Ma Vengeance : Chapitre 4 - Daniel
Nous étions allés très loin dans les confidences. Cela nous avait rapproché. Le sexe nous manquait beaucoup. Nous avions le droit à une sortie par mois. Pour moi il nétait pas question de rentrer à la maison. Eric lui pouvait sortir. Il profitait de la présence de Jacques et Françoise dans la maison familiale pour y passer un long week-end. Il me proposa de laccompagner la prochaine fois. Mon père donna son accord.
Eric avait gardé quelques cartes vidéos. Il me proposa de les regarder en nous branlant. Il se déshabilla. Jen fis de même. Nous avions la même stature. Sa queue dressée avait les mêmes dimensions que la mienne. Il sapprocha de moi et commença à me caresser. Il avait démarré la vidéo et je découvris les ébats de ses parents avec Françoise et Jacques. Ils étaient beaux et harmonieux. Nous étions aussi excités lun que lautre. Eric sagenouilla et pris ma queue dans sa bouche pendant que je regardais sa mère se faire sodomiser par Jacques tout en suçant son père. Eric était très habile et jouait de sa langue pour me caresser le gland et la verge. Cétait aussi bien quavec Brigitte. Il me caressait aussi les fesses et ses doigts jouaient avec ma rondelle. Sur lécran Françoise jouait avec les seins de la mère dEric pendant que les hommes accéléraient leurs mouvements. Le père dEric jouit le premier. Se retirant de la bouche de sa femme, il lâcha de longs jets de sperme sur son visage. Jacques continuait à la sodomiser. Sentant quil allait jouir, il se retira, se plaça devant Eliane et se déversa aussi sur son visage. Elle était pitoyable, son maquillage avait coulé, de longs filets de sperme ruisselaient sur son visage. Françoise, abandonnant les seins quelle caressait se précipita pour nettoyer avec sa langue le visage de la mère dEric recueillant le sperme de son père et de Jacques Elles échangèrent ensuite un long baiser. Le père dEric pendant ce temps avait demandé à jacques de lui nettoyer la verge avec sa bouche.
Eric mavait fait jouir au moment où son père arrosait le visage de sa mère et avait avalé ma semence. Jarrêtais le film et lui demandais de sallonger. Je me mis tête bêche pour le sucer. Javais placé un oreiller sous sa nuque pour quil puisse me bouffer le cul. Je sentais sa langue envahir mon anus, cétait sublime. Une fois bien lubrifié, il commença à mouvrir le fondement avec ses doigts. Jaccélérais mes mouvements de succion. Sa queue venait de plus en plus vers moi, il allait jouir. Je serrais les lèvres et recueilli sa semence que javalais.
Tous les soirs nous regardions une des vidéos. Les corps et les pratiques de ses parents, de Jacques et de Françoise navaient plus de secrets pour moi. Ces visionnages étaient pour nous loccasion de nous masturber, nous sucer nous sodomiser et de caresses prolongées.
Les autres garçons du pensionnat étaient peu intéressants. Ils nous laissaient tranquilles. Comme nous avions dexcellents résultats, lencadrement était satisfait. Eric jouait aussi son rôle de chef de classe à la perfection. Jamais personne naurait imaginé que nous avions des relations sexuelles ensemble, tant nous étions des modèles de virilité.
Jétais très attiré par la mère dEric. Jaimais beaucoup ses traits fins, sa bouche qui savait si bien sucer, ses seins lourds aux bouts très longs, son fessier imposant et accueillant. Jen fis part à Eric qui lui aussi était attiré par elle mais savait par Françoise quelle avait refusé la proposition de son père de faire en sorte quil participe à leurs jeux.
Jacques et Françoise avaient annoncé leur venue la semaine suivante. Nous attendions avec impatience ce week-end. Au téléphone il avait annoncé à Françoise quil amenait son camarade de chambre avec lequel il avait des relations intimes. Elle lui avait annoncé aussi une surprise.
Jacques vint nous chercher le vendredi à 17h00. Une heure après nous étions chez les parents dEric. Jacques était très sympathique et se conduisait plus en ami quen employé.
Françoise nous attendait. Elle embrassa longuement Eric qui lui caressa immédiatement les fesses. Elle mexamina et parut satisfaite. Elle mavait préparé une chambre mais Eric lui demanda de nous conduire tous les deux dans celle de ses parents. En y arrivant, Eric pris les choses en main et sous le regard de Jacques et Françoise il me demanda de me déshabiller pendant quil faisait de même. Il mallongea sur le lit, se mit tête bêche et nous entamâmes une fellation réciproque. Jacques sétait rapproché et caressait les fesses dEric et testait sa rondelle quil retrouva très souple. Il se déshabilla très vite, pris un tube de gel dans la salle de bain et revint auprès dEric. Il me dégagea gentiment et me demanda de quitter le lit. Il mit Eric à quatre pattes, enduisit son anus de gel et commença à louvrir doucement. Françoise voyant ma frustration sétait aussi vite déshabillée. Se tenant à genoux devant moi elle avait englouti ma queue et me pompait avec ardeur. Quand à moi je regardais le cul de mon ami souvrir. La verge de Jacques était impressionnante. Quand il lestima prêt, il mis aussi du gel sur son gland, le présenta sur lanus dEric quil embrocha dun seul coup. Eric émit un petit cri de douleur avant de commencer à bouger. Jacques ne faisait rien car cest Eric qui imprimait le mouvement, allant et venant sur la queue de son amant. Javais les mains sur la tête de Françoise et calquais la cadence de sa fellation sur les mouvements dEric. Elle mavait empoigné les fesses et ses doigts jouaient avec mon cul quils pénétraient. Les mains de Jacques jouaient avec les mamelons dEric quil titillait.
Jacques devait sabsenter trois heures et devait revenir avec une surprise. Il se rhabilla et nous laissa avec Françoise qui sallongea entre nous. Elle avait pris nos sexes dans les mains et les caressaient. Noue récupérions doucement. Eric demanda à François de placer son sexe bien ouvert sur mon visage. Avec ma langue et ma bouche, je titillais son clitoris, je pénétrais son vagin. Pendant ce temps Eric avait récupérer le tube de gel et soccupais de lui ouvrir le cul. Il la doigtait et je voyais son anneau progressivement souvrir. Il lui demanda de se placer sur mon sexe et de sempaler. Plaçant sa queue sur son illet il lencula brutalement. Je réglais mes mouvements sur les siens. Je sentais les pointes de ses gros seins sur ma poitrine. Elle haletait, poussait des soupirs de satisfaction, nous demandant de la baiser, de lenculer. Elle était vraiment hystérique et secouait sa tête de plus en plus fort. Sa jouissance fût particulièrement violente. Elle mavait pris les épaules et saccrochait à moi. Elle était à la limite de perdre connaissance. Mon éjaculation entraîna une nouvelle séquence dorgasmes très rapprochés qui continuèrent quand Eric se vida en elle. Son regard était hagard. Ses ongles étaient plantés en moi.
Nous attendions tranquillement le retour de Jacques qui arriva peu de temps après accompagné de deux belles femmes plantureuses dune cinquantaine dannée qui ne furent pas surprises de nous voir nus. Elles avaient un accent américain prononcé. Elles nous embrassèrent avec pour Françoise une caresse appuyée sur ses fesses. Cétait des anciennes clientes dEric quil avait connu dans sa période gigolo. Elles aimaient le sexe et préféraient avoir des jeunes amants performants, endurants, quittes à les payer. Ils sétaient revus aux Etats unis au cours dune soirée avec les parents dEric. Comme elles devaient passer quelques jours à Genève, ces derniers leurs avaient proposé de résider chez eux. Sachant quEric serait présent, ils souhaitaient quil puisse découvrir une nouvelle facette du libertinage. Jacques avait prévenu les parents dEric de ma présence.
Jacques les accompagna dans leurs chambres pour quelles puissent déposer leurs affaires, se préparer et redescendit nu. Elles venaient directement de New-York. Jacques les avait récupéré à laéroport de Genève. Il nous parla de ses anciennes conquêtes. Jane et Mary étaient des américaines fortunées qui avaient beaucoup vécu en France. Elles étaient mariés à des industriels plus âgés qui ne pensaient quà leurs affaires. Elles sétaient constituées un cercle damis qui les satisfaisait.
Elles descendirent nues se tenant par la taille. Elles avaient les formes lourdes des femmes matures avec de gros seins avec de belles aréoles et des bouts développés percés par des anneaux pour Mary qui portait aussi un piercing qui traversait son clitoris. Elles avaient toutes les deux des culs bien formés et bien galbées. Elles étaient épilées.
En les voyant nos queues se dressèrent immédiatement. Jane se plaça devant Françoise jambes écartées et lui prenant la tête, elle colla sa bouche à son sexe. Mary sassit entre moi et Eric et commença à nous caresser la queue. Jacques se présenta devant elle et prenant sa tête, il lui mit sa queue dans la bouche. Elle avait écarté les cuisses. Eric jouait avec son clitoris qui avec le piercing ressortait très bien et moi avec sexe. Elle avait avancé son bassin pour nous faciliter la tache. Voyant quelle sen sortait bien, James libéra sa tête et se saisi des anneaux au bout des seins pour les étirer.
Françoise sallongea sur le tapis. Jane se plaça au-dessus delle tête bêche pour la lécher. La langue de Jane était impressionnante et agile, une vrai petite queue. Elle fouillait le sexe de Françoise. Je me libérai de lemprise de Mary, me plaçais derrière Jane pour la pénétrer, son sexe ayant été bien préparé par Françoise qui, la place étant occupée commença à me lécher les couilles et le cul. Comme Jane ressemblait beaucoup à la mère dEric javais limpression de la baiser.
Mary demanda à Eric de sasseoir et sempala aussitôt sur lui. Jacques qui sétait retiré pour les laisser faire lui enfonça à nouveau sa queue dans la bouche et recommença à lui étirer les seins. Elle nétait pas gorge profonde. Elle jouait de sa langue pour exciter son gland, caresser sa verge. Elle prenait aussi ses couilles dans la bouche puis revenant à sa succion.
La langue de Jane était si efficace que Françoise fût la première à jouir. Terrassée par lorgasme, elle avait abandonné mon cul et mes couilles. Tout en la besognant, je moccupais de ses gros seins que je tenais bien en main. Elle gémissait sous mes coups de boutoir. Mon bas ventre tapait ses fesses de plus en plus fort. Je sentis ma jouissance arriver. Agrippant ses seins je me répandis en elle. Sentant les jets de sperme frapper sa matrice elle exprima son orgasme par un grand cri.
Mary montait et redescendait de plus en plus vite sur le sexe dEric qui jouait maintenant avec les anneaux de ses seins, abandonnés par James qui avait repris sa tête pour lui imprimer la cadence. Mary avait de plus en plus de mal avec ce gros sexe qui lui déformait la bouche. Son calvaire pris fin avec la jouissance de James qui éjacula sur son visage provoquant lorgasme de sa partenaire. Sentant quil allait jouir, Eric força Mary à se lever, lui attrapant la tête, il éjacula dans sa bouche lobligeant à avaler son sperme.
Après avoir récupéré et sêtre nettoyés, Françoise nous proposa son brunch. Je ne pouvais mempêcher de lui caresser les fesses à chaque passage. Elle me remerciait par un petit sourire complice. Mary et Jane étaient visiblement heureuses dêtre avec nous. Je me mis soudain à sourire, imaginant la tête de ma tante et de mon père à la vue de notre assemblée. Jane en voyant mon expression me demanda ce qui se passait. Je lui expliquais en quelques mots ma situation. Elle minterrogea aussi sur ce que je pensais delles, prête à se faire baiser par des jeunes qui pourraient être leurs petits-fils. Je lui répondis que pour moi lessentiel était dans le plaisir donné et reçu et quil n y avait pas de meilleurs professeurs que des femmes dexpérience. Elle me remercia dun baiser. Je lui avouais que jétais troublé par la mère dEric dont les photos ornaient la maison à qui elle ressemblait beaucoup. Elle me le confirma. Je lui posais des questions sur les performances sexuelles de la mère dEric et si javais des chances de la séduire. Elle me répondit que cette dernière marchait au feeling. Comme je ressemblait beaucoup à son fils, cela pourrait peut-être marcher
Elle aussi lavait trouvée troublante et beaucoup apprécié les moments coquins passés ensemble. Elle promis de lui parler de moi lors de leur prochaine rencontre. Elle aimait aussi beaucoup Jacques qui avait été toujours gentil et délicat avec elle, faisant en sorte quelle soit toujours satisfaite.
Comme elles avaient voyagé toute la journée, elles proposèrent daller se reposer pour récupérer. Mary proposa de tirer les couples au sort. Françoise tomba avec Jacques, Eric avec Mary et moi avec Jane ce qui me satisfaisait pleinement.
Jane me prit par la main et mentraina dans sa chambre. Une fois au lit, elle me fit lamour dune façon fabuleuse, prenant toutes les initiatives pour nous permettre datteindre ensemble lorgasme. Nous nous endormîmes dans les bras lun de lautre repus et heureux.
Je me réveillais au petit matin. Elle était penchée sur moi et me regardait avec tendresse. Elle membrassa et me caressa le front en mappelant mon petit chéri. Je la renversais sur le lit et la prit aussitôt. Elle était trempée. Je lui fis lamour doucement avec toute la délicatesse voulue. Attentif à son plaisir, guettant la moindre de ses réactions. Jorganisais la montée de son orgasme. Elle se pinçait de plus en plus les lèvres, son corps se tendait sous mes coups de boutoir. Je me retenais attendant quelle jouisse. Ses ongles s enfonçaient dans mes bras. Elle eu un orgasme fulgurant qui se manifesta par une longue plainte. Je sentis son sexe réagir à chacun de mes jets de sperme et son vagin se contracter. La journée commençait bien.
Nous nous retrouvâmes au petit déjeuner. Eric était particulièrement heureux de sa nuit et se mit à rire en voyant la marque des ongles de Jane sur mes bra. Jacques nous proposa de faire une promenade dans les environs car nous avions tous fait lamour au réveil. Le rendez-vous était fixé dans une heure. Les couples avaient changé et allaient chacun de leur côté. Jétais maintenant avec Mary, Jacques avec Jane et Eric avec Françoise.
Les trois femmes étaient habillée de la même façon : pas de soutien gorge, un chemisier blanc très échancré, une jupe serrée qui mettait en valeur leurs fesses et pas de culotte. Les hommes étaient en short, sans slip et en tee-shirt.
Françoise avait préparé sur une petite table six plugs identiques, de bonne taille pour tout le monde et des tubes de gel. Ils furent vite mis en place.
Nous commençâmes notre promenade La présence des plugs donnait à nos démarches une allure curieuse. Javais remonté la robe de Mary à la taille pour laisser ses fesses accessibles. Tout en les lui caressant, je lui demandais pourquoi elle avait les anneaux aux tétons et le piercing. Elle me répondit que cela augmentait la sensibilité de ses seins et de son clitoris qui du fait du piercing était en permanence décalotté. A ma demande elle ouvrit son chemisier. Je me plaçais devant elle et commençait à jouer avec ses anneaux pour étirer les bouts. Par cette opération, je transformais ses seins qui commençaient à tomber, en obus. Jalternais étirement et caresses. Je lui demandais ensuite décarter les cuisses pour jouer avec son clitoris. Elle était trempée. En pénétrant son vagin avec mes doigts je sentais la présence du plug dans son cul. Elle offrait une image extraordinaire avec sa jupe roulée autour de la taille, son chemisier ouvert, ses gros seins libres avec les anneaux dans les bouts, le plug qui était visible entre ses fesses et son piercing au clitoris. Comme javais mon portable, je lui demandais de prendre des poses particulièrement chaudes et excitantes et pris des photos.
Nous continuâmes ensuite la promenade. Javais remis une main sur ses fesses pour les caresser à nouveau. Nous avions le temps de bavarder. Elle était venue au libertinage car son mari de vingt ans son ainé était impuissant. Ils formaient un couple dintérêt car leurs fortunes étaient liées. Elle avait choisi de faire appel à des gigolos car son mari ne voulait pas quelle prenne un amant dans son milieu. Il lautorisait cependant à participer à des soirées coquines en sa présence. Leurs amis étaient habitués à voir ce vieux monsieur dans un coin un verre à la main. Un couple damis lavait convaincue de se faire poser des anneaux et le piercing. Pendant un moment elle portait même des anneaux sur ses grandes lèvres mais elle les avaient abandonné cat ils déformaient trop son sexe et ils étaient trop lourds à porter. Cétait la première fois quelle faisait lamour à des garçons aussi jeunes. Elle nous avons trouvé très expérimentés et performants pour notre âge.
Nous nous retrouvâmes tous nus dans le salon. Françoise avait été chercher trois godes ceintures aux godes extérieurs plutôt impressionnants. Ils étaient équipés dun gode vaginal. Jacques prit la direction des opérations. Nous étions chargés de sodomiser nos partenaires avant quelles nous sodomisent à leur tour. Du gel était à notre disposition. Les trois filles se mirent à quatre pattes. Nous leurs retirâmes leurs plugs. Elles avaient le cul bien ouvert. Je plaçais du gel sur la rondelle de Mary et la doigtais pour louvrir encore plus. Il était vraiment très souple, ce qui montrait une longue pratique de la chose. Jenduisis mon gland de gel et au signal de Jacques, qui avait attendu quon soient tous prêts, nous les pénétrâmes. Mon sexe rentra sans problème à la première poussée, comme celui des autres. Nous entamâmes notre chevauchée. Jacques était le plus nerveux et rapide alors quEric et moi prenions notre temps. Pendant que Mary jouait avec son piercing et se doigtait le vagin, javais saisi les anneaux de ses seins et je jouais avec. Jane et Françoise se masturbaient alors que Eric et Jacques avaient empoignés leurs seins quils travaillaient. Mary me demanda daccélérer la cadence et de lui défoncer le cul. Sa main sagitait frénétiquement sur son sexe. Avec les anneaux je martyrisais le bout de ses seins. Elle eut un premier orgasme, puis un deuxième aussitôt. Sentant que jallais exploser, jétirais au maximum ses seins avant déjaculer en poussant un grand cri. Jacques suivit rapidement et Eric peu de temps après que leurs partenaires eurent exprimés leur jouissance. Elles étaient allongées sur le ventre, leurs culs bien ouverts doù coulaient des filets de sperme. Nous étions au dessus delle la verge molle doù pendait les dernières gouttes de semence. Jaidais Mary à se relever. Elle membrassa longuement et me remercia davoir compris quen fait sa jouissance était faite de plaisir et de douleur et quen martyrisant ses seins javais vu juste.
Après une pose ou les femmes purent se laver, elles descendirent godes ceintures en place. Elles nous placèrent en position après nous avoir ôté nos plugs. La main de Mary était très habile et je sentais mon cul souvrir facilement. Quand elle eut passé quatre doigts elle mestima prêt. Elle attendit que les autres le soient aussi et au signal elle mencula. Je ressentis une petite douleur au passage du gland. Elle sen aperçu et attendit que mon cul shabitue à son gode puis elle se déchaina. Elle avait attrapé mes tétons quelle pinçait, quelle triturait. Je me branlais au rythme de ses pénétrations. A limitation de Françoise elles se mirent à nous traiter de pédales, de tantouzes, disant que nos culs nétaient que des garages à bittes. Lexcitation montait dun cran. Mary me faisait mal aux tétons mais ce nétait pas désagréable. A un moment elle me demanda de changer, de moccuper de mes tétons pendant quelle allait me traire, me faire cracher mon sperme. Elle me branlait dune main avec une certaine violence et de lautre me frappait les fesses qui devenaient toutes rouges. Elle minsultait, me traitait de tous les noms. Etant au sommet de son excitation, elle un orgasme violent qui la fit momentanément abandonner ma queue et arrêter sa fessée. Après un petit temps de récupération, elle repris sa sodomie. Prenant mes couilles dans une main et ma queue de lautre pour me branler elle narrêtait pas de me dire : « crache, crache ton jus crache salope ». Elle me dominait complètement. Je sentais que jallais venir et le lui dis. Elle se retira brutalement, me retourna et se précipita sur ma queue pour lemboucher. En quelques mouvements je crachais ma semence quelle avala. Elle retira son gode ceinture et me força à nettoyer le gode vaginal recouvert de ses sécrétions et le gode extérieur. Satisfaite de mon travail elle me donna un long baiser en me disant que jétais une bonne petite salope.
Eric alors que Françoise avait eu son orgasme navait pas pu éjaculer car il navait pas suffisamment récupéré. Quand à Jacques les simples mouvements sur sa prostate avaient suffit à le faire juter.
La pause déjeuner nous fit du bien. Jacques nous proposa de faire une sieste. Je retrouvais donc Mary dans sa chambre. Elle me confia alors quelle devenait de plus en plus masochiste. Elle avait découvert à New-York un club libertin uniquement consacré aux jeux de domination et de soumission. Comme elle était seule elle sy était rendue. Elle avait rencontré un jeune couple de dominas qui lavait prise en main et lui demandé de se faire poser les anneaux et le piercing. Elle aimait ce mélange plaisir souffrance, cette soumission quils lui imposaient. Elle retournait les voir de plus en plus souvent et sen inquiétait surtout vis à vis de son mari. Je ne pouvais rien faire pour elle en dehors de lui travailler les seins. Elle me fit promettre de nen parler à personne. Je la laissais se reposer.
Je retrouvais Eric, qui avait de même avec Françoise. Nous sortîmes dans le jardin. Je lui demandais sil pouvait installer chez moi un système denregistrement audio et vidéo pour confondre éventuellement ma tante et se venger delle. Il me répondit que cela devait être possible sous réserve quil puisse accéder à la maison. Il fallait donc que je demande à mon père de linviter à maccompagner la prochaine fois que je retournerai à la maison.
Parlant de la ressemblance de sa mère avec Jane, je lui indiquais que javais demandé à cette dernière de dire à sa mère que les photos que javais vues delle mavaient troublé. Je navais pas pu dire à Jane sous peine de nous trahir, que je avais vu Eliane à luvre et que javais flashé sur elle. Eric me remercia de ma franchis. Il était aussi troublé que moi par sa mère et aurais souhaité aussi que cela aille plus loin. Il me proposa daller rejoindre Jane pour la baiser en imaginant que cétait sa mère.
On alla frapper à la chambre de Jane. Jacques nous céda volontiers la place et nous retrouvâmes Jane dans le lit. On lui expliqua que fantasmant sur la mère dEric, nous souhaitions la baiser ensemble à cause de sa ressemblance avec elle. Elle se mit sur le dos et nous attira contre elle en nous embrassant. Eric lui demanda décarter les cuisses et se mis à lui lécher le sexe. Visiblement Jacques avait profité de la sieste pour la sodomiser une nouvelle fois. Tant mieux ce serait plus facile. Moi javais pris en mains ses seins. Ils étaient encore très fermes et ses mamelons très sensibles. Je présentais ma queue dans sa bouche et elle se mit aussitôt au travail. Elle utilisait sa longue langue avec une efficacité redoutable. Je nen avais jamais vu de pareille. Je comprenais ainsi le succès quelle avait auprès des femmes. Elle était puissante et pouvais senrouler autour de ma verge et la caresser. Eric se plaça sur le dos. Jane vint au-dessus de lui afin quil la baise. Son cul était accessible et jallais men occuper. Le sperme de Jacques me facilita le travail. Son cul était encore ouvert. Je le travaillais un peu pour le dilater et très vite jétais en elle. Eric soccupait de ses seins et moi de ses fesses. Nous coordonnâmes rapidement nos mouvements. Jane était visiblement heureuse dêtre baisée par des si jeunes garçons ardents et terriblement efficaces. Ses soupirs de contentement de plus en plus forts en étaient la preuve. Son premier orgasme fut brutal et suivi dune succession dautres et terminés par nos éjaculations. Je mimaginais que cétait la mère dEric que je faisais jouir et cela quintuplait mon plaisir. Jane se remit sur le dos, nous attira vers elle pour nous couvrir de baisers en nous appelant ses tous petits.
Jacques avait retrouvé Mary et Françoise pour dautres coquineries.
Nous restâmes longtemps dans les bras de Jane. Jétais très bien et Eric aussi. Nous avions chacun notre sein que nous sucions pendant quelle nous caressait la tête. Jane nous raconta en détail ses rencontres avec sa mère. Ils formaient avec son père, Jacques et Françoise un groupe soudé. Leur entente et leur complicité sexuelle étaient parfaites. Jane nous avoua quelle navait pas connu depuis très longtemps une séance de cette qualité
La fin de la journée se passa très bien, les corps étant sevrés de caresses. Ils passèrent une très bonne soirée à discuter. Mary et Jane étaient particulièrement intelligentes et intéressantes et leurs firent partager les affres de la Finance
Je racontais une nouvelle fois mes soucis avec ma famille. Nous approfondîmes le projet de surveillance de ma tante, Françoise et Daniel étant prêts à nous aider. Jane pouvait aussi, mettre à notre disposition un détective privé en France.
Nous partîmes nous coucher. Cette fois-ci, javais hérité de François. Avant de nous endormir nous fîmes lamour tranquillement. Cette fille était un amour. En réfléchissant bien tout ce qui métait arrivé, depuis mon départ de la maison ce nétait que du bonheur. Il fallait cependant quelle paye laddition cette salope.
Françoise attendît que je me réveille. Elle membrassât tendrement, sassura que ma queue était dressée sempala dessus et entama une furieuse chevauchée. Elle travaillait mes mamelons sachant que cétait un endroit sensible pour moi. Le résultat ne se fit pas attendre, jexplosais rapidement en elle. Elle continua ses mouvements jusquà jouir elle-même. Elle me remercia dun nouveau baiser.
Jacques me proposa daller faire un tour à Genève avec Jane et Mary, pendant quil voyait avec Eric et Françoise des points concernant la propriété. Mary et Jane étaient très élégantes dans leurs tailleurs très chics. Jacques nous déposa sur le quai du Mont Blanc au bord du lac. Il devait nous reprendre quatre heures après.
Elle mavait pris par le bras et nous nous promenions dans le parc des Eaux vives au bord du lac. Jétais très fier de me promener avec ces belles femmes élégantes. Les gens pensaient sans doute en nous voyant : « tiens des mamans avec leur fils ou leur neveu ». Ils ne pouvaient pas simaginer quils avaient affaire à deux femmes et leur amant et que depuis deux jours, ils navaient pas arrêtés de faire lamour. Elles avaient été baisées, sodomisées, elles avaient dû sucer de nombreuses queues et elles avaient surtout enchaîné orgasmes et jouissances sur orgasmes et jouissances.
Elles minvitèrent au "Patara" un excellent restaurant Thaï primé au guide Michelin sur le quai du Mont Blanc. Il bénéficiait dune très belle vue panoramique. Une fois installés, je leur demandais daller aux toilettes, de retirer leur petite culotte, de bien les imbiber de leurs sécrétions. La gagnante, celle qui mamènerait le plus dodeurs, aurait une récompense. Elles sexécutèrent et me ramenèrent le bout de tissu. Elles avaient dû certainement se branler pour provoquer le maximum de secrétions. Je les portais à mon nez. Elles étaient trempées. Je respirais leurs odeurs cétait sublime. Je déclarai Mary vainqueur car sa petite culotte dégageait plus deffluves. Je le fis constater aux deux « concurrentes » qui reconnurent la justesse de mon choix. Je profitais de labsence du serveur pour vérifier létat de leur chatte. Elles sétaient bien masturbées pour arriver à leur fin.
Jane prit en note tout ce que je savais sur ma tante. Je lui parlais aussi des deux employés engagés la veille de mon départ quelle paraissait bien connaître. Elle me promit de contacter le détective privé qui me ferait parvenir un rapport dans les semaines à venir. Elle prenait tout en charge. Cétait son cadeau de remerciement pour les moments passés ensemble. Régulièrement, je sortais de ma poche les petites culottes pour mimprégner de leurs odeurs. Notre table bien placée, était plutôt grande. Elle était recouverte dune longue nappe qui cachait nos jambes et nous permettait quelques petites fantaisies. Je leur demandais de remonter leur jupe et décarter les cuisses pour me permettre datteindre leur sexe. Javais moi-même sorti ma queue et placé la main de Jane dessus. Elle avait commencé immédiatement à me branler. Je moccupais de leurs sexes. Mes doigts jouaient avec le piercing de Mary et le sexe de Jane. Cétait très excitant dêtre dans ce restaurant très chic avec des maitres dhôtel stylés, des clients élégants et fortunés et de savoir ce qui se passait sous la table. Je demandais à Mary daider son amie pour me branler. Javais prévu déjaculer dans leurs petites culottes que javais préalablement sorties de ma poche et placé sur mes genoux. Elles essayaient de se tenir en place mais avait du mal avec mes doigts qui fouillaient leurs sexes. Nos jeux furent interrompus par les maitres dhôtel nous apportaient le premier plat. Jaccélérais mes mouvements et eu la satisfaction de les voir jouir avec discrétion. Jempoignais alors ma queue pour me finir. Mes soubresauts finaux indiquèrent à mes voisines que jéjaculais. Javais pu récupérer mon sperme dans leurs petites culottes. Je leur rendis. Elles les remirent rapidement dans leurs sacs. Je plaçais les doigts de Jane pour recueillir les dernières gouttes quelle porta à sa bouche. Je remis ma queue dans mon pantalon.
Elles me traitèrent en rigolant de pervers malade. Elles avaient bien apprécié mon culot et mes initiatives. Jane me demanda si je naurais pas préféré être avec des filles de mon âge. Je lui répondis que je les trouvais insipides, sans intérêt. Jétais peut-être un pervers mais je savais ce que les femmes mûres pouvaient mapporter et ce que je pouvais leur donner. Un petit geste de leur part me montra quelles avaient apprécié la réponse.
Jacques nous attendait. Une fois sorti de Genève, je lui demandais de passer le volant à Jane et de me rejoindre à larrière de la limousine qui avait les vitres très fonçées. Il fallait récompenser la gagnante. Jacques et Mary se déshabillèrent. Jacques sassit sur le côté et Mary sempala sur lui et commença les mouvements de va et vient. Jacques était utilisé comme sextoy. Jattrapai les anneaux et commençait à travailler ses seins. Je calquais mes gestions sur les expressions du visage de Mary : satisfaction, douleur, satisfaction, douleur etc. Jacques allait exploser sous le rythme que lui imposait Mary. Il se vida en elle provoquant son orgasme. La voyant jouir, je tordis ses anneaux pour provoquer la douleur qui allait parfaire sa jouissance.
Pour nous il était lheure de rentrer dans notre prison. Les adieux furent déchirants. Nous étions montrés des partenaires fiables, vigoureux et performants. Elles nous donnèrent leur adresse et promirent de rester en contact par internet. Jane massura quelle prenait contact avec le détective privé. Françoise nous prit dans ses bras et se mit à pleurer. Elle aurait aimé que cela continue.
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