Interreliés : Bastien # 1

Bonjour, je me présente, Bastien et il n’y a pas si longtemps, j’étais le mec le plus ennuyeux du monde dans la famille la plus emmerdante du monde. Ce n’est pas une blague, j’avais tous les ingrédients pour une vie normale, sans vraiment d’importance. Célibataire depuis des années, du fait que je n’aime pas vraiment parler avec les autres, un solitaire, voir même ermite, sans compter mon physique fort banal. Je suis de taille moyenne, un peu trop mince, cheveux roux et lunettes épaisses, bref, un mec qui n’attirera jamais aucune femme. Sans travail, avec aucun objectif de carrière, j’étais l’exemple typique d’un mec de 18 ans crevant d’ennui. Mais si je parle de tout cela au passé, c’est qu’il y a une raison. En effet, cet été, les choses ont grandement changé.

Pour vous mettre un peu dans le contexte, à chaque année, moi, mes parents et mon grand frère, quittons notre petit village pour passer deux semaines complètes dans un chalet. Pour être honnête, je déteste aller à ce chalet. D’abord, la route est interminable, environ 5 heures de route pour y aller, donc 10 heures de route en tout, tout cela dans la chaleur intense du mois de juillet. Puis, mis à part une petite plage et des sentiers dans la forêt, il n’y a strictement rien à faire là-bas.

C’est donc avec autant d’enthousiasme et de joie de vivre qu’une roche, que je quittai avec toute la famille pour deux semaines d’ennui. Heureusement, j’avais prévu mon lecteur de musique, ce qui aide en général à supporter l’interminable route. Nous sommes arrivés en fin d’après-midi et nous nous sommes installés dans le chalet pour passer ses deux semaines.

Une fois que tout fut rangé dans les placards et que le coffre de la voiture fut vide, quelqu’un frappa à la porte. C’était des amis de mes parents qui ne se voient qu’une fois par an, puisqu’ils habitent le chalet voisin. Ils sont du même âge que mes parents et leur fils, Gabriel, a le même âge que moi.

Comme à chaque année, comme le veut la coutume, nous laissons les parents discutés. De notre côté, nous nous baladons dans les nombreux sentiers dans la forêt.
Nous parlions de tout et de rien depuis environ 30 minutes, lorsqu’il s’arrêta net.

Oups, j’allais oublier de vous décrire un peu Gabriel. Gabriel est un pote de vacance. Nous discutons ensemble seulement lors de ces vacances, et ce, même si j’ai son numéro. Il est aussi grand que moi, mais est beaucoup plus musclé et athlétique, normal, puisqu’il s'entraîne sans relâche pour ses compétitions de natation. Cheveux bruns, yeux noisette, petit nez fin et belle gueule, je peux comprendre comment il réussit à avoir une bonne dizaine d’amoureuses chaque année.

Bref, il s’était arrêté de marcher. Il avait vit quelque chose sur le côté du sentier. Il se pencha et me montra un collier en argent avec un pendentif bleu. Étrangement, le pendentif brillait d’une drôle de lumière bleu. Il l’approche, je le pris dans ma main et lorsque mes doigts entrèrent en contact avec le métal du collier, je ressentis comme un grand frisson dans tout mon corps.

Toi aussi tu l’as ressentit ?
Oui, trop étrange ce collier, je pris un instant et lui répondit, tu crois que quelqu’un la perdu ?
Je ne crois pas, personne ne vient sur ses sentiers, je n’ai jamais vu personne ici à part nous deux.


Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment, j’avais une envie folle de mettre ce collier autour de mon cou. C’était presque incontrôlable. Je l’attachai et lorsque se fut fait, il se mit à briller de manière encore plus intense.

Pourquoi tu l’a attaché ?
Je ne sais franchement pas, je crois que je devrais l’enlever.

Je tentai de le détacher, mais en vain, c’était impossible de l’enlever. Puis, d’un coup de minuscules boules de lumière quittèrent le pendentif et vinrent se poser sur nos pantalons.
Instantanément, nos sexes furent en érection et une envie extrêmement puissante apparu et nous fit rougir.
Je n’ai jamais été attiré par les hommes, et lui non plus d’ailleurs, mais à ce moment, je ne voyais plus que lui et dans son regard, je lisais du désir envers moi.

Tout s’enchaîna sans que j’en aie le contrôle. Je lui arrachai littéralement son chandail, puis nous nous sommes embrassés passionnément et langoureusement. Mes mains parcouraient les muscles de ce corps d’athlète, alors que lui était allé droit au but, la main sur mon sexe bien durcit. À ce moment, j’avais chaud et je ne désirais plus rien d’autre que ce corps magnifique. Chaque toucher était électrisant, et même si nous étions tout deux 100% hétéro, il nous était impossible d’arrêter.

Sans pouvoir me retenir, je me penchai pour enlever son pantalon et ses sous-vêtements, dévoilant un pénis aussi long qu’épais. Un véritable étalon d’une bonne vingtaine de centimètre de long. Je n’ai jamais autant apprécié un pénis qu’à cet instant. Je le pris immédiatement en bouche. C’était chaud, électrisant, exaltant, c’était tellement bon, j’étais incapable de m’arrêter. Une main lui malaxant les couilles, l’autre me masturbant. L’excitation dans l’air était plus que palpable. Bien qu’il commençât par desgémissements, après une minute, déjà, ses gémissements, c’était transformé en cri de pur plaisir. Il semblait vraiment prendre son pied.

La finale fut tout simplement magique. Jamais je n’avais vécu d’émotions aussi fortes. Le collier s’illumina intensément et, Gabriel éjacula en même temps que moi. Le goût de son sperme me paraissait si agréable au goût, que j’avalai jusqu’à la dernière goutte et je n’ai pas parlé de l’abondance. Jamais je n’avais éjaculé autant de sperme de ma vie, et je sus un peu plus tard que lui non plus.

Par timidité, nous avons coupé tout contact entre nous pendant quelques jours, mais les événements du genre sont survenu à plusieurs reprises malgré tout. Nous étions désormais, sans le savoir, reliés sexuellement...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!