant mon marcel.
- Comme tu veux - a-t-il répondu en retirant son short, puis il a rajouter :
- Passe moi ton short, je vais le mettre au lavage !
Je retirais mon short et mes chaussettes pour le lui donner. Mon caleçon était plein de transpiration mais cétait quand même plus pratique den porter un pour couler du béton. Je le retirais en même temps pour le lui donner. Il le fourrait dans la poubelle de linge sale avec le sien.
- Punaise, tes en forme pour un type qui a bossé toute la journée !
Il faisait allusion à mon érection. Je ne lavais presque pas remarquée.
- Tas vu ! Quand jai fait une activité physique je bande toujours après. Je vais avoir le temps de me détendre un peu sous la douche ?
- Oui, y'a pas de problème, le restau nest pas très loin.
Il passa devant moi et alla se caler sous le jet de la douche. Je masseyais sur le coin dun petit banc pendant quil continuait la conversation:
- Profites en bien des gourdins inopinés comme ça parce que ça durera pas !
- En même temps la tienne molle fait la taille de la mienne dure donc lun dans lautre tu ty retrouves.
- Presque, presque, petit !
Cest là que jai eu lidée de prendre une petite vidéo de lui, pour garder le souvenir de cette belle queue quelque part sur mon ordi. Mon portable dans les mains, je tentais de viser la zone stratégique mais n'arrivait pas à filmer son visage en même temps ce qui ne le rendait reconnaissable qu'à ceux qui ont déjà eu affaire à son mandrin, une raison de plus de poster la vidéo sur mon blog (myveryownporn.tumblr.com). La conversation a continué et puis il est sorti de la douche. Cétait le moment. Une photo aurait eu trop de chance dêtre ratée et avec une vidéo il était plus facile de faire semblant que je regardais mes messages. Javais peu de temps pour agir, jai fait du mieux que jai pu.
- Cest bon, tu peux y aller, ma-t-il dit.
Il finissait de se sécher quand jai allumé leau. Je nai pas tiré le rideau de douche pour continuer la conversation. Au bout de quelque secondes sous leau chaude, jai laissé couler une bonne rasade de gel douche sur ma queue encore plus dure quavant et je lai massée. Jécoutais dune oreille ce quil me disait en se rasant et lui répondait par bribes de phrases. Je ne lai pas vu saisir mon portable. Je navais pas quitter le mode caméra avant déteindre lécran, il voyait ma bibliothèque de film, il y voyait sa grosse queue juteuse. Je ne men suis pas aperçu, je fermais les yeux en appréciant ce moment de délassement. Je nai pas non plus prêté attention quand il sest mis à fouiller dans un tiroir du meuble sous le lavabo. Peut être cherchait-il une crème hydratante, un déodorant
Je nai compris ce quil se passait que quand leau chaude sest brusquement arrêtée de couler sur mon visage :
- Tas lair de bien aimer ma queue !
- Hein quoi ?
- Ten a déjà vu une plus longue?
Ce faisant, il introduisait sa queue lubrifiée dans mon anus. Le passage était difficile, ça faisait mal, son manche est énorme.
- Tas besoin dun vrai mec, toi, hein !
Il enfonçait ses centimètres par pallier, sans me demander mon avis. Il était debout derrière moi et me pénétrait comme ça, en forçant son passage dans ma rondelle.
- Ca me fait mal !
- Taimes filmer ma grosse bite mais tu veux pas te la prendre ? Cest pas correcte ça ! Allé, desserre ton trou !
Ca ne servait à rien de se débattre, il aurait de toutes façon eu ce quil voulait. Autant prendre son mal en patience et essayer de tirer du plaisir de ce coït .
Les première minutes furent atroces, il ma littéralement déchiré mon trou quasi vierge avec son mandrin. Je morflais à mort. Il me maintenait fermement en poussant des beuglement rauques.
- Alors, tu laimes ma queue ?
Je me laissais ouvrir par ce vieux vicelard. Javais déjà goûter à la queue de son fils mais celle là était dune autre trempe. Ses couilles claquaient contre les miennes. Il ma pénétré et pénétré encore pendant dix bonnes minutes. Javais limpression de me faire niquer par un cheval.
Mes genoux ne me portaient plus, javais les jambes qui tremblaient. Il ma fait mettre à quatre pattes, sur le sol. Il restait accroupis derrière mois et ma embroché à nouveau comme ça, comme un animal allant à la saillie. Il était plus tonique que son fils, plus violent dans ses coups de queue et plus avilissant dans la façon qu'il avait de me pénétrer. Chaque pénétration me faisait savoir qu'il ne me concevait pas comme égal et que je n'avais pas vraiment le choix, je devais le satisfaire.
Javais vraiment limpression dêtre en pleine saillie avec un poney. Je sentais son piercing me taper la prostate. Posté sur ses cuisses musclées, il allait et venait dans mon ventre jusquà mon nombril. Excité par la domination, il y allait de plus en plus fort. Je criais de douleur, ça lexcitait encore plus. Il narrivait plus à se contrôler et si il avait fait preuve dun semblant de douceur au début, là il se lâchait complètement et me défonçait le cul en massenant de petites phrases comme :
- Tu la voulais ma queue ! Et là elle te plait ?
Je ne répondais que par des quasi hurlements. Ca a duré une petite demie heure, les aiguilles de lhorloge de la salle de bain tournaient lentement, javais le cul en feu et probablement en sang. Je sais comment il voulait que ça finisse : il voulait se porter à un cheveux de lorgasme et me gicler sa semence sur le dos ou peut être même la gicler à terre, à lancienne. Ce genre de types un peu old school comme le sont mon père et tous ses potes, ont une sorte dobsession avec leur sperme. Le plaisir de me remplir de foutre, celui davoir un orgasme complet à lintérieur de moi, passait bien après le dégoût que lui inspirait lidée de mêler son sperme à mon cul. Il sénervait sur mon cul et, pour oublier la douleur, je repensais à cette fois où, étant jeune, il nous avait entendu baiser, son fils et moi
_____________________________________________________________________
Cétait un après midi comme celui-là, on avait été un peu bruyant et, une fois notre coup tiré, nous lavions retrouvé pour dîner. Il souriait en coin et nous avait tapé sur lépaule :
- Je vois quon sest fait plaisir ! Jimagine que je vais devoir changer les draps !
Après le dîner, Lucas est monté dans sa chambre, son père la suivit, justement pour changer les draps. Jétais dans la salle de bain et jai entendu leur conversation :
- Les saligots, vous avez fait ça par terre !
- Ben non, sur mon lit.
- Il ny a pas de tâches sur les draps, vous êtes sûrs que tout fonctionne correctement chez vous ?
- Tinquiètes
- Non, mais tes sur, parce que là je rigole pas, ça minquiète !
- Oui, tout fonctionne !
- Ouais, ben alors elles sont où les tâches de foutre? Je veux des petits s moi !
- Ben à lintérieur
- A lintérieur de quoi ?
- De nous !
- Tu lui as giclé dedans ?
- Ouais
- Et il tas giclé dedans aussi ?
- Ben ouais
- Putain, les mecs, vous êtes vraiment des porcs ! Et cest comme ça à chaque fois ?
- Ben ouais, cest quand même plus agréable de décharger dedans, comme avec une meuf quoi
- Ben ouais cest plus agréable, ça veut pas dire quil faut le faire ! Et puis cest pas pareil
tu lui fous pas ton foutre dans le cul
Lucas (tout comme moi) navais pas lair de comprendre. Même si mon père mavait déjà briefé à ce sujet, je nai jamais vraiment compris pourquoi les mecs de sa génération trouvait ça dégoûtant. François avait lair à la fois repoussé par lidée quon ai fait ça mais en même temps il souriait en coin et ricanait presque, lair de dire : les mecs, vous vous faites plaisir !. Il y avait un brin de jalousie dans sa voix, comme si il navait jamais rencontré de partenaire masculin qui accepte de gicler à lintérieur de lui ou de recevoir sa semence dans son anus. Il a rajouté :
-Et alors, quel effet ça fait quand tu te fais gicler dedans ?
- Ben tu sens la bite grossir, devenir super dure et taper des coups à lintérieur de toi
Moi jaime bien.
- Cest quand même crade ! - A-t-il ajouté, dun air rêveur.
Après coup, il lavait même raconté à mon père qui ma longtemps charrié là dessus, il mappelait le crado. Allez savoir pourquoi, à leurs yeux, étaler tout son sperme sur son partenaire ou sur le sol est plus sale et plus convenable que de lui jouir dedans. Bien plus tard, au cours dune de ces discussions sexuelles décomplexées que nous avons souvent, la bite à la main, il mavait questionné:
- Et les nanas, tu leur jouit aussi dans le cul?
- Ben oui, parfois
La plupart sont des nanas de passage, jutilise une capote. Si la baise est bonne je rempli la capote sinon je la retire et je leur crache tout dans la bouche ou sur la rondelle.
Je prenais un mâlin plaisir à le dégoûter.
- Oh putain, tas vraiment pas de limites
Après ça leur coule dans la chatte et tout. Donc toi, quand tu niques, tu respectes rien !
Il disait ça dun ton potache en ricanant. Je lui répondais :
-Moi quand je nique, je nique ! Jai bien assez de foutre pour niquer encore le lendemain et te faire tous les petits s que tu veux si cest ce qui te préoccupes ! Dailleurs ne me dis pas que tas jamais tout largué dans le cul de quelquun, je ne te croirais pas.
- Moi jétais marié, jai fait 4 garçons, donc jestime que si aujourdhui je moublie dans le cul dun type de mon âge qui en est au même stade que moi, cest pas la mort, cest juste que par respect je le fais pas et on me le fait pas.
Type de mon âge qui est au même stade que moi est sa façon pudique de dire quil nique avec le père de Yann, celui de Lucas et celui dAntoine (mes trois meilleurs potes).
- Ty a déjà pensé ?
- Certainement, mais dans le feu de laction, mais je me vois mal lancer à mon pote de baise : vas y, tu peux jouir dedans ou Ca te dirai que je crache tout dans ton cul ! On le fait pas, cest tout. En plus, si il me répondait non ça casserai tout le moment. Par contre avec les nanas, je le fais et 99% du temps cest elles qui me le demandent.
- Ben tu vois !
- Oui mais toi tu devrais trouver autre chose qu'une nana de passage, lui jouir dans la chatte et me ramener des petits s ! En suite, tu pourras faire tes trucs dégueulasses ! Tu sais, ta mère cest la première femme que jai connu et elle est restée lunique femme que jai connu pendant toute la durée de notre mariage.
- Oui, je sais
Il se plaisait à nous rappeler sa probité de jeune homme :
- Tes frères et toi on vous a fabriqué dans les règles de lArt. Bon, toi cétait dans les toilettes dun avion, mais au moins cétait propre, clean, pas dans le cul quoi !
et cest seulement après vous avoir fait les quatre, on a commencé les trucs sales. Même avec les mecs, on a rien fait les quatre premières années de mon mariage
______________________________________________________________________
Jen étais à cela de mes pensées quand je le sentais y aller réellement à fond. Ses grosses couilles lourdes claquaient contre les miennes, il émettait des ah ah ah Ca va venir, ça va venir. Cest à ce moment là que jai rassemblé les dernières forces quil me restait pour serrer mon anus au maximum autour de son gros manche. Jen sentais la moindre aspérité, jaurais pu le dessiner tant sa sensation dans mon trou était précise. Il me lançait :
- Ah ah Pti con ! Ah, ah ah
Il avait lair paniqué :
- Merde, merde, merde ! - Répétait-il de façon saccadée -
Puis ce fut :
- Oh putain cest bon. Ah oui, ah tiens !
En disant cela, il massénait des coups de bite profonds et violents.
- Ahhhhhh, putain ça fait du bien !
Puis il sest bloqué au fond de moi quelques secondes, appréciant chaque minutes de son orgasme.
Il sest désengagé de moi, cétait une vraie délivrance. Je ne bougeait pas, pétrifié:
- Ah, ten a plein le cul, mais taime ça, toi !
Comme pour se faire pardonner davoir répandu sa semence là où il naurait pas du, il en a raclé une coulée qui séchappait de mon trou tuméfié, avec sa main. Etalant ses doigts enduits de foutre visqueux, blanc et lourd sur ma bouche, il se fraya un passage dans ma bouche en disant :
- Tiens, lèche bien, cest du foutre dhomme ça ! Ca va te changer de tes potes !
Je léchais ses doigts, je navais plus la force de refuser. Son sperme avait bon goût.
Il ralluma leau chaude et recommença à se laver alors que je me relevais sur mes jambes chancelantes. Je navais pas jouit mais je ne bandais plus, javais mal à lintérieur de mon orifice. Il se savonnait face à moi, insistant bien sur sa bite et ses poils pubiens. Il ma ensuite étalé du savon sur le corps en disant :
- Vient, on va nettoyer tout ce bordel que jai fait !
Il ma lavé, avec douceur et application :
- Tes vraiment un beau garçon. Ton père a raison dêtre fier.
Je ne disais rien, encore sous le choc. Il passait ses doigts sur toutes les zones de mon corps:
- Et regarde moi cette bite ! Cest un sacré machin que tas là !
Il la savonnait consciencieusement en lavant bien le piercing, en shampooinant bien les boules.
- Ton cul, putain, ça faisait longtemps que jai pas eu une aussi bonne bourre !
Il caressait mes fesses puis a titillé mon anus, le savonnant. Il mécartait les fesses pour vérifié que tout était bien propre.
- Ca reste entre nous tout ça, hein !
. surtout la fin ! Putain, je tai bien rempli quand même ! Ca tas plû ? Pour moi cétait la première fois !
Sa grosse queue, javais fantasmé dessus, je lavais voulu, je lavais eu et elle mavait littéralement transpercée. Javais du mal à croire quun fantasme que javais depuis si longtemps pouvait en fait se terminer aussi pauvrement.
Et puis tout dun coup :
- Bon, allé, maintenant, suce moi !
Il me fit mettre et pressa son gland contre ma bouche. Je le laissais y entrer, je lui était totalement soumis.
- Applique toi bien, petit !
La moitié de son membre à peine pouvait y entrer. Il avait bon goût, il était raide et net, la peau tendue et propre. C'était une vraie bite d'homme, marquée par l'usage répété avec une barre verticale ancrée dans sa chaire. Je n'avais jamais connu de manche comme ça. J'ai très peu sucé dans ma vie, d'ordinaire c'est moi qui me fait pomper. Je ne suce que mes potes, Lucas, Yann et Antoine, leurs queues fragiles et à peine pubères de gamins de 25 piges. Celle là était d'une autre trempe.
- N'aie pas peur, elle n'est pas en sucre la mienne !
Il m'incitait à y aller plus fort. Je tentais de poser des suçons sur son gros gland et c'est à peine s'il bronchait. Trempée de salive, je l'astiquais de la main droite comme si je tentais de la polir, il commençait à souffler. Je l'ai agrippé alors très fermement, le poing bien serré, et passais dessus sans égard pour ses bijoux en lubrifiant à peine de ma salive et, enfin, il commença à laisser échapper quelques râles. La main rugueuse, ce n'étaient plus des caresses que je lui administrais mais des sévices. Ses grosses couilles pendantes, les mêmes que celles de Lucas, dansaient dans tous les sens et il ne s'en formalisait pas. N'importe lequel des mecs de mon groupe, moi y compris, aurait crié de douleur, pas lui. Je commençais à avoir peur pour mon cul, peur qu'il lui faille encre me laminer comme un taré pour réussir à obtenir la satisfaction qu'il se sentait en droit de recevoir de moi. Je suis connu pour être un baiseur assez dur, j'aime bien quand ma bite entre et sort complètement du trou que je pénètre, j'aime bien les cadences soutenues, mais lui devait être pire qu'un lapin. Un marteau piqueur près à tout pour laisser échapper sa semence.
J'accélérais mes vas et viens, j'ai bien cru que j'allais emporter une des boules métalliques dans un mouvement mais il tiqua à peine. Je me demandais s'il était excité par le fait que je sois un pote à son fils ou si c'était ma jeunesse qui le faisait bander mais en fait il n'en était rien. Il empoignait à pleine main mon torse, caressait mes poils et commentait : "t'en a des poils maintenant ou encore ton foutre doit être épais !. Descendant le regard, il ajoutait et regarde moi cette queue ! en reluquant mon engin qui pontait à nouveau vers lui. Je sentais qu'il avait envie de s'en saisir, peut être même de se le prendre, mais que quelque chose le retenait. Pour lui, je n'étais encore qu'un disciple, un vide couille qu'il fallait éduquer.
- Pourquoi t'as toujours pas trouvé de femme pour apprécier ta grosse queue? - Me demanda-t-il.
Il ne s'attendait pas à ce que je réponde, c'était juste pour lui une forme de lamentation, un blocage. S'il avait pu me faire baiser la voisine sans capote pour l'engrosser sur le champ, il l'aurait fait, juste pour se défaire de l'impression qu'il avait de gâcher le foutre d'un tout jeune homme. Il ne me sucerait pas, il ne me laisserait pas non plus me branler pendant la sodomie qu'il allait m'administrer encore.
La main serrée sur sa bite, je continuais à en lécher le bout, l'aspirant profondément, le pompant au sens propre du terme en attardant la langue sur le métal qui la traversait. Il était pris dans son plaisir, j'avais ses burnes dans l'autre main, je l'empêchait de bouger. J'essayais d'imiter les gestes des suceurs et suceuses expérimentés que j'avais vu servir des hommes beaucoup plus âgés que moi dans les clubs ou lors des partouzes informelles qui avaient parfois lieu chez nous. La clé, pour ces bites usées, c'est de les rudoyer, de les traiter comme des morceaux de viande, il n'y a que comme ça qu'elles sentent quelque chose. Je collais l'extrémité contre la paume de ma main et l'y frottait énergiquement c'était la dernière zone encore vraiment sensible de cette queue en béton armé.
- Je vois que tu sais t'y prendre ! - Me dit-il, impressionné par ma maîtrise. Et puis ce fut : Attend deux seconde, je vais m'occuper de ton cul maintenant
Mais je ne lâchais pas et devenait de plus en plus inquisiteur, la pipe devenait bruyante avec des sons de succion, de chair battue comme un steak et des cliquetis métallique.
- Arrête je te dis !
Il s'énervait, je ne me laissais pas démonter, je ne me laisserais pas démonter encore. J'avais ses couilles dans la main, maintenue assez fermement pour qu'il comprennent qui était le maître à présent mais sans pour autant lui gâcher son plaisir.
Ce fut d'abord : P'ti con ! puis des râles de plus en plus rapprochés. Quand ils furent presque continus, je désengageais sa queue de ma bouche et glissais vers le côté. La branlant fermement, je le fis éjaculer dans l'air, son sperme se répandit sur les dalles en pierre de taille par grosses lampées généreuses. Il était blanc, visqueux, comme s'il ne s'était pas vidé depuis longtemps. Je continuais mes caresses biens longtemps après la fin de l'éjaculation, moment privilégié pour tous les hommes circoncis, il aimait ça.
- Tu veux pas boire mon foutre?
Il la pris comme laffront que cétait sensé être. Il ma fourré sa bite molle dans la bouche pour que le la lave bien et il maurait fait lécher le sol si je navais pas rallumer immédiatement le jet afin dévacuer le sperme du sol carrelé.
Il repris possession de sa grosse queue molle et m'assena une claque avec.
- Bon, allé, jai faim, on y va !
Le dîner se passa normalement. Il parla beaucoup tout seul pendant que je continuais à réfléchissais en silence. Javais les couilles pleines, il sen foutait, sa grosse bite ne mavait donné aucun plaisir. Elle était peut être trop grosse. Celle de Lucas était déjà aux limites du supportable mais mavait toujours fait grimpé aux rideaux. Peut être que cétait une question dhabitude.
Une fois sorti du restaurant, il se fit plus pressant. Il me mit la main aux fesses, me sussurant des cochonneries à loreille.
- Je peux pas mempêcher de repenser à ton petit cul, putain, tu mas fait tellement de bien
Au retour, nous navons pas pris le même chemin pour rentrer. Je me demandais où il memmenait et, très honnêtement, javais même un peu peur. Il avait envoyé quelques messages pendant le repas, je navais pas vraiment fait attention. Il arrêta la voiture et saisit son téléphone :
- Salut, cest moi
On est en bas. Tu veux quon monte ?
-
..
- Ok, on tattend.
Puis il se retourna vers moi :
- Cest une amie à moi, je me suis dis que ça te ferai peut être plaisir de la niquer avec moi !
- Et elle est disponible sur commande, comme ça ?
- Son mari est en haut dans lappart, il la baise pas comme il faut, alors on sappelle mutuellement quand on a envie. Et là jai envie ! Tu mas donné envie ! Bon, alors, tu viens ?
- Ok.
Il a fait les présentations dans la cage descalier, cétait une belle femme de la trentaine, beaucoup trop belle pour avoir à vivre avec un mari impuissant. On est allé dans une petite chambre de bonne au dernier dont elle avait la clef. Lendroit était bien meublé, je pense que cétait sa garçonnière. Elle nous a servit un verre et à baissé ma braguette. Elle ma sucé avec application, elle avait lhabitude des queues comme la mienne. Je pense que François la ramonait déjà depuis au moins un an. Mon pantalon glissa au sol, je le portais rien dessous.
François avait ramené des capotes grandes tailles, ma queue était raide, 18cm et épaisse comme un rouleau de sopalin. Il fit glisser la capote sur ma queue. Jen pouvais plus, javais les couilles remplies à raz-bord, ça nallait pas durer longtemps. Sur le coup, le fait que je ne la connaisse pas, que François soit là, face à moi, en train de se branler, ne ma absolument pas dérangé.
Je lai pénétrée en levrette. Elle se tenait à quatre pattes, la tête dans lentrejambe de François qui la faisait sucer tout ce quelle pouvait. Il ne mavait pas fait jouir par lui même, lidée même de servir un type de mon âge le répugnait, mais il tenait à ce que je gicle quand même.
- Ca te plait ?
- Ouais !
- Vas y, profites bien, on a tout notre temps !
Même avec la capote, je sentais chaque millimètre de ma queue entrer et sortir de la chatte de cette femme. Ma queue était au comble de la sensibilité, chaque oscillation de mon piercing, bien calé dans le latex, me donnait un plaisir immense. Le plaisir était apparemment partagé, ma partenaire mouillait abondamment et mencourageait :
- Tu vas me faire jouir ! Oh oui, encore encore !
Ces phrases ponctuèrent tout le rapport qui dura peut être 45 minutes par intermittence. Je voulais en profiter et en même temps ma queue était déjà prête à jouir avant même que je rencontre cette partenaire fortuite. Attendant la fin des vagues de cris de plaisir quelle laissait échapper, je retirer ma queue quelques secondes pour reprendre mes esprits et éviter de jouir tout de suite. Je la regardais, François la regardait et notre copine de baise la regardait. Elle était magnifique. Dure comme la pierre, le gland violacé, gonflé, énorme, se détachant sur la hampe. Le piercing calé dans la chaire et calé dans la capote, les couilles pendantes, les veines bleues et rouges saillantes. Elle me lançait :
- Remets-la moi ! Jai envie de ta queue !
Je la lui remettait et je repartais pour 15 minutes de bourre jusquà la prochaine pause.
François fut le premier à gicler. Elle avala tout et lécha sa queue. Il la remit dans son pantalon et se leva. Faisant le tour, il se posta près de moi. Jétais toujours à genoux en train de baiser cette femme. Il me dit :
- Tes performant pour un petit jeune ! Ca te plait Amandine ?
- Oui, oui oui oui - fut sa réponse en même temps que son bruit habituel.
Il posa une main sur mes fesses.
- Et ty va fort en plus ! Cest bien ! Tu sens que ça vient là?
- Putain je crois que je vais gicler !
Je sais pas pourquoi, jai encore eu envie de lui faire plaisir à ce moment là et gicler comme un homme (au sens de François) laurait fait, selon lui, dans cette situation. Je me suis désengagé de la chatte de cette fille de passage, ait retiré la capote et il me dit :
- Cest bien petit ! Tiens !
Ce faisant, il métalait une bonne rasade de lubrifiant sur le membre et le saisit dune main sûre et ferme me chuchotant :
- Ca aussi ça restera entre nous, hein !
Il a branler ma queue fermement, durement, rapidement, le poing bien serré sur mon gland il ma satisfait encore mieux que quand je me branle moi même. Il ma fait arroser le dos de cette fille et le sol autour delle de dizaines de giclées de sperme chaud et collant.
Une fois les portes de la voiture claquées, dans cette petite seconde qui précède le démarrage, jai laissé échappé:
- Merci.
Il répondit du tac au tac :
- Mais de rien !
Arrivés chez lui nous nous sommes déshabillés pour être plus à laise. Il nous a servit un verre de scotch et sest assis sur un fauteuil, son gros tuyau endormi entre ses jambes.
- Tu veux regarder un film ?
La question ne se posait pas pour moi. Javais à peine commencé à prendre du plaisir dans cette micro-relation que nous avions commencé quelques heures plus tôt. Il avait délégué la tâche de me satisfaire à une autre puis lavais en parti reprise. Il se donnait des airs détalon, capable de prendre qui il voulait sans demander. Javais envie de voir si il était à la hauteur de ses prétention.
Je me suis posté entre ses cuisses, à genoux sur le sol et ai commencé à lui lécher le gland.
- Putain, tu laimes ma queue !
Javais prévu mon coup. Jétais passé chercher la bouteille de lubrifiant dans la salle de bain, elle était posée tout près de moi.
Je lai sucé. Je lai sucé fort, il avait le gland encore sensibilisé par toutes les éjacs quil avait eu ce soir là, il prenait un pied monstre. Sa queue était dure comme la pierre, je ne pensais pas quà son âge on pouvait bander aussi dur aussi souvent, surtout avec une bite de ce gabarit.
Jai enduit son membre de lubrifiant et lai chevauché. Doucement, à mon rythme, je me le suis mit. Javais le contrôle. Jétais déjà bien élargit, il ne forçait pas son passage comme la première fois et me laissait faire. Je faisais de petits va et viens sur la première moitié de sa queue et puis des vas et viens plus amples, jusquau moment où tout est rentré. Sans douleur notable ni difficulté, tout est rentré. Jétais parfaitement à laise, assis sur ses 24 centimètres, le trou écarté par sa circonférence, bien calé, le torse contre son visage. Il me malaxait les fesses et me léchait les tétons.
Il aimait mon torse velu, il aimait mes fesses fermes, il était entièrement en moi et, avec un tel gabarit, je navais pas besoin de beaucoup bouger pour me donner un maximum de plaisir. Je me suis frotté contre lui, comme ça. Il navait pas lhabitude des rapports aussi intimes avec un autre homme, ça se voyait mais il prenait son pied.
Au bout de dix minutes à me stimuler de lintérieur avec son gourdin, je commençait à réellement ressentir du plaisir, au début subtilement puis de plus en plus fort. Comme un léger orgasme qui sétalait dans la durée. Je lui faisais savoir :
- Putain cest bon, continue, mets moi ta bite.
Il ne mavait jamais entendu prendre du plaisir, il pensait peut être que jétais timide mais non. Il a paru étonné de mentendre, pour la première fois, lencourager et lui dire que jaimais sa queue. Je ne suis pas timide au lit, ni avec les hommes, ni avec les femmes.
- Je te sens bien là, oui, laisse moi profiter de ta queue
Presque étonné, il ma répondu :
- Ca te plait là ?
- Oui ! Je vais gicler !
Javais la prostate grosse comme un melon, il tapait dessus sans ménagement, mes vas-et-viens devenaient violents, je métais complètement fait à sa queue.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!