Le Chantier (34)

Ce soir c’est le grand jour pour ma commune, pendant qu’avec Eliane accompagnée de Christian, mon homme et Petrov mon amant de cœur, nous étions à une réunion concernant le complexe sportif dont j’ai toujours la gestion surtout pour le démarrage des diverses activités. Cette réunion portait sur les sports collectifs et est assez rapidement expédiée.
Les servitudes liées à ma mission de maire terminé, nous rejoignons nos amis bordelais et les trois Néerlandais et principalement Hilda la femme de Rupert qui est actionnaire principale de la société de déchets verts qu’il faut impérativement que j’arrive à implanter chez nous.
Les louves dans un premier temps ont fait ce qu’il fallait pour que Rupert et Willem fassent le bon choix.
Mais, souvent il y a un « mais » qui survient, la décision revient à la femme de Rupert qui a ce que m’en dit son mari en plus d’être actionnaire majoritaire est assez active question sexe et souhaite passer une soirée dans ma maison des plaisirs.
Lors de la soirée avec les deux hommes, Criss et Soso, amis au départ de mes filles et qui sont devenus les nôtres acceptent de s’occuper de nos invités et de mettre la soirée sur les bons rails pendant notre absence.
La voiture arrêtée nous descendons et nous entrons rejoindre la bande.

• Bonjour, je suis Hilda et je vous attendais.

Splendide dans sa nudité la femme qui nous accueille à tout ce qu’il faut là où il faut.
Je suis chez moi et pourtant d’entrée, j’ai l’impression qu’elle est chez elle.

• Valérie, tu es bien Valérie, tu corresponds en tout point à la description rapportée par mon mari.
Viens boire une coupette.
• En France, on dit une coupe.
• Oui, mais à Liège où j’ai travaillé les clients, nous offraient des coupettes.
• C’est à Liège que tu as appris le français.
• Oui, j’y ai habité six ans, c’est une longue histoire, assez long pour éviter de la raconter ce soir, amusons-nous et buvons.


Je lève mon verre à Criss et surtout Soso ayant illuminé notre soirée depuis notre arrivée.
Champagne à tous.

En disant ces mots, elle enserre la taille de Soso auprès de laquelle elle s’est rapprochée et nos deux amies se donnent un baiser attendrissant, car je pense que les deux femmes ont déjà dépassé les baisers de premières communiantes.
Je calcule le nombre de bouteilles de champagne que j’ai vu marqué sur la commande que Nadia m’a fait signer.
Je fais signe à Sylvain et lui demande d’aller en ramener douze de la réserve de mon ex-mari, pas Robert le maire mais celui qui me faisait cocu en Angleterre et qui avait l’habitude de les faire venir d’un petit producteur champenois.

• Valérie, à nous et à nos projets.

Je dois reconnaître qu’Hilda à une descente assez impressionnante concernant le champagne.
Non seulement elle boit, mais en plus, elle fait le service la seule différence entre nous, lorsque nous buvons une coupe, elle boit deux coupettes.

• Mes amis allez-vous déshabiller, que la fête batte son plein.

En nous disant cela, elle pose sa coupette sur le buffet et plonge en direction de Maryse et de mes filles qui sont déjà dans l’eau.
Je me rapproche de Soso et l’enlace d’un bras tendre.

• Bonsoir, Soso avec Criss, vous tenez le choc.
• La soirée est à peine commencée Criss et moi nous sommes déjà morts, c’est comme cela depuis qu’elle est arrivée, je dois dire qu’elle sait y faire avec les femmes.
• Parle pour toi mon cœur, avec les hommes aussi c’est une championne.

J’embrasse mes deux amis au moment où Hilda tourne la tête et vois que je suis très intime avec nos amis.
La situation la plus incongrue c’est que le groupe qui sont là depuis l’arrivée de nos amis à part Eliane qui rapidement à récupérer Nadia dans la piscine, nous sommes toujours habillés.
Je vais vers la fresque et ouvre la porte du logement privé.

Je vais dans l’appartement pour me déshabiller. Soso et Criss m’ont suivi.

• Valérie avant de partir demain ou dimanche, nous avons du temps, j’aimerais te parler des transformations à faire dans ta maison pour ouvrir un club privé.
• C’est très bien, continuons à permettre à nos amis hollandais de passer une bonne soirée et nous verrons tes idées à tête reposée.
• Moi ma tête, elle est bien reposée, tu peux m’expliquer ce que veut dire Criss en parlant de ton club privé.

Quoique je lui montre mes fesses, la voix et l’accent ne souffrent d’aucune possibilité d’erreur, Hilda est venue nous rejoindre.
Je me retourne et elle est là recouverte d’un peignoir et d’une serviette qui lui sert à se sécher les cheveux.

• J’ai hérité de cette maison par mon mari décédé quelques jours après nos noces.
• Pauvre loutre qui a perdu son amour.
• Je suis une veuve joyeuse, car notre mariage était un mariage de raison.

Le ton que je prends pour parler de mon mari décédé me fait monter du rouge aux joues, car je prends conscience que je parle de ce mariage comme s’il avait réellement eu lieu.

• Et vous pensez la transformer en maison des plaisirs pour les couples libertins.
• Mieux que cela, je pense qu’il serait souhaitable qu’elle soit orientée pour le plaisir des femmes les hommes devant rester toujours en retrait, surtout dans la cave où à aucun moment elles ne devront se trouver en position de soumission par rapport à eux.

C’est Soso qui vient de faire prendre une nouvelle orientation à notre projet. L’idée d’un club orienté vers les plaisirs exclusifs de la femme me parle bien, je crois que j’ai bien fait de me reposer sur notre couple d’amis qui allie les idées novatrices par Soso et les idées constructrices par Criss nous ayant montré toute l’étendue de ses talents par les lits à l’étage et les colliers que les louves portent autour de leur cou.

• La cave, vous me cachez des endroits intéressants allons-y, je vous dirais après ce que je pense faire si vous m’acceptez.


La cave, l’endroit que j’espérais éviter de montrer à Hilda pour cette visite.
J’ouvre la porte et nous descendons.

• C’est fabuleux, cela me rappelle une maison où j’ai travaillé où nous étions attachés sur des croix en bois comme celle-là.

Elle finit par trop en dire sous l’effet de l’alcool, alors que nous sommes installés dans le Jacuzzi la contemplant après l’avoir attaché sur l’une des croix, une petite conversation avec Criss et Soso va dans le même sens.
Son argent, elle l’a gagné à faire la pute avant de quitter le milieu pour monter son entreprise.
Situation intéressante nous montrant que la Hollandaise est une femme qui a su évoluer.
Je sors de l’eau et rejoins notre amie.
Je pourrais profiter de notre position favorable en refusant de la détacher si elle choisit l’autre ville concurrente, mais ce serait contraire à mes principes de moralité alors je m’approche d’elle, ma langue attaque son clitoris pour l’amadouer par le plaisir.

• Valérie continue, je vais jouir encore une fois, tu es aussi douée que Soso, j’ai bien fait de venir et de demander de descendre dans ta cave.
Dommage que dans mon plat pays, il soit impossible de creuser, car la mer serait tout de suite là, mais j’aimerais avoir ce genre de jouet où Rupert pourrait m’offrir à nos amis.

Pendant quelques secondes après cette tirade, elle se trouve rattrapée par son plaisir. Elle se tortille dans ses liens au point que j’ai peur pour ses poignets même si les bracelets qui la retiennent sont doublés de fourrure.
Au matin, je la détache alors qu’elle s’est endormie pendue par ses bras.

• J’ai soif, donne-moi une coupette.

À quatre heures du matin, nous la détachons et nous l’aidons à la faire remonter. Rupert dort dans les bras de mes filles.
Nadia se baigne encore avec Willem et Eliane sans grande conviction.
Tous les autres sont invisibles, ils ont dû rejoindre la maison pour se coucher.

J’entraîne Hilda dans l’appartement laissé ouvert et je la couche sur le lit.
Soso et Criss sont avec moi, le lit est trop exigu pour nous recevoir tous les quatre.

• Criss emmène-moi à l’étage, je veux profiter d’un des lits que tu as soudé, j’aurais l’impression d’être sur le mien à la maison.

Je leur fais un petit signe d’amitié et la main sur les fesses de sa femme mes amis si précieux dans cette soirée montent vers les hauteurs.
Je retourne dans la pièce de contrôle.
Dès que je m’allonge, la belle Hollandaise vient se lover dans mes bras, passe une jambe au-dessus des miens comme si elle voulait m’accaparer.
Sa chatte vient au contact de ma jambe et je sens son vagin venir faire ventouse dessus comme une bouche venant sur une autre bouche.
Dans le même temps sa main vient chatouiller ma chatte qui en redemande.
La belle garce, elle fait celle qui dort, mais à encore assez de réserve pour se faire une nouvelle petite partie de plaisir avec moi.

• Tu m’as fait jouir tout à l’heure sur la croix, je suis bonne joueuse, à moi de te faire jouir, dans mon bordel de Liège lorsque j’étais jeune chaque fois qu’une cliente se présentait, c’est vers moi qu’elle venait, je m’étais faite une telle réputation en les léchant que toutes les lesbiennes de la ville venaient voir si ma réputation était à la hauteur.
• Tu as fait la pute.
• Oui, j’ai même été dépucelé par mon premier client, mes parents des moins que rien m’ont jeté à mes dix-huit ans et c’est à la suite de cela que je me suis retrouvé dans ce bordel conduit par un gigolo qui m’avait ramassé à la gare d’Amsterdam.
Je l’ai viré rapidement lorsque j’ai compris que seul le fric que je gagnais l’intéressait, car aucune fois, il ne m’a baisée.
• Et tu as gagné beaucoup.
• Assez pour que, lorsque j’ai rencontré Rupert, je quitte ce lieu où je suis resté plusieurs années et que je monte avec lui la boîte pour laquelle je suis ici en prévision de son extension.
Non, c’est vrai, nous sommes ici pour le plaisir de sucer une belle truie comme toi.
• Non, Hilda pas une truie, en France traitée, une femme de truie, c’est insultant, tu dois dite une grande cochonne.
• Oui, pas sow, pig, j’ai bien compris.
Depuis hier Hilda est un pig avec tous les gens qu’elle a rencontrés.

Le « tu » le « vous, » le « le » ou le « la » pour les étrangères il y a quelques subtilité de notre langue difficile à comprendre.
C’est comme cela que je retrouve la langue de cette très belle femme qui passe ses dernières forces à me faire jouir, retrouvant en même temps le plaisir d’être broutée par une belle pig.
Je voudrais lui rendre la pareille, mais les deux jours que je viens de passer me permettent simplement de laisser monter en moi un plaisir qui est le bienvenu avant de sombrer dans un sommeil sans fond.

Un cochon, un pig, un cochon, une sow, un pig, je rêve tout le temps ou je dors et lorsque j’ouvre les yeux, la grande pendule en forme de corps de femme que je vois par la porte dans la salle en face à moi me montre qu’il est onze heures alors que je vois Hilda toujours aussi nue assise à la table une coupette à la main et qui discute avec Rupert et Willem…

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