La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 604)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°603) - Les premiers entrainements débutent –

Madame Jane avait conduit ses trois chiens soumis en Salle de Travail. Elle ordonna à soumis Endymion MDE de se positionner à plat ventre, mais pieds restés au sol et bras ballant de l’autre côté de cet instrument qui ressemblait en tout point à un agrès de gymnastique, plus exactement à un cheval d’arçon ! Ses pieds et mains furent aussitôt attachés fermement à des sangles fixées au montant de cet agrès. Immobile, le cul bien offert, trop bien offert sans nul doute, l’esclave MDE se doutait qu’il allait à priori passer un chaud quart d’heure. Madame Jane s’adressa aux deux autres chiens soumis restés debout, en attente :

- Vous deux, montrez-moi vos langues de lopes ! Ordonna-t-elle.

Xao et Andy ouvrirent grand la bouche et tirèrent leur organe buccal.

- Il est temps pour vous, chiens soumis, de mettre en exergue vos papilles et d’aller gouter et analyser le trou offert de cette petite pute. Je veux voir vos deux langues glisser sur sa rondelle, je veux votre bave posée sur le cul de cette lope je veux vous voir, tous les deux et en même temps lui bouffer son trou …

Elle attrapa les deux stagiaires soumis par leur collier et les entraina de part et d’autre près du fessier de soumis Endymion MDE.

- Prenez à pleines mains ce cul, écartez-le et dégagez sa raie pour bien la lui lubrifier, bouffez cette rondelle, là, maintenant, je le veux et l’exige !

Pour donner le top départ, la cravache claqua deux fois le cul de Xao. Les deux chiens soumis sans hésiter se mirent à lécher, sucer, titiller. soumis Endymion MDE ne put bien longtemps cacher son excitation, il sentait ses deux langues frémissantes lui donner du plaisir en passant sur son anus, il les sentait collées l’une à l’autre, pointant son petit trou, cherchant à le pénétrer et à glisser à l’intérieur de cette cavité chaude et déjà bien lubrifiée.

Madame Jane avait sorti son smartphone et photographiait et filmait les exploits de ces trois salopes. soumis Endymion MDE, n’en pouvant plus, laissait échapper deux ou trois gémissements de plaisir, bien vite réprimés par de cinglants coups de cravache sur ces omoplates. Il se fit sévèrement vilipender par la Domina :

- Tu n’es qu’un objet, le chien, et en tant que tel je ne veux pas t’entendre gémir ou couiner, tu entends !

Deux autres coups de cravache tombèrent sur son dos ! Ces frappes, ces langues… soumis Endymion MDE était au bord de l’extase, il aimait souffrir et prendre du plaisir en même temps, il aimait ses sensations à la fois douloureuses, pénibles mêlées de délices et de voluptés, surtout lorsqu’en plus le tout était couronné d’une bonne dose d’humiliation. Il jubilait, lui qui avait craint un instant, en se voyant ainsi installé en cette position, qu’il allait devoir passé un mauvais moment, ce n’était donc pas vraiment le cas… Au bout d’un bon quart d’heure, Madame Jane attrapa soumis Andy par son collier et le fit se redresser, elle l’interrogea :

- Il est bon ce cul, est-il à ton goût ?

Andy hocha la tête de haut en bas, en continuant de tirer la langue, à la faire bouger rapidement, tel un chien essoufflé ou assoiffé. Madame Jane lui ordonna de se mettre à genoux, là, juste derrière l’esclave MDE. Elle enjoignait ensuite Xao à aller chercher un paddle en cuir dans un placard et de revenir à quatre pattes, avec l’instrument tenu entre ses dents. Lorsqu’il fut près d’elle, elle le fit se mettre debout, lui ordonna de prendre l’instrument en main et lui dicta :

- Tu vas assener 20 coups de ce paddle sur le cul de soumis Endymion MDE, je veux le voir rosir, puis rougir, et pourquoi pas bleuir. Je te préviens, que si tel n’est pas le cas, tu vas le regretter amèrement !

Madame Jane montrait une fois encore toute sa perversité et son Autorité de ton. Maintenant, elle exigeait des stagiaires soumis qu’ils s’auto-flagellent mutuellement. soumis Xao n’avait pas le choix, soumis Endymion MDE le comprenait. Dès le premier coup porté, celui-ci fut rude. Tous les muscles de l’esclave MDE se crispèrent, ses poings se serrèrent, il se mordit les lèvres pour ne pas crier. Les dix-neuf autres coups furent du même acabit, tous aussi sévères. Mais Madame Jane jugea le travail à peine correct, tout au plus, même si le fessier de l’esclave MDE avait bien changé de couleur et s’était enflammé, ce n’était pas suffisant pour elle. Elle s’adressa à Xao :

- Tu vois chien, à cause de toi, à cause de ton manque d’énergie et de conviction, la couleur de ce cul, n’est pas encore à mon gout. Je veux le voir écarlate ! Il lui faut encore des coups supplémentaires. A cause de toi, nous allons devoir récidiver, à cause de toi, il va devoir supporter une autre série de vingt coups supplémentaire, mais cette fois-ci avec un autre instrument …

Elle ordonna à soumis Andy, toujours agenouillé, d’aller chercher à quatre pattes un autre paddle, celui en bois d’olivier et de revenir dans la même posture, l’objet tenu en bouche. Andy, lui aussi, fut mis à contribution, lui ne lésina pas, parce qu’il avait bien compris que s’il ne voulait pas être puni et faire punir, il devait faire chauffer, sinon bouillir le cul son congénère toujours affalé sur le cheval d’arçon. Vingt coups supplémentaires, durs, terribles qui arrachèrent des cris et des larmes à soumis Endymion MDE, en même temps qu’une formidable et paradoxale excitation mentale et physique, car s’il avait pu bander, il aurait déjà sa nouille dressée à son zénith mais la cage de chasteté lui emprisonnait ses génitaux et il sentait sa verge serrée, comprimée à son maximum par le fait de son excitation lui provoquant une bandaison non possible dans cette cage devenue subitement trop petite… Monsieur le Marquis d’Evans lui avait appris à aimer ces souffrances, elles le faisaient grandir et s’épanouir, elles lui apportaient une réponse à sa quête et sa soif de soumission sadomasochiste toujours de plus en plus grande, de plus en plus omniprésente. Madame Jane photographia une nouvelle fois le cul du chien soumis MDE, et elle améliora encore le travail des deux stagiaires soumis, par quelques coups cinglants, qu’elle donna elle-même par sa cravache qui ne la quittait pratiquement jamais.

- Tu es résistant le chien, c’est parfait ! Te voilà tel un babouin, le cul bien rouge, bien strié et zébré, juste ce qu’il faut pour l’exercice suivant.

Madame Jane caressa le cul sensible du chien soumis MDE, le simple contact de cette main glissant sur son postérieur lui était douloureux, mais sa nouille encagée cherchait encore, plus que jamais et vainement à s’épanouir.

- Xao, détache-le et redresse-le, et toi Andy, viens avec moi !

Quelques instants plus tard, Andy les bras chargés revint à grands pas tout en se faisant flageller le derrière par la cravache de la Domina. Il posa et attacha fermement, une selle, sur le cheval d’arçon. Un selle un peu particulière puisqu’en son centre était fixé à la verticale un gode de belle dimension.

- Je suis sûre que les babouins aiment faire du cheval… Allez Endymion MDE, grimpe là-dessus et empale-toi sur ce gode ! Aidez-le vous autres !

L’esclave MDE mit un pied dans l’étrier et passa sa jambe droite de l’autre côté du cheval d’arçon. Andy lui écarta les fesses, tandis que Xao pointait le gode lubrifié sur son trou. Doucement, en appui sur les étriers, soumis Endymion MDE appuya sa rondelle sur l’objet, ses sphincters cédèrent rapidement, il glissa doucement encore et délicatement et se laissa empaler complètement. Il eut une vive réaction lorsque son cul bouillant entra en contact avec ce cuir froid de la selle. Il se souleva un peu puis se laissa retomber comme vaincu. Le gode était entré, happé, remplissant complètement son anus.

- Attachez-lui les bras dans le dos ! Puis vous enlèverez les étriers…

L’équilibre était précaire, mais cette fois-ci, Madame Jane était sûre que l’esclave MDE était bien pris au plus profond de ses entrailles. Alors, elle attrapa une télécommande et actionna un petit bouton rouge indiquant le mode « au pas »… soumis Endymion MDE sentit une rude secousse entre ses reins, le cheval d’arçon venait de se mettre en mouvement comme s’il s’agissait d’un cheval marchant au pas, un pas léger, cadencé, régulier, un mouvement lent d’avant en arrière… Et à chaque pas, le corps de soumis Endymion MDE suivait le mouvement, son cul meurtri et douloureux se soulevait légèrement puis s’écrasait douloureusement sur cette scelle très dure. Et à chaque pas, à chaque mouvement, le gode se dégageait un peu et pénétrait profondément le cul du stagiaire MDE.

- Serre bien tes cuisses salope, je sais que ce n’est pas dans tes habitudes, mais là tu dois faire exception si tu ne veux pas chuter, nous allons passer en mode « au trot » !

La Domina appuya une seconde fois sur le boitier de la télécommande, et immédiatement soumis Endymion MDE comprit que la situation se compliquait très nettement. L’allure était sautée, symétrique et à deux temps égaux. Il tenta de résister au soubresaut en bloquant ses cuisses de part et d’autre du cheval d’arçon, mais très vite il comprit que s’était peine perdu, son corps se mit à sursauter sans souplesse, et à chaque fois, son cul tuméfié retombait lourdement, provoquant à la fois de terribles douleurs et d’exquises pénétrations, particulièrement jouissives. Il haletait, gémissait, geignait, râlait, sans savoir si c’était de souffrance ou de plaisir, son objectif prioritaire était de se concentrer tant son équilibre était précaire. Surtout qu’au bout d’un long moment, cette fois-ci, cette machine infernale s’emballa subitement quand la Domina appuya sans prévenir sur la touche « au galop », afin de lui faire faire du rodéo sur place tel un cow-boy sur un mustang. De toutes ses forces, afin de ne pas chuter, soumis Endymion MDE serra les cuisses, tout comme son cul comme si ses sphincters intimes cherchaient eux aussi à se cramponner sur cette bite factice qui coulissait et l’enfournait de plus en plus vite, de plus en plus profond ...

Lorsque la machine s’arrêta enfin, soumis Endymion MDE était tout en sueur, tétanisé, épuisé, éreinté, comme s’il venait de faire l’amour, comme s’il venait de jouir. A défaut d’avoir pu maîtriser un cheval sauvage comme dans un véritable rodéo, l’esclave MDE sentit ce cheval factice stopper net comme s’il avait été terrassé. Il eut du mal à rouvrir les yeux, trop de sublimes spasmes irradiaient son corps, il tremblait de la tête aux pieds, il était en transe jouissif, totalement dans un état second, il jouissait dans son cerveau autant que dans toutes les parties de son corps mais sans aucune éjaculation possible, c’était une jouissance foudroyante via des spasmes puissants, il n’avait encore jamais de sa vie ressenti de telles sensations jouissives ressemblant à d’incroyables décharges électriques ... Et lorsqu’il parvint enfin à se calmer après quelques minutes sans mouvements extérieurs, il put enfin ouvrir les yeux et vit tout d’abord les soumis Xao et Andy à quatre pattes cul contre cul, se prendre mutuellement avec un double-gode selon un rythme imposé par la cravache de Madame Jane. Ensuite il s’aperçut que Maîtresse Marina était également présente, elle le regardait avec un petit sourire en coin, quelque peu cynique :

- Qu’on libère ce chien, j’ai besoin de lui immédiatement, dicta-t-elle en pointant de son index en direction de soumis Endymion MDE.

Elle passa une laisse au collier de l’esclave MDE qui tremblait encore de plaisirs mais plus que très légèrement, et elle lui ordonna de la suivre à quatre pattes. Sans un mot, elle l’entraina dans ce long couloir jusqu’à un ascenseur. Ils montèrent de deux étages et arrivèrent dans les appartements privés de la Domina. Sitôt le seuil de la porte d’entrée franchi, soumis Endymion MDE dut se tenir agenouillé. Elle lui menotta les mains dans le dos et commença à le gifler calmement sans que celui-ci comprenne pourquoi. Il n’y avait rien à comprendre d’ailleurs, c’était comme ça, c’était un rituel, à chaque fois qu’un soumis entrait chez elle, elle agissait ainsi, simplement pour rappeler au chien soumis ce qu’il était. Lorsqu’elle eut terminé cet échauffement facial, elle s’en prit aux tétons de soumis Endymion MDE qu’elle pinça et tordit cruellement.

- Suis-moi chien, marche à genoux, ne traine pas !

Ils entrèrent dans un vaste salon richement orné de toiles contemporaines. Le sol était en marbre, les meubles étaient « art déco ». Maîtresse Marina s’asseyait dans un grand fauteuil en demandant à l’esclave MDE de se tenir devant elle, toujours à genoux. Tête basse, ses joues encore échauffées par les gifles reçues, les tétons et le cul brulants, soumis Endymion MDE regardait cet escarpin venir frôler régulièrement son nombril, au grès du balancement du pied de Maîtresse Marina. Après un long silence, Maitresse Marina décroisa ses jambes et cala le talon de sa chaussure au-dessus de la saillie de la clavicule de l’esclave MDE. soumis Endymion MDE ne bougea pas, malgré la douleur. La Domina s’assura que sa chaussure était bien en appui, elle cambra son pied et se déchaussa d’un mouvement souple La chaussure tomba et rebondit sur la cuisse du stagiaire soumis MDE, tandis que son pied nu et moite de Maîtresse Marina vint se poser sur son épaule. Elle posa ensuite son autre pied nu sur la cuisse d’Endymion MDE. Il restait tête basse, immobile, détaillant avec convoitise le pied offert à son regard, un pied conquérant et racé, ferme et gracieux. Un pied dont les orteils joliment proportionnés imprimaient leur marque dans les chairs de l’esclave MDE...

(A suivre…)