Indécence Et Déshonneur - Dévergondages 12
Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
« Les femmes rougissent d'entendre nommer
ce qu'elles ne craignent aucunement à faire. » de Montaigne
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans lanus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud dune taille supérieur dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
***********************************************************************t homme beaucoup plus âgé.
Odile, au moment de partir de chez elle croise Muriel qui revient de son jogging avant de rejoindre luniversité. Elle contemple sa fille, nageuse émérite de compétition aux cuisses et aux jambes musclées, à la poitrine qui tend outrageusement son maillot mouillé et à la jolie tête blonde aux longs cheveux noués en chignon. Elle songe que sa fille va un jour connaître ce quelle apprécie à présent, une verge quelle commence à aimer prendre en bouche et quelle adore lorsquelle pénètre son antre vaginal, voire même entre ses fesses à présent. Elle nose simaginer le corps de sa petite fille, même si elle a désormais vingt-deux ans, se tordre de jouissance sous la domination dun homme.
Lorsquelle arrive au bureau, angoissée par ce qui attend son derrière encore très douloureux. Quel soulagement lorsquEdmond lui téléphone pour lui dire quil annule leur rendez-vous de laprès-midi ! Il le reporte au surlendemain, lui demandant de lattendre donc le mercredi à 10 heures pour la journée entière.
Comme dhabitude, elle déjeune avec ses collègues à la Taverne dOr. Antoinette, qui a un poste important à la division financière, lui fait part de son étonnement, en la trouvant aussi changée depuis un certain temps. Elle la trouve beaucoup plus sexy et ouverte et elle lui demande carrément, si elle a un amant. La pauvre DRH défaille, se pourrait-il quelle soit découverte. Elle nose plus regarder sa collègue qui la rassure immédiatement.
- Pardonne-moi Odile, je ne voulais pas être indiscrète, mais permets-moi de te dire que je te trouve beaucoup plus agréable et que tu es magnifique. Si javais des tendances saphiques, je te draguerais à mort !
Odile sest statufiée, devenant rouge pivoine, tellement cette attaque directe la surprise. Sa collègue une petite brune à la poitrine généreuse qui déborde toujours de ses chemisiers, a de belles jambes, des cuisses bien musclées, et possède un fessier des plus prometteurs.
Une bonne vingtaine de minutes plus tard, elle remonte dans la salle alors que ses collègues sont déjà partis. Elle est soulagée de ne pas avoir à croiser le regard dAntoinette. Pourtant lenvie de cette femme, dune dizaine dannées sa cadette, est toujours aussi forte. Elle se promet dessayer un jour
Même si elle pense quelle est en train de devenir une dépravée.
Le mercredi suivant, Odile sapprête à rejoindre le baisodrome, mis à sa disposition par son suborneur. Après une toilette attentive, elle enfonce le rosebud dans son illet qui souvre sans difficulté, puis elle glisse une culotte et un soutien-gorge dans une pochette pour les mettre avant son retour au domicile conjugal. Lorsquelle sassoit dans son automobile, elle soulève sa mini jupe, imposée par Edmond et apprécie le contact du siège en cuir sur ses fesses nues, la faisant frissonner dun trouble plaisir pervers et certainement immoral, mais qui lémoustille, sachant quelle va passer, encore une fois, une journée de découvertes enivrantes.
LorsquEdmond pénètre dans lappartement, il a la surprise de voir Odile, entièrement nue, à quatre pattes sur le lit rond, le cul haut levé et les cuisses écartées, attendant son bon vouloir. Posé à côté delle, lécrin aux rosebud, où se trouvent le plus petit et le plus gros ; le moyen est engagé complètement dans lillet de la belle. Il se doute quil y a « anguille sous roche », aussi il lui demande si elle a quelque chose à se faire pardonner.
- Odile, ma petite salope adorée, je pense que vous avez fait une bêtise et que vous devez mériter une bonne fessée pour vous présenter à moi dans cette position. Je vous écoute !
La pauvre ne sait plus où se mettre, alors quEdmond vient de la traiter de salope et lui promettre une fessée. Pourtant, elle sent sa moule shumidifier, tandis que des idées perverses traversent sa pensée.
- Oh ! Je vous demande pardon, je sais que ce nest pas ce que vous attendiez de moi Edmond, mais, mais, dimanche dernier, mon mari a violé mon derrière et je nai rien pu faire. Je suis, je suis désolé. Heureusement que vous maviez préparé dailleurs, car malgré tout jai eu affreusement mal. Jai peur à présent, car
., car votre sexe est beaucoup plus gros que celui de Michel, je ne pourrai pas le supporter ou vous allez me déchirer lanus
Edmond contemple la belle mature, qui toujours à genoux sur le lit, se lamente, mais elle a toujours le cul haut levé et, passant la main entre les cuisses nues, il tâte la chatte quil trouve engluée de secrétions.
- Vous nêtes quune petite chienne lubrique qui mouille et se réjouit des propos que vous me tenez. Ce nest pas une fessée que vous méritez, mais la bonne correction des lanières dun martinet.
En disant cela, Edmond est allé chercher la serviette en cuir quil ne quitte jamais, en bon notaire quil est. Il en retire un martinet aux longues lanières souples dun rouge soutenu, dont le manche en cuir lui aussi, de couleur noir et rouge fait bien six centimètres de diamètre.
Odile, réalisant quil va mettre sa menace à exécution, exprime ses peurs.
- Je vous en prie, ne me marquez pas. Il ne faut pas que mon mari ou ma fille sen aperçoivent. Je ne pourrai jamais trouver une explication.
- Tranquillisez-vous, ce sont des lanières pour les débutantes, comme vous ma chérie. Cela va vous rougir les fesses provisoirement, ce soir il ny aura plus de traces.
Tout en parlant, Edmond agite les lanières entre les cuisses dOdile, qui nen mène pas large, surtout lorsquil fait tournoyer le manche entre ses doigts, les lanières frappant légèrement les fesses dodues de la mère de famille. Puis, dun seul coup, il frappe durement le cul rebondi de la femme qui hurle, plus de la surprise que de la douleur ressentie. Edmond lui caresse la fesse de la paume de sa main, apaisant le tremblement de tout le corps de celle quil est en train de soumettre. Il reprend ses tournoiements et abat cinq coups bien appuyés. Odile crie et éclate en sanglots. Puis, il lui masse ses rondeurs, rougies par le martinet et il lui applique un onguent apaisant sorti du cartable.
- Ne bougez pas Odile, je vais vous ôter le rosebud de votre cul bien mignon. Je suis certain que vous lavez gardé pour que jai le plaisir de vous enculer !
Ce disant, il tire sur le rubis qui orne lengin et le fait coulisser lentement hors la rosace qui souvre comme un pétale. Il le fait aller et venir lentement, observant les chairs qui se sont assouplies depuis deux semaines. Il le pose dans lécrin, puis, il badigeonne de gel le goulet étroit et présente la pointe du nouveau rosebud, qui lui, fait bien cinq centimètres de diamètre dans sa plus grande largeur, lorsquil atteint la moitié de lobus en acier, La belle mature se contracte soudain, ses fesses se refermant. Edmond lui applique une grande claque sur le cul.
- Petite putain, ouvre-toi et reste docile, ma queue te fera beaucoup plus mal si tu nacceptes pas lengin qui va faciliter louverture de ton cul.
Sous linsulte et la claque qui vient de la ramener à la réalité, Odile retient ses larmes et obéit en essayant de rendre son postérieur le plus disponible possible à lhomme qui va, elle en est certaine, lui défoncer la rondelle dans quelques jours. Heureusement, il la prépare patiemment avec ces rosebuds successifs, ne voulant certainement pas la brusquer et la dégoûter. Lorsque lolisbos perce enfin entièrement lillet trop serré, Odile pousse un cri rauque, mais lengin est à présent bien fiché au fond de son cul.
Edmond enduit de gel le manche du martinet, puis, des doigts dune main il écarte la vulve qui suinte de mouille. Malgré la douleur, lexcitation dOdile est à son comble, il introduit de son autre main le manche en cuir jusquau fond de lantre vaginal, le ramonant à grands coups et faisant feuler sa proie.
Le notaire se déshabille en un tour de main, puis, se glissant sous Odile, il lui demande de venir le chevaucher et de sempaler sur sa queue. Celle-ci, toute honte bue, écarte elle-même les chairs de la chatte encore toute gluante, puis elle prend lénorme vit quelle fait glisser jusquà toucher lutérus. Elle nose pas croiser le regard dEdmond en face delle, aussi celui-ci lapostrophe.
- Regarde-moi, chienne perverse, et remue-toi pour me faire jouir salope. Allons, balance-toi davant en arrière et fais-toi jouir aussi ma putain chérie !
Sous les mots crûs et les insultes proférés par le notaire, Odile sagite comme une folle sur le mandrin qui lui laboure les entrailles. Elle se projette de plus en plus vite, à une cadence infernale, jouissant du frottement de la chair dans la sienne, accentué par le rosebud dans son cul. Les deux conduits amplement remplis, la rendent complètement hystérique. Elle ondule de tout son corps à présent, comme une toupie, prenant un plaisir inouï à se masturber sur lénorme bite qui la transperce. Lorsque un orgasme terrible lenvahit, Edmond éjecte son foutre au fond de la matrice et Odile sécroule sur le torse de lhomme, vaincue par lincroyable jouissance quelle vient déprouver. Elle lembrasse sauvagement sur la bouche, le remerciant ainsi du plaisir inouï quelle vient déprouver.
Edmond laisse Odile se remettre doucement et il lincite à prendre un bain, préparant lui même leau chaude, à laquelle il adjoint des sels parfumés et un flacon de bain moussant. Puis, il allume une quinzaine de bougies et vient lui-même aider sa maîtresse à se glisser dans la baignoire. Cette gentille attention fait fondre Odile, qui est toujours aussi troublée, par ces gestes de tendresse, succédant aux actes ignobles auxquels elle se complait et aux paroles offensantes qui, à son grand désarroi, excitent son imaginaire.
Il est midi passé lorsque le couple va déjeuner dans une brasserie, près du jardin public.
Comme cest à deux pas, ils y vont à pied. Pour la circonstance, Edmond a voulu quOdile revête un chemisier en soie, presque transparent, sous lequel se devinent les seins et surtout les tétons turgescents qui pointent outrageusement sous le tissu diaphane. La jupe évasée arrive à mi-cuisses, faisant sentir le vent qui sinfiltre sur la vulve dénudée et entre les fesses du cul nu de la femme mature. Elle sent encore sa chatte shumidifier sous lexcitation, quasi permanente lorsquelle se trouve avec ce coquin de notaire.
Alors quils profitent de leur repas, sur la terrasse de la brasserie, sous labri dun parasol, une exclamation jaillit dune silhouette en contre-jour.
- Maman, quelle surprise, tu es bien loin de ton bureau !
Odile, stupéfaite, vient de réaliser que cest Muriel, sa fille qui vient de lapostropher ainsi. Elle manque défaillir. Comment va telle lui expliquer sa présence en compagnie dEdmond ? En plus sa fille détaille sa tenue avec un étonnement certain. Jamais elle na vu sa mère en mini-jupe et avec un corsage transparent où aucun soutien-gorge napparaît dessous. Odile en bafouille pour présenter son compagnon.
- Chérie, voici Monsieur Gardel, le notaire de notre société. Nous avons travaillé toute la matinée sur un dossier important, et Monsieur Gardel a bien voulu minviter à déjeuner.
Puis, se tournant vers le notaire.
- Je vous présente ma fille, Muriel, qui est universitaire, à Bordeaux Montaigne ; elle fait des études pour devenir avocate et se spécialise en droit international humanitaire.
Cest alors quEdmond, amusé, propose à Muriel de partager leur repas. Celle-ci accepte, augmentant encore la confusion de sa mère. La jeune fille, habillée dune robe à fleur printanière et chaussée de ballerines, est attentive à tout ce qui se dit, curieuse de voir sa mère avec ce vieux Monsieur quelle trouve charmant malgré son âge. La conversation tourne autour des études de Muriel et des stages quelle doit effec. Edmond, faisant état de sa charge notariale et des nombreux contacts quil entretient avec ses confrères, lui propose de lui chercher des cabinets qui pourraient lemployer. Il lui donne sa carte et Muriel lui confie son numéro de smartphone. Lorsque la jeune fille prend congé pour rejoindre ses cours, le notaire lembrasse sur les deux joues, comme si cétait une parente, sous le regard inquiet de la mère qui a peur que son suborneur puisse sintéresser à sa petite fille !
- Votre fille est charmante ma chère Odile. Elle est aussi jolie que sa mère et je la pense assez intelligente pour ne pas faire état à votre mari de cette rencontre.
- Mais que vais-je lui dire sur notre relation ?
- Vous vous en êtes admirablement sortie. Je suis le notaire de votre société croit-elle, aussi, il ny a aucune raison quelle ait des doutes sur notre relation.
- Mais vous avez vu Edmond comment elle ma examiné de la tête au pied. Avec les vêtements que vous mavez obligé à porter, jai lair dune catin, ma poitrine que tout le monde peut voir et mes cuisses qui sétalent, alors que je nai même pas de culotte et que
que vous
vous vous complaisez à faire voir mon minou aux passants ! Oh ! Comme jai honte !....
À ce moment, la pauvre Odile éclate en sanglots. Heureusement, à cette heure tardive, il ny a plus de convives sur la terrasse ; seul un garçon, sur le pas de la porte de létablissement leur porte attention par intermittence. Edmond attend calmement quelle se calme, puis, la prenant par le bras, il lemmène de nouveau dans le parc Dans un fourré épais, il se débraguette et sort sa queue épaisse et longue. Appuyant fermement sur lépaule dOdile, il loblige à agenouiller, la tient par les cheveux quil a empoignés, il agite son chibre devant les lèvres serrées en lui intimant.
- Suce, chienne perverse
La pauvre Odile se résigne à engloutir la pine énorme du notaire qui grossit encore dans sa bouche. Mais au bout de quelques minutes, celui-ci se retire, lui soulève la jupe quil rabat dans son dos, et lui donne quelques claques sur le cul entièrement nu. Puis, il saccroupit, ouvre les lèvres de la vulve quil maltraite de ses doigts et dun seul élan, il pousse son pieu jusquau fond de la matrice. Odile, pousse un cri et se retrouve à quatre pattes sous la poussée du mandrin qui la projetée en avant. Encore une fois, elle sent la queue qui se meut dans sa chatte détrempée, jouissant de se faire pénétrer comme à chaque fois que son tortionnaire en a envie. Au fond delle-même elle doit reconnaître, quelle se complait à lui céder, même si son honneur doit en pâtir. Si sa fille la voyait ainsi se faire prendre en levrette et en tirer un immense plaisir, cest certain, elle la perdrait à jamais
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À suivre
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