Premiers Pas Aux Chandelles...
À peine installée à la table que Philipe avait choisie, je regardais autour de moi. Jessayais de repérer quelques beaux spécimens mais personne, sur le moment, ne semblait se démarquer. Mais je ne men inquiétais aucunement, jétais tellement assoiffée dexpériences et de sensations nouvelles! Je navais encore jamais rencontré de difficulté à séduire un homme, ou même une femme. Alors jétais confiante et assez motivée, disons, à passer une soirée
intéressante. Mes adultères réguliers, au lieu de me satisfaire, me rendaient tellement affamée de nouvelles sensations, que je voudrais vivre encore et encore.
Je me tournais vers Philippe dont les yeux étaient fixés sur ma poitrine, qui débordait de mon corset noir, lequel était un peu trop petit pour moi. Excitée par son regard sur moi, je mapprochais tout près de lui et, le regardant droit dans les yeux, je pris sa main pour la mener sous ma mini-jupe, noire elle aussi.
Philipe me fit des yeux ronds et faussement surpris quand il toucha ma chatte du bout des doigts, réalisant que javais volontairement omis de mettre un sous-vêtement. Il sapprocha pour membrasser, mais je reculais légèrement, prenant plaisir à lagacer.
- Pourrais-tu chercher quelque chose à boire, mon chéri ?
En guise de réponse, il poussa un grognement sourd, magrippa doucement mais fermement par les cheveux, et mobligea à lembrasser. Je sentais déjà son érection, collée à moi. Sa langue força mes lèvres et je répondis à son baiser fougueusement
avant de le repousser vivement. Avec un clin dil et mon sourire de séductrice, je lui fis comprendre que je voulais avant tout boire un verre.
Il prit un air obligé et frustré.
- Bon, daccord, je reviens très vite, dit-il, avant de membrasser à nouveau en me pressant contre lui.
À ce moment, une jeune femme, grande et blonde, sapprocha de notre table, accompagnée de deux hommes. Lun était petit, très musclé, tenant des flûtes et une bouteille de champagne à la main.
- Peut-on se joindre à vous ? Si vous aimez le champagne et la compagnie ?
Je regardais mon homme du coin de lil
Il avait toujours discrètement sa main sous ma jupe, et ne semblait pas penser à la retirer. Il sourit simplement, amusé, et accepta chaleureusement la proposition.
- Sûr que ça nous ferait plaisir! Je mappelle Philippe, et voici ma compagne, Annabelle.
Philippe continuait de me serrer contre lui et il était toujours bandé quand il me lâcha pour prendre le verre que la jolie blonde, Vicky, lui tendait.
Il se trouvait que lhomme à lair timide était le copain de Vicky, Samuel. Lautre était le cousin de Samuel. Les deux autres lappelaient Jim.
Moi, je narrivais pas à décider lequel était le plus de mon goût. Ils étaient si différents. Je métais sentie flattée par le regard admiratif et terriblement gêné à la fois de Samuel. Il ne me regardait jamais directement, mais dès que javais le regard ailleurs, je sentais quil me regardait. Cela mallumait beaucoup, et je me surpris à mimaginer lérection qui devait être déjà présente
Oui, son air timide mexcitait énormément
même sil navait pas lassurance de son cousin.
Jim avait des yeux marron, un regard intense.
Il dégageait de lui beaucoup dassurance et son attitude était chaleureuse, joviale. Ses blagues ont rapidement permis de détendre latmosphère. Ils parlèrent dabord de choses futiles, mais la conversation prit vite une tournure plus salée. Candaulisme, triolisme, on discutait de différentes expériences sexuelles et notre groupe damis semblait assez ouvert desprit.
Vicky, quant à elle, semblait avoir tout au plus 21 ou 22 ans. Un joli visage, des yeux verts magnifiques et une petite moue ine, adorable. Son nez retroussé lui procurait un air frondeur. Elle avait des formes généreuses et la silhouette dune fille très sportive.
Le champagne était exquis et je commençais à en ressentir leffet.
Soudain, alors que les lèvres de Philippe effleuraient mon décolleté, Jim posa sa main sur mon genou droit, en remontant très lentement et sarrêtant tout près de lentre-jambe. Un frisson délicieux me traversa et je ne réussis pas à mempêcher de pousser un gémissement de plaisir, qui résonna beaucoup plus fort que je ne laurais voulu.
Je savais que tous mobservaient depuis un moment, même sils continuaient leur conversation, et je dois dire que mon excitation ne faisait quaugmenter à cette seule pensée. En mentendant gémir ainsi, leur conversation stoppa net. La tension était désormais palpable, le désir prenait trop de place. Vicky avait commencé à caresser Samuel à travers son jean.
On trouva alors un endroit plus tranquille, les coins câlins. Je me laissais guider, étourdie par le désir.
Je pris alors une initiative assez audacieuse. Je mapprochai de Samuel et lui fit un sourire pour le rassurer, avant de magenouiller devant lui et de poser mes lèvres sur son jean, là où je devinais son érection. Je vis le désir monter en lui, alors quil jetait un coup dil paniqué à sa copine.
Vicky, stupéfaite, semblait encore se demander comment réagir lorsque Philippe arriva derrière elle, posant ses mains sur ses hanches, la pressant contre lui. Je me sentie soulagée de la voir répondre à ses avances. Elle aurait pu se sentir trompée, considérer cela comme une infidélité, quen sais-je? Rassurée, je reportais mon attention sur Sam.
Il tremblait presque, de peur ou de désir
ou peut-être des deux. Cétait mignon. Et ça me stimulait encore plus.
Je lui souris, coquine, et je défis sa ceinture.
- Tinquiète, tu nes pas en train de la tromper.
Il avait un air figé, mal à laise.
- Mais ça peut aussi être excitant, de se sentir infidèle, non? lui chuchotais-je, le regard malicieux, avant de poser ma bouche sur son gland.
Ces mots firent leur effet et je le senti enfin se détendre, se laisser aller. Il gémit au contact de ma bouche, et je ne le quittais pas des yeux alors que je promenais ma langue sur son membre, très lentement.
Du coin de lil, je perçu un mouvement. Vicky et Philippe se caressaient et sembrassait avidement alors que Jim, assis confortablement dans un des fauteuils, avait commencé à se masturber en mobservant : il tenait son verre dune main et se branlait de lautre, lair allumé. Le regard que je lui ai alors lancé était une invitation en soi, quil neut aucun problème à décoder. Il déposa son verre.
Ma langue, à la base du sexe de Sam, remonta lentement jusquau gland. Le regardant toujours, à laffut de ses gémissements et de ses mimiques, jenfouis ce gros pénis en entier dans ma bouche, jusque dans ma gorge.
Délicieux de le voir perdre ses moyens, de lentendre gémir de plaisir
Je le gardais quelques secondes encore dans ma bouche, sans bouger, avant de le repousser pour me redresser.
Jim me saisit fermement pour membrasser, dune façon exquise qui mit tous mes sens en éveil, alors que Samuel me serra contre lui, fou de désir
Je sentais son sexe, tellement bandé, se frotter sur ma cuisse. Il embrassa fiévreusement mon décolleté et, dun geste empressé, libéra mes seins rond de lemprise de ce corset, pour pouvoir enfin les embrasser et les sucer avec une gourmandise quil ne tentait même pas de dissimuler
Jim, qui navait toujours pas arrêté de se masturber dune main, délaissa soudainement ma bouche et se mit à sucer mon mamelon droit en pressant mon sein de son autre main. Je me sentis perdre le contrôle, étourdie de désir. Ils me firent assoir dans un fauteuil, entre eux, tout en continuant de membrasser et de me caresser les seins.
Je le fixais, le défiant du regard, et je souris en écartant les jambes le plus que je le pouvais devant lui.
- De quoi as-tu envie, maintenant ?
Je pensais quil maurait immédiatement pénétrée, à voir la grosseur de son érection et à ressentir son excitation monter. Mais, à ma grande surprise, il saccroupit et je sentis sa langue sur mon clitoris. « Oh, oui ! »
En mentendant gémir, Jim plaqua sa bouche contre la mienne. Sa langue força mes lèvres et chercha la mienne. Sa langue qui tournait autour de la mienne, sa main qui masturbait son pénis, la langue de Sam qui se promenait sur mon clito et partout sur ma chatte, tout cela était si excitant que devins impatiente et affamée
Et très cochonne.
Excité par mes gémissements incessants, Jim se redressa et continua de mobserver en se branlant, sa queue placée tout prêt de mon visage. Sam pénétra un doigt à lintérieur de ma chatte, et ensuite un deuxième.
Lexcitation avait atteint un tel paroxysme que javais du mal à ne pas crier de plaisir. Javais envie de plus, de beaucoup plus. Ma chatte était complètement trempée, mon vagin se contractait de désir.
- Sam, baise-moi ! Rentre-la tout de suite !
Même si jessayais de le repousser, il continuait de me manger et me léchait encore plus fort, plus rapidement, en ignorant mes supplications et mon impatience... « Ohh ! Cest trop bon ! »
En tournant la tête vers la droite, je me cognais contre un énorme pénis, bandé au maximum. Je levai les yeux vers Jim, qui me lenfonça immédiatement dans la bouche, lisant dans mon regard que cétait ce dont javais envie.
Jétais très allumée par les énormes proportions de son sexe, tout comme jadorais quil tienne ma tête immobile, pour mieux lenfoncer au fond de ma gorge, en entier.
Je sentis alors lénorme sexe de Sam senfoncer rapidement et profondément en moi, tenant mes jambes pour les garder bien écartées. Surprise et soulagée, je voulu crier mais Jim étouffait mes gémissements et il gémissait de plaisir en continuant à baiser ma bouche. Constatant que ça mexcitait à ce point, il accéléra la cadence.
Pendant quelques secondes, je me suis sentie comme un objet sexuel, alors que Jim et Sam prenaient leur plaisir et maintenaient un rythme rapide, me baisant toujours plus fort, encouragés de mentendre en redemander encore. Puis enfin, Jim se retira tout dun coup et membrassa, trop excité pour continuer.
Sam me donna encore quelques coups, puis se retira et vint tripoter mes seins à nouveau.
Mes gros seins, ronds et fermes, semblaient le titiller et lexciter plus que tout. Il les léchait, les mordait, les suçait, les palpait
et comme cest un de mes points faibles, il ne faisait quexacerber mon excitation. « Viens par ici
», lui demandais-je.
Il voulut membrasser, mais moi, javais plutôt envie de goûter encore à cette queue qui mavait donné tant de plaisir !
Je les ai donc repoussé tous les deux et leur ai tourné le dos. Jai enlevé ma jupe et je me suis penchée. Regardant par-dessus mon épaule, jai observé avec impatience Jim sapprocher de moi et poser ses mains sur mes fesses, quil massa et caressa longuement.
Je commençais à sucer Samuel, qui couinait de bonheur et me répétait combien il aimait ma bouche, quand je ressenti une sensation étrange et agréable à la fois sur mon anus.
Jim léchait mon anus, du bout de sa langue. Gémissant de plus belle, je suçais Sam encore plus vite, plus fort. Ma chatte, bien mouillée, nen pouvait plus et en demandait encore.
Jétais si impatiente et excitée que, nen pouvant plus, je bougeais et jenfourchais directement lérection de Samuel, alors que Jim recommençait à secouer la sienne en me caressant. Je me couchais sur lui, bougeant les hanches, enfonçant dun coup rapide son engin jusquau fond de moi et le retirant très lentement, pour profiter davantage de cette sensation que ma chatte désirait si fort.
Lorsque mon impatience diminua un peu, je ralentis le mouvement et Jim pu exciter à nouveau mon anus. Il le mouilla si bien comme il faut de salive, tellement bien, que ma chatte en dégouttait.
Tandis que je chevauchais lentement et langoureusement Sam, je sentis Jim entrer sa langue dans mon anus, le plus loin quil le pouvait. Je me mis à gémir, à gémir
toujours de plus en plus fort, tremblotante de plaisir. Il se masturbait toujours, le pervers, en mangeant et en pénétrant mon cul comme sil adorait ça.
Excitée comme jamais, javais terriblement envie de ce qui allait venir. Javais envie de sentir ces deux pénis en érection en moi et cette seule pensée memmenait déjà tout près de lorgasme.
Me délectant de bien-être, je regardais autour et je repérais Philippe et Vicky. Mon homme était en sueur, et je sentis son plaisir en croisant son regard. Non seulement Vicky était très excitante, à quatre pattes et bien écartée, mais il prenait royalement son pied en me regardant me faire baiser par deux gars en même temps.
Lintensité de son excitation, que je pu lire dans ses yeux troublés, ne fit quaugmenter la mienne et je saisis fermement le membre viril de Jim, pour enfoncer doucement son gland dans mon anus. Je regardais Philippe et, provoquante, je gémissais de plus en plus fort, sentant Jim aller et venir assez rapidement, enfonçant le bout de son pénis toujours un peu plus loin. Sam bougeait légèrement, me laissant mhabi doucement, jusquà ce que le sexe de Jim soit entièrement en moi. Le va et vient sintensifiait et je criais de plaisir, jen voulais encore...
Me regardant ainsi, Philippe accentuait son propre rythme, à mesure que son plaisir continuait de grimper. Vicky gémissait plus fort aussi et jadorais entendre le plaisir que mon homme lui procurait.
Jim se retira soudain et je sentis un liquide chaud couler dans mon dos et sur mes fesses. Alors, je retirais le pénis de Samuel et je le pris dans ma main. Je magenouillais à nouveau devant lui, ne donnant que quelques coups de langues sur son sexe, et je le masturbais en le regardant. Je sentais son membre se raidir, tout prêt dexploser. Quelques secondes plus tard, je recevais son jet partout sur mes seins.
Avec un sourire et un clin dil, je délaissais soudainement mes deux étalons pour me diriger vers Philippe et Vicky.
Une image parfaite soffrait à moi alors que je me tenais tout près deux, en train dessuyer tout le sperme dont javais été aspergée. Vicky était couchée sur le dos, magnifique dans sa robe satinée rouge et ultra courte exactement le genre de robe quil me fallait trouver pour notre prochaine soirée aguichante ! Sa jupe relevée, elle se tenait les jambes bien écartées et gémissait langoureusement, les yeux fermés comme pour ressentir davantage cette gigantesque érection au fond delle.
Elle sursauta au contact de ma bouche sur ses beaux seins, qui jaillissaient de sa robe et se balançaient, au rythme des coups de bassin de Philippe. Après avoir embrassé ses seins doucement, je fis tourner ma langue autour de son mamelon tendu, dabord très lentement puis plus rapidement. En entendant ses gémissements sintensifier, puis devenir des cris de plaisir intense, jembrassais et mordillais ses mamelons.
Philippe, qui maintenait déjà une cadence assez rapide, accéléra de façon intense, ce qui fit hurler Vicky. Mais avant quelle nait pu jouir, il se retira et éjacula sur son ventre
et sur sa chatte déjà trempée.
Après avoir embrassé rapidement Philippe, qui tentait de reprendre son souffle, je me penchais pour lécher le sperme qui avait coulé sur sa chatte. Stimulée, elle magrippait par les cheveux et ondulait son bassin. Elle se remit à gémir de plus belle, et je nettoyais toute sa chatte du sperme de mon homme. Je mattardais ensuite à son clitoris, et il ne me fallut que quelques secondes pour lui faire atteindre la jouissance quelle espérait.
En me relevant, je fus enlacée par les bras puissants de Philippe, et je fus surprise de constater que, à nouveau bien bandé, il était encore plus excité et semblait presque prêt à recommencer.
Je lui souris et je lembrassais tendrement. Après lui avoir proposé de rentrer pour terminer la soirée entre nous deux, il maida à relacer et attacher mon corset trop petit. Alors quil commençait à se rhabiller également, je lenlaçais de nouveau et lui chuchotais à loreille, dun ton érotique :
- Que penserais-tu de faire ça devant une caméra, une prochaine fois?
- On pourrait en parler, pour prévoir les détails, me répondit-il.
À voir la lueur espiègle dans ses yeux, son imagination sactivait déjà. Avec un sourire pour le groupe, je saisis mon sac à main et je me dirigeais vers les salles de bain.
Il était absolument hors de question que je sorte dici sans dabord me recoiffer et retoucher mon maquillage. Question de fierté, ou simplement un goût marqué pour lesthétisme en général ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!