Ma Vengeance : Chapitre 3 - Eric
La première séquence que je visionnais fut mon père et ma mère dans leur chambre. Cette dernière était allongée sur le lit cuisses écartées jouant avec un gode imposant. Elle poussait de petits cris de satisfaction. Avec une main faisait coulisser le gode et avec lautre elle manipulait ses tétons. Lentrée soudaine de mon père dans la pièce ne lempêcha pas de continuer. La vue de sa femme se caressant, déclencha chez lui une magnifique érection. Je nen revenais pas de voir à quel point mon père était bien monté. Cétait la première fois que je la voyais dressée. Il se rapprocha de ma mère, lui retira le gode des mains la forçant à se lever et à sagenouilles devant lui. Lui tenant la tête entre les mains, il introduisit sa queue dans sa bouche. Elle lui agrippa les fesses pour accompagner le mouvement de va et vient que lui imposait mon père qui la traitait de tous les noms. Elle avait du mal à avaler cette grosse queue. Elle hoquetait, la salive coulait en abondance de ses lèvres. Des larmes perlaient de ses yeux. Lui continuait son mouvement jusquà ce quelle le prenne complètement dans la gorge. Jétais stupéfait devant la brutalité de mon père. Il continuait son mouvement de va et vient et elle sy était habituée. Cétait un spectacle étonnant de voir cette grosse queue senfoncer aussi loin dans cette gorge. Les mains de ma mère avaient quitté les fesses de mon père et ses doigts étaient plantés dans son anus, louvrant progressivement. Mon père poussait des petits cris de satisfaction appréciant cette intrusion. Bloquant la tête de ma mère, il se vida en plusieurs jets dans sa gorge puis il se retira. Du sperme coulait de la bouche de ma mère qui avait du mal à reprendre sa respiration. Il s allongea sur le lit et elle vint se blottir dans ses bras. Ils échangèrent un baiser passionné.
Sa queue reprit très vite de la vigueur, elle sinstalla sur lui et il la pénétra. Elle le chevauchait pendant quil soccupait de ses gros seins, étirant les bouts quelle avait proéminents.
Je voyais mes parents dun autre il. Les scènes étaient si excitantes que javais déchargé deux fois, rien quen les regardant.
Françoise la femme de service faisait les chambres, le ménage, la cuisine et servait à table. Jacques servait de chauffeur soccupait du jardin et des travaux divers.
Le lendemain, Françoise était entrée comme dhabitude dans la chambre pour faire le lit. Mes parents y étaient allongés nus. Ma mère caressait la queue de mon père. Elle demanda à Françoise de sapprocher et de se déshabiller. Elle la fit sallonger sur le lit, cuisses ouvertes. Elle prit la queue de mon père en bouche pour la lubrifier et la présenta ensuite devant le sexe de Françoise. Mon père la pénétra aussitôt. Ma mère se plaça ensuite à cheval sur la bouche de Françoise qui dû sactiver pour la satisfaire. Pendant quil la défonçait à grands coups de rein, elle soccupait à grands coups de langue du sexe et du fondement de ma mère qui lui caressait les seins et étirait les bouts.
Sous les coups de boutoir de mon père qui se déversa en longs jets en elle, Françoise ne mit pas longtemps à avoir une succession dorgasmes.
Ma mère très excitée, téléphona à Jacques pour lui demander de les rejoindre.
Il rentra dans la chambre avec beaucoup dassurance et se déshabilla. Il ressemblait beaucoup à mon père en plus jeune, tout aussi musclé avec un sexe imposant. Il embrassa longuement ma mère et la força à se mettre à genoux pour le prendre en bouche. Il était aussi brutal que mon père et lui imposa une fellation gorge profonde. Elle avait toujours autant de mal. Mon père avait placé Françoise à hauteur de ma mère et lui imposait la même chose. Voir ces belles femmes mexcitait beaucoup. Les deux hommes échangeaient des commentaires sur les performances de leurs partenaires. Pratiquement simultanément, ils se vidèrent dans leurs gorges. Leurs maquillages avaient fondu, de la salive et du sperme sortait de leur bouche. Mon père qui avait pris en main les opérations demanda à ma mère de soccuper du cul de Françoise qui était à quatre pattes et de louvrir progressivement. Quand il jugea quelle était prête, il prit Jacques par la queue et laida à la sodomiser. Il plaça ensuite ma mère sur le dos cuisses ouvertes. Françoise, le cul défoncé par Jacques devait se servir de sa langue et de sa bouche pour la satisfaire. Mon père se plaça ensuite derrière Jacques, il prit un tube de gel pour lui lubrifier le cul et le pénétrer avec un puis deux puis trois puis quatre doigts montrant par là que cétait une habitude. Plaçant ensuite son gland, il lencula. Très vite ils accordèrent leurs mouvements. Mon père céda le premier et dans un grand cri se vida en Jacques qui peu de temps après se rependit dans la pauvre Françoise qui avait subi la fougue des deux hommes. Du sperme coulait des deux rondelles béantes. Ma mère, sous la langue de Françoise, sentait sa jouissance monter. Elle lui triturait les seins, lui tordait les mamelons. Poussant un grand cri, elle eut un orgasme fulgurant qui la laissa quasiment ko. Françoise le cul défoncé, la bouche pleine des secrétions de ma mère se retrouva à plat ventre.
Après un long moment de récupération, Jacques entreprit de redonner un peu de vigueur à mon père en le suçant. Se sentant à nouveau dattaque, mon père demanda à Françoise de se placer au-dessus de lui pour la pénétrer. La pauvre fille qui navait pas eu son compte se déchaîna, utilisant la queue de mon père comme un gode pour arriver à jouir en même temps quil se déversait en elle. Pendant ce temps Jacques caressait le torse de mon père, lembrassait et lui mordillait les tétons.
Ces vidéos me rendaient fou et je narrêtais pas de me branler. Je voyais ma mère sous dautres yeux. Quand je la voyais nue à la maison, javais du mal à me retenir de ne pas bander. Quand cela arrivait, elle me disait que cétait naturel et que cétait de mon âge.
Javais une collection de cartes SD impressionnant et tout en étant brillant élève, jétais obsédé par le cul.
Javais un jour enregistré dans la chambre de mes parents une conversation entre Françoise et Jacques me concernant. Françoise lui faisait remarquer que jétais devenu un beau mâle très costaud et que ma queue était devenue imposante. Je ressemblaits de plus en plus à mon père. Jacques en rigolant lui avait suggéré de messayer et de faire la comparaison. Françoise en le quittant, avait dit pourquoi pas.
Françoise mattirait beaucoup et quand je la voyais avec mes parents ou Jacques je savais que cétait une vraie salope, aimant le sexe. Il fallait que je la baise mais en étant discret car je nétais pas sur de la réaction de mes parents.
Loccasion se présenta quelques mois après. Mon père avait fait venir une secrétaire de son entreprise pour quelques jours pour un travail de frappe. Deux jours après elle était licenciée, mon père laccusant davoir dérobé une somme importante dans son portefeuille quil avait laissé dans sa veste dans le bureau ou elle travaillait. La pauvre fille eut beau affirmer, quelle ny était pour rien, mon père ne voulu rien savoir.
En fait, en regardant les dernières vidéos, je maperçu que la responsable du vol était Françoise qui avait profité de la présence de cette fille pour prendre quelques billets dans le portefeuille de mon père qui se trouvait dans la poche de sa veste suspendue au valet de nuit.
Je préparais mon piège. Un jour que mes parents et Jacques sétaient absentés, je lui demandais de passer me voir. Elle entra dans ma chambre. Jétais nu, la queue dressée par lexcitation. Me voyant dans cet état, elle sapprêtait à faire demi-tour quand je lui jetais une enveloppe contenant les clichés où on la voyait commettre son forfait. Elle ouvrit lenveloppe, et au fur à mesure quelle découvrait les photos, devenait de plus en plus pâle. Elle savait que si mon père découvrait son geste elle serait mise immédiatement à la porte et quelle aurait du mal à trouver un autre job. Elle me supplia de ne rien dire assurant quelle ferait tout ce que je voudrais.
Je lui dis que je savais quelle couchait avec mes parents et Jacques et que javais lintention de faire de même. Ils ne devaient rien savoir. Je souhaitais faire mon apprentissage sexuel avec elle. Elle devait me faire savoir quand elle était disponible et me rejoindre dès quelle le pouvait. Si elle ne sexécutait pas mon père aurait les photos dans les heures suivantes. Elle pouvait garder celle que je lui avais montré pour lui rafraîchir la mémoire, jen avais fait des doubles. Je lui assurais que jétais content que cela soit elle qui me dépucèle. Ma façon de faire nétait pas élégante mais au moins javais la certitude de ne pas être repoussé.
Elle accepta et pour montrer son accord se déshabilla et se tint devant moi. Je découvris son corps magnifique, caressant son visage, ses gros seins, ses fesses, son dos, ses jambes. Elle avait la peau douce. Je tremblais dexcitation et ma verge à force dêtre dressée me faisait mal. Elle sagenouilla devant moi et prit ma queue dans sa bouche. En quelques aller retours, elle me fit cracher mon sperme quelle avala, je navais pas pu me retenir. Elle me demanda de me calmer. Elle allait me faire découvrir lamour. Je restais debout. Elle membrassait. Je sentais ses mains sur mon corps caresser mon torse et mon dos, mes fesses, mon sexe, mes bourses mes jambes, ses doigts titillaient mon anus quelle pénétra dun doigt.
Elle mentraina sur le lit et me demanda de la caresser, corrigeant certaines de mes maladresses. Elle mapprenait comment soccuper de ses seins, comment exciter ses tétons. Elle ouvrit son sexe, me faisant découvrir ses grandes et petites lèvres, son clitoris, son méat. Elle me montra comment faire pour la doigter et découvrir son vagin. Elle était trempée montrant là son excitation. Je caressais aussi son périnée passant de son sexe à son anus dont elle me fit apprécier la souplesse. Jétais tellement excité que jéjaculais une deuxième fois. Elle recueillit avec sa langue mon sperme quelle avala. Elle se mit à plat ventre et me fit apprécier la douceur de ses fesses et de son dos. Jétais aux anges.
Elle me demanda de mallonger sur le dos. Elle me pris en bouche pour me redonner de la vigueur puis elle sempala sur moi me demandant de ne rien faire. Elle montait et descendait sur mon sexe en me caressant le torse, en titillant mes mamelons. Je sentais son vagin enserrer ma queue, se contracter sur elle. Sa technique était redoutable. Elle me fit lamour doucement, avec tendresse. Dès quelle sentais ma jouissance monter elle sarrêtait continuant ses caresses, puis elle reprenait ses mouvements. Je sentais la montée de mon sperme que rien naller arrêter. Jallais exploser. Nous jouîmes tous les deux en même temps. Elle cria son plaisir en mappelant son petit chéri. Nous nous endormîmes dans les bras lun de lautre. Elle me réveilla par une fellation où je me déversais une fois de plus dans sa bouche. Elle me quitta pour reprendre son service en membrassant tendrement et en me disant à bientôt.
Françoise respectait le contrat et venait me retrouver dès quelle pouvait. Parfois je prenais la suite de mon père ce qui était plutôt amusant. Nous étions très vigilants. Je continuais à récupérer les vidéos qui mexcitaient toujours autant. Elle aimait bien se faire sodomiser et elle mapprit comment faire, à être délicat. Elle me proposa de me dépuceler le cul avec son gode ceinture. Jacceptais volontiers. Lexpérience nétait pas déplaisante loin de là.
Je linterrogeais sur mes parents et leurs relations. Elle les avait connu il y a six ans par lintermédiaire damis qui organisaient des soirées. Elle était en couple avec Jacques et se faisaient embaucher comme extras pour le service. Ils étaient beaux et bi tous les deux. Ils acceptaient en plus de participer aux ébats. Mes parents firent appel à eux plusieurs fois. Ils étaient particulièrement satisfaits de leurs prestations. Sexuellement ils étaient en harmonie totale. Mon père qui venait dacquérir la maison cherchait du personnel de confiance. Il leur proposa de les engager avec un très bon salaire et de confortables primes pour leurs prestations sexuelles. Ils acceptèrent immédiatement. La seule condition était, quils devaient être disponibles et prêt à satisfaire les besoins sexuels de mes parents et de leurs invités. Sils désiraient avoir dautres relations sexuelles, ils ne pouvaient les avoir quavec laccord de mes parents.
Je lui avouais mon étonnement devant la bisexualité de Jacques qui paraissait le modèle de lhomme viril. Il avait eu jeune, une sexualité normale. Comme il était plutôt beau garçon, un ami lavait entrainé dans le milieu des gigolos et des clubs libertins. Pour gagner de largent il avait accepté de participer à des soirées où la bisexualité était la règle. Son physique, sa grosse queue avaient beaucoup de succès en particulier chez les hommes murs. Cest là quil sétait mis en couple avec Françoise. Cela facilitait les contacts.
Mon père avait émis une autre condition avant de les engager : Jacques devait accepter de le sucer et de se faire sodomiser par lui. Il ne lavait jamais fait. Lexpérience le tentait. Ma mère et Françoise le préparèrent et mon père le dépucela. Il prit rapidement goût à cette pratique car il avait une prostate très sensible et mon père y trouvait son compte. Mon père acceptait quon lui titille la rondelle, quon le doigte mais il refusait quon le sodomise. Ma mère avait essayé un jour sur lui son gode ceinture mais il nen navait tiré aucun plaisir et cela sétait arrêté à cette seule expérience.
Françoise avait découvert lamour avec un homme marié ami de ses parents. Elle aimait le sexe et il lavait bien éduqué. A 20 ans elle sétait mariée avec un fils de famille qui, obsédé du sexe lavait entrainée sur le chemin de léchangisme. Elle avait découvert lamour entre femmes, les clubs libertins, les pénétrations multiples. Son mari, qui lavait entrainé dans cette voie était devenu jaloux, alors quelle y trouvait de plus en plus de plaisir. Il avait demandé le divorce. Comme il lui fallait vivre, elle avait proposé ses services au patron dun club libertin quelle connaissait. Elle avait été engagée comme hôtesse daccueil. Elle retrouva ainsi des gens quelle avait fréquentés avant. Ils lui proposèrent de faire des extras dans leurs réunions coquines. Cest là quelle rencontra Jacques. Il était beau, elle était en harmonie parfaite avec lui. Ils se mirent en couple car cela leur ouvrait beaucoup plus de portes et dégageait les hôtes des « taches ménagères ». On leur demandait aussi de participer aux ébats. Cest au cours dune soirée quils rencontrèrent mes parents qui avaient rarement eu une telle harmonie sexuelle avec un couple. Ma mère était en particulier très accroc aux caresses de Françoise qui était devenue presquune amie. Cest là quils avaient accepté de se mettre au service de mes parents car ils trouvaient leur compte financièrement et sexuellement.
Ma mère était plutôt inquiète pour moi et sen était ouvert à Françoise. Elle avait remarqué mes érections quand elle se promenait nue. Comme je ne sortais pas beaucoup et que javais peu damis, elle se posait des questions sur ma sexualité. Elle aurait souhaité que je trouve une petite amie pour évacuer disait-elle mon trop plein dénergie. Javais 17 ans et elle me croyait toujours puceau.
Elle en reparlait souvent à Françoise jusquau jour où elle lui demanda si elle pouvait déniaiser son fils. Jacques ne formula aucune objection. Quand à mon père lessentiel pour lui était que je puisse devenir un « homme » le plus tôt possible.
Françoise que cela arrangeait car cela lui permettait de me rencontrer plus souvent sans se cacher, prépara avec moi lopération séduction. Elle se débrouillait pour être de plus en plus souvent avec moi. Nous en profitions pour assouvir nos pulsions. Elle racontait à ma mère que javais commencé à lembrasser, à la caresser et quelle avait du à plusieurs reprises me demander de me masturber pour me calmer. Pour elle, jétais prêt. Ils lui demandèrent de me donner rendez-vous dans une chambre de laile droite réservée aux soirées libertines et équipée dun miroir sans tain. Ils voulaient assister à « ma première ». Officiellement ils étaient sortis dîner chez des amis.
Jentrais dans laile réservée dont Françoise mavait donné la clé. Elle mattendait nue. Je savais que les autres derrière le miroir nous observaient. Elle commença par membrasser. Puis elle me déshabilla. Je me retrouvais nu devant elle, ma belle queue dressée. Elle sagenouilla pour me sucer. Elle avait pris mes couilles en main et les caressaient. Je la tenais par la tête et lui imprimait le mouvement de piston. Elle sarrêtait régulièrement pour me titiller le gland et lécher ma verge. Elle avait placé ses mains sur mes fesses pour les écarter et pénétrer ma rondelle. Elle sappliquait à faire entrer la totalité de ma queue dans sa bouche et dans sa gorge. Elle salivait beaucoup. Jaccélérais le mouvement et elle la pénétration de mon anus. Je sentais la sève monter et avec un grand cri de satisfaction, je crachais mon sperme quelle avala. Je lembrassais passionnément. Je lui pris la main et la conduisit sur le lit où elle sallongea. Je parcouru son corps avec mes mains et ma mouche, insistant sur ses seins, suçant ses mamelons en les étirant. Je lui écartais les cuisses et les grandes lèvres et lui parcourais le sexe avec ma bouche et ma langue. Je gobais son clitoris qui se détachait bien. Je léchais aussi son périnée passant de son cul à son sexe. Elle semblait apprécier mes caresses car elle dodelinait de la tête en poussant de longs soupirs. Lors dune caresse plus prononcée son corps sarqua et elle eu une succession dorgasmes. Je me plaçais ensuite entre ses cuisses et la pénétrais complètement buttant même sur sa matrice. Je lui pistonnais le vagin, son sexe était trempé. Je voulais la faire arriver à une autre séquence dorgasmes avant déjaculer en mappliquant à suivre les conseils quelle mavait donnés. Je nétais plus léjaculateur précoce dil y plus dun an. Jétais devenu endurant. Elle jouit bruyamment. Je continuais à la pistonner. Je sentis une nouvelle fois la montée de mon sperme et je mépanchais en elle en de longs jets. Elle membrassa, heureuse du plaisir quelle avait reçu. Elle se blottit dans mes bras et mannonça que javais été fantastique. Après un long moment de récupération, elle recommença à jouer avec ma queue pour lui rendre sa vigueur. Elle me demanda de me mettre sur le dos les jambes et les bras écartés et de ne pas bouger. Elle ma caressa partout avec sa bouche et ses mains. Je frissonnais de plaisir. Prenant ma queue elle se planta dessus et entama une chevauchée endiablée sappuyant sur ma poitrine tout en malmenant mes mamelons quand elle sentais mon désir monter. Ses fesses descendaient sur mon ventre. Je sentais ma queue aspirée par son vagin dont elle maitrisait les muscles résultat de longues séances dentrainement. Elle était superbe et elle me dominait. Je sentis à ses mouvements de tête quelle allait jouir. Ses petits cris devenaient de plus en plus forts. Je me répandis en elle en petits jets violents. Je me retournais et nous nous mîmes face à face nous caressant les fesses. Je sentais ses doigts sagiter sur ma rondelle mais la sodomie cela sera pour une autre fois. Nous nous reposâmes encore quelques heures et je la raccompagnais dans sa chambre non sans quelle se soit fendue dune dernière petite gâterie.
Le lendemain jeu une première information sur ma performance par le superbe sourire de mon père et de ma mère qui vinrent exceptionnellement membrasser. Françoise me fit une petite visite. Mes parents avaient été enthousiasmés et excités par ma performance. Joseph faisait la tête car il avait compris que ma prestation était le résultat dactivités antérieures avec son amie. Sa compagne lavait trompé sans quil le sache. Ma mère avait récompensé Françoise par un chèque important pour sêtre occupé de moi. Mon père aurait voulu massocier à leurs réunions mais ma mère navait pas envie de se retrouver chevauchant son fil chéri en présence dinvités extérieurs.
Françoise me proposa avec laccord de ma mère de compléter ma formation avec Jacques. Je les retrouvais dans leur chambre. Ils mapprirent à sucer un homme. Après une bonne préparation de Françoise, Jacques me sodomisa pour la première fois. Comme il était très gros ce ne fût pas très facile car au début javais très mal. Ils me firent porter des godes de plus en plus gros pour massouplir lanus. Au bout de quelques semaines Jacques pouvait menfiler sans difficultés. Jaimais cela. Comme javais lhabitude de sodomiser Françoise enculer Jacques ne posa pas de problème. Nous passions des moments agréables en particulier quand Françoise se retrouvait en sandwich entre nous. Je savais par Françoise que mes parents se faisaient rendre compte de mes progrès.
Mon père du sexiler pour ses affaires aux Etats-Unis. Comme il tenait à Françoise et Jacques il leur proposa de venir avec eux. Il était dans lobligation de me mettre en pension. Il était convenu que Jacques et Françoise passent toutes les cinq semaines pour entretenir la maison. Je me retrouvais brutalement sevré de sexe et au milieu de garçons boutonneux.
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