Ma Vie De Libertin - De Brèves Aventures - Voyeurs
Cétait lun des derniers soirs de mon séjour au Cap dAgde et avant de retourner à mon bungalow sur le terrain de camping, je prenais un dernier verre au bar de la plage naturiste. Il ny avait plus guère de clients car lheure de la fermeture approchait et la nuit descendait doucement sur la mer. Nous étions quatre, deux jeunes femmes, Sergio, le barman, et moi. Les deux filles semblaient bien excitées par les nombreux verres dalcool quelles venaient de boire depuis que je me trouvais là à bavarder avec Sergio avec qui je métais lié damitié.
Elles avaient environ 25 ans, bien bronzées, lune légèrement plus grande que lautre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu lheure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt très échancré qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave.
Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement lune contre lautre. Avant quelles ne disparaissent dans lobscurité nous avons pu voir quelles senlaçaient et sembrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors quelles allaient certainement vers « la chambre damour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il sagissait. Cétait le lieu de retrouvailles des couples dun moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre damour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il ny avait personne dautre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de sembrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que lune delle sallongeait sur le sable, lautre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte. Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de lautre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul.
La même chose devait se passer à lautre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. Cétait chaud. Nous observions en silence afin déviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusquà ce que lune et lautre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face et de nous dire en riant comme des folles :
Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir.
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusquà elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison comme cétait désormais la mode. Elles dirent en même temps :
Approchez encore !
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle la pris en bouche et englouti dun seul coup jusquau fond de sa gorge.
Je me suis retiré de sa bouche et jai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt elle ma repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi. Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple sest séparé. Jai terminé la nuit avec Céline que jai baisée à deux reprises. Au petit matin elle sest esquivée en me disant :
Je vais retrouver mon mari ! Je lui ai laissé le champ libre cette nuit ! Je sais quil en a bien profité, donc pas de jaloux !
Voila ce quétaient les plages naturistes de la région du Cap dAgde à lépoque. Il parait que cest encore pire maintenant au point quune des plages est désormais baptisée « La baie des cochons ».
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