La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 605)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°604) - La Domination féminine s’impose au chien soumis MDE -

Maîtresse Marina remuait ses orteils, sur la cuisse et l’épaule de soumis Endymion MDE, en soupirant d’aise. Confortablement adossée dans le profond fauteuil, elle étirait les muscles de sa jambe en appui contre l’épaule de l’esclave MDE immobile, pour mieux se détendre encore. Puis son pied glissa sous le cou du chien mâle soumis. Ses orteils caressaient un instant sa mâchoire, puis du bout de son pied, elle lui fit lever les yeux vers elle en soulevant son menton. Elle avança délicatement ses orteils jusqu’à ce que ses ongles s’enfoncent et retrousse la lèvre supérieure du stagiaire soumis MDE. L’odeur de ce pied enivrait soumis Endymion MDE, cependant il restait calme, n’osant montrer son désir par peur de représailles.

- Tu as envie de me lécher les pieds, petite lope !

Elle regarda soumis Endymion MDE avec un étrange sourire, quand elle reprit :

- Je suis sûre que l’idée t’excite petite chienne, regarde ta nouille comme elle cherche à vouloir s’extirper de cette cage, et en plus elle mouille tant et plus…

L’esclave MDE baissa les yeux humblement pour regarder sa queue comprimée, effectivement il mouillait, un filet de sécrétions séminales, pendait de sa queue jusqu’à son genou droit. Toujours à genoux, mains liées dans le dos, sans savoir ce qu’il devait faire, il entrouvrit la bouche et sortit sa langue pour caresser le gros orteil de Maitresse Marina. Curieusement, elle recula son pied légèrement, empêchant cette langue d’atteindre son objectif. soumis Endymion MDE avança un peu la tête, mais le pied recula encore, alors il tendit un peu plus le cou, puis sa langue, au risque de perdre l’équilibre. La Domina jubilait, subitement et rapidement, elle posa ses deux pieds sur les épaules de celui qui se trémoussait devant elle et le fit écrouler au sol en le poussant énergiquement.

- Relève ton cul, chienne et cambre exagérément tes reins, prosterne-toi la lope !

Dans cette posture inconfortable, Maîtresse Marina posa un de ses pieds sur le dos du chien soumis MDE et exerça une douloureuse pression avec son talon. Son autre pied appuya la tête du soumis MDE au sol, et puis plus rien ne se passa. Le silence était revenu, seulement troublé de temps en temps, par le bruissement des pages d’un magazine que Maîtresse Marina lisait. soumis Endymion MDE, utilisé comme repose-pied, se contentait de rester immobile, fusse douloureusement. Le poids de cette jambe sur son dos l’épuisait d’autant que la posture inconfortable et imposée le contraignait. Ses muscles contractés mettaient sa résistance physique à dure épreuve. Avec sa joue plaquée contre le sol, il crut que sa tête finirait par éclater sous la pression de ce pied qui lui broyait la tempe. Eprouvé et meurtri, entre plaisir et souffrance, soumis Endymion MDE était en proie à des sentiments bizarres. Etrangement il admirait Celle qui lui imposait sa volonté, il en éprouvait une forme d’ivresse, malgré les crampes et les courbatures. Elle, se servait de lui pour son seul plaisir et ce ressenti d’avilissement le comblait, c’était paradoxalement savoureux mentalement et douloureux physiquement… Quand, au bout d’un long moment où l’immobilité parfaite de la scène tardait, la porte de l’appartement claqua subitement, une personne venait d’entrer et une voix féminine appelait joyeusement :

- Marina… Marina, ou es-tu ?
- Je suis dans le salon, ma chérie ! Je m’accorde un moment de détente !

Une jeune, belle et pulpeuse jeune femme, inconnue de soumis Endymion MDE arriva à grand pas en jetant à terre un grand sac de voyage. Elle avait une magnifique chevelure brune qui retombait sur les fines épaules. Parfaitement maquillée, un rouge à lèvres écarlate d’un rouge vif tranchait avec ses cheveux noirs brillants. Ses yeux marron étaient d’une rare beauté et son sourire exprimait une grâce angélique. Sa tenue vestimentaire fort attirante composée d’un chemisier blanc sous une veste noire cachait une petite poitrine pour le haut et pour le bas une jupe courte et sexy avec en dessous des bas résilles noirs et aux pieds des talons à aiguilles ...

- Bonjour ma chérie, je suis épuisée ! lança-t-elle à Maîtresse Marina.
- Comment vas-tu ma belle, viens, viens près de moi m’embrasser !

Elle enjamba soumis Endymion MDE sans le regarder, posa un doux baiser sur les lèvres de Maitresse Marina, sans même faire cas de ce chien mâle prosterné, comme s’il était banal sinon classique de voir un homme nu à ses pieds. Elle s’assit même sur le cul relevé de l’esclave MDE et face à Marina commença à décrire son difficile retour de voyage d’Asie. Les deux femmes conversèrent longuement ainsi et au cours de leur dialogue, soumis Endymion MDE comprit qu’un lien bien particulier les unissait toutes les deux. Maîtresse Marina et Lauren (c’était donc le prénom de cette belle jeune femme) vivait en couple. Ce n’était qu’au bout d’une heure peut-être que Madame Lauren s’enquit enfin de savoir qui était ce nouveau soumis sur lequel elle était assise.

- Un paillasson humain en phase de probation !, lui expliqua Maîtresse Marina en riant, puis elle reprit plus sérieusement : - Mais pas n’importe quel chien, puisque celui-ci appartient à mon très Cher et si Merveilleux Oncle, Monsieur le Marquis d’Evans. Regarde d’ailleurs son cul, il porte Ses Nobles Initiales. Il est là pour apprendre à souffrir pour notre plaisir, sans qu’il se préoccupe de ses propres envies. Je le tiens sous mes pieds depuis plus de deux heures maintenant, pour lui rappeler où est sa place désormais.

Maitresse Marina prit un plaisir Dominateur tout particulier au moment même où elle terminait sa phrase. Elle se releva de son fauteuil et de tout son poids, elle imprima un mouvement de rotation de son pied sur le visage de soumis Endymion MDE, comme si elle voulait le réduire en poussière.

- Mais il semble avoir été gâté par la nature celui-ci ! s’exclama Lauren.

Celle-ci soulevait, d’entre ses cuisses, les couilles et la bite encagée de l’esclave MDE. Lui ne bougea pas, il se laissa manipuler sans même gémir alors qu’Elle malmenait son service trois pièces sans grande précaution ...

- Tu t’intéresses aux bites maintenant, ton voyage en Inde t’aurait-il transformée ?

Toutes deux éclatèrent de rire. Non les bites ne les intéressaient guère, et encore moins celles de ces chiens soumis. Elles s’étaient relevées toutes les deux et se donnaient un doux baiser langoureux tout en se caressant et se pelotant. Le doux baiser se transforma rapidement en une étreinte passionnée et amoureuse.

- Tu m’as tellement manquée ma chérie, j’ai envie de toi là tout de suite ! lançait Maîtresse Marina tout en continuant à bécoter la belle Lauren
- Toi aussi tu m’as manquée, moi aussi j’ai envie de toi Marina, mais accorde moi quelques instants, il faut que je prenne une douche, ça doit faire au moins trente heures que je ne me suis pas lavée avec toutes ses heures passées entre attentes dans les escales aux divers aéroports, dans les avions pour ce retour qui a bien assez duré et donc pénible causé aussi par ce long retard dut à une fausse alerte à la bombe à New Delhi…
- Ce chien pourrait t’être utile, emmène-le avec toi à la salle de bain, si tu veux.

Lauren ne se le fit pas dire deux fois, elle empoigna soumis Endymion MDE par son collier et le fit se redresser brutalement. Il eut bien du mal à suivre cette jeune femme tant il était ankylosé, ses jambes ne le portaient plus. Il reçut l’ordre de se mettre à genoux, dès lors qu’ils furent dans cette grande salle de bain baignée d’une vive lumière. Lauren se déshabilla devant lui sans la moindre pudeur puis lorsqu’elle fut nue, juste avant de passer sous la douche, elle s’approcha du chien soumis et lui ordonna de venir renifler sa vulve encombrée de quelques poils huileux, collants et poisseux de transpiration et sécrétions intimes.

- Tu sens le chien ? Flaire bien ma chatte comme un chien doit savoir le faire !

Pendant deux ou trois minutes, l’esclave MDE s’imprégna de ces effluves et fortes odeurs intimes, puis Lauren l’attrapa par son collier juste derrière la nuque, lui imposant de tenir la tête en arrière afin qu’elle puisse le chevaucher. Ses jambes, de part et d’autre du visage de l’esclave MDE, l’arrière de ses cuisses en appui contre ses épaules, Lauren posa sa vulve toute entière sur sa bouche. Ainsi installée, elle lui ordonna de glisser sa langue entre ses replis intimes, de bien laper et décrasser son clitoris sans pour autant la faire jouir. Malgré une position très inconfortable, le dos arqué, le stagiaire soumis MDE s’appliqua à exécuter les ordres donnés.

- Cesse de faire aller et venir ta langue chien et ouvre grand la bouche, ne laisse rien échapper.

Lauren sans autre information, sans autre prévention, soudainement soulagea sa vessie. Par petites saccades son urine s’échappa de son sexe pour laisser le temps à soumis Endymion MDE de déglutir tranquillement sans perdre une goutte de cette délicieuse mais acre liqueur. Sitôt qu’elle eut terminé, elle se dégagea du chien soumis MDE, elle le fit cette fois-ci pencher un peu en avant et lui présenta son postérieur. Elle s’écarta les lobes de son fessier et ordonna au chien soumis MDE de venir lui brouter son petit bouton ridé. Ensuite, elle fila sous la douche et ayant préalablement posé sur le visage de l’esclave MDE son string porté pendant ces trente dernières heures.

- Imprègne-toi de mes sucs intimes, sache qu’au détour d’une escale, je me suis masturbée dans ce string.

Maitresse Marina était venue récupérer le chien soumis, alors que Lauren était encore sous la douche. Elle l’emmena dans une chambre pour le préparer, en prenant soin de lui laisser le sous-vêtement sur son visage. D’abord debout, elle le fit pencher en avant, cuisses écartées pour lui insérer un petit plug dans son cul encore très souple eu égard au traitement qu’il avait subi quelques heures auparavant. Ensuite, elle le fit mettre à genoux, fesses en appui sur ses talons, cuisses bien écartées, les mains toujours attachées dans le dos. Elle l’informa gentiment que si par hasard, elle devait retrouver le plug ailleurs que dans son trou de lope, il serait très sévèrement puni. Elle posa ensuite une paire de pinces japonaises terriblement mordantes sur ses tétons, enfin, elle lui installa une muselière dite de discipline, en fait un bâillon très bien étudié comportant un système bloquant langue en appui sur le palais et maintenant les mâchoires grandes ouvertes. La contrainte était pénible et difficile, imposant une respiration par le nez. Toutes ces contraintes exaltaient soumis Endymion MDE, il en était terriblement excité … Il se sentait être un objet de plaisirs, un pantin que l’on manoeuvrait à volonté, une simple marionnette où les Maîtresses tiraient les fils juste pour leurs Satisfactions…. Ainsi l’esclave MDE jubilait dans sa tête de n’être plus rien ….

- Estime-toi heureux le chien, tu vas pouvoir assister à nos plaisirs et à nos orgasmes, toi qui en est privé…

(A suivre…)