Saga Familiale 1°Partie
En 1890, mon arrière, arrière, arrière grand-mère, Germaine se mariait. Comme souvent à l'époque le mariage était arrangé pour de simples raisons d'intérêts. Elle épousait donc, sans amour particulier un garçon gentil sans plus. La nuit de noce devenait horrible: se faire dépuceler sans douceur était presque la norme. Elle supportait ça, parce qu'une jeune mariée ne pouvait l'éviter. Un jour un jeune homme lui faisait une cour très poussée: il la trouvait très belle (ce qui était le cas), la trouvait séduisante et
.Il ne finissait jamais ce genre de phrase. Germaine se doutait bien des mots suivants. Il voulait la baiser, même si ce mot était encore tabou. Au cours d'une réception chez des amis du couple, il l'invitait à danser. Là encore, il lui repartait là même rengaine sauf qu'il ajoutait pour la première fois qu'il désirait coucher avec elle.
Ce n'est qu'à ce moment qu'elle sentait comme un creux dans ses reins. Elle aussi le désirait, d'autant plus qu'une de ses amie, taxée d'impudente lui racontait ses jouissances, ce qui était rare à l'époque très collet monté. Il lui donnait rendez vous chez lui, dans sa garçonnière. Troublée, elle ne savait pas quoi faire. Finalement elle se rendait au rendez vous, bien décidé à ne pas céder. Femme qui se rend à un rendez vous galant, refuser de coucher ? La belle blague. Il était élégant dans sa robe de chambre quand il lui offrait un verre de porto. Il la faisait s'asseoir sur un fauteuil, lui sur un autre juste en face. Il répétant toujours la même chose: il la voulait dans son lit, pour faire l'amour. Faire l'amour, elle connaissait, son mari, une fois par semaine le lui faisait, vite fait, sans penser un seul instant à elle.
Pour être aimable avec son hôte, elle acceptait, rien que pur lui faire plaisir.
Il la faisait se lever, l'embrassait sur la bouche. Germaine ne savait même pas embrasser un homme. Elle était surprise que la langue de cet ami cherche à lui faire ouvrir la bouche pour lui mettre la langue.
Ils allaient se coucher: il la caressait partout, surtout les seins au début. Ses mains descendaient vers son bas ventre et venaient s'insinuer entre ses cuisses. Elle se laissait faire: pour la première fois elle était dans un lit, nue avec un homme nu. Et en plus cette main qui commençait à lui donner à nouveau un creux aux reins. Elle sentait que son sexe se mouillait tout seul. Elle avait envie que la main lui caresse le sexe, elle ne savait par où encore. Pourtant quand son amant lui mettait un doigt sur le bouton, qu'elle ne connaissait même pas, elle désirait pour la première fois qu'il le lui caresse longtemps.
Il la branlait dans les règles de l'art. Enfin elle se crispait et jouissait. Cette découverte lui donnait envie de recommencer. Au moment où il enlevait la main de son sexe, elle le retenait: encore une fois. Et encore une fois elle se faisait branler. Il avait la patience de recommencer. Après cette seconde jouissance, il venait sur elle. Elle remarquait la bite épaisse, bien bandée, différente en tout cas du peu qu'elle avait vu de son mari. Elle restait les jambes ouvertes. Il en profitait pour lui mettre très lentement la bite dans le vagin. Elle le laissait faire, simplement en remerciement. Elle ne se doutait pas de la suite: il la baisait avec précaution: sa queue rentrait très lentement pour qu'elle profite du moindre instant de sa baise. Il allait et venait en elle quand à son tour elle se mettait elle aussi à bouger à la même cadence.
Elle prenait un peu de sperme d ans sa main pour le voir de plus près. La curiosité lui faisait en pendre un peu dans ses doigts pour le sentir d'abord et le goûter ensuite. Elle voulait découvrir ce liquide gluant qui venait de la queue de son amant. Elle le trouvait agréable. Elle le disait à cet homme à qui en était étonné qu'elle aime bien ce qu'elle ne savait pas qualifier. Elle en aurait voulu encore. Il ne le pouvait. Alors passant par-dessus les conventions elle lui prenait la queue dans la bouche à la recherche d'un peu plus de sperme. Sans le savoir elle excitait encore son amant, le faisait bander. Elle le gardait en bouche. Pour lui, elle agissait comme les filles du bordel. Elle le gardait, lui léchait la queue et le faisait jouir encore un fois, cette fois tout le sperme allait directement dans sa bouche. Elle le gardait longtemps, dégustant, le faisant passer d'une joue à l'autre pour en avoir plein la bouche.
Le temps passant elle baisait le plus possible avec son amant, jusqu'au jour où elle rencontrait un autre homme semble-t-il plus vicieux que le premier. Il la faisait jouir d'autres façon: il lui suçait le con avant de la lui mettre de façon classique d'abord et ensuite il la sodomisait. Elle n'aimait pas tellement au début pour arriver au moment où elle ne pouvait plus se passer de pine au cul. Elle le demandait presque avant qu'il la suce. Quand il lui apprenait le 69, pour elle c'était autre chose: une langue sur son clitoris, deux doigts dans son cul et autant dans le cul de l'amant qui en profitait avec sa bite léchée et sucée.
Elle fréquentait de plus en plus le "salon" de celle qui lui avait décrit ses orgasmes. Un après midi qu'elles étaient seules, elle confiait qu'elle avait un amant qui la faisait jouir sans doute plus que son amie. Elles arrivaient à décrire en détail leurs baises. Bien sur elles devenaient de plus en plus excitées.
Que font deux femmes jeunes pleines de désirs de jouir: elles faisait ce qui se faisait bien avant elles et bien pus tard.
Sans se concerter, elles se déshabillaient avec toujours autant de bébêtes à enlever. Nues enfin, Germaine venait embrasser son amie sur la bouche pour faire comme ses amants. Elle prenait les initiatives comme si elle savait déjà comment faire jouir l'autre. Elle prenait exemple sur son vécu. Sa main allait se nicher entre les jambes pour y chercher le clitoris qu'elle caressait sans cesse jusqu'à ce que son amie se crispe en jouissant. La caresse était rendue. Dans la chambre elles se donnaient l'une à l'autre. Pour Germaine le 69 était différent qu'avec son amant: elle prenait un con en bouche au lieu d'une bite. Elle faisait jouir et jouissait ainsi, avec en plus deux doigts dans le cul de son amie.
Germaine avait ainsi un premier amant qui l'avait déglacée, une deuxième qu'elle avait toujours et une tendre amie.
Plus tard elle avait plusieurs s, dont un dont elle savait qu'il était l' d'un autre que son mari.
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