Mon Rêve

(Voilà un rêve qu'il a fait et qu'il m'écrit)

Nous sortons du restaurant dans lequel nous avons mangé ce soir pour notre anniversaire.
Pour l’occasion nous nous sommes pomponnés : chemise argentée cintrée, veste de costume et pantalon assorti pour moi, petite robe vert échancrée dans le dos qui laisse voir ton tatouage pour toi.
Tu portes aussi les boucles d’oreilles que je t’ai offertes et moi le bracelet torque et la fibule accrochée sur un mouchoir rouge dépassant de ma poche de veste. Nous marchons tranquillement, nous baladant un peu dans la ville, avant de rentrer conclure cette soirée. Tes chaussures à talons hauts te permettent presque de rattr ma taille. Nous arrivons sur une grande place avec une éclairée. Nous faisons une pause pour admirer ce spectacle, les différents jets changent de couleurs dans un balai de lumière. Soudain une forte envie de toi me possède ! Il faut que l’on rente ! J’en meurs d’envie !
Je ne laisse pourtant rien paraître et passe ma main dans tes cheveux afin d’attirer tes lèvres aux miennes pour un baiser langoureux. Tu me dis que tu commences à avoir un peu froid et me
demande de rentrer. Sans doute une excuse bidon pour rentrer au plus vite mais ça me conviens très bien. Nous marchons à un rythme qui n’est plus celui de la balade. Je maintiens une conversation banale pour nous afin de ne pas te montrer à quel point mon envie de toi est forte. Le volume de nos paroles s’envole, les rires fusent et les gens que nous croisons nous regardent de travers. Comme d’habitude. Le trajet de retour fut si court que nous avons l’impression de nous être téléportés. Je me prépare à ouvrir la porte du bâtiment mais me ravise pour planter mon regard dans le tien et te dire que je t’aime. Tu souris, me réponds, m’embrasse et me sers dans tes bras. Je t’ouvre la porte, te laisse passer en bon gentleman, baisse le regard sur les formes apparaissant sous ta robe puis te pousse à l’intérieur à l’aide d’une petite claque sur les fesses.

Tu protestes pour la forme mais je sais que tu apprécies. Nous marchons jusqu’à la porte de l’appartement que j’ouvre également. Tu rentres en trottinant en cachant ton postérieur avec tes mains comme si j’allais recommencer. C’était effectivement mon intention mais frustré par ton anticipation, je me ravise et une idée me vient pour me venger.
Tu déposes proprement ta veste sur le dossier d’une chaise et te baisse pour retirer tes chaussures. Je ne t’en laisse pas le temps. Je te pousse violemment, tu te ratts de justesse au canapé juste en face de toi. Je t’att alors d’un bras par la taille, te soulève et te pose sur celui-ci.
Tu protestes et tente de te débattre. Je te maîtrise facilement, colle mon ventre à ton dos et approches mon souffle chaud de ton oreille gauche. Étrangement tu ne te débats plus et tente même de m’embrasse. Je m’écarte et te met une nouvelle fessée plus appuyée à l’aide de mon bras libre. Tu proteste plus sérieusement mais je recommence ce qui te fait lâcher un cri de surprise. Tu savais pertinemment ce que nous allions faire en rentrant mais tu ne t’attendais pas à ça. Je remonte ta robe au-dessus de tes hanches me donnant une vue imprenable sur ta croupe que je flatte à nouveau t’arrachant un nouveau cri. Toujours pas décidée à être docile, tu tentes de te relever mais je t’en empêche et te repousse violemment. Tu comprends alors que tu ne pourras que subir et commence à entrer dans mon jeu.
Sentant cela, j’arrache littéralement le peu de tissus restant, gardien de ton intimité. Je passe ma main entre tes cuisses et la ressort doucement.
Tu gémis. Je te mords la fesse droite pour te faire taire ce qui ne fonctionne pas et accroît les sons que tu produis. Ma main n’étant pas assez mouillée à mon goût pour la suite, je t’inflige des morsures tout le long du chemin jusqu’à ton sexe. Je te fais te cambrer le plus possible, appuyant sur ton dos et lançant mon autre main à la rencontre du tissus restant sur tes seins.
Le traitement que je t’inflige doit te plaire puisque mouille beaucoup en peu de temps. Je décide de passer à la suite. Je me relève et ne te touche plus pendant quelques secondes.
Te demandant ce qu’il se passe tu tentes de te redresser mais je te repousse sans rien faire de plus.
Tu essayes encore et te fais à nouveau repousser plus violemment. Dans ta position, impossible de voir ce que je fais. Encore quelques instants et tu commences à entendre des bruits dans ton dos. Tu ne sais pas ce que je peux faire et imagine rapidement plein de choses.
Alors que ton esprit se plaît à divaguer, je te pénètre d’un seul coup jusqu’au fond sans autre forme de procès. Tu pousses un cri mêlé de surprise et de plaisir. Enfin te voilà comblée par cette chose que tu adores. Je ne m’arrête pourtant pas et enchaîne les aller et retour, chacun tentant d’aller plus loin et fort que le précédent. Tu n’as pas la même sensation que d’habitude, tu ne sens pas me bourses claquer contre ta peau et pour cause puisque je suis toujours entièrement habillé ce que tu parviens à remarquer en te tortillant. Mes mains ancrées sur tes hanches et imprimant mon rythme ne te donnes aucune échappatoire. Tu gémis de plus en plus, le plaisir montre pour nous deux à chaque mouvement que je fais. Encore quelque instants et je sens qu’un premier orgasme pointe le bout de son nez pour toi. Je m’arrête net au fond de toi. Ta frustration atteint des sommets. Tu tentes de te débattre et de bouger en espérant finir, mais ma poigne t’empêche d’effec tout mouvement. Tu te débats de plus belle, redresse ton dos qui vient se coller contre moi. Je t’att alors la gorge d’une main et viens te mordiller l’oreille. Puis ma langue vient jouer avec ton hélix avant que je ne te murmure quelques mots : "Je t’aime" ! Tu tentes de me réponde mais la reprise de mes mouvements libère un nouveau cri de ta part. Ainsi emprisonnée, tu subis toujours ma volonté. Je passe ma main libre dans ton décolleté et atts un sein pour le malaxer le pétrir selon ses envies.
Ta frustration disparaît bien vite laissant place au plaisir que te procure la situation. J’alterne les mouvements calmes traçant des vagues à l’intérieur de toi et les pénétrations brutales de tout mon sexe entrant et sortant de ton être.
Tu ne peux plus résister, te laisse aller au plaisir et à l’orgasme te submergeant. Tes jambes flagelles, ton corps entier tremble, je dois te porter pour que tu ne t’écroules pas. Je continue légèrement les vas et viens puis me stoppe pour que tu profites au maximum des sensations présentes. J’embrasse toutes les parties de ton dos laissées visibles par l’échancrure de ta robe en attendant que tu te rétablisses suffisamment pour que je puisse te lâcher. Tu te redresses alors, porte ta bouche à mon oreille et me donne enfin ta réponse "Je t’aime aussi ". Je te prends et te serre dans mes bras, nos sexes toujours fusionnés. Après quelques instants, je fais quelques mouvements de bassin pour te rappeler que malgré ton premier orgasme de la soirée, je n’ai pas encore eu mon compte. Tu ne sembles pas comprendre, ou alors le fais-tu exprès pour prolonger notre étreinte. Je te chuchote donc un sensuel et plein de sous-entendus "à ton tour"...

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