Les Yeux Plus Gros Que Les Couilles
Je suis venu, jai vu, je suis cocu rira bien qui rira le dernier
Derrière moi la porte coulisse, André tire sur la jambière de mon pantalon et dit tout bas :
- Ben, mon salaud, tu te rinces lil gratis. Tu nas pas dû voir aussi bien ni très souvent un cul aussi splendide. Je les choisis mes pouliches à lil pour laspect et au nez pour lodeur. La chatte de celle-là, comme elle est placée, dégage un fumet de femme violent, qui monte à la tête, tenivre et absolument euphorisant. Il faut que je me la fasse immédiatement ou je vais devenir fou. Tas vu comme la salope sest dessapée vite fait, elle mattend et brûle denvie, jen suis sûr. Je veux la défoncerai comme elle le mérite. Regarde son abricot juteux, fendu tout droit. Tiens, hume mes doigts: le léger massage des abords de son sexe ma valu un jet de cyprine distillée aux feux de lenvie de faire lamour. Elle est bouillante depuis que je me suis engagé à aller avec elle là où son con de mari refuse de laccompagner. Jamais aucune bonne épouse ne sétait mise nue et en position en un temps aussi court. Elle est docile,pressée; il mest impossible de rater une occasion pareille.
- Tu crois ?
-Aide-moi à sortir ma table de massage de ce foutu placard. Et noublie pas de filmer ses orgasmes, vise son visage en extase quand elle se mettra à gueuler sa jouissance. Une photo bien réussie rendra des envies au type qui fait mal son boulot de mari.
Il referme le placard rentre dans la chambre à coucher, installe la table de massage dépliée en parallèle au pied de lit, perpendiculairement à la porte du placard. Julie lobserve et réclame:
-Tu traînes. Que va dire mon mari si je rentre tard ?
- Oublie-le !Tu lui raconteras que ta cousine a pris son parti et ne voulait plus le remplacer et patati et patata et quil ta fallu du temps pour la convaincre à la fin.
Zut, jai oublié le matelas de confort.
Le placard souvre, il att le matelas , me montre un flacon à lui tendre, ouvre un tiroir, en tire un bandeau rouge retourne près de ma femme et dispose son matériel.
- Viens contre moi dit-il à Julie, que je te couche sur cette table. Il sera plus facile de te masser
- Cest quoi ça ?
- De lhuile de massage très efficace qui te réchauffe les muscles en peu de temps. Tu apprécieras vite son pouvoir.
Elle entoure le cou du jeune taureau de ses deux bras, il colle contre lui les deux seins merveilleux, se frotte contre le corps nu et abandonné, place son nez dans les cheveux parfumés, couche le corps en longueur, pieds tournés vers le caméscope et entame des tours de table, se verse quelques gouttes dhuile spécifique dans le creux des mains et débute le massage depuis un genou vers le haut de la cuisse. Le rituel reprend de lautre côté, doigts inversés sur les muscles, les ongles vers lintérieur passent sous la partie la plus charnue de cette cuisse. Quand la main atteint lentrejambe, le tranchant huilé cogne gentiment la vulve. Et le masseur change de côté pour répéter les mêmes glissements sur le haut de lautre jambe. La vulve sert de nouveau de tamponnoir pour bloquer la remontée. Julie tique au contact mais sinquiète :
-André, tu as oublié la chose importante à faire tout de suite. De quoi sagissait-il ?
- Oh ! Excuse-moi. Tu mas pressé de faire vite ,aussi. Là, tu sens ? Tu sais comment sappelle cette partie de ton corps, tu connais son rôle?
Il a plaqué une main sur la toison pubienne et la frictionne avec vigueur.
Oui , cest mon pubis.
-Plus poétiquement cest le « mont de Vénus » Cest la zone érogène à proximité du sexe féminin. Cest lamortisseur de chocs qui protège des coups trop violents dun bon mâle pendant la saillie. Elle est naturellement couverte de poils et forme un renflement doù lemploi de « mont« de la déesse de lamour, une sorte de coussin amortisseur qui se gonfle de graisse et évite aux os du bassin de se cogner douloureusement.
- Et moi, je frissonne sous la caresse. Pas trop fort sil te plaît.
Cest à elle que le roulement entre pouce et index plaît!Rien nétonne plus la patiente! Et lexplication pseudo scientifique la laisse bouche bée. de plus en plus rouge Elle ne contrôle plus la levée de son bassin en direction des doigts masseurs.
- Bon, le chirurgien voudra surveiller létat des lieux et voudra procéder à la lipo sur cette place. Or comment pourra-t-il opérer avec tous ces poils. Il faudra tailler dedans sans pitié.
- Me faire le maillot ? Vraiment. Ma patronne me la conseillé. Jai remis à la veille du départ pour échapper aux critiques de mon mari. Il maurait traitée dextravagante qui cède à toutes les modes, maurait demandé si javais des morpions et aurait relancé ses sarcasmes sur mon désir de plaire à tous les mâles et mon besoin tardif dexhibitionnisme. Jen ai entendu des plaisanteries depuis que je lui ai parlé de mon projet, de mon besoin réel et personnel de me sentir mieux dans ma peau.
- Oublie-le, te dis-je je. Fous-toi de ses conneries de vieux bonhomme du siècle dernier. Si tu le souhaites, je peux très bien dégager la surface et dépouiller lextérieur de tes grandes lèvres de ces poils gênant: . Jai loutillage, ciseaux, tondeuse et rasoir de coiffeur avec la crème à raser adéquate: ta peau ne sera pas irritée par le feu du rasoir.
Un mari raisonnable réclamerait le privilège de te rendre ce service.
- Par moi ! Comme toi dailleurs, cest rigolo !
- Tu me coupes les cheveux, je peux donc te tailler le maillot et ce sera gratuit pour toi.
André ouvre le placard, côté cuisine pour la troisième fois et se sert sur le fond, un tube tombe de ses mains encombrées sur ma chaussure, je le ramasse et jai juste le temps de lire les caractères gras « Lubrifiant chauffant mentol, fraise »
- Maintenant jy fonce, ouvre lil. En cas de panne, je te ferai signe, viens prendre la relève. Je lui mettrai le bandeau sur les yeux et tu pourras la bourrer, elle napprendra jamais la substitution. Montre-toi à la hauteur. Tu es marié, tu sais baiser, alors vas-y, plante lui ton organe, défonce-la, grouille, fouille, touille et vide-toi les couilles. Avec ma préparation, elle senvolera. Mais ne fais pas le con, ne me blâme pas. Je me rattrai demain ou après-demain. Ça va, tu bandes bien. Bonne beuille !
« Aujourdhui on rase gratis » Cest vrai pour ma femme. Le coach sportif sapplique, tire la peau vers le haut, rase, vers le bas, sur le côté, le couteau tremble au bout couvert de poils et de mousse blanche quil essuie dans une serviette. mais le travail avance, lhomme a des habitudes, de lentraînement. Je métais étonné de la calvitie pubienne de presque toutes les partenaires qui venaient chercher chez lui dintenses instants de bonheur. Julie seule bénéficie du traitement de faveur. Pourquoi mentol et fraise ? Elles ont-elles accepté ce service sans adoucissant ? Il na rien épargné, Julie présente une plage blanche fendue verticalement et rit sous la chatouille des doigts qui répandent généreusement sur sa peau claire les plots du contenu de lubrifiant. Et pour ne rien négliger, André enduit de cette pâte lextrémité de ses doigts et chasse le feu autour des petites lèvres de nacre rose et jusquà lintérieur
-La crème à raser mal essuyée pourrait te donner des boutons, argumente-t-il pour excuser lintrusion de son majeur et de son index dans le vagin de moins en moins indifférent.
-Vlan ! Son ventre sest collé aux fesses.
-Ah! Quest-ce que cest ? dit Julie qui cesse de gigoter sous leffet affolant du lubrifiant
- Cest moi, je nen peux plus de taimer et de me retenir. Je veux te prendre.
Donne-toi à moi mon,amour.
- Mais, André, tu es fou. Combien de fois tai-je déclaré que jaime mon mari. Il ne faut pas faire ça.
- Oublie-le donc. Sois mienne, mienne pour la vie.
- Arrête
-Quoi, ce nest pas bon ?
-Ce nest pas ce que je dis.
Mais cesse daller et venir en moi. Cest extra, mais il ne faut pas. Jamais depuis mon mariage , je ne me suis offerte ou ouverte à un autre homme que le mien. Jétais si fière de lui être fidèle.
- Tu nes pas infidèle, cest moi qui ai franchi lanneau. Mais ce nest rien. Ne lui en parle pas et il ne le saura pas. Ce qui compte ce nest pas ce qui existe, mais ce qui paraît et ce quil continuera à croire. Profit de linstant présent, cesse de créer des états dâme destructeurs pour trois ou quatre centimètres de pénétration , applique notre devise « Je suis une femme libérée. Je veux disposer librement de mon corps; et desserre létau de tes jambes.
- Ce nest pas juste, pour trois centimètres de verge peu consistante, tu viens de me faire perdre lestime de moi-même. Seulement un petit bout pour une aussi grande perte de considération personnelle.
- Mais tu as tout gagné dans mon estime qui est en hausse !
- Je préfèrerais que ta queue soit en hausse de manière que tu achèves enfin ce que tu as si lamentablement commencé. Ton produit de glisse méchauffe, cest insuffisant. Quoi ? Tu as eu les yeux plus gros que les testicules, jeune crétin!
- Merde, aussi. Avec tes »Jaime mon mari, je lui suis fidèle » et avec tes regards de victime dun viol, tu me coupes la chique à la fin. Suis-je venu te chercher. Quest-ce que tu attendais de moi en montant les trois étages en te foutant à poil sur mon lit, en écartant les brancards sur la table et en menvoyant dans le nez des bouffées dodeur de sexe? Il faut savoir si tu es venue pour me refiler un billet davion ou pour toffrir.. Pourquoi ces vacances en Tunisie à deux Jure que tu nespérais pas macheter, que tu ne voulais pas quon baise, ici, ce soir et là-bas pendant tout le séjour. Alors, finis tes lamentations. Je ne supporte plus les reproches de très regards. Tu vas garder ce bandeau rouge sur les yeux et je tenvoie le reste du morceau.
- Comme un taureau le rouge texcite? Bande et bourre moi, que ça en vaille la peine. Cesse les beaux discours et agis, jen ai marre dattendre que tu veuilles ou que tu puisses. Passe du rêve à la réalité
Je nen reviens pas. Julie est enragée, elle exige le complément. André a repris ses choses en main, se masturbe désespérément, cherche lorifice, promène son gland du clitoris à lanus dans lespoir que la chatte aux aguets sautera sur sa souris au prochain passage et lavalera.
- Ah ! Jy suis, je pousse, ça souvre.
- Va, pousse plus fort. Mais tu plies, comme le roseau, une poutre de chêne serait de circonstances, mieux venue pauvre gamin.
- Ne te moque pas de moi. Cest tout ce que tu as appris en autant dannées de mariage. Tu es aussi nulle quand ton mari débande ?
- Voilà la différence. Quand il mentreprend, il se présente en forme, les couilles gonflées de désir et damour, pleines à ras bord, il ne me cache pas les yeux parce que je lintimide comme tu dis, il me serre amoureusement dans ses bras, membrasse, me dit des gentillesses sincères, me grimpe dessus, se creuse sa place tout seul, sinstalle confortablement sur et dans mon ventre, ne cherche pas midi à quatorze heures mais mempoigne et me secoue, me bouscule et me fait jouir. Il na pas besoin de tubes de lubrifiant pour mexciter. Il ne me couvre pas de transpiration avant de toucher le fond ou de cracher deux gouttes de sperme.
-Quand même, tu ne laides jamais ?
- Pourquoi? Comment ? Je ne comprends pas ce que tu demandes
- Ah! Bon Dieu. Tes conne à ce point. Va te faire foutre chez lui. Non, ne te vexe pas, reste, je tapprends immédiatement ce que toute femme bien éduquée doit savoir faire. Ta mère ne ta pas enseigné lart daimer un homme. Tu nes pas gouine, jespère. On recommence à zéro. On prendra tout le temps nécessaire.
-Mais
Oublie, monsieur bien monté qui refuse de prendre lavion avec toi. Tu me veux à Djerba ou tu ne me veux plus? Voilà la question
- Bien sûr, je te veux avec moi.
- Avec toi. En toi ?
- Ben, oui, tout ce que tu voudras si tu me soutiens et si tu respecte ta promesse.
André madresse des signaux de détresse. Cette fois, cest certain, il ne sait pas qui je suis vraiment ! Comment lamant réclamerait-il le secours du mari pour faire jouir lépouse . Moi, jirais faire aussi bien ce quelle lui a décrit, jirais la faire jouir et lui, se ferait passer pour le coq triomphant. Je deviendrais linstrument de leur futur adultère, de mon propre cocuage. Autant le payer pour men débarrasser. Je ne voudrai plus delle, quils senvolent au loin et ne reviennent plus. Une salope qui abandonne la proie pour cette ombre ne me mérite plus. Je lai deviné le jour où elle ma parlé de lindispensable liposuccion pour me plaire plus, à moi, son unique amour.
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