Colin-Maillard

Quelques semaines s'étaient écoulées après ma soirée de nouvel an avec Jérôme et son ami. Nous étions, mon mari et moi, retournés à notre routine habituelle et le mois de janvier s'était écoulé dans le froid la grisaille et l'ambiance morose du confinement. Un soir, alors que nous dînions tous les deux à la maison, Richard m’annonça qu'il avait été contacté par l’ami de Jérôme, qui souhaitait changer d'orientation professionnelle et voulait vérifier avec nous si nous avions des opportunités pour lui au sein de la société. Ayant un peu d'appréhension à rencontrer l'ami de mon amant, je faisais part à Richard, de ma réticence, lui rappelant qu'il avait lors de notre soirée du nouvel an, eu une image plutôt particulière de notre couple. Face à l'insistance de mon mari, j’acceptais de le rencontrer. Le lendemain, je demandais à ma secrétaire de prendre rendez vous, pour un entretien dans nos locaux en fin de semaine, et démarrais mes premières réunions. Je m’étais préparée en essayant de combiner une allure sérieuse et business tout en gardant un côté de bourgeoise sexy et pulpeuse. Vêtue d’une jupe-crayon taille haute et d'un pull noir moulant, j'avais une fois de plus misé sur le côté pulpeux et dominant. La jupe crayon en Élasthanne m'arrivait en dessus des genoux, au milieu du tibia avec la présence, au niveau de la taille, de deux volants qui recouvraient mes hanches. Elle était ornée d'un motif pied-de-poule intemporel avec un look chic et sexy. Le derrière de la jupe était fermé par un zip éclair sur tout son long, qui accentuait encore plus la courbe de mes hanches. Le pull était en viscose très ajusté au corps de couleur noire avec manche courte et une encolure en cœur mettant en valeur un décolleté pulpeux.

La matinée s’écoula avec de multiples réunions. Vers 11 h, mon téléphone sonna. C’était Jérôme, avec qui je n’avais pas eu de contact depuis notre soirée du nouvel an. Je décrochais mon téléphone avec un peu d’appréhension, comme à chaque fois qu’il me sollicitait.


- Bonjour Jérôme, comment vas-tu ?
- Très bien ma chérie, je commençais à me languir de toi, je voulais te remercier de rencontrer Olivier, tu verras, c’est un garçon charmant.
- Oui, je crois me souvenir, en effet…
- Ohhhh belle coquine… Tu sais que tu m’as beaucoup manqué ?
- Tu n’es qu’un charmeur, tu m’as juste ignoré pendant 3 semaines.
- Comment me faire pardonner ?
- Je ne sais pas, mais pour l’heure, je n'ai pas trop le temps, je te propose de te rappeler plus tard.
- Je ne pense pas que ce soit ce que j'ai en tête.
- Jérôme que veux-tu, je suis au bureau, je n'ai pas le temps pour tes petits scénarios
- Obéis-moi ma belle salope, je veux que tu m’excites maintenant, et si tu réussis, tu auras un cadeau.
- À quoi penses-tu ?
- Rends-toi aux toilettes et appelle-moi par facetime
Il raccrocha le téléphone. Obéissante, je me rendais aux toilettes qui se trouvaient sur le palier. Je refermais la porte derrière moi et appelais Jérôme en vidéo.
- C’est bien ma belle, pose ton téléphone et fais-moi un joli show, excite-moi !!!!!
J'étais debout dans les toilettes fixant la caméra de mon téléphone en imaginant mon amant m’ observer sur son écran. Moi cette femme mure de cinquante cinq ans, mère de famille, à l’allure chic et bourgeoise, je me retrouvais dans cet espace confiné, prête à m’éxhiber comme une vulgaire prostituée. Soumise à mon amant je me soumettais à ses instructions. Je remuais sur moi-même, oscillant mes hanches, essayant de donner un caractère érotique à mes gesticulations.
- C'est bien, danse pour moi, montre-moi ton corps, je veux que tu m'excites.
Tout en fixant mon téléphone, je mis un doigt entre mes lèvres, simulant des va-et-vient comme si j'étais en train lui faire une fellation. Je continuais à danser tout doucement de manière aguichante.
- J’espère que tu es en train de bien bander, espèce de vicieux.
- Ouai, continue à bouger ton corps salope, je veux que tu te caresses tes gros seins.
Oui, c'est ça malaxe les, montre-les-moi maintenant, je veux que tu les sorte à l'air libre, oui comme ça libère moi tes pies de grosse vache. T'as vraiment les plus beaux seins que j'ai jamais pu voir, vas-y fais les bouger, allez titille maintenant tes tétons, fais les bien durcir. Tu me fais bander grosse chienne.
Je me retournais, et écartais ma jupe en remontant le zip de la fermeture éclair, laissant mes fesses visibles juste protégées par mes collants et mon tanga. Tout en me penchant sur la cuvette des toilettes et en relevant mes fesses devant le téléphone, je glissais une main en dessous de mes collants, faisant coulisser mes doigts dans la raie de mes fesses, et commençais à me doigter tout en bougeant mon bassin de gauche à droite. J'entendais les encouragements de mon amant dans le téléphone, qui devait se masturber en m’observant dans cette position de soumise. Il me demanda de m'enfoncer 2 doigts et de me branler vigoureusement. J'obéissais et toujours dans cette position inclinée qui dévoilait toute mon intimité, je me masturbais avec passion.
- Caresse-toi tes grosses miches pendant que tu te doigtes grosse pute. J'adore te voir habillée en bourgeoise et dans cette position, tu ne peux pas imaginer comme tu es en train de m'exciter. J'ai trop envie de te baiser maintenant, mets-toi un doigt dans l'anus, je veux que tu te doigtes le cul.
Une fois de plus, je lui obéissais introduisant mon index dans mon petit trou, tout en continuant de remuer mon bassin et me caressant mes gros seins qui pendouillaient en avant. Il me laissa continuer pendant quelques minutes toujours m’observant alors que je l'imaginais en train de se branler de manière frénétique. La situation, et la pression de mes doigts entre mes cuisses déclenchèrent un orgasme qui me fit frémir le corps, alors que mon souffle et mes gémissements compulsés raisonnaient dans ce petit espace.
- Bravo ma belle, tu as bien travaillé, ça suffit pour ce matin, on finira ce soir.
Je veux que tu me rejoignes cet après-midi. Je t'attends à 17h à l'hôtel campanile de la zone industrielle sud. Maintenant, rhabille-toi et retourne bosser.
Je me rhabillais rapidement et retournais à mon bureau. J'étais déjà en retard pour mes réunions. La journée s’écoula rapidement et sachant que Richard devait travailler tard le soir, je prétextais un petit coup de fatigue afin de quitter plus tôt et me rendre au rendez-vous fixé par mon amant. J'arrivais à l'heure sur le parking de l'hôtel demandant par SMS le numéro de la chambre à mon amant.

@Patricia : chambre 24 prend la clé à la réception, et attends-moi sur la chaise, tu trouveras des instructions à l'intérieur.

L'homme à la réception me tendit la clé avec un grand sourire complice et lubrique. Peut-être que ma culpabilité me rendait paranoïaque. Une fois dans la chambre, je trouvais sur le lit un simple bandeau avec une note me demandant de me masquer les yeux et d'attendre debout. Je posais mon manteau sur la chaise, et appliquais le bandeau autour de mes yeux, attendant patiemment la suite des événements. Dans une situation similaire au matin, j’étais debout au milieu de cette chambre, appretée comme la bourgeoise chic que j’étais et qui était offerte en pature à des prédateurs qui ne revait que me defaire. Quelques minutes, plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir. Sans un bruit, quelqu'un s'approchait de moi, sans même me toucher, me tournant autour tel un prédateur en train de jauger sa proie. Une main, brutalement, se plaqua sur ma poitrine alors que l'autre m’attrapait par les cheveux. Debout dans cette chambre d'hôtel, j'étais à la merci de mon amant, ou de toute autre personne qu'il aurait pu envoyer afin d’assouvir ses fantasmes pervers. La main ferme de l’inconnu me palpait mes gros seins au travers de mon pull. D’un coup sec, il tira l'encolure vers le bas, libérant ma poitrine qui était maintenant juste protégée par un soutien gorge Lise Charmel de toute beauté.
- Quels beaux gros seins, tu as, j'adore ta poitrine mamelleuse.
J'ai adoré te regarder ce matin te caresser, et je suis sûr que ça t'a fait jouir.
- Ohhhhhhh, Jérôme, tu me rends folle, je suis à toi fais de moi ce que tu veux.
- J'adore l'idée de te baiser dans un hôtel de seconde zone comme une vulgaire pute. Dis-moi que ça excite la bourgeoise vicieuse que tu es.
- Oui oui, tu m'excites, j'ai envie que tu me baises comme un animal.
- Avant cela ma belle, on va jouer. Je suppose que tu connais le jeu de Colin-Maillard. Tu vas être le chasseur avec tes yeux bandés et moi le chassé. Si tu réussis à me toucher, tu pourras me sucer quelques minutes, je suis sûr que tu es impatiente de retrouver le bon goût de ma grosse bite.
- Oui Jérôme, je veux ta grosse bite entre mes lèvres. Je vais te pomper, ce sera la plus belle pipe de ta vie.
- Oui, c'est comme ça que je t'aime, espèce de grosse pute montre-moi que t'es toujours la meilleure des butineuses
Il me fit tourner plusieurs fois sur moi-même, afin que je perde la notion de l’espace, me laissant seule essayant de le trouver. La pièce n’étant pas très grande, ça ne devait pas être très compliqué. Au bout de quelques instants, je le trouvais enfin, assis sur une chaise. Je m’accroupis devant lui, et sentis son sexe bien dur qui m’attendait avec impatience. Il m’attrapa par les cheveux et poussa son sexe entre mes lèvres. Docile, j'acceptais ce viol buccal avec délectation et gourmandise, dont je savais que c'était que les préliminaires. Il grognait et gémissait, sensible aux caresses de ma langue, mais aussi au contact de mes lèvres. Je pompais son gros dard qui avait pris une taille démoniaque et dont les allées et venues dans ma bouche commençait à m'exciter fortement. J’alternais avec expérience les caresses de mes lèvres et de ma langue lui donnant quelques moments de répit en remontant ma langue tout le long de son bâton de chair pour finir sur son gland humide. Je m'amusais à mordiller son sexe, sentant à la pression de ses mains sur ma tête et mes cheveux l’effet extraordinaire que je lui faisais. Totalement aveugle, je continuais cette fellation pendant plusieurs minutes prenant bien garde à ne pas le faire jouir ce qui aurait eu pour conséquence de me laisser frustrée dans cette chambre d'hôtel.
- C'est bien, après les hors d'œuvre, on va passer au plat de résistance. Mais comme tu sembles experte en chasseuse de bitte, on va augmenter la difficulté.

Il me remit debout, tira mes bras dans mon dos, qu’il attacha fermement avec une paire de menottes. Aveugle et attachée, j’étais totalement soumise. Il me releva ma jupe à motif, pied-de-poule, laissant apparaître mes collants, baissa les balconnets de mon soutien-gorge, me refis tourner plusieurs fois sur moi-même, et m’appliqua une grande claque sur les fesses, avant de s’éloigner.
- Cherche bien ma belle, peut-être que finalement, tu n’es pas la chasseuse, mais plutôt la proie…
J’avançais à petit pas, ma jupe relevée et mes gros seins à l’air, essayant de trouver des repères dans la pièce, et heurtais la porte d’entrée. Je tournais sur la gauche vers le petit bureau, et tombais sur lui qui m’attendais patiemment. Il me saisit, sans une parole et sa main plongea en dessous du nylon de mes collants et de ma culotte, s’emparant à pleine main de mon vagin. Il me malaxa la chatte debout, me laissant soumise et aveugle, continuant à réveiller mon corps de plus en plus réceptif à ses caresses. Il plongea sa main gauche entre mes cuisses enfonçant son majeur au fond de moi, alors que de sa main droite, il me prit la croupe juste protégeait par mon tanga. Il écarta la lanière de ma culotte et plongea un second doigt au fond de mon vagin, alors que ses lèvres me suçaient les seins. Je sentais ses 2 doigts qui jouaient autour de mes parois vaginales ou alternativement coulissant frénétiquement. Il joua avec mes formes pendant de longues minutes, jusqu’à ce qu’un orgasme me traverse le corps. Il venait de me faire jouir une première fois, et le connaissant depuis maintenant plusieurs mois, je savais que ça allait se répéter plusieurs fois. Il me laissa seule, debout toujours aveuglée attachée la jupe relevée, et mes gros seins libres. J'attendais et écoutais patiemment à l'affût de chacun de ses mouvements, mais alors que je pensais qu'il était sur ma droite, je sentis une présence sur ma gauche. Sa main se plaqua sur ma grosse poitrine, déclenchant un mouvement de surprise. Il se délectait de mes mamelles, qui n'attendaient que de se faire palper. Alors que sa main gauche s'occupait de ma poitrine, sa main droite replongea en dessous de mon collant, se planquant contre la raie de mes fesses pour commencer à me titiller l'anus. Il enfonça simultanément son doigt dans mon petit trou pendant que sa langue plongeait dans ma bouche et que sa main gauche continuait à malmener ma poitrine laiteuse. Il faisait coulisser son doigt au même rythme que sa langue jouait entre mes lèvres déclenchant une fois de plus une vague de désir qui me traversait le corps. Il était plus violent, plus rustre, plus intense, plus dominant, comme si, il s'était tout d'un coup transformé en un animal surexcité. Il joua avec moi pendant de longues minutes sans me parler, je ne pouvais le toucher, juste bonne à supporter et endurer ses caresses insistantes. Bien que n'étant pas une adepte de la sodomie j'avais appris depuis maintenant quelques années à apprécier cette pratique qui régulièrement me faisait jouir autant que lors d'une pénétration vaginale. Cette fois-ci, n’était pas différente. Il réussit de ses doigts inquisiteurs à me faire jouir à nouveau dans une combinaison vicieuse entre mon petit trou du cul et mes gros seins pendouillant. Il me libéra enfin de cette caresse après quelques minutes et s'éloigna. Immobile dans la pièce, j’attendais, étant à l’affût du moindre bruit alors que pour mieux me motiver il m’aida avec des instructions.
- Tu es froide, toujours froide, encore froide, ahhh tu tiédis, bien continue… Voilà, maintenant, tu es chaude bouillante… Oui, viens sur moi ma belle, montre-moi que tu es une belle mature chaude comme de la braise…
Je m'étais rapproché du lit me dirigeant avec le son de sa voix, grimpant sur le matelas, ou je sentis la présence de mon amant couché qui m'attendait. Je m'approchais de lui, l’enjambant de part et d'autre me retrouvant au-dessus en position d'Andromaque. Ses mains s’accrochèrent à mes collants, les écartant violemment pour déchirer le nylon, suffisamment pour laisser le passage à son sexe. Il écarta la lanière de mon tanga afin de me pénétrer d’un seul coup Allongé sur le dos, jambes étendues et moi à genoux face et au-dessus de lui, aveugle et attachée, il dosait sa pénétration et le rythme des va-et-vient. Je ressentais le plaisir de cette pénétration vaginale, ainsi que la friction sur mon clitoris. Il accentuait les mouvements en mettant ses mains sous mes fesses afin de m'aider à me relever et me rabaisser. Il continua à me baiser dans cette position pendant plusieurs minutes me poussant vers un 3eme orgasme. Je jouis une fois de plus sous le rythme de son sexe sur lequel j'étais empalée. Ne me laissant pas le temps de me reposer, il me retourna afin de m'allonger le dos sur lui, pour mieux me prendre par-derrière. Son sexe me pénétra à nouveau me fourrant le vagin comme une oie qu’on essaye de gaver. Toujours attachée par les menottes et aveuglée par le bâillon, je le laissais faire, alors qu'il utilisait mon corps selon son bon vouloir assouvissant ses fantasmes vicieux. Sa bite allait et venait me faisant perdre toute mesure de la situation alors que ses deux mains saisirent mes cheveux afin de me redresser légèrement.
- Ouvre ta bouche de salope.
Surprise par sa demande, j’obtempérais, alors qu’un sexe énorme pénétra entre mes lèvres. Il m'avait une fois de plus piégé dans ses pires fantasmes afin de me partager avec un inconnu. Surprise, mais docile, je me laissais faire et enfournais ce sexe dans ma bouche, alors que mon amour continuait à me pilonner les fesses, tout en continuant à me maintenir fermement pour mieux obliger à sucer l'inconnu qui avait dû jouer aussi avec mon corps.
- Tu reconnais cette bonne grosse bite ma salope la taille l'odeur ça devrait te rappeler quelque chose, tu l’avais dans la bouche il y a 20 minutes.
- Hummmmmmmmmm, Hummmmmmmmm, Nonnnnnnnnnnnn
- Quelle bonne suceuse ta pouliche, je n'ai jamais vu une bourgeoise aussi arrogante et naïve. À croire que l'idée d'avoir une bite en elle efface tous ses principes. Suce mon doigt cochonne, tu devrais reconnaître l’odeur de ton anus.
- Oui, vas-y suce bien mon copain ma pouliche, vois cela comme une répétition pour son entretien d’embauche.
- Hummmmm, je dois avouer que c’est la première fois que je me fais sucer par ma future patronne. Vivement la fin de semaine, je suis sûr que cet entretien sera mémorable…
- Ohhhhh Jérôme, comment tu peux me faire ça !!!!
- Tais-toi ma patronne, et je te promets que si tu me proposes un bon package, je m’occuperais de toi tous les jours….
C’était donc Olivier que j’avais sucé, et qui m’avait fait jouir avec son doigt dans mon anus. Ils s’étaient donc amusés tous les deux, alors que j’étais aveuglée par ce bandeau. La perversion de Jérôme ne s’arrêterait donc jamais.
- Allez arrêtez-vous maintenant elle t’a assez sucé viens me rejoindre dans sa chatte y a de la place pour deux, en plus elle adore se faire prendre double vaginal.
Non-content de s’être fait sucer, il allait maintenant pouvoir me prendre comme une vulgaire pute en enfournant son sexe dans mon vagin. J’étais possedée par ces 2 grosses bites bien enfoncées en moi. Ils me baisèrent comme leur jouet leur poupée, je n'étais pour eux que leur esclave sexuel juste bonne à assouvir leurs désirs vicieux.
- Vas-y ma cochonne, bouge ton corps, tu m’appartiens, tu es à moi, mon jouet, mon objet, dis-le-moi, je veux t’entendre !!!!
- Faites-moi jouir comme une folle, encore oui encore !!!!!
Pour atténuer mes cris, il me mit la main sur la bouche afin de ne pas ameuter tout l’hôtel, alors que leurs deux grosses bittes continuaient à me défoncer la chatte. J’haletais, bâillonnée par sa main, et jouissant comme une folle, je perdis toute retenue, participant à cette débauche de perversion, par mes cris et gémissements. J’étais couchée sur le dos, sur Jérôme, bâillonnée par sa main gauche, alors que de sa droite, il me palpait mes gros seins. Olivier continuait à me pilonner. Son sexe plus gros que Jérôme allait et venait en moi, tout en se frottant au sexe de son ami. Il m’avait relevé les jambes à la perpendiculaire de mon corps, en les tenant bien fermement d’une main, serrées l’une contre l’autre, tirant sur mes collants déchirés, alors que de son autre main, il s’accrochait à mon gros cul en tenant ma jupe pied-de-poule remontée sur mes hanches. Ces 2 pervers s'acharnerent sur moi pendant 10 minutes avant de décider de changer de position, Olivier manifestant le désir de me sodomiser. Il m’enleva mon tanga et me poussa à califourchon sur Jérôme qui s’enfonça en moi pendant que la bite d'olivier me prit par mon anus serré. Alors que Jérôme me pilonnait le vagin, et que ses mains me malaxaient mes gros seins, son partenaire me sodomisa. Son sexe s’enfonça dans mon petit anus d’un seul coup, m’arrachant un cri qui résonna dans la pièce. Jérôme s’empara de mon tanga qu’il me fourra dans la bouche, afin de me bâillonner à nouveau. Olivier me défonçait le cul s'accrochant à mes collants déchirés tout en m’appliquant de grandes claques sur ma croupe toute rouge. Prise des 2 côtés, je gémissais de plaisir quand une dernière décharge orgasmique, traversa mon corps me faisant crier à travers la chambre du campanile. Ils n'en avaient cependant pas fini avec moi et continuèrent de me prendre de cette façon pendant de longues minutes.
- T’aimes ça ma belle génisse ma grosse bite dans ton petit cul de bourgeoise. Ohhhh ta cochonne, elle est vraiment trop bonne, quel coup d’enfer.
- Huuummmmmmmm hummmmmmmm hummmmmm
- Oui, ma belle regarde-moi, je veux voir tes beaux yeux pendant que tu jouis… Tu aimes ça, deux bites en toi….
Je sentis enfin le sexe d'olivier se répandre au fond de mon anus de son liquide chaud alors que Jérôme se vida en moi presque au même moment. J'étais exténuée, et remplie de sperme avec ma tenue de bourgeoise chic défaite ainsi que mes collants déchirés. Ils m'enlevèrent le masque ainsi que les menottes et me couchèrent entre eux au milieu du lit, me laissant reprendre mes esprits pendant quelques minutes. Après quelques minutes de repos, je sentis leurs mains à nouveau sur mon corps qu'ils s'amusaient à parcourir comme 2 s jouant avec leur trophé. Ils m’écartèrent les bras pour les placer en croix, les coinçant en dessous de leur corps, ainsi que mes jambes qu’ils bloquèrent chacun de leur côté. Jérôme m’embrassa goulûment alors qu'Olivier me malaxait mes gros seins toujours libre. Sa langue jouait avec mes tétons tendus, alors que la main de Jérôme plongeait entre mes jambes avec ma jupe encore relevée. Olivier se saisit de mon tanga, qu’il utilisa pour essuyer le sperme qui dégoulinait de mes cuisses et de mon anus. Une fois le sperme nettoyé, il me frotta ma culotte afin de répandre le sperme sur mon visage et mes cheveux. J’en avais partout. La main de Jérôme me caressait doucement l’entre-jambe, réveillant mon corps. Je gigotais mes hanches, sensible à ce nouvel assaut entre mes cuisses, et toujours maintenue allongée sur le lit et crucifiée.
- Regarde la bouger sa chatte, elle en veut encore. C’est une vraie nymphomane ta pouliche. Une affamée du sexe.
- Oui une vraie gourmande, on va lui donner ce qu’elle veut, dis-moi belle que tu en veux encore
- Ohhhhh, vous êtes des démons, vous allez me …. Oui, vas-y…. Encore…
Ils avaient décidé de me faire jouir une dernière fois de leurs mains expertes et je pouvais sentir la pression de leurs baisers et de leurs caresses sur mon corps qui repartit immédiatement. Décidaient de m’amener à un point de non-retour le plus rapidement possible, ils accentuaient leurs caresses. J'étais comme une e qui avait besoin de ses doses multiples et qui courait irrémédiablement vers une overdose de sexe. Sans se préoccuper de ma fatigue, ils me mirent à 4 pattes, et alors que Jérôme me doigtait le vagin, Olivier avait mis son doigt dans la dentelle de mon tanga trempé pour me pénétrer l'anus, utilisant ma culotte comme un préservatif, et cela, tout en jouant avec mes grosses mamelles simulant une traite de vache. Mon plaisir était devenu leur plaisir, et c'était leur seul objectif, je savais que Jérôme voulait me rendre encore plus addict. Je lui étais soumise, mais ce n'était pas assez. Le traitement qu’il me faisait subir était comme l'équivalent d'un dealer poussant à la consommation sa clientè afin de ne pas là perdre. Je jouis une première fois, ils me relevèrent et recommencèrent. De temps en temps, Olivier m’obligeait à prendre ma culotte en bouche afin de sentir l’odeur de mon petit trou avant de recommençait. Ils continuèrent malgré tout pendant plus d'un quart d'heure à explorer et utiliser chaque partie intime de mon corps, jusqu à ce que je m'écroule après une ultime explosion. Je me cambrais avec une violence extrême avant de tomber à nouveau sur le lit, totalement anéantie.
- Emmène là moi jusqu’à la salle de bain, elle va nous nettoyer.
Olivier, me souleva et m’entraîna jusqu’à la salle de bain, me poussant à genoux devant la cuvette des toilettes. Ils étaient tous les deux au-dessus de moi, sexe à l’air m’obligeant à prendre leur sexe en main et de les masturber. Les premiers jets de liquide nauséabond se répandirent dans la cuvette. Ils urinaient tous les deux alors que je tenais leur sexe en main. J’étais traitée une fois encore comme une esclave, sa chose, son animal, terminant son forfait avec cet outrage ultime, sachant que j’aimais trop nos séances pour me révolter et refuser ce traitement. Une fois de plus et comme à son habitude, il sortit de la chambre me laissant seul pour retrouver mes esprits me réajuster et rentrer chez moi. La seule question était maintenant de savoir quel scénario et fantasme pervers allaient-ils inventer pour l’entretien de fin de semaine.

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