Fantasme Tabou Ou Presque 2 ( 1er Jet Sans Trop De Relecture)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le lendemain, 12h30 à table
« Tu me fait chier à force de pas me croire  quand je te dit que je bosse»
Ca, c'est Thibault qui vient de quitter la table avec fracas, fâché car je viens de faire une blagounette sur sa capacité à ne rien faire. Sa mère me regarda en levant les yeux au ciel d'un air de dire, tu ne pouvais pas le laisser tranquille. Je lui répondis par un petit sourire en coin.
Le p'tit machin adolescent qui fait sa vierge outrée, on aura tout vu.
« Bon ben je vais débarrasser la table tout seul, pas de chance que Thibault soit parti, il aurait pu m'aider « fis -je à l'adresse de Fabienne qui me répondit en souriant » t'es vraiment chiant à ne jamais rien lâcher », je m'approchais d'elle, la pris dans mes bras et avant de l'embrasser fougueusement je lui dit » c'est pour ça que tu m'aimes »

Ca y est Fabienne est parti se dorer la pilule, je vais pouvoir avoir une conversation avec le rebelle.Dès que j'arrive dans sa chambre les hostilités commencent.
« Mais merde Christian, oublies moi un peu, tu m'en veux ou quoi, t'es jaloux  du fait que ma mère me crois et pas toi , ça doit te faire chier non ? » Me questionna-t-il en me regardant avec son petit air à la fois narquois et condescendant. Loin de m'énerver ses sorties qui se voulaient insultantes me faisait plutôt saliver sachant que mon heure viendrait. Je pris un malin plaisir à sembler m'irriter de ce qu'il venait de dire.Aussi lui répondis-je «  tu peux faire ton fier mais à un moment tu feras une erreur et ce jour là, tu me le paieras « 
« En attendant « me dit il en ricanant « dégages de ma chambre ou je vais aller dire à moman que tu m'as encore emmerdé, voir dépassé les bornes en me violentant, ça te pourrirais la journée pas vrai, allez tires toi »
Je le laissais à sa victoire en partant de sa chambre . Ce qu'il ne savait pas c'est que je savais qu'il allait regarder notre petite sauterie moi et sa mère, ce qui me rapprocherai encore plus de ma vengeance.

« On va faire les magasins « dis-je à Fabienne en m'allongeant sur le transat après m'être baigné » j'ai envie de t'acheter une paire de chaussures wahooouu et plus si affinité »
Elle se lova contre moi et me susurra mi-amoureuse, mi- salope «  toi, tu sais toujours me parler mais il va falloir faire un effort pour le plus si affinité, j'ai besoin d'une jupe et mes bas ont filés hier soir, c'est pas de chance non ? »
«  Effectivement, c'est pas de chance mais je pense que l'on peut quand même inviter affinité pour ce soir «  lui répondis-je en l'embrassant dans le cou.
«  Je nous laisse 1 heure pour vaquer à nos occupations et on y va. Fait toi belle pour affinité et consort »
Dans la voiture en direction des magasins, je ne pus m'empêcher d'admirer Fabienne. Elle était comme d'habitude magnifique dans sa robe qui moulait l'ensemble de son corps mais sans que cela soit vulgaire.
Elle le sait, je vais avoir plaisir à me balader avec en ville, je lui ai toujours dit que cela me faisait tripper de la montrer ainsi aux autres. Elle avait mis des escarpins gris clair avec des bas rose pâle sur une robe bleu mer qui ne faisait que rehausser ses cheveux noirs. La robe faisait jaillir élégamment ses magnifiques gros seins et mettait à découvert ses longues jambes musclées.
Le maquillage était léger sauf le mascarat qui faisait ressortir ses yeux. Je posai ma main sur sa cuisse et tentai de remonter le long de celle-ci pour parvenir à son sexe, mais elle me dit en riant » tu tu tut,je suis une pute pas ta femme , d'abord les cadeaux ensuite on verra « 
Et elle s'y tint jusqu'à ce que nous ayons acheter après de nombreux essayages des plus bandants une belle robe blanche avec des escarpins ( talon 12 cm ) d'un gris noir et des bas fantaisies.
De retour vers la maison, Fabienne me dit dans la voiture «  j'ai vraiment adoré ses moments entre nous, je pense qu'affinité sera là ce soir »
A ces mots, je posai ma main comme 3 heures plus tôt et cette fois ci elle me laissa pénétrer son intimité que je m'empressai de caresser avec mes doigts. Elle jouit très rapidement comme à chaque fois qu'elle était dans une voiture à la vue ou au moins la merci d'éventuelles personnes pouvant la surprendre.
« Je n'aurai jamais imaginer jouir autant avec un homme » me dit-elle en guise de remerciement.
«  J'espère que je vais pouvoir en dire autant bientôt » lui répondis-je en plaçant sa main sur mon sexe au travers de mon pantalon »
« Je vais tout faire pour, je te le promets » me dit elle en dézippant ma braguette, tout en se penchant vers mon sexe.
Elle l'avala entièrement pour mon plus grand plaisir et je jouis tout aussi rapidement qu'elle.

J'étais persuadé que Thibault avait mis ces trois heures à profit pour visionner le petit film que je lui avait concocté la veille et dès les premières minutes de mon visionnage ma prédiction se confirma.
J'étais en train de regarder Thibault sur son lit, qui se préparait à regarder la vidéo. Il s'installa et lança la vidéo. Dès la première minute, il glissa sa main dans son pantalon et ne la quitta que quelques minutes plus tard, lorsqu'il eut joui au moment où Fabienne me criait qu'elle aimait se faire enculer par ma grosse bite. Cette fois-ci j'avais assez de preuves pour pouvoir faire ce que je voulais de mon beau-fils préféré. Je décidait de déclencher les hostilités dès maintenant. Je téléchargeais toutes les vidéos que j'avais sur lui sur mon portable puis je me pointait dans sa chambre l'air contrit.
En me voyant ainsi, il pris à nouveau son air goguenard et me dit «  t'as pas compris la leçon de toute à l'heure, t'es maso t'y reviens »
Je déposai mon portable devant lui et commençai la lecture de la première vidéo, tout en lui disant »
cela fait 4 jours que j'ai posé ces caméras et j'en suis vraiment très content. Comme tu peux le voir, tu y es en guest-star. J'ai aussi celle de cette après midi, quand tu es sur ton lit, tu avait l'air d'apprécier les femmes qui aiment la sodomie ? Non... je me trompe »
Devant son silence, je continuais » ce soir, je compte bien passer une excellente soirée avec ta mère, j'aimerai donc que tu y mettes du tien à moins bien sûr que tu veuilles parler de ces menaces à ta mamounette chéri.  » Sur ses paroles, je m'éclipsai, pas mécontent de mon petit effet.
«  amour, j'aimerai que tu portes ce que tu as acheter cet après-midi au repas ce soir, s'il te plait »
«  t'as une idée derrière la tête «  me répondit-elle en souriant
Si elle savait ce que j'ai derrière la tête, elle ne sourirai peut être pas aussi franchement.
« Je ne sais pas, c'est toi qui l'a dit, tu es ma pute, j'ai payé, tu me dois la soirée, non ? »
« Effectivement, je suis quelqu'un de parole, on va envoyer Thibault chez un de ces copains et on va se faire une soirée d'enfer. »
Sur ces paroles, Fabienne me dit » bon moi je vais courir, il faut bien entretenir mon outil de travail. A plus. »
Une fois ma moitié partie, je me précipite dans la chambre du morveux et lui dit  autoritairement«
« Ta mère va te dire d'aller chez tes grands parents ce soir pour qu'on passe une soirée tranquille à deux, si tu veux apprécier la soirée, accepte de partir, je ferai semblant de t'emmener et tu reviendra en douce pour nous filmer. Tu me diras dans la voiture ce que tu as décidé.« 

Trois heures plus tard, Thibault embrassait sa mère avant de partir faire une soirée chez un de ces copains. Dès qu'il fut dans la voiture, je lui demandais «  alors t'as décidé quoi ? »
Il me répondit «  Tu sais bien ce que j'ai décidé, soit pas si con. »
Je le déposai donc le virage suivant et après un détour, je revins à la maison.

Fabienne m'attendait, je la pris dans mes bras et lui murmurait » tu as une heure pour te faire un beauté et après je m'occuperais de toi « 
Elle me répondit « qu'est ce que tu entends par beauté ? Tu me veux sage, femme, pute, chienne... ? »
Je te laisses libre , je sais bien que dès que je te verrais, j'aurais envie de te faire l'amour aussitôt, alors fait ce que tu veux .Moi, pendant ce temps je vais aller me baigner puis préparer le repas  »
« Thibault, t'es là «  chuchotais-je en arrivant près de la cabane du jardin »
«  ouais, je suis arrivé »
«  on va manger tranquille et donc quand je t'enverrais un sms tu passeras par derrière et tu t'installeras dans la mezzanine, tu pourras voir enfin en live comment elle aime baiser. A tout à l'heure. Je vais essayer de la faire hurler pour toi, tu vas voir elle peut être exceptionnelle.

De retour dans la maison je me mis à préparer le repas assez simple tout en étant de fête, du foie gras à la gelée de café suivi d'un petit tournedos frites en finissant par un petit dessert glacé.
«  Amour, viens t'installer dans le divan, je suis prête à affoler tes compteurs »
Je m'exécutais avec délice sentant le moment de l'extase se rapprocher de plus en plus.
Lorsqu'elle m'apparut, je sus que la soirée allait être réussi. Je me mis aussitôt à bander comme un fou , elle était tout simplement sublime.
Elle avait bien sûr mis ce que je lui avais acheté cet après midi, cette robe blanche qui moulait si parfaitement son corps de femme, je pouvais percevoir au travers du tissu la courbe de son corps, celle de son cul, courbe qu'elle avait réussi à réhausser grâce à une large ceinture serrée autour des ses hanches. Elle n'avait mis aucun sous-vêtement et je pouvais voir ses magnifiques seins pointer au travers du tissu presque transparent, laissant entrevoir ses aréoles presque brunes. Les escarpins sur laquelle elle était montée sculptaient ses jambes déjà embellies par des bas. Pour sa coiffure, elle avait choisi un chignon savamment désordonné et avait fini par un maquillage léger, pas outrancier mais suffisamment suggestif pour que ma libido fasse des bonds. Elle avait accentué la taille de ses yeux par de l'eye-liner qui faisait ressortir ses yeux bleus et d'un léger trait de rouge à lèvres d'un bleu foncé du plus bel effet. Lorsqu 'elle jugea que je l'avais assez regardé, elle me dit quelque chose qui me fit presque jouir sur place «  je suis ta pute pour ce soir, fait de moi ce que tu veux « 
Restant interdit quelque instant, imaginant toutes les magnifiques perspectives que cela m'ouvraient, je réagis au bout d'un moment et lui dit
«  Commence par te tourner et écartes tes jambes »
Cette demande avait trois avantages, il me permettait d'admirer le dos nu de sa robe blanche qui faisait ressortir son bronzage et surtout le courbe de son cul mais aussi l'obligeait à bander les muscles de ses jambes ce qui accentuait l'impression que ma femme était montée sur des échasses terminer par un cul parfait. Pour le troisième avantage, Fabienne tournait le dos à la mezzanine ce qui me permis d'envoyer un sms à Thibault en le sommant d'arriver de suite.
Le temps qu'il arrive, je me rapprochai de Fabienne par derrière et sans hésitation je prenais entre mes doigts ses tétons déjà dressés et les faisait rouler sous mes doigts en les pinçant fortement.
« Redit ce que tu viens de dire, je n'ai pas bien entendu »
Pendant qu'elle me répétait ce qu'elle m'avait dit, je prenais possession de ses seins avec mes mains en les malaxant à pleine poignée, ce qui eut pour effet de la faire gémir durant sa phrase.
J'entendis un bruit léger dans la mezzanine, Thibault était arrivé, la soirée pouvait vraiment commencer.
Je demandai à Fabienne de se retourner en gardant les yeux fermés, me mis derrière elle en attrapant à nouveau ses tétons et lui ordonnait de me redire sa phrase magique tant que je ne m'en lassait pas.
Je pouvais voir le visage de Thibault lorsqu'il entendit sa mère dire en boucle«  je suis ta pute pour ce soir, fait de moi ce que tu veux « 
A chaque fois qu'elle le répétait, je triturai de plus en plus ses tétons si bien qu'au bout de la cinquième répétition, sa phrase se mua en gémissement de plaisir.
Je lui demandais de se taire et tout en regardant le haut de la mezzanine, je mettais à nu la poitrine opulente de ma femme en écartant le haut de sa robe.
« Tes seins sont de toute beauté, jolie petite pute, je suis sûr que bien des hommes aimeraient en profiter. Qu'en penses tu ? « 
Comme elle ne me répondait pas, je descendis doucement vers son ventre et lu redemandais plus fermement «  réponds »
Elle murmura «  je pense que oui « 
En me frottant à elle avec envie, je lui murmurais « ton cul est vraiment magnifique, est tu prête à ce que je l'utilise à ma convenance, ma jolie pute. »
Elle me répondit quelque chose qui me fit frissonner à nouveau
« je suis ta pute pour ce soir, fait de moi ce que tu veux « 
« Relèves ta robe que je puisse voir ton sexe et ton cul »
Elle s'exécuta aussitôt et attendit les jambes toujours écartées.
De là ou j'étais je pouvait voir une femme grimper sur des escarpins, avec des jambes interminables enfermées dans des bas qui réhaussaient leur beauté et qui se finissait par un cul magnifique qui n'attendait qu'une seule chose, que j'y entre ma bite qui selon les dires de Fabienne était assez imposante surtout en largeur insistait elle le plus souvent.
Je m'agenouillais derrière elle, écartais ses fesses et commençait à manger son trou du cul utilisant tous ce que j'avais à ma disposition dans la bouche même mes dents,essayant tour à tour de lui mordiller sa rondelle et de la pénétrer avec ma langue. Je savais qu'elle adorait littéralement ce que je lui faisait. Bien souvent, je l'avais fait jouir rien qu'en pratiquant cette caresse anale. Je fut d'autant plus attentif à mes caresses buccales que je savais que nous étions observé, si bien qu'au bout de trois minutes j'entendis la montée des gémissements habituels de Fabienne annonçant sa jouissance prochaine. J'enfouis encore plus ma tête entre son cul, accentuant pénétration et mordillements qui se transformèrent rapidement en morsures légères. Fabienne mis ses mains en arrière, les posa sur ma tête et cria plus qu'elle ne parla » tu vas me faire jouir , tu vas me faire jouir mmmmmm  » et elle ne pus se retenir et tomba à quatre pattes. Cette position facilita encore plus mes caresses si bien qu'elle jouit presque aussitôt en hurlant longuement, son cul secoué par des spasmes de jouissance.

Je la laissai récupérer, ne me permettant simplement que de caresser l'entrée de son sexe ainsi que son clitoris avec le pouce de ma main droite.
Quand elle eut récupéré , je lui dit «  Tu as joui fort, ma petite pute, mais il va falloir s'occuper de moi aussi » et en même temps je la pris par les cheveux, la forçant à se mettre à genoux, la tête incliner vers le haut, prête à avaler mon sexe tendu comme jamais.Je me mis en position pour baiser sa bouche et m'orientait de tel façon que Thibault n'en rate pas une miette.
Bien en place à l'entrée de sa bouche , je dit à Fabienne » ce soir, j'ai envie de baiser ta bouche comme un soudard »
Juste avant que je ne commence à entrer elle murmura «  je suis ta pute pour ce soir, fait de moi ce que tu veux « 
Lorsque l'on à un sexe de bonne taille, il est rare de pouvoir exploiter toute ses capacités mais avec Fabienne je pouvais oublier ce désagrément car elle l'acceptait avec une belle facilité.
Mon sexe était maintenant enfoncé jusqu'à la garde dans la gorge de ma magnifique femme . Je pouvais la voir bouche écartelée, ses yeux humides de la profondeur à laquelle je m'enfonçais. Je me maintins ainsi pendant une dizaine de secondes puis commençait mes va et vient d'abord lentement puis au fur et à mesure de l'humidification de ma hampe par sa salive, je me mis à accélérer finissant par saisir sa tête entre mes mains et à la baiser comme s'il s'agissait de son sexe . Au bout de cinq minutes de ce traitement, le visage de Fabienne s'inonda de rimmel et de larmes mélangées, ce qui ne fit qu'accroitre mon désir.
Je la regardais droit dans ses yeux magnifiques et lui dit » J'aimerais vraiment jouir dans ta bouche mais cela sera pour une autre fois car je me suis promis d'éjaculer dans ton beau petit cul bien cambré.
Je la tournais de telle façon que Thibault puisse voir son anus, lui demandais d'écarter ses fesses et la pénétrai d'une seule traite, dans l'état ou j'étais, ne me souciant absolument pas de savoir si elle était en état de me recevoir ainsi.
Elle poussa un « ahhhhh » qui me rassura sur mon éventuelle brutalité et lui ordonnait » caresses toi la chatte pendant que je t'encules » et je commençais à la besogner comme jamais.
Je me jetais presque contre son cul. Elle, elle résistait tant bien que mal à mes assauts, sentant cependant qu'à chacun de mes coups, elle envoyait son cul chercher le contact. La sentant aussi proche de jouir que moi.
Je lui dit d'une voix forte «  t'es une belle pute qui aime qu'on l'encules, t'aimes qu'on te défonces le cul ,hein, dit le, jolie salope, dit le ,jolie petite pute » et je lui tirais sur les cheveux pour qu'elle puisse voir mon visage et me répondre en me regardant. Sous l'effet conjugué de mes paroles et du surcroit de cambrure de sa position, je vis ses yeux devenir vides, je sentis son cul se resserrer près à être secouer de spasme, je sus qu'elle allait jouir une deuxième fois en moins d'une demi-heure par son cul . Rien que l'idée de posséder une telle femme par son cul me fit jouir aussitôt.
Fabienne sentant mon sexe se vider en elle me rejoignit aussitôt, son cri couvrant à peine le mien.
Je m'écroulais sur elle, ma bite toujours dans son cul et tentait de reprendre mes esprits.
Remis tout juste de cette énorme baise, je lui murmurais en me retirant d'elle «  je pense que ça doit être cuit là maintenant, tu as faim. »
Elle me répondit « je suis ta pute pour ce soir, fait de moi ce que tu veux « et me sourit.

A suivre
Ecrivez moi des commentaires svp, même négatifs cela encourage et améliore ma façon d'appréhender mes textes. Merci.